Histoires De Candaulisme (7) : A L'Anglaise

A L'ANGLAISE

Putain, encore un mois ! Trente jours à tirer sur cette chaise qui domine le petit lac du Limousin où se baignent beaucoup de gamins, quelques retraités et des bonnes femmes mal foutues qui se donnent des airs de sex symbol. Elles me font des risettes à moi, le maitre nageur sauveteur, parce que j'ai un corps qui les fait rêver davantage que leur mari, avachi sur sa serviette. Misère ! Il faudrait vraiment que j'aie les bonbons qui collent au papier pour vouloir les sauter. Résultat : je n'ai pas tiré un seul coup depuis plus d'un mois et j'en suis réduit, le soir dans ma tente plantée sur le terrain de camping voisin, à convoquer la veuve poignet. Misère de misère !
Le pire est que je n'ai pas droit à l'erreur. Qu'un gamin se noie, ou défonce le crâne d'un autre en sautant du plongeoir sans regarder, et tout le monde me tombera dessus, à commencer par le maire qui m'emploie. Donc, concentration. Et lutter contre l'envie de roupiller.

Mais... bon sang de bois, qui c'est qui arrive, là ? Je vois débouler sur la plage une nana en bikini comme je n'en ai pas vue depuis que je suis là. D'où elle sort ? Quel corps elle a ! Son bikini ne doit pas peser 20 grammes. Ultra mini slip sur de longues jambes. Soutif minimaliste. Elle s'approche de moi, je la vois mieux. Bon, ce n'est plus une jeunette, la nana. Elle doit bien avoir atteint les 50 balais, à preuve ses cheveux déjà grisonnants. Anglaise, probablement, avec ses yeux bleus et un je ne sais quoi dans la dégaine qui sent les îles britanniques. Il n'y a que les British pour se balader presque à poil sur un lac limousin mais celle-là est sacrément gaulée. On lui donne facilement dix ans de moins. Je la regarde se baigner, je ne vois plus qu'elle, et quand elle sort de l'eau, c'est une vraie naïade. Il y a vraiment des femmes gâtées par la nature. C'est peut-être une actrice ?

Elle rejoint son mec qui l'attend sur une serviette. Oh le mec ! Un gros bide de buveur de bière, complètement indifférent à son épouse.

Un vrai scandale. Il mérite bien d'être cocu, celui-là. Il l'est sans doute d'ailleurs. J'aimerais bien le cocufier, moi, mais la nana ne m'a même pas jeté un regard sur ma chaise. En revanche, moi, je la mate en coin, au point de négliger ma mission de surveillance. Oh la vache, elle a ôté son soutif ! Mes premiers seins nus de la saison ! Du moins, les premiers aussi visibles car elle les montre sans complexe, les coudes au sol, tétons dressées vers le ciel limousin. Ils tiennent drôlement bien la route, ses deux roberts. Je vois des pères de famille rôder auprès d'elle pour la zieuter. Elle s'en fout royalement. Et son mari encore plus. C'est à ce moment qu'une mère vient rouspéter parce qu'un gamin harcèle se fille. Je suis obligé de me transformer en flic et de sermonner le gamin. Il regimbe, je m'énerve et quand je retourne sur ma chaise, le couple anglais est déjà parti. Fin de l'histoire ?

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J-29. Toujours sur ma chaise à rôtir car la mairie n'a pas prévu de parasol pour le maître nageur. Ah, voilà mes Anglais qui reviennent. Le mec au gros bide gonfle à la bouche un matelas pneumatique et sa nana s'en empare, toujours avec le même minimum vestimentaire. Je regarde son petit cul rouler pendant qu'elle se dirige vers l'eau avec son matelas. Elle se met à plat ventre dessus et la voilà partie au large. Va falloir la surveiller car des pédalos pas toujours bien maitrisés circulent dans le secteur. Bien entendu, elle a enlevé son soutif pour se bronzer le dos tout en pagayant avec ses mains. Je la regarde s'éloigner et soudain, l'incident. Un pédalo avec deux gamines à bord rentre dans le matelas qui se dégonfle aussi sec. L'Anglaise panique. Les gamines crient. Je saute de ma chaise et fonce vers l'eau où j'entre à grandes foulées avant de plonger et de me diriger vers le naufrage à puissantes brassées de crawl. Une vraie fusée aquatique.

Je suis sur zone en trente secondes. J'engueule les gamines et je rassure la dame qui fait pas mal d'éclaboussures.
Ce n'est visiblement pas Laure Manaudou. Elle gueule "please please, help me" et je l'att par les épaules puis lui tiens la nuque en lui demandant de se placer "on the back", sur le dos. Et je l'entraine vers la plage. Elle se détend, se laisse aller et là, je dé un peu. Tout en faisant la grenouille avec mes jambes, je la pelote sous l'eau sans vergogne. Je sens les pointes dures de ses seins sous ma paume. Elle ne réagit pas et je ne suis même pas sûr que ça lui déplaise. Encore vingt mètres et on aura pied. Quelques brasses plus tard, nous sommes debout, de l'eau jusqu'au cou. Alors, elle sourit, me sert quelques "thank you very much"... et se colle à moi en m'embrassant sur les lèvres. Illico, ma main est dans son slip et elle ne la retire pas. Je plonge dans ses yeux bleus et y lit de l'amusement teinté de reconnaissance. Le mari nous ramène à la réalité en la houspillant pour s'être aventurée trop loin. Elle sort de l'eau, seins nus je le rappelle car le soutif s'est perdu dans le naufrage. Tout le monde la regarde, certains m'applaudissent, c'est ce qu'on appelle une sortie en fanfare. Très zélé, je prends un pédalo et je vais chercher le matelas dégonflé qui flotte au loin. Je le ramène avec le soutif au couple qui s'est rhabillé et s'apprête à partir. Nouveaux "thank you very much". La femme se présente : elle s'appelle Linda et son mari Bob. Je me présente aussi : Antoine, dit Tonio, à votre service. Ils ont un cottage dans le coin. Ils m'y invitent le soir même pour me remercier. Cela ne se refuse pas. Marre du jambon petits pois sur mon camping gaz. Rendez-vous est pris et j'en suis tout émoustillé, ayant encore le souvenir dans ma main du pubis chevelu de la dame anglaise. Mais restons calme. C'est un couple.

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Il est 20h quand je fais mon entrée dans le cottage. Le jardin est peigné et soigné comme seuls les Anglais en sont capables. Des rideaux en dentelle pendent aux fenêtres. Linda m'accueille en mini robe ras du cou mais quand elle se retourne, je constate qu'elle est décolletée jusqu'au sacrum.
Elle ne porte donc pas de soutif. Porte-t-elle un slip ? Je chasse vite cette pensée qui me met le feu au mien. Bob est en short, son gros bide dévoilé par une chemise ouverte. Il fait très chaud ce soir. On se parle moitié en français, moitié en anglais. Linda me remercie encore pour mon sauvetage et revient sur l'incident, sans la moindre allusion au pelotage aquatique.

On passe à table et je baffre comme un cochon sous le regard amusé de mes hôtes. Finalement, on est injuste avec la bouffe anglaise. On parle de nos vies respectives. Elle a été mannequin dans une autre vie, ce qui ne m'étonne guère. Son mari travaille dans une grosse entreprise mais à mi-temps, d'où leur présence fréquente en Limousin. Il est visiblement un peu plus âgé qu'elle. Je leur raconte mes études erratiques et la nécessité de travailler l'été pour les payer. L'atmosphère se détend et soudain, je sens un pied sur le mien. C'est celui, nu, de Linda. Elle me fixe d'une manière qui ne trompe pas : elle veut ma bite. Elle veut se payer un petit jeune dans mon genre. Et Bob qui semble indifférent. Je sens monter en moi une chaleur qui doit se voir jusqu'aux sourcils.
On passe au salon, je m'assois sur le canapé et Linda vient à mes côtés. Presqu'aussitôt, elle m'embrasse pleine bouche. Je suis stupéfait car Bob est là, juste en face, sur le fauteuil. Il ne réagit pas. Mieux, il prend la parole et s'adresse à moi dans une phrase aussi laconique qu'explicite :
- Fuck her. Baise-la.

Linda me met la main sur mon pénis qui durcit à vue d'oeil. Je comprends que je suis tombé sur un couple candauliste. Elle m'ouvre la braguette, se penche et engloutit ma queue. Sa bouche est aussi douce qu'active. Bob, son verre de bière à la main, nous observe sans réagir et j'ai un peu de mal au début à bander convenablement, inhibé que je suis par sa présence. Linda s'en rend compte, fait passer sa robe par-dessus sa tête et apparait en string, qu'elle retire aussitôt. Elle est entièrement à poil et reprend sa succion.
Je ferme les yeux, à la fois pour couper l'image de Bob et m'abandonner à cette bouche gourmande. Cette fois, je bande vraiment. Linda retire mon tee shirt, achève de me dévêtir, extrait une capote je ne sais où, m'en coiffe et sans crier gare, vient s'empaler sur moi, dos à son husband. Et là voilà qui cavale sur ma queue en gémissant tandis que je lui lèche les mamelons bien érigés. Puis elle se retourne et dans la même position, se laisse tomber sur ma bite face à son mari qui, je le constate, a ouvert son short et se paluche en nous regardant baiser. J'ai l'impression qu'ils se regardent, comme s'ils forniquaient par procuration, la mienne. Je me régale de son petit cul blanc qui s'agite avec frénésie. Puis elle se relève, me sourit et me prend la main :
- Tonio, come with me, viens avec moi.

Elle m'entraine dans la chambre, tire sur la couette et m'attire vers le lit, cuisses grandes ouvertes :
- Fuck me hard, my rescuer, baise-moi dur, mon sauveteur.
Je sens le regard de Bob dans mon dos mais cette fois, je n'en ai cure. J'ai envie de défoncer cette Anglaise au cul de braise. Elle s'att les chevilles, monte haut ses pieds désormais parallèles au plafond et les miens au sol, je l'enfile recta pour la ramoner sans concession. Cette fois, elle gueule franchement. Je ne comprends pas tout ce qu'elle dit, si ce n'est "fuck, fuck, don't stop please" que chacun comprendra. Je sens qu'on me caresse les couilles, c'est Bob qui intervient dans nos ébats. En d'autres circonstances, je lui aurais mis mon poing dans la gueule mais là, je suis trop occupé pour le faire et d'ailleurs, ça me stimule encore plus. Je vais très loin, très vigoureusement, et Linda ne sait visiblement plus où elle habite, en Angleterre ou en Limousin. Ses talons martèlent mes reins pour m'encourager, comme si j'en avais besoin.

Mais Bob intervient encore pour demander à sa femme de changer de position. Elle se met à quatre pattes sur le lit, cul en l'air et coudes sur le matelas. Je l'enfile à nouveau et cette fois, Bob est face à moi, de l'autre côté du lit, à genoux, à poil. Il offre sa queue à sucer à Linda qui s'exécute. Nous voilà deux à la baiser. Elle tortille des hanches comme pour me faire comprendre que c'est surtout ma bite qui l'intéresse. Et alors, Bob prononce une phrase que je feins de ne pas comprendre mais qu'il réitère :
- Now, into her ass hole.
Il veut que je l'encule ! Elle s'écarte les fesses et dit :
- Lick me before, lèche-moi d'abord.

Et me voici en train de préparer son petit trou à l'introduction. Dans ma courte vie sexuelle, jamais je n'ai fait ça et il faut que ce soit l'Angleterre qui m'y incite. Mais ce n'est pas bien compliqué, c'est même agréable. Quand je mets ma queue dans son orifice, je sens d'abord une résistance et elle murmure "slow, slow", lentement. Puis soudain, tout s'ouvre et me voilà dans son rectum. C'est doux, large, confortable. Elle pousse un râle et se met à venir à ma rencontre avec énergie. Visiblement, elle adore la sodomie. Moi aussi. Je l'honore du mieux que je peux, nos peaux claquent en cadence, Bob se branle frénétiquement, elle se retourne parfois pour me regarder, je lis dans ses yeux bleus un plaisir intense, une reconnaissance éperdue et ce regard me va droit au cervelet. Je sens que je ne vais plus tenir longtemps, elle aussi et agite la croupe pour me faire éjaculer. Je me vide d'un coup en soufflant sur son cou et elle jouit en même temps, "oh yes, oh yes, fuck, fuck" et nous nous effondrons l'un dans l'autre sur le matelas, moi collé à son dos. Putain, quelle partie de cul !

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J-1. Quand je pense qu'il y a un mois, je me morfondais sur ma chaise et n'attendais que la quille ! J'ai passé les jours les plus intenses de ma vie. Pas au bord du lac, certes, mais le soir et la nuit. Ce que j'ai pu donner comme coups de bite ! J'ai quitté mon camping pour une chambre chez Linda. Les premiers temps, je la baisais tous les soirs, toutes les nuits et tous les matins. Et toujours en présence de Bob qui nous matait en se touchant la queue. J'ai fini par ne même plus penser à lui. Il était là comme une armoire. De temps en temps, il prenait la parole pour imposer une posture particulière et il nous filmait. J'ai pris conscience alors que Linda était vraiment exhib. Elle adorait se montrer dans l'amour. Mais au bout de quelques jours, l'âge l'a rattrapée et elle a eu un gros coup de barre. Elle dormait tout le temps. "You me", tu me tues, me disait-elle.

Alors, elle et Bob m'ont présenté à Beryl, une de leurs amies anglaises, au courant de nos frasques et qui me couvait du regard chaque fois que je la rencontrais. Une quadra blonde à chair rose et à gros seins, tout autant mariée avec un dénommé Hugh. Je la baisais dans ma chambre en présence de Bob, de Hugh et même de Linda qui participait sur un mode plus relax. Une bonne baiseuse, Beryl, très cochonne, très bavarde : "give me your cock" (donne-moi ta queue), "'lick my pussy" (lèche-moi la chatte), "screw my ass" (encule-moi) constituaient quelques unes de ses phrases que je comprenais. Elle adorait se faire prendre par son gros cul et je crois bien que je n'enculerai jamais autant que j'ai pu enculer durant cet été.

Au bout du compte, c'est moi qui ai fini le mois vidé de ma substance. Si mes couilles ressemblaient à deux citrons en début d'été, elles s'étaient transformées en noyaux de cerise ! Et là maintenant, sur ma chaise, je dois me cramponner pour ne pas m'endormir. Tiens, voilà mes Anglais qui viennent se baigner. Beryl a bien du mal à contenir ses mamelles dans son soutif de bikini. Combien de fois je les empoignées, celles-là ! Mais maintenant, je suis un peu saturé. Elles me font un petit salut avant d'aller à la flotte. Je les regarder nageotter. C'est la dernière fois. Demain, je rentre au bercail. Complètement essoré puisqu'elles vont encore se relayer pour me chevaucher ce soir devant leur jules en train de se branlotter. Il y a un moment que je n'éjacule plus, ou si peu. Mais elles s'en fichent pourvu que je sois raide, et je dois dire que je le suis encore, ce qui m'épate moi-même. Mais que je suis fatigué. Vivement la quille que je puisse enfin dormir... dormir... dormir...

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