Mon Éveil De Soumise Chapitre 12

Mon éveil de soumise

Chapitre 12


Peu après ma rencontre avec Zohra, j’appelai Pierre un lundi soir pour lui annoncer, presque triomphante, que j’avais rencontré une femme prête à être esclave.

Surpris, il n’envisageait pas de remplacer Sophie. Peut être avais-je été trop loin dans mes initiatives !
« Je ne pensais pas qu’elle la remplacerait, c’en est une autre tout simplement »
« C’est agréable que tu te préoccupes de moi ! Pourquoi pas ! Je suis prêt à la mettre à l’épreuve. Tu lui as expliqué ce qui l’attendait ? »
« Je ne sais pas tout Monsieur mais elle est endurante à mes yeux et … très masochiste »
« Intéressant ! Je la testerai »
« Je lui ai promis que je serai là pour la soutenir »
« Tu peux mais tu ne seras que spectatrice et tu exécuteras mes ordres »
L’idée de ne pas participer ne m’enchantait pas ; je comptais cependant sur l’emballement de ce moment à venir pour éventuellement en retirer du plaisir.

«Je pourrai la voir vendredi ; d’ici là tu lui expliqueras comment se préparer et je compte sur toi pour surveiller de près cette préparation avec compte-rendu »

Très heureuse d’avoir, à mes yeux, gravi un échelon auprès de lui , il me restait à prévenir Zohra.

Très sportive comme j’avais pu le constater à l’examen de son corps, elle faisait une longue ballade à vélo lorsque je lui parlai.
Ses hésitations avaient disparu et elle accueilli la nouvelle de cette rencontre avec enthousiasme. Elle finissait sa course à vélo et proposa de me retrouver chez moi.
Une heure plus tard en tenue moulante de lycra elle sonna ; j’avais préparé des boissons et quelques zakouskis.

Longs baisers sur ces lèvres humides de transpiration, je la briefais sur sa préparation.
« Je dois donc me laver ce soir Madame ? »
« Ta préparation a déjà commencé, donc non ! »
« Après deux heures de vélo, j’ai beaucoup transpiré Madame »
« J’imagine et c’est très bien comme ça mais laisse moi en juger.

Déshabille-toi ! »
Elle fit rouler son legging noir et retira une culotte moulante de coton gris.
Humide de sueur, son sexe ne tarda pas à l’être aussi de mouille sous mes doigts qui la fouillaient sans ménagement.
« Mon maître aime les odeurs fortes tu fais donc comme je te l’ai indiqué »
« Bien Madame »
« Tu reviendras jeudi soir pour une nouvelle inspection et bien sur tu garderas cette culotte d’ici là »
« Ca je ne pourrais pas Madame ! »
Je l’attrapai par les cheveux, me penchai vers son visage et d’une voix ferme que je ne me connaissais pas je lui dit « Zohra, soit tu obéis soit on en reste là, tu as bien compris ! »
Elle se mit à pleurer, m’attrapa les mains « S’il vous plait , restez ma Maîtresse »
J’avais presque gagné !
« Alors fait ce que je te dis de faire »
« Ca va être difficile au travail et dans les transports, j’ai peur qu’on s’en rende compte »
« Débrouille-toi ! Porte une autre culotte par dessus, mets des jeans que sais-je »
« Bien Madame, je le ferai »

Le jeudi soir Zohra se présenta comme convenu. Elle était vêtue d’un jeans et d’un petit haut très sage comme il convenait de le faire lorsqu’on travaille dans un hôpital avec ses responsabilités.

« Inspection ! Tu te mets nue, debout, cuisses écartées, mains sur la tête ! »

Sa culotte était comme attendue, maculée !
Je tenais une paire de pinces que j’utilisais pour écarter sa chatte, lui demandais de les tenir dans cette position, allumais la torche de mon téléphone pour découvrir qu’elle s’était en effet bien préparée !
Je pris quelques photos de sa chatte ouverte.
« Tourne toi, penche toi et écarte tes fesses »
Elle obéit sans hésitation ni appréhension.
Son sillon était très humide mais son cul était très propre. Je testais l’ouverture de son anus toujours très serré ! Je comptais sur Pierre pour ne pas être violent lorsque elle se ferait enculer.
« C’est très bien ! Tu continues comme ça et demain soir avant de me rejoindre, tu feras un lavement »
« Mais je n’ai rien pour le faire ! »
« Je te prêterai mon équipement »
« Merci Madame.
Nous ne ferons rien ce soir ? »
« Tu t’es caressée chaque jour ? »
« Oui Madame comme vous me l’aviez demandé »
« Je me suis moi aussi préparée et nous ne devons être ni pénétrées ni léchées avant demain »
« Mais je peux peut-être vous caresser ? »
« Je t’y autorise »
Je m’assis et la fis agenouiller devant moi. J’enlevais ma culotte, relevais les jambes et la laissais masser doucement mon clito.
« Tu aimes ma chatte ? »
« Beaucoup Madame, son odeur me donne envie »
« Contentes toi de me caresser et doigte moi le cul »
Je sentis ses doigts entrer dans mes fesses avec ce nouveau bonheur !
Zohra me caressait avec précision, déjà humide de mes propres caresses, je coulais et entendais le bruit que ses doigts faisaient au contact de ma mouille.
Ce petit clapotis me rendait dingue !
Je ne voulais pas jouir tout de suite, je l’arrêtais.
« Ton cul est toujours très serré , demain tu porteras un plug toute la journée . En attendant je vais commencer à te le préparer. »
Elle se tourna sans discuter et se tint dans une belle position ; j’admirais ses fesses ! Rondes, galbées, bref accueillantes.
Son anus était bien épilé et luisant ! Hmmm !
Je lui enfonçai avec douceur mon gode gonflable et entamai le pompage avec lenteur ; je voulais que son cul se dilate sans douleur. Je n’avais qu’un but, faire qu’elle soit prête pour le lendemain convaincue que face à une « esclave », Pierre utiliserait de gros diamètres.
Mon inexpérience, relative, m’avait-elle entraînée trop loin avec elle ? Je craignais soudain qu’elle ne soit pas à la hauteur, qu’elle refuse les sévices que Pierre lui infligerait et qu’elle m’en veuille de l’avoir entrainée dans cette aventure !
Bien sûr elle était consentante mais je ne voulais pas la perdre. Restait à m’en remettre à la bienveillance et l’expérience de cet homme. C’était une confiance plutôt bien placée me dis-je. Histoire de me rassurer.

«Je sens mon cul s’ouvrir, c’est un peu dur mais j’ai envie de vous satisfaire »
Comme ces mots étaient doux ! Mes craintes se dissipaient mais pas complètement.
J’attendis un long moment, me harnachait de mon gode ceinture et la libérait.
Je pénétrais sans difficultés dans ses fesses et lentement son bassin se mit à bouger, à engloutir mon « membre » ; je pus commencer à la baiser, sans hâte, fermement.
«Fouillez moi le cul, défoncez le Fabienne »
Enfin je me déchaînais jusqu’à ce qu’elle jouisse bruyamment.
« J’ai tellement mal aux fesses ! Mais c’était si bon ! »
Allongée à ses côtés, je la serrais dans mes bras en l’embrassant.
C’était à mon tour d’être caressée, elle reprit sa tache.
« Je pourrais voir votre sexe en vous caressant ? »
« Bien sur, viens, penche toi sur ma chatte »
Ces doigts reprirent leur ballet.
« J’aimerais vous poser une question »
Toute à mon plaisir, je ne pus que hocher la tête en signe d’acquiescement.
Son visage était collé à mon entre-jambes lorsqu’elle s’exprima.
«J’ai aussi beaucoup de traces blanches à l’intérieur de ma chatte ? »
Intriguée, je me relevais pour la regarder.
« Même plus ! Je vais te montrer les photos que j’ai prise plus tôt »
Je fis défiler les clichés.
Elle rougit, gênée.
« Le Maître ne va pas être dégouté ? »
Je souris « Il est comme moi, il aime les chattes négligées ! »
« J’ai honte de me présenter comme ça »
« Tu as raison et il aime que tu aies honte. Caresse moi maintenant »
Zohra me fit jouir.
Je lui proposais de dormir chez moi. Elle prenait son service tard le lendemain, elle accepta.
Se tenir l’une à côté de l’autre sans pouvoir se lécher ou se doigter fut un supplice ; on se contenta de se caresser.
Le lendemain matin, rendez-vous fut prit pour sept heure, chez moi.
Je la conduirai chez Pierre.

A suivre








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