Une Famille En Or (5)

Lundi 12 septembre 1990

Comme il y a un creux à l’Auberge, nous avons pris une semaine de repos pour aller faire un petit voyage en Corse. Après être passés par Bastia, nous voici aujourd’hui à Saint Florent. Nous sommes sur la plage des Agriates, et comme c’est naturiste, nous profitons pleinement du soleil. C’est presque désert, à part un couple. Nous nous sommes installés assez loin pour ne pas déranger leur tranquillité. Evidemment, Ber ne rate pas l’occasion de bander lorsqu'il se met entre mes jambes pour m'enduire d'huile solaire. Il s'est bien attardé sur mes seins et, et je lui caresse doucement la bite pendant qu'il s'occupe du bas, me doigtant le clito gentiment. Les yeux fermés, tout à notre félicité, nous ne voyons pas le temps s’écouler, ni s’approcher l’autre couple. D’autant plus que le faible bruit de leurs pas sur le sable est masqué par le ressac des vagues.

C’est au moment ou je me redresse pour sucer Ber que je les vois assez proches de nous, la bite bandée du gars dans la main de la nana. Je ne me démonte pas et continue. Ber leur propose de participer. Le gars nous dit qu’ils en seraient ravis, car ils sont échangistes. La jolie blonde ne perd pas de temps en présentations pour sucer Ber, pendant que le mec me présente sa queue. Puis c’est une levrette en parallèle et mon partenaire me lâche le paquet sur les fesses pendant que Ber préfère finir dans la bouche de la sienne. Cette nana est polyvalente, car elle me rejoint pour donner un spectacle de remise en forme aux deux hommes. C’est une vraie blonde, j’en ai la preuve sous le nez avec sa moquette triangulaire pendant que je la bouffe en soixante-neuf. Cette fois, ça dure plus longtemps, et tout y passe: sodomie, double, et même le gars qui vient aider sa femme à sucer Ber à la fin! Ber n’a aucun scrupule à lui lâcher ses dernières munitions dans la bouche.

Le soir, nous réalisons alors que nous ne savons même pas leurs prénoms.




Mercredi 14 septembre 1990

En fin d’après-midi, nous arrivons à Corte à l’hôtel que nous avons réservé. Il est tenu par un couple assez jeune qui nous apprend que nous sommes leurs seuls clients:
- Si vous n’aviez pas réservé, nous aurions peut-être fermé. Nous avons deux courses à faire. Alors, faites comme chez vous, et si vous avez absolument besoin de quelque chose,, ne vous gênez pas, même de vous servir au comptoir. On vous fait confiance. Nous, c’est Gilbert et Nathalie.
- C’est très gentil de votre part! Et nous, c’est Bernard et Anna.
- On sera de retour de toute façon pour le service du dîner.

Après s’être douchés, nous décidons de les tester, encore excités par notre récente expérience sur la plage. Nous descendons à poil et nous nous servons un demi au comptoir avant d’aller le siroter dans les transats de la terrasse pour profiter encore un peu du soleil. C’est dans cette configuration que Gilbert nous trouve en revenant:
- Mais… Qu’est-ce que vous faites, dans cette tenue?
Je le contre avec un air innocent:
- Vous nous aviez dit de faire comme chez nous, alors voilà!
- Euh, oui, mais je ne pensais pas à ça.

Nathalie arrive sur ce tableau et le prend plus cool:
- Ah tiens, vous aussi? On est assez souvent nus à la maison et on va toujours sur les plages naturistes, mais on aurait peut-être pas osé le faire comme ça.

Je me lève et m’avance vers eux:
- Si ça vous gêne vraiment, on va aller se rhabiller.

Gilbert lorgne sur mes tétons et mon triangle totalement épilé. Finalement, il doit se dire que ce serait dommage de se priver de ce spectacle:
- Euh, non, c’est bon, maintenant que vous y êtes. De toute façon, je vais préparer le repas. Ce sera prêt dans une demi-heure environ.

Nathalie qui s’était éclipsée revient a cet instant nous rejoindre à poil, nous dévoilant une minuscule touffe bien entretenue. Gilbert est tout surpris de la voir se servir un verre et nous rejoindre ainsi pour le boire avec nous, mais il n'ose pas protester.
Et quand il revient nous annoncer que c’est prêt, nous nous levons et allons toujours nus à table, il en profite au contraire pour me mater un max. Comme c’est lui qui fait le service, je laisse bien mes jambes écartées et la chaise reculée pour qu’il ne rate rien en passant près de la table. J’en rajoute un peu en récupérant sur un sein une goutte de vinaigrette avec un doigt que je lèche suggestivement. Après le dessert, Nathalie qui a fini la plonge des gamelles refait son apparition, toujours à poil elle aussi après avoir viré son tablier, et elle nous fait un clin d’œil:
- Vous prendrez bien un digestif? Mettez-vous dans les canapés, on va se joindre à vous. Gilbert, si tu en profitais pour aller enlever ces vêtements?

Gilbert en reste baba:
- Mais, chérie, qu’est-ce qui te prend?
- Ben quoi? T'es le seul encore tout habillé, et on n'est que tous les quatre…

Nous insistons avec elle et il se met enfin nu lui aussi. Pendant ce temps, nous nous sommes installés dans la partie salon. Ber s’est mis d’entrée sur le même canapé que Nathalie, et Gilbert vient donc s’assoir à côté de moi. Nous trinquons avec l’excellente liqueur de myrte. L’alcool détend l’atmosphère, tellement que Gilbert ne se rend pas trop compte qu’il commence à bander à force de regarder en coin vers ma fente lisse. Il faut dire que j’ai fait dériver la conversation avec Nathalie sur nos épilations extrêmes, et que j’ouvre bien mes jambes pour qu’elle et moi fassions mieux la comparaison. Dans le mouvement, je frotte mon genou au sien. Je fais celle qui s’aperçoit de la situation:
- Oh! Dis donc Gilbert, on dirait que ça te motive! Et puisque c’est à cause de moi, je veux bien m’en occuper. Tu permets, Nathalie?

Et sans attendre sa réponse, je commence à branler Gilbert pour achever de le mettre en forme. Ber propose son érection à sa voisine qui l’empoigne en disant:
- Ça tombe bien, ça faisait quelques temps qu’on parlait d’essayer l’échangisme!

Nous faisons durer un peu cette séance de masturbation réciproque.
Puis je m’agenouille devant Gilbert et je commence à le sucer, pendant que Ber préfère se mettre debout devant sa partenaire pour le même traitement. Je fais ensuite allonger mon étalon sure le tapis et le chevauche. Ber fait agenouiller Nathalie au-dessus de la tête de Gilbert pour qu’il voit bien sa femme se faire prendre en levrette. J’achève Gilbert en lui pompant toute sa sève et Ber préfère éjaculer sur les seins de Nathalie. Je saisis l’occasion d’aller la nettoyer avec ma langue, et je descends jusqu’à son clito que je gobe. Elle se laisse faire et gémit de nouveau. Je n’hésite donc pas à m’installer en soixante-neuf sur elle pour lui donner ma fente à lécher. Ce qu’elle fait sans trop que j’insiste.

Cela remet en grande forme nos mecs, et Ber vient me prendre en levrette. Gilbert vient investir Nathalie devant moi, et je l’aide à la pénétrer. Je le fais ressortir de temps en temps pour le sucer un peu, et puis retour à la case trésor. Et puis, changement à nouveau. Gilbert revient vers moi, et je lui demande de me sodomiser, ce qu’il fait sans rechigner. Quand Ber s’avance derrière Nathalie pour en faire de même, elle lui demande d’y aller doucement, c’est la première fois pour elle. En bon gentleman, il fait bien attention et tout se passe en douceur. A la fin, ça coulisse tout seul, et il l’encule en grand, lui faisant pousser des clameurs. Je jouis aussi de mon côté, puis je m’écarte de Gilbert:
- Toi aussi, c’était ta première sodomie, hein?
- Oui, c’est vrai, et c’était trop bon.
- Eh bien, tu vas le faire enfin avec ta femme, et même mieux encore!

Ber adhère à mon idée. Il s’allonge et met Nathalie à cheval sur sa queue, puis je guide la bite de Gilbert dans le cul encore béant de sa femme, lui procurant son premier sandwich. Je l’aide en lui caressant les couilles, puis je lui titille l’anus, et enfin j’y insère mon majeur. cette intrusion le déclenche, et je sens les contractions de son éjaculation. Ber l’a senti aussi à travers les parois, et il en profite pour tout lâcher lui aussi.
Tout le monde est maintenant assez fourbu, et ils se retirent vers leur propre chambre pour nous laisser dormir.


Jeudi 15 septembre 1990

Ce matin, nous descendons en string pour le petit-déjeuner. Nathalie est derrière le comptoir pendant que Gilbert finit d’installer notre table. Personne ne reparle de la séance d’hier soir, mais c’est dans l’air ambiant, je le vois bien. Je m’approche donc de Gilbert et je lui mets la main au paquet:
- Tiens, avant le petit-déj’ je me ferais bien un petit extra…

Je sens dans ma main qu’il ne tarde pas à grossir. Sans demander la permission d’aller plus loin, j’ouvre sa braguette, descends tout d’un bloc son pantalon et son caleçon et je m’accroupis pour achever de le mettre en forme avec la bouche. Pendant ce temps, Ber a contourné le comptoir et pris la main de Nathalie pour la mettre dans son string. Comme je la vois disparaitre derrière le comptoir, j’en déduis qu’elle est en train de le sucer aussi. Nous finissons par nous retrouver face à face de chaque côté du comptoir, avec nos hommes respectifs en train de s’occuper de nous en levrette. Puis nous concluons avec deux sucettes bien léchées jusqu’à épuisement du stock. Et enfin nous allons tranquillement dévorer ce qui nous attend sur la table.

Au moment de partir, Gilbert et Nathalie insistent pour ne pas nous faire payer, et ils nous remercient encore.


Dimanche 5 novembre 1990

Le string n’est plus de saison depuis un bon moment, surtout à l’Auberge, mais Ber est décidé à conserver la tradition dès le retour des beaux jours. D’autre part, nous avons enfin trouvé un appartement super à Barcelonnette.

A suivre…

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