Collection Zone Rouge. Mes Origines Allemandes. Saison I (2/5)

Lors d’un repas de famille, j’écoute derrière la porte de ma chambre, ma grand-mère maternelle Marlène, raconter sa vie de jeune fille à Berlin au moment de la montée du nazisme.

- Écoute la suite tu le verras bien, Serge, j’ai soif, remplit un verre.

J’avais déjà constaté que grand-mère avait une bonne descente lors d’autres repas.

- Où en suis-je, ah oui, n’ayant pas envie de subir la même baffe que le jour précédent, je faisais très attention à ne pas toucher aux marques de mes dents que je voyais distinctement.
Toujours très chevaleresque, il m’a renversé, venant directement sur moi, il m’a donné l’ordre de lui prendre la verge et de la placer sur ma fente.
Verge, j’avais appris fente, j’en ai déduit que c’était là où tous les jours j’urinais car à part ma bouche, seule ma minette avait une fente.
Je ne voyais pas ce qu’il voulait faire à cet endroit avec sa verge, mais bonne élève et surtout voulant éviter les sévices, je l’ai placée où il voulait.
Le cri que j’ai poussé quand sans ménagement il a trouvé son chemin grâce à moi qui l’avait placé pour éviter qu’il ne me frappe.
J’aurais mieux fait de prendre une claque, car la douleur que j’ai ressentie dans mon bas-ventre était trois fois plus forte que ce que j’avais déjà endurée.
D’autant plus que, lorsqu’il a été placé bien au fond de moi, il a donné des grands coups avec sa bite m’arrachant à chaque fois des douleurs incroyables.
Une nouvelle fois, je n’ai pas compris ce qui m’arrivait lorsqu’un liquide chaud est sortie de sa verge et m’a inondé.
Satisfait de son travail, il est sorti de moi et m’a fait très peur lorsqu’il a dit :
« J’espère que mon sperme va t’engrosser, je ferai plaisir à mes supérieurs si tu leur donnes un mâle pouvant défendre la patrie. »
Il s’est levé et est sorti, je me suis précipitée dans la salle de bains et dans la baignoire avec de l’eau.


J’en ai fait entrer le maximum en moi, faisant couler que je ne savais pas venir de mon hymen déchiré.
J’ai enlevé un liquide visqueux qui là encore, je l’ai appris plus tard, était le fameux sperme censé m’engrosser.
Sans le savoir, je venais d’être dépucelée et j’étais entrée dans le monde des adultes par le plus mauvais côté des choses.
- Je te plains, moi qui avais l’impression d’avoir subi l’irréparable quand après réflexion, j’avais offert mon corps à mon copain du moment.

Encore une information familiale, ma mère n’a pas été déflorée par mon père !
Mieux même, n’ayant pas assez parlé, elle la remercie de l’avoir aidé lorsqu’elle s’est aperçue qu’elle était enceinte et attendait mon frère.
Mon frère n’est donc pas mon frère mais mon demi-frère.
Cette soirée est bien surprenante pour une jeune fille qui sans être complètement une oie blanche débute dans la vie.

- Deux jours se sont écoulés lorsque la porte s’est ouverte de nouveau et qu’il est revenu vers le lit.
Il a pris le temps de m’expliquer ce que mordre une glace voulait dire pour lui et il m’a guidé pour que je lui fasse une magnifique « sucette » comme il me l’a demandé.
Quand toute sa semence est partie dans ma bouche, j’étais contente, car il n’avait pas touché à ma chatte.
Je n’avais pas eu de nouvelle douleur et surtout aider son supérieur à approvisionner la race qu’il disait pure.

En l’entendant, j’ai eu l’impression qu’elle ne voulait pas employer le terme entendu à la télévision sur un documentaire où les mots de « Fureur » et « Race aryenne étaient employés ».
Commençant à comprendre ce qu’elle avait subi, je comprenais que ces mots aient du mal à sortir de sa bouche.

- Je me suis endormie et lorsque je me suis réveillée, il faisait nuit, de nouveau la porte s’est ouverte et mon bourreau est entré toujours nu.
Il m’a remis sa verge dans la bouche pour que je le fasse bander.

La première chose que j’ai apprise de sa bouche, c’était qu’il était satisfait de moi.
Je pompais maintenant aussi bien que « ma pute de mère » et qu’il allait faire de moi une aussi grande pute.
On dirait qu’il entretenait le chaud et le froid, « pute » est le seul mot ordurier que j’avais entendu dans la bouche de mon père un jour à table alors que j’avais huit ans.
Il avait dit à ma mère qu’elle ne passe pas pour une pute auprès de ses collègues.
Elle avait rétorqué qu’elle ne savait pas qui était la plus pute des deux lui qui entretenait des relations avec son collègue de l’orchestre ou elle qui ne faisait que séduire sans jamais franchir le pas avec ces hommes.
Dans mon dictionnaire en plus des traductions, il y avait des explications.
Je l’avais mis dans ma valise quand j’avais quitté la maison pour venir ici.
« Dirne » en allemand et « Putain » en français voulait dire fille de joie que je ne comprenais pas ou fille à soldats que je ne comprenais pas plus, mais qu’en temps de guerre, parler de soldat, ce pouvait être une explication.
Avant qu’il n’éclate dans ma bouche me rassurant, car j’avais toujours peur qu’il remplisse ma chatte.
Il m’a appris le terme de « levrette » me montrant par là même les deux positions possibles bras tendus et tête reposant sur mes bras repliés dégageant ainsi ma croupe.
Il s’est placé derrière moi en me prenant par les hanches et comme par-devant sans aucune précaution, il s’est enfoncé dans ma petite fleur comme le disait ma mère lorsqu’elle me lavait étant petite.
J’ai eu l’impression que l’on m’enfonçait un fer rouge dans le corps tellement, la douleur a été forte au moins aux forte que le dépucelage de ma chatte.
Une nouvelle fois, il a manœuvré en moi jusqu’à ce que son sperme gicle.
Ne sachant rien des risques de grossesse, lorsqu’il est parti me lâchant.
« C'est bien, tu es prête pour le service actif » son charabia m’étant complètement inconnu.

Comment pouvais-je être prête pour le service actif en m’étant fait emplir toutes les cavités de mon corps par sa lance ?
- Je pense que tu l’as appris très vite à tes dépens.
- Comment-tu peux dire cela y étais-tu ?

En colère la grand-mère, depuis quelques minutes, son récit devenait de plus en plus précis.
J’ai écarté ma culotte et pour la première fois, je me suis caressée ce qu’elle appelle encore sa fente mais que je sais s’appeler chatte ou vulve.
À notre époque, nous avons des cours d’éducations sexuelles.
Même vagin chez le gynécologue où ma mère m’a conduit pour une visite, il y a huit jours et où pour la première fois une femme a écarté le bord de mes lèvres intimes très doucement et confirmé à ma mère que mon hymen était intact.
Mais surtout que nous pouvions attendre pour envisager une contraception pour donner suite aux quelques pertes de sang que j’avais eues.

- Au matin, la soubrette est venue m’apporter des vêtements très bizarres ?
Des chaussures assez hautes, des bas en Nylon sans couture dont j’avais entendu parler sans en voir vu.
Ils étaient fabriqués par l’un des rares pays qui n’était pas en guerre contre nous à cette époque et que beaucoup de personnes appelaient le « Nouveau Monde »
Un porte-jarretelles et une guêpière comme en portaient les femmes sous les grands rois de France que j’avais vus dans l’un de mes livres.
Elle m’a aidé à la mettre et lorsque j’ai été prête, elle m’a pris par la main et m’a entraîné hors de la chambre.
Nous avons changé d’aile du bâtiment semblant former un U.
Elle m’a fait entrer dans une autre chambre où il y avait déjà trois filles couchées sur un lit individuel.
Un lit était libre et elle m’a fait asseoir.
Ce sont quelques heures après que j’allais apprendre pourquoi ce que pute ou Dirne voulait dire « fille de joie ou fille à soldat. »

Il fallait qu’elle reprenne son souffle et mon père l’a aidé en lui resservant un petit verre.

Pour ma part, il était temps qu’elle s’arrête car ma minette commence à s’échauffer et pour la première fois moi aussi, j’ai ressenti un début de plaisir…

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