La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1316)

Camélia au Château - (suite de l'épisode N°1314) -

Puis, j'attendis que l’on daigne venir m’ouvrir, j’étais à la fois nue, excitée, impatiente, silencieuse et immobile à quatre pattes restant ainsi discrète comme se doit d’être une chienne sous le Joug du Maître Vénéré et Seigneur Monsieur le Marquis d'Evans. Sur le perron de Son vaste Château, je commençais déjà à être excitée, trempée de ma cyprine qui coulait maintenant avec abondance tout le long de mes cuisses, j’étais irrévocablement en chaleurs, une véritable petite chienne salope soumise que j’étais et un rien m’excitait. J’essayais bien de me contrôler, de calmer l’excitation grandissante de mon corps ainsi que dans mon esprit. Je me concentrais ainsi pour chasser les pensées perverses beaucoup trop présentes qui m’excitaient de surcroît. Après quelques minutes d’intenses efforts, je réussis à diminuer de manière bien peu significative cette excitation qui me tiraillait mon bas-ventre ainsi que par la même mon envie de jouissance.

J’entendis alors des bruits de pas, résonnant sur le carrelage en damier noir et blanc du vaste hall d’entrée. Je vérifiais que j’étais bien dans la position en attente comme le Maître Vénéré et Seigneur l’avait exigé et apprit lors d’une de nos précédentes rencontres que toute soumise étant sous Son Joug, devait adopter quand elle était à Ses pieds ou bien simplement quand la chienne soumise attend patiemment une exigence. Je pensais ainsi aux délicieux moments de Domination/Soumission qui allaient venir quand je vis la volumineuse et lourde double-porte en bois massif s’ouvrant devant moi. J’étais ainsi curieuse mais me retenait juste à temps pour ne pas relever la tête et je gardais ainsi la tête baissée sachant très bien qu’il m'était ainsi formellement interdit de regarder dans les yeux, les personnes dominantes de ce Château comme le Maître Vénéré et Seigneur me l'avait précisé dans Son dernier message, que je devais toujours adopter une attitude humble, soumise et respectueuse envers toutes les personnes de cette Demeure.



Je voyais les chaussures de Walter apparaître sur le perron, un silence de plomb s'installa, je sentais que le Majordome me dévisageai avec un sourire pervers de la tête aux pieds et sous toutes les coutures à l’évidence avec un plaisir plus que certain. Je restais ainsi silencieuse voulant plus que tout me montrer digne de l’éducation du Maître Vénéré et Seigneur. Je faisais donc des efforts pour être aussi immobile qu'une statue muette attendant ainsi le bon vouloir de Walter. Après quelques minutes, j’entendis le bruit distinct d'un claquement de doigts qui m’était dorénavant si familier. J’attendis ainsi, les sens en émoi, l’exigence de ce geste. Je n’eus pas à attendre très longtemps et je sus très vite pourquoi il avait claqué des doigts quand il me dit alors d'un ton froid, sec et débordant d’autorité :

- Bien, la petite chienne salope en chaleurs, tu changeras de position pour adopter celle que j’exigerais quand tu entendras mon prochain claquement de doigts. J'ai ton collier dans ma main droite mais je veux que tu saches avant que je te le mette. Tu es une soumise de Monsieur le Marquis et en tant que telle sous son joug, tu te dois d’être irréprochable et de ne commettre aucun impair, ni aucune faute pour faire honneur à l’éducation du Maître. Sache qu’aucun manquement ne sera toléré dans le cadre de ton éducation de chienne soumise et que pour toute transgression sera sanctionné pour te permettre de progresser sur le chemin de la soumission que Monsieur le Marquis veut te voir évoluer. Je me monterais donc intransigeant en tant que bras droit du Maître… Tu te devras d’obéir scrupuleusement à toutes mes exigences sans te poser de question et immédiatement car toute hésitation de ta part à obéir sera suivie d’une sanction que je déciderais. Après que je t’aurais mis ta laisse et collier autour de ton cou, tu te devras de progresser à quatre pattes à l’allure que moi ou Monsieur le Marquis exigeront que tu adoptes sans te faire remarquer cette fois-ci en ralentissant le rythme où bien en prenant le temps de flâner et de regarder les murs et les tapisseries.
Je veux que tu saches qu'une bonne soumise se doit d'avoir toujours la tête baissée, le regard rivé au sol, sauf ordre contraire... Bien, avant d’entrer à l’intérieur du Château, je vais vérifier que tout est conforme aux Exigences de Monsieur le Marquis. Au prochain claquement de doigts, tu te mets à genoux.

J’attendais ainsi en position à quatre pattes. Je n’eus pas à attendre longtemps et entendis dans les minutes qui suivirent le son si distinct et libératoire d'un claquement de doigts. Je me mis donc instantanément à genoux tout en n’omettant pas, bien sûr, de garder la tête baissée. Il me passa alors le collier autour du cou et resserra celui-ci puis se saisit avec énergie de la laisse et tira dessus. Quelques secondes après, j’entendis de nouveau un autre claquement de doigts et tout de suite, je compris qu'il m'ordonnait de me remettre à quatre pattes comme une chienne se doit d’évoluer quand elle est au Château tenue en laisse par un Dominant. Je me mis en position de quadrupédie, immobile et silencieuse, les jambes largement écartées. Je prenais ainsi sur moi pour cacher mon trouble, et pour me détendre ainsi face à la nouvelle inspection à venir. Je sentis, en effet, que Walter lâchait ma laisse qui retomba sur le sol sans faire aucun bruit. Je fermais les yeux et me détendis instantanément comme si j’entrais dans la bulle. Je sentis ensuite les mains baladeuses du Majordome parcourir vicieusement mon corps et des frissons d’excitation me parcouraient de la tête aux pieds descendant sur toute mon échine, mais ce n’était pas désagréable bien au contraire. Je sentis sa main perverse et vicieuse qui vérifiait mes tétons, mes orifices, n’hésitant pas ainsi à tâter et à vérifier bien méticuleusement que les consignes du Maître Monsieur le Marquis d’Evans étaient bien respectées. Il vérifiait ainsi toutes les parties de mon anatomie n'omettant pas bien sûr mon vagin et anus. J’essayais de me détendre et de me décontracter car mes muscles se contractaient par réflexe automatiquement face à cette lubrique inspection.


Quand le Majordome eut jugé qu’il avait fini ses vérifications anatomiques, il s’éloigna un peu de moi et je respirais alors intérieurement sans aucun bruit. Puis je sentis, d’un coup, une pression sur ma laisse et me mit en route en entrant à quatre pattes dans l’immense hall d’entrée et les vastes couloirs du Château. Je le suivis à quatre pattes tenue en laisse ainsi de manière rapide et aussi vite que je le pouvais de manière à suivre la cadence imposée. Après quelques minutes de progression, nous arrivâmes à la hauteur d'une porte très bien décorée avec savoir-faire et nous nous arrêtâmes soudainement. J’entendis Walter frapper à la porte et quelques instants après j’entendis un ‘’Entrer’’ par une voix que je reconnaîtrai parmi toutes, c’était bien sûr et sans conteste celle du Maître Vénéré et Seigneur auquel j’avais la chance d’appartenir. Le Majordome tira de nouveau sur la laisse d'un coup sec et je le suivis à sa suite entrant dans une pièce que je ne connaissais pas encore qui était le salon du Château. Je vis alors que le Maître Vénéré et Seigneur étant confortablement installé dans un de ses fauteuils en cuir, il était alors accompagné de ses amis et profitait ainsi d'un bon verre de vin… Le Maître assit dans un confortable fauteuil, un esclave mâle était en train de le sucer, agenouillé entre Ses jambes …

(A suivre …)

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