Bain De Minuit 2

Bain de Minuit 2

Après l’agréable intermède passé à la piscine de la résidence ou je suis en vacances, la vie reprend normalement sans que personne semble se rendre compte de rien.
Le lendemain, nous sortons au restaurant, puis au casino. La température de ce mois d’août est toujours aussi chaude, et je transpire abondamment. De retour à la maison, mon épouse décide d’aller se coucher après une douche rapide. Je l’informe que je vais me baigner, et une fois tout le monde au lit, me faufile, comme d’habitude par la porte fenêtre, att ma serviette sur l’étendoir , et me rend en trottinant à la piscine. Je vais pour déposer mes affaires sur le premier transat, quand je découvre, sur celui d’à coté, un peignoir blanc, et un string noir.
- Je ne croyais pas vous voir ce soir ,dit une voix chuchotée que je reconnais instantanément.
Il semble que ma voisine n’ait pas été effarouchée par l’épisode d’hier. Mieux, même, elle a adopté ma tenue de naturiste. Je me deshabille en un clin d’œil et me glisse dans l’eau fraiche, qui fait disparaître ma fatigue de la journée en un instant.
- Je n’étais pas sur de vous revoir murmurai-je
- J’ai hésité, c’est vrai, et puis je me suis dit que ces bains du soir avaient leurs avantages, donc, pourquoi pas ?
Une main se pose sur mon épaule.
-Bonsoir Voisin.
Elle me tend ses lèvres, mais c’est sa bouche que je prends. Notre baiser, timide, au début, devient passionné. Son corps est prisonnier de mes bras et ses seins pointus viennent agacer ma poitrine. Nos mains partent à l’exploration de l’autre sans qu’aucun mot soit plus nécessaire. Les tétons érigés roulent sous mes doigts. Ses mains longent mes côtés pour aller s’emparer de mes fesses, et m’attirer à elle, tandis que ses jambes remontent pour m’entourer et se nouer sur mon dos. Elle s’accroche à mon cou, et se hisse avant de se laisser retomber, s’empalant sur ma bite qui trouve sans difficulté son passage dans cet antre brulant de désir.

Calé contre le bord de la piscine, nos corps oscillent sans autre bruit qu’un léger clapot chacun se retenant d’emettre le moindre son pouvant trahir notre activité. La belle jouit très rapidement en tremblant, avant de se dégager et de s’accrocher à l’échelle pour remonter. Je la ratt a mi hauteur et saisissant ses cuisses , la tire vers le bas. Elle résiste, mais je relève la tête et glisse ma langue entre les deux domes charnus de ses fesses. Elle les serre un peu, mais rapidement, écarte les cuisses, me laissant explorer sa rondelle, toute parfumée de chlore. Ma langue se tend et s’introduit, indiscrète dans son fondement. Elle plie les jambes en les écartant, et je me retrouve avec sa chatte, dégoulinante d’envie, sur mon visage. Elle s’étale à quatre pattes sur le dallage, les genoux sur la dernière marche de l’échelle, m’offrant son sexe épilé que je lèche copieusement avant d’y enfiler deux doigts qu’elle accueille avec un long soupir.
- chhht, pas de bruit, lui dis-je
Elle se relève, et je pense qu’elle va s’en aller, mais elle revient s’asseoir, face à moi, sur la margelle. Avec un air espiègle, elle met son doigt devant sa bouche et repète « chut », avant d’écarter largement les jambes, et de saisir ma tête pour la plaquer sur son entre-jambe. J’essaie au mieux de la satisfaire mais ma langue ne suffit pas. Je m’aide de deux doigts qui viennent branler son vagin pendant que j’asticote son clito. Elle profite de ma caresse et relève ses jambes, tenant ses chevilles avec ses mains, m’ouvrant largement le chemin de sa rosette dans laquelle j’introduit un puis deux doigts. Je sens sa mouille qui dégouline sur mon visage, et elle a un nouvel orgasme, plus violent que le premier.
A ce moment, j’entends parler plusieurs personnes qui rentrent à pied dans la résidence.
Je saisis ma partenaire par la taille et l’aide à glisser dans l’eau sans bruit. Abrités par le rebord du bassin, nous sommes invisibles pour un passant pas très curieux. Heureusement, ceux là passent sans nous voir pendant que nous nous rinçons dans le grand bain.

Une fois qu’ils sont passés, la belle quitte l’eau et va se sécher. Quand j’arrive auprès d’elle, elle me fait signe de m’approcher.
- Tu m’a bien fait jouir, murmure t’elle.
- Puis elle plie sa serviette et la dépose à terre avant de venir s’agenouiller devant moi.
Elle s’empare de ma queue bandée et l’engloutit dans sa bouche. Elle me fait coulisser dans sa bouche jusqu’à ce que son nez vienne buter contre mon petit ventre rond, puis elle remonte pour suçoter mon gland avant de me relacher pour venir lécher ma hampe un peu partout, jusqu’à mes couilles qu’elle gobe, l’une après l’autre. Elle les relache et avant de venir me sucer de nouveau m’annonce tout bas : » je vais la faire gicler comme jamais. ».
S’ensuit une séance de fellation comme j’en ai rarement connu. Mon plaisir monte et elle arrive a l’interrompre à chaque fois avant l’explosion. Elle alterne les longues aspirations, avec le travail de la langue, et les petits mordillements des dents, tout en palpant mes couilles, et mon entre-jambe avec ses mains, ses ongles irritent ma peau quand sa langue la lèche et l’apaise. Ses bras m’entourent et elle agrippe mes fesses, pour mieux m’enfoncer jusqu’au fond de sa gorge. Un doigt explore mon sillon et vient forcer mon anus. Me sentant palpiter sous sa langue elle augment la vitesse. J’essaie de la repousser mais elle insiste tant que je finis par me vider à longs traits dans sa bouche. Elle déglutit et avale toute ma semence, puis me lèche comme un chat jusqu'à ce que je sois propre comme un sou neuf.
Elle se relève alors, merveilleusement belle dans la semi-obscurité, et enfile son peignoir. Avant de s’enfuir, elle me murmure
- A demain, voisin.
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Le lendemain, j’ai pris l’engagement de tondre la pelouse. Le jardin ,’est pas immense, mais je passe quand même une bonne heure et demie, a aller et venir sous le cagnard, dans le chuintement, discret, il est vrai, de la tondeuse électrique.
Ma tache terminée, et les outils rangés, je suis en nage. Je propose à ma moitié de m’accompagner à la piscine, mais elle décline l’invitation.
- Non, j’ai trouvé l’eau froide la derniere fois. En plus je dois aller avec Martine voir une robe, et trouver des chaussures. Va, profites !
Un peu dépité, j’enfile mon maillot de bain, et, claquettes aux pieds, serviette sur l’épaule, je prends la direction du pool-house.
Sur place, quelques chaises longues sont occupées. Deux mères de familles papotent en surveillant du coin de l’œil leur progéniture qui s’ébat, à grands cris, dans le petit bassin. Dans le grand bain, trois ados, deux garçons et une fille, nagent en jouant. De l’autre côté du bassin, sur un lit de plage, ma voisine, en bikini rouge, paraît dormir, un livre posé à ses côtés, mais elle a deux serviettes, ce qui me fait penser qu’un des bambins criards est à elle.
Je salue les mères de famille, fait un signe aux ados, et contourne l’eau, pour aller poser mon drap de plage sur le transat, le plus près de ma voisine, que je salue en m’installant.
- Vous êtes venue faire patauger vos s ?
- Mon fils ,dit elle en désignant un gamin de 4 ou 5 ans, qui tente visiblement de noyer une fillette. Thomas, tu laisse Alicia tranquille !
L’ lache sa future victime, et l’une des deux mères, fait un signe de remerciement
- Puisque le jour, on peut parler (effectivement, avec le boucan des s, et les bruits environnants, nos paroles sont à peine audibles à 1 mêtre.), je vais peut-être apprendre votre prénom. Lui demandai-je
Elle se tourne vers moi, me sourit, puis se détourne.
- Restons en à Voisine, dit elle cachée derrière ses verres solaires, et je me contenterais de Voisin.
- En tout cas, je vous trouve encore plus ravissante, sous le soleil.
- Merci Voisin, dit elle en se levant. Elle fait deux pas et plonge.
Depuis ma place je suis son crawl cool, en espérant que les autres occupants des lieux ne me remarquent pas.
Après quelques longueurs de bassin, elle sort par l’échelle, contourne la piscine d’une démarche souple, et vient s’étendre, à plat-ventre, après avoir réprimandé son fils, qui fait encore des siennes. D’un geste négligent, elle passe ses mains dans son dos, et délace son soutien-gorge, puis elle ferme les yeux, la tête tournée vers moi.
- Voulez vous que je vous passe un peu de lotion solaire ? osé-je
La réponse ne se fait pas attendre, froide , basse, mais ferme.
- Si vous souhaitez prendre une baffe en public, essayez d’approcher plus. Je suis ici avec mon fils.
Un temps de silence, puis :
- Au fait hier, j’ai vu votre femme, voisin, plutôt mignonne. On a échangé quelques mots.
Elle est charmante.
- Oui, c’est vrai, mais notre relation ,n’est plus ce qu’elle a été
- Elle a quelqu’un d’autre ?
- Je ne me suis pas posé la question
- C’est mieux, vous risqueriez d’être déçu. Sur qu’elle doit se faire draguer, au moins.
- Oui, mais quand nous sommes ici, elle passe son temps avec sa mère et sa cousine.
- Humm
Je décide d’aller me baigner un peu et je la laisse. L’eau est fraiche pour la saison, .Je nage un moment, mais éviter les ados qui se bagarrent, rend l’exercice compliqué. Quand je reviens, Voisine est sur le dos. Elle a rajusté son soutien-gorge, et remis ses lunettes de soleil et s’est plongée dans son bouquin. Je sèche un moment au soleil sans m’occuper d’elle, pour éviter que quiconque voie que nous nous connaissons.
Une demi heure plus tard, elle pose son livre, se lève, et enfile une robe de plage en voile, avant d’enlever son soutif., ses petits seins haut perchés sont bien visibles sous le vêtement.
Elle rameute son marmot, qui est aussitôt essuyé, et habillé.
-Allez, on va aller déjeuner mon grand. On reviendra après.
Le gamin, la précède vers la porte de sécurité, à l’autre bout.
-Et vous, Voisine, un mari ? Un petit ami ?
- Vous voulez savoir ?
- Evidemment.
- Ce soir, sortez à 23h30, dans l’allée piétonne.
Elle met son sac en bandoulière, et s’en va, son mini slip rouge dansant sous le voile de la robe de plage.

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