Trixie - Le Petit-Fils Et Son Grand-Père

- Dis Trixie, me dit un jour Alfred, je voulais épater un vieil ami de mon âge et je lui ai montré une de tes vidéos assez porno... c'est moi qui fus épaté ! Il m'a dit qu'il te connaissait, qu'il t'avait déjà baisé... Il m'a raconté une histoire de petits fils... que tu trompais l'un avec l'autre... qu'il t'avait surpris... et qu'il en avait profité... enfin je n'ai pas tout compris... Mais est-ce vrai qu'il t'a baisé ?
- Oui, je me souviens... c'était comment pourrais-je dire, mon premier vieux ! Je devais avoir 20 ans... j'étais follement amoureuse d'un garçon, un peu plus âgé que moi... Daniel.
- Raconte moi... raconte moi !
- Ce mec était beau comme Dieu, mais je crois qu'il avait un pois chiche à la place du cerveau ! Un jour, il m'aidait avec son frère, qui avait dix-neuf ans, a aménager le petit studio que j'avais loué.
Nous avions presque fini lorsqu'il nous annonça, qu'il avait entraînement de foot, il nous planta au milieu des cartons !
Il faisait très chaud, j'avais passé une sorte de débardeur assez transparent, les fines bretelles se croisaient dans mon dos et le laissait nu, je ne pouvais pas mettre d soutien-gorge. Il moulait parfaitement mes seins, laissant transparaître mes aréoles et mes tétons. J'avais mis un bikini qui se nouait sur mes hanches, et qui lui aussi me moulait les fesses et la chatte. J'étais penchée sur des cartons, je sentais une présence derrière moi, c'était le jeune frère torse-nu, un carton dans les bras.
- Trixie, c'est le dernier carton, dit Franck. Je le mets où ?
- Donne-le-moi...
Je voulu le lui prendre des mains, il résista, ne voulant pas le lâcher.
- Non, non, il n'est pas lourd dis moi ou je le pose...
Je lui arrachais presque le carton des mains.
- Oh putain... Oooohhhhh
Une bite turgescente sortait de la braguette de son short... Raide et dure, elle s'érigeait fièrement plus haut que son nombril.
- Excuse moi.

.. me dit-il en rougissant... elle vient juste de passer au travers de ma braguette... je
… je suis désolé... Tu es tellement jolie, tu me fais bander...
- Mais elle est énorme ta queue... il ne faut pas être désolé... je crois que je n'en ai jamais vu une aussi longue, grosse et dure comme ça...
- Hé, pourquoi tu me la tripotes... Laisse-moi la rentrer...
- Heu... tu as vraiment bossé dur pour moi aujourd'hui... je n'ai pas d'argent ici, mais je peux te récompenser !
- Oui, je veux bien... mais comment ?
- Peut-être comme ça !
Je quittais mon débardeur, j'étais émoustillée par la grosseur et la longueur de son membre, mes mamelons étaient déjà superbement tendus.
- Tu vois, je peux te remercier autrement, tu peux toucher mes seins !
- Putain Oui, super... ils sont magnifiques... Je peux embrasser les bouts ?
- Oh oui, suce bien les tétons, oui, c'est ça aspire les, mordille les, c'est bon, encore, encore...
- Tes nichons sont merveilleux, tes mamelons ressemblent à de petites tétines... je rêvais de les sucer... touche comme je bande...
- Ouii, c'est bon, c'est booon.. mais ne sois pas trop impatient... oui frotte ta bite contre ma chatte... doucement...
Il passa derrière moi, défit les lanières de mon bikini, sa queue énorme se faufila entre mes jambes.
- Ouiiiiiii, continue de me malaxer les seins, c'est vachement bon... je commence à mouiller... tu ne le sens pas sur ta queue ?
- Je peux me branler entre tes seins Trixie ?
- Attends, je me met à genoux... voilà met ta bite entre mes nichons, frotte la, doucement... attends je titille le bout de ton gland avec ma langue... tu aimes ?
- Ouiiiii, ouiiiiii je crois que je vais jouir...
- Non, non retiens toi, je vais te sucer...
- Oh putain, tu es une experte Trixie, les autres filles ne peuvent avaler que mon gland, tu as presque tout mis ma grosse queue dans ta bouche... Tu me suces depuis cinq minutes.
.. Je...je crois que je
vais éjaculer... je peux au fond de ta gorge...
Une petite quantité de liquide pré-éjaculatoire coula dans ma bouche. J'arrêtais ma fellation.
- Franck... si je te laisse me baiser tu ne le diras à personne, surtout pas à ton frère !
- Bien sûr que je ne le dirais pas ! D'abord, personne ne voudrait me croire...
- Là, je me penche... vas y... ouiiii... doucement... douc..
- Ma bite est beaucoup plus grosse que celle de Daniel...
- Ouiiiii, tu me fais mouiller...la encore, enfonce, attends prend ma cuisse lève ma jambe... oui pousse... putain c'est bon elle entre mieux... oui, oui, ta queue fait deux fois la taille de celles des mecs qui m'ont baisé... putain c'est bon ! Ouuuuiiii baise moi, plus vite maintenant plus fort...oh putain que j'aime ta queue, je crois que j'ai joui deux fois.
- Prend Salope, prend la entièrement, tu la sens bien au fond...tu l'adore ma queue, elle est mieux que celle de mon frangin... allez dit le Salope...
- Mon petit chéri, je crois qu'il faut conclure... ton frère risque de revenir !
- Je veux te regarder dans les yeux en éjaculant... tourne toi... regarde moi... Attends-je te pénètre à nouveau... Ouuuaaaahhh tu sens mon sperme, c'est bon, c'est bon... oh putain... c'est le pied de déverser mon sperme dans ta chatte.
Il se retira, un flot de sperme s'écoula de ma chatte.
- Eh, dis donc, tu vidé tes couilles combien de fois en moi ?
- Une seule fois pourquoi ?
- Bon maintenant, tu vas te sauver et comme promis motus et bouche cousue...
Une fois parti, j'allais dans la salle de bain, Daniel m'avait promis que ce soir, il m'emmenait au resto. J'allais prendre une douche, puis revêtir des dessous sexy comme il aimait. Puis je réfléchis, puisqu'il n'avait pas été sympa avec moi, je tenais ma revanche, je ne me laverais pas... il éjaculera sur le sperme de son frère... Par contre, pour l'exciter, je passais des bas, un porte-jarretelles noir, des talons aiguilles.
On sonna... ce devait être lui, j'enfilais sur mes seins nus une nuisette transparente noire, et allais ouvrir la porte, mes tétons pointaient encore sous la dentelle de la nuisette.
Franck entra, en me bousculant presque.
- Dan... Daniel vient de me téléphoner, il m'a dit de t'avertir qu'il serait beaucoup en retard, il y a un gros apèro... Oh putain, mais tu es splendide habillée ainsi... je bande à nouveau... regarde...
Il sortit a nouveau son sexe monstrueux. Il s'approcha de moi, ouvrit ma nuisette me la quitta et la laissa choir sur le sol. Il me poussa vers la table, tout en quittant son short et sa chemise.
- Tu vois ma petite Salope, nous avons encore le temps de faire l'amour... je vais encore t'enfiler ma grosse bite jusqu'à la garde... et jouir à nouveau dans ta jolie minette.
- Ton frère est un âne bâté... mais tu as éjaculé il y a cinq minutes et tu bandes encore !
- C'est toi, tes bas, ton porte-jarretelles, ta chatte rasée qui me font cet effet... fais voir si tu mouilles ! Oh, putain oui, mes doigts sont trempés, écarte les jambes... putain ma bite glisse toute seule... cette fois je n'aurais pas de mal à te l'enfiler au fond...
- Oh ouiiiii, tu me baises super bien... oui, oui enfonce bien ta grosse queue...
- Tu l'aimes ma bite hein Salope...elle te fait mouiller...tu veux sentir mes couilles sur ton cul ?
- Ouiiii, ouuuiii défonce moi avec ton énorme queue... Oh putain oui, j'adore me faire écarteler la chatte par ta bite gigantesque... oui tu vas me faire jouir.... ça y est je pars.... Aaaaaaaahhhhhh...
- Oh putain, je vais jouir moi aussi.... met toi à genoux... ouvre la bouche... j'éjacule, j'éjacule... oh putain c'est bon... tire la langue... fais voir mon sperme... avale...avale...
Des pas sur le plancher nous firent sursauter. Un vieil homme presque obèse, le dessus du crâne dégarni, un double menton, des bajoues pendantes, des sourcils broussailleux, un nez crochu se tenait au milieu de la pièce et nous regardait d'un air sévère.
Il devait avoir plus de 75 ans.
- M... Mai... mais grand-père c'est..
- Allez hors de ma vue... file d'ici petit vaurien !
- Mais que faites-vous ici ? M'exclamais-je assez en colère !
Je ramassais ma nuisette et l'enfilais, très courte, elle ne cachait rien de na nudité... Il fixait d'un œil lubrique ma chatte glabre exposée à ses regards, du sperme s'en échappait.
- Daniel m'a dit de passer prendre Franck, j'ai frappé personne n'a répondu le porte était ouverte je
suis entré... Tu ne devrais pas faire ça à Daniel, Trixie.
- Paul, je vais vous expliquer... Franck m'a aidé toute la journée... Je n'avais pas d'argent pour le payer... Il m'a demande de lui montrer mes seins, je n'ai pas pu faire autrement pour le récompenser...et puis c'est allé un peu trop loin.
Il passa derrière moi et me saisit les deux bras.
- Bon, petite Salope, tu vas t'habiller nous allons voir Daniel et lui expliquer !
- Non, non Paul, j'aime Daniel, je ne veux pas lui faire de la peine !
Je me mis à genoux devant lui pour le supplier. Il leva la main comme pour me frapper.
- Tu n'es qu'une sale petite pute, tu mériterais une correction !
- Frappez-moi si vous voulez... je ferais tout ce que vous voulez, si vous ne dites rien à Daniel... il ait Franck...
- Tout cela me donne chaud...
Il quitta sa chemise et s'assit sur une chaise.
- C'est vrai que tu es splendide, il y a quelques années, j'aurais fait comme Franck... cela ne me plaît pas mais il faut que je te punisse, approche...
Je m'approchais en minaudant, il quitta mon déshabillé.
- Couche toi à plat ventre sur mes genoux.
J'obéis... Il me prit le poignet gauche, sa main libre s'abattit sur mes fesses avec force...
- Allez, petite Salope dis que tu ne le referas plus.
Les coups pleuvaient assez fortement. Sous mon ventre, je sentais une grosseur...
- Putain, il tape fort le vieux, mais ce n'est pas désagréable, pensais-je, ça m'excite même... je crois que je mouille... je suis une vraie salope ! Et je crois que ça le fait bander !
Puis les coups cessèrent, il me caressa les fesses doucement, il y déposa des petits baisers... sa main glissa entre mes cuisses, je sentis son majeur s'insinuer dans ma chatte, son index et son annuaire boudinés, entrèrent à leur tour dans mon sexe trempé... Sa main droite avait attrapé un sein et malaxait mon globe qui se raffermissait. Surprise, cela me laissa sans réaction.
- Mais c'est qu'elle mouille la petite Trixie... tu aimes les fessées petite Salope... tu aimes mes doigts... allez descend.
Toujours les doigts dans mon vagin, il me fit mettre à quatre pattes sur le plancher. Il quitta son pantalon, il avait des bourrelets graisseux sur le ventre...
- Putain, ta chatte est pleine du sperme de Franck... Je vais te la nettoyer, sinon tu vas tomber enceinte !
Il attrapa mes chevilles et écarta largement mes jambes.
- Paul, Paul que faites vous derrière moi ? Noooonnnn...
- Si tu ne me laisses pas te baiser, je vais de ce pas tout raconter à Daniel. Putain il y a, je ne sais pas combien de temps que je n'ai pas bandé comme ça ! Tu es merveilleuse avec tes bas et ton porte-jarretelles... tes seins sont splendides...
Il avait passé ses mains sous la petite lingerie blanche et me tenait aux hanches.
- Alors je peux ?
C'était indéniable la fessée et les doigts m'avaient excitée.
- C'est bon, m'entendis-je répondre... mais dépêchez-vous, Daniel risque de revenir...
- Oooohhh... Merde, ton petit trou du cul est vachement étroit... Ah ça y est... mon gland est passé...
- Aaaahhhh... Putain Paul, vous avez mis votre bite dans mon cul...
- Bien sur que je te l'ai mise dans le cul ! Tu ne crois pas que je vais passer après mon petit fils et son énorme bite !! Je préfère t'enculer car Franck avec sa bite de cheval a du défoncer ta jolie chatte.
Tiens, tu sens comme ma bite glisse au fond de ton cul...
- Ce qui est inouï, pensais-je, c'est de m'être laissée soudoyée par ce gros porc puant... et il me sodomise en plus... je suis vraiment une Salope...
- Tu n'aimes pas ? Rappelle-toi que tout ce qui arrive est de ta faute petite Salope de Trixie...
- Dépêche toi d'éjaculer..
Il me retourna.
- En fin de compte, je crois que vais faire gicler mon vieux sperme au fond de ta chatte...
- Vous êtes un putain de vieux dégueulasse Paul...
Il me pénétra d'un seul coup...
- C'est bon, c'est bon...répétait-il en me martelant avec des grands coups de rein. Tu la sens ma bite, tu la sens...
Ses assauts s'éternisaient, Il haletait de plus en plus, sa bouche se plaqua sur la mienne, sa langue força mes lèvres, ses mains pétrirent mes seins, il tardait à éjaculer.
- Une pensée traversa mon esprit... Si je contractais plusieurs fois mes parois vaginales autour de sa queue ça devrait le faire éjaculer plus vite.
Effectivement, après quatre ou cinq contractions, je sentis ses couilles se convulser, et un flot de liquide tiède et visqueux inonda ma chatte.
- Oh putain, je ne me suis pas retiré... J'ai éjaculé tout mon sperme dans ton utérus... dit-il d'un ton satisfait... Tu sais Trixie, nous les vieillards dégueulasses, nous pouvons oublier pas mal de choses !! Que dirais-tu d'un rendez-vous la semaine prochaine ! Ou alors je pourrais raconter des trucs par inadvertance... Nous disons chez moi, mardi et tu viens habillée avec tes bas ton porte-jarretelles, soutien gorge sexy...
On eut juste le temps de se rhabiller, la porte s'ouvrit et Daniel entra.
- Tiens Papy, tu es encore là, il renifla... c'est quoi cette odeur on dirait que ça sent le sperme... ici !
Le mardi suivant, je n'allais pas au rendez-vous fixé. Daniel était parti un mois en déplacement... le mois était passé, sans que je ne vois quelqu'un... c'est long un mois sans rapport sexuel... Mais avant que mon amant ne revienne le téléphone grésilla, c'était Paul, le lendemain, j'étais chez lui.
- Je viens, car au téléphone vous m'avez encore menacée méchamment de tout raconter à Daniel, vous n'êtes qu'un vieux salaud !
- Je croyais que tu ne voulais pas me voir ! Allez ne soit pas timide, montre moi ta jolie lingerie sexy, ça m'excite énormément... non laisse-moi plutôt te déshabiller.
- Je n'y crois pas ! Il va falloir que je me laisse baiser à nouveau par vous vieux porc !
Il se mit tout nu, il ne bandait pas, sa bite était dans la normale, un peu flétrie vu son âge. Il ouvrit sans se presser un à un les boutons de mon chemisier et me l'ôta. Il abaissa les bretelles de mon soutien-gorge sur mes bras, puis il baissa lentement les bonnets, lorsque le bord de dentelle passa sur mes mamelons qui malgré moi s'étaient érigés en deux petits cônes durs, je frissonnais.
Il passa ses mains dans mon dos et dégrafa l'attache, il le tira vers lui, et le laissa tomber... sa bouche se plaqua sur un mamelon et il aspira, il fit subir le même sort à l'autre, puis il me les mordilla, je ne pus m'empêcher de gémir et de frissonner à nouveau. Il s'en aperçut.
- Alors petite Salope, tu aimes que le vieux porc de Paul s'occupe de tes magnifiques nichons, caresse moi la queue ! Oh c'est bien, tes mains sont douces...
Il me fit reculer, je tombais à la renverse sur le lit. Il se mit à genoux, ses mains en une douce caresse remontèrent doucement de mes mollets en passant sous ma jupe fendue, jusqu'à la limite de mes bas.
- J'aime tes jambes gainées avec tes bas fumés, j'aime que tu aies un porte-jarretelles.
La lente reptation de ses mains reprit sur ma peau nue au-dessus des bas, en direction de ma chatte, son majeur suivit la fente de mon sexe au dessus du fin tissu du string, et il commença à le faire descendre très lentement sur mes cuisses... Malgré moi, ma respiration s’accélérait, je sentais ma chatte devenir moite, mes seins durcissaient. Le petit morceau de tissu glissait lentement le long de mes jambes, plus il descendait, plus mon ventre se nouait. Il le sortit délicatement de mes chaussures, le porta à son nez et le huma avec délice. Puis il commença à écarter délicatement les pans de ma jupe fendue, pour découvrir mon sexe. Je commençais à haleter. Il me la quitta.
- Putain que ta chatte est belle, tu l'as rasée exprès pour moi ? Çà met en valeur tes grandes lèvres merveilleuses...
Il les écarta de deux doigts de sa main gauche, le majeur et l'index de sa main droite s'insinuèren dans mon conduit vaginal maintenant trempé.
Je respirai par saccades, ses attouchements commençaient à me donner du plaisir.
- Eh bien, dis donc, petite Salope, il te fait vachement mouiller le vieux dégueulasse de Paul !
Il ajouta son annulaire, les tourna lentement plusieurs fois et son petit doigt rejoignit les autres, il fit
entrer et sortir plusieurs fois sa main. Je gémissais, elle était couverte de foutre poisseux, il la lécha avec délice.
Il était toujours à genoux entre mes cuisses, sa bouche se posa sur ma fente en feu, sa langue pénétra mon conduit vaginal, en explora les moindre recoins, me tirant des gémissements de plaisir.
Il décapuchonna mon clitoris, le titilla avec son majeur, le caressant en petits cercles concentriques, puis sa bouche se mit à l'aspirer, ses fausses dents le mordillèrent très délicatement... je me tortillais de plaisir sous ses caresses. Il grimpa et s'allongea sur le lit.
- A toi maintenant, suce ma bite et mes couilles...
A mon tour je me mis à genoux entre ses cuisses fripées, mes mains se posèrent sur ses pectoraux qui ressemblaient à des petits seins d'adolescente, puis caressèrent lentement sur le torse ridé et poilu, elles descendirent le long des replis graisseux de son ventre, s'attardèrent sur la verge, qui maintenant était en érection totale, le gland rouge vif bien décalotté, saisirent et caressèrent les couilles.
Il gémissait doucement. Posant un genou à terre, d'une main je lui relevais le sexe, tandis que ma langue lui léchait les testicules qui se contractaient de plaisir. Puis je la fis remonter jusqu'au gland et je le mis dans ma bouche. J'avalais par petites saccades, entièrement le pénis du vieux. Je commençais à le sucer, en le faisant ressortir de ma bouche et en l'avalant à nouveau, ma chatte était de plus en plus humide. Les pointes durcies de mes seins frottaient ses jambes. Il me caressait les cheveux geignant de contentement.
- Salope, me dis-je, ce vieux porc te fait de l'effet, il pourrait être ton grand-père.... c'est lui la dernière personne qui t'a baisé... il y a un mois ! Oui, mais un mois, c'est long... tu apprécies à cause de l'abstinence... mais non...cela sonnait faux dans ma tête... Il te donne réellement du plaisir... Salope !
Il me fit lever, et me pencha sur le dos d'un fauteuil. Avec un pied, il écarta largement mes jambes.
- Paul... je viens de me rappeler que j'ai oublié de prendre ma pilule... AAAAHHH ! Pourquoi vous
m'enculez comme la dernière fois, Paul !
- Désolé, mais je ne veux pas que tu tombes enceinte ! Je suis allergique aux préservatifs !!
Je me penchais le plus possible, pour lui permettre de me sodomiser plus facilement.
Il me pénétrait avec des mouvements amples et lents ses mains caressaient mes seins jouant avec mes mamelons, puis descendaient sur mes cuisses caressaient la peau nue au-dessus des bas et jouaient avec les attaches de mon porte-jarretelles.
- Tu sais, j'ai pris du Viagra... je vais pouvoir te baiser pendant un bon moment.
- Paul, je vois que vous soufflait, que diriez-vous si je m'installais à califourchon sur vous ?
- Je continuerai à te sodomiser ?
Il s'allongea sur lit, j'empalais mon petit trou sur sa bite tendue.
- Dis-moi que je suis belle et que tu as envie de me baiser Paul !! Daniel ne me dit jamais des paroles gentilles !
- Oh oui, tu es la plus jolie et la plus jeune des filles que j'ai baisé jusqu'à aujourd'hui... tu me rends complètement fou !
Je me penchais et l'embrassais.
- C'est vraiment bon de se faire sodomiser ! Je pourrais demander à ton idiot de petit-fils d'essayer, sa bite est à peu près de la même taille que la tienne, il ne me l'a jamais proposé... Malaxe mes seins... Etire mes mamelons.. Aaaahhh... c'est bon...
- Oh putain !!! Je ne peux pas tenir plus longtemps !!! Tu me fais éjaculer... Salope !! Aaaahhhhh...
- Merde, c'est frustrant !! je commençais juste a apprécier de me faire enculer !! Et je n'ai pas joui...
Il vida sa semence dans mon anus, puis il me remercia de ma gentillesse, et me complimenta encore et encore sur ma beauté.
- Tu sais Paul, tu es très gentil, ce n'est pas comme Daniel, il me néglige, il n'est pas tendre avec moi... c'est un peu pour ça que j'ai couché avec Franck... Il n'est pas très souvent avec moi... Il reçoit de mystérieux coups de téléphone... je crois qu'il me trompe... j'en souffre trop... je vais le quitter...
J’eus à peine fini ma phrase qu'un bâillement me répondit, je regardais le vieux Paul, ses yeux se fermèrent et il s'endormit. Je me levais, m’apprêtais à m'habiller, lorsque sa queue s'éleva à nouveauraide et dure.
- Petit coquin de grand-père ! Tu as pris du Viagra pour me baiser !! Mais tu n'as pas tenu le coup ! Et si maintenant, je m'amusais un peu, je n'ai pas joui... chuuuut...chuuut fait de doux rêves érotique vieil homme !! C'est délicieux de sentir une bite dure en moi ! Faire pénétrer la queue flasque de Daniel dans ma chatte, n'est pas facile !! Oh Putain ! C'est quoi mon problème... j'ai vraiment envie d'avoir un orgasme avec sa vieille bite... Il est laid, adipeux... Je suis une Salope...
Mais je continuais de le chevaucher doucement, malaxant mes seins, tirant sur mes mamelons, me titillant le clitoris... Au bout d'un moment, je sentis monter mon orgasme... un cri sorti de ma bouche.
- Aaahhh, Ooohh... Putain, c'est bon… je vais jouir !!
Au même instant, je sentis les soubresauts de la vieille bite qui vidait sa semence en moi... je l'attrapais pour l’ôter surtout sexuelle et Dieu sait que tu es douée de ma chatte, mais le vieux Paul me saisit aux hanches et me tint fermement jusqu'à ce qu'il ait éjaculé sa dernière goutte de sperme.
- Hé bien voilà !,,, tu ne voulais pas que j'éjacule en toi... Mais c'est trop bon... oh oui putain que c'est bon... tu ne m'en veux pas ?
- Mais non, la pilule du lendemain ça existe...
- Dis au fait, pour en revenir à ce que tu disais avant que je ne m'endorme... Daniel est atroce avec toi et tu veux vraiment le quitter ? Tu as raison... car c'est un petit con, il a une fille splendide et ne sait pas en profiter... Ne veux-tu pas te venger en lui donnant une bonne leçon... Faire étalage de tes capacités surtout sexuelles, et Dieu sait que tu en as... Tu es vraiment douée ? Je suis prêt à t'aider... J'ai une très bonne idée. Mais il faut que tu me donnes carte blanche.
- Je ne sais pas... mais oui j'ai très envie de lui donner une leçon... de lui faire voir ce qu'il perd, si je le quitte...
- Bien, tu vas venir avec moi... ne t'inquiète pas, c'est moi qui paye, ne serait-ce que pour te remercier... Je vais vous emmener au restaurant, le patron est un vieil ami de mon âge... Toi qui apprécies le sexe de Franck... le sien ne devrait pas te déplaire... laisse moi organiser ta vengeance...
Nous partîmes faire les magasins.
Le soir prévu, j'enfilais la robe noire offerte par Paul, elle descendait jusqu'à mes chevilles. Le décolleté plongeait jusqu'au ras de mes aréoles, en laissant apercevoir un petit morceau de brun. Elle était retenue par de fines bretelles sur les épaules, laissant mon dos nu. Il n'était pas pensable de porter un soutien-gorge en dessous. Mes cheveux châtain doré, presque blonds étaient noués en un savant chignon, laissant ma nuque et mon dos complètement nus. Des pendentifs en pierres précieuses ornaient mes oreilles et un collier du même genre pendait à mon cou. La robe possédait trois fentes sur le devant, deux de chaque côté sur mes cuisses, elles remontaient jusqu'à mes hanches, une troisième centrale qui lorsque je marchais laissait deviner le bas de mon pubis. A chaque mouvement on apercevait une bandede peau blanche, au dessus de mes bas noirs. Assise, la fente du milieu baillait assez largement, on devinait la naissance de ma fente, les ouvertures de côté dévoilaient sur mes deux cuisses les fermetures et les lanières de mon porte-jarretelles. Paul m'avait demandé de ne pas mettre de string.
Le patron, un monsieur aussi âgé que Paul, nous souhaita la bienvenue. Il nous fit entrer dans un salon particulier. Daniel était parti aux toilettes.
- Vous serez tranquilles ici, dit-il en souriant
- Marcel, c'est toi qui nous sert...
- Bien sûr comme convenu Paul...
Il était passé derrière moi et avait entouré ma taille de son bras.
- Marcel, je te présente Trixie...
Marcel s’avança, pour me serrer la main, la main de Paul tira sur les pans de ma robe, dévoilant ma chatte encadrée du porte-jarretelles au regard de son vieux copain, ses yeux s'illuminèrent et un grand sourire apparu sur sa figure ridée.
- Parfait, parfait... Magnifique...
La table était ronde, assez grande, Paul me fit asseoir près de lui, reléguant Daniel assez loin de nous.
- Ce n'est pas tous les jours que je peux être en compagnie d'une aussi jolie fille, tu permets que je
l'accapare pendant le dîner, Daniel ?
La lumière tremblotante des bougies des trois chandeliers et une lumière tamisée mettaient une ambiance romantique.
A peine assis, je sentis sa main se poser sur ma cuisse, repousser les pans de ma robe, tirer sur mon genou pour me faire ouvrir les jambes... et découvrir ma chatte, Daniel ne pouvait rien voir.
Le dîner servi par le vieux copain de Paul, qui n'arrêtait pas de lorgner dans mon décolleté et de regarder mes jambes et ma chatte glabre découvertes, fut succulent. Le vin était excellent et j'en abusais un peu. Nous avions fini de manger, la main ridée de Paul se glissa a nouveau le long se la lanière de mon porte-jarretelles. J'écartais un peu plus les jambes... son majeur s'insinua dans ma chatte. Un léger mouvement, sur ma droite le serveur était à côté de moi, il avait suivi avec attention la pénétration du doigt de Paul, il tenait une bouteille de vin.
- Mademoiselle Trixie prendra bien deux doigts.... de...plus... de... de ce.... merveilleux vin ?
- Ouui, oui... bien sûr bredouillais-je rouge comme une tomate.
Aussitôt, je sentis l'index, puis l'annulaire de Paul venir rejoindre son majeur dans ma chatte.
- Très bien dit le majordome... Mademoiselle apprécie ?
Vu la bosse de son pantalon, je subodorai qu'il ne portait pas de slip. Nous en étions au dessert.
- Marcel, une coupe de champagne s'il te plaît.
Il s'empressa de nous servir. L'alcool aidant, je me penchais pour lui tendre mon verre, la robe bailla sur mes seins, dévoilant mes tétons érigés, je restais penchée, un léger tremblement agita sa main et du champagne se répandit sur la table. Daniel, tout occupé à déguster son repas, n'avait pas l'air de se rendre compte du jeu qui se déroulait sous ses yeux.
Je bu lentement mon champagne en regardant le vieux Paul qui se léchait les doigts pleins de mon foutre. Il me semblait que son regard devenait coquin. Il fit un léger signe de tête à Marcel.
- Mademoiselle prendra bien un fruit !
Me demanda le majordome, et sans attendre ma réponse, il prit une banane dans la corbeille. Il la pela délicatement, l'approcha lentement de mes lèvres. Je regardais Paul, ses yeux me fixaient tendrement. Puis mon regard se porta sur Daniel, il avait l'air ébahi. Je plongeais mon regard dans le le sien et sortis ma langue pour lécher le bout du fruit. Marcel me la fit pénétrer lentement dans la bouche, puis la ressorti tout aussi lentement. Il recommença trois ou quatre fois l'opération, comme si je suçais un phallus, puis il me la fit entièrement avaler.
Mais avant qu'il ne la ressorte entièrement, je croquais le bout, en souriant à Daniel.
Marcel posa un petit panier de fraises sur la table accompagné d'une coupe de crème chantilly.
- Après la banane, Mademoiselle Trixie goûtera-t-elle aussi les fraises ?
Je regardais à nouveau Daniel avec un air de défi, il faisait triste mine.
Le maître d’hôtel trempait les fruits dans la crème, et me les faisait manger voluptueusement une à une. Astucieusement, il les approchait de ma bouche puis les reculait, pour que je sois obligée de me pencher en avant, ce qui ouvrait mon décolleté, dans lequel son regard plongeait sans aucune retenue. Je me penchais en arrière sur le dossier de la chaise et renversais ma tête. Il approchait et retirait sitôt que mes lèvres voulaient le saisir, sa main plongea dans mon décolleté, il me caressa le sein droit, me titillant le téton, puis il dénuda lentement mon globe laiteux. Je regardais Daniel, il semblait subjugué, Paul semblait apprécier lorsque ma langue léchait la crème sur les fraises. Marcel en avait plein les doigts, il me les fit sucer.
- Mademoiselle à l'air d'aimer la chantilly... Vous allez pouvoir en manger !
Il sortit son sexe. Je fus en admiration devant la longueur et la grosseur du phallus de ce vieux de plus de soixante-quinze ans, qui pendait flasque au bout de sa main, il descendait presque à ses genoux.
- Si Mademoiselle veut bien profiter de ma cuillère...
Il mit son sexe au-dessus de la coupe de crème. Il ne bandait pas et le bout effleurait la chantilly.
Je fixais Daniel, il s'était levé et avait rapproché sa chaise, il s’aperçut alors que ma robe découvrait entièrement ma chatte et que j'avais les jambes grandes ouvertes.
- Salope... Éructa-t-il !
Je pris délicatement le phallus de Marcel, décalottais son gland en tirant lentement son prépuce vers l'arrière. Je plongeais au fur et à mesure la bite dans la mousse onctueuse. Je la tournais dans la
coupelle pour bien l'enduire. Marcel prit sa bite d'une main et me la porta à hauteur de la bouche. Je léchais à petits coups de langue la friandise blanche. Il y en avait pas mal entre son prépuce rétracté et son gland, la pointe de ma langue faisait doucement le tour des seize centimètres de circonférence de son gland bien décalotté. Paul avait fait glisser complètement la bretelle de ma robe et mon sein droit était entièrement dénudé, dardant un téton brun durci. Mes jambes étaient découvertes jusqu'à l'aine, offrant sans pudeur ma chatte moite aux regards de trois hommes. Marcel commençait à bander, sa queue se relevait imposante. Je l'attrapais et la replongeais dans la crème. Puis enfournais cette fois le gland dans ma bouche, j'aspirais comme une gourmande, avec le bout de ma langue, j'essayais de nettoyer son méat, dont la fente était assez grosse pour permettre au bout de ma langue de s'y insinuer. Cela lui tira un gémissement de plaisir.
Il me sembla que Daniel se masturbait doucement. Marcel me fit lever, je voulus remonter ma bretelle, il m'en empêcha.
Il me positionna devant Paul toujours à table. Je m'assis sur celle-ci, son vieux copain, m'attrapant sous les cuisses, me fit basculer vers l'arrière, je m'appuyais sur mes avants bras. Il avait largement remonté sur mon ventre ma robe, laissant mon ventre dénudé par une large bande de peau bronzée au-dessus de mon porte-jarretelles. Me tournant légèrement de côté, il écarta largement mes jambes, pour offrir une vue complète de la suite des opérations aux deux hommes qui regardaient. Il m'attrapa le sein droit, et me roula le téton entre son pouce et son index. Puis sa main gauche descendit sur mon ventre et se glissa sous le porte-jarretelles. Tout en me caressant l'abdomen. Avec le majeur de sa main droite, il le frotta le long de la fente de ma chatte. Celui-ci fut aussitôt trempé par le foutre poisseux qui s'en écoulait. Il enfonça sa première phalange dans mon orifice vaginal, comme pour bien l'imprégner.
- Tu as vu Paul, comme elle mouille la petite coquine ! Sa chatte est trempée. Il enfila son majeur entièrement dans mon vagin qui offrait Daniel une vue parfaite sur mon orifice béant. De son pouce, me caressa le clitoris. Il était vieux, mais il savait y faire pour exciter les jeunes femmes, Marcel.
Paul s'était levé et avait sorti son sexe. Il bandait, et se caressait doucement.
- A mon tour d'être gourmand....
Daniel commençait a s'exciter.
- Petite Salope, pute... tu te laisses tripoter par des vieillards...
- Toi, tu te tais, tu regardes, tu prends de la graine... tu vas regretter qu'elle te quitte... c'est une fille merveilleuse gronda Paul.
Le patron du restaurant attrapa la coupe de chantilly pris le reste de la crème sur son index et son majeur et me badigeonna la chatte bien rasée, la faisant pénétrer assez profondément dans ma fente. Puis il commença à me lécher, je sentais sa langue me fouiller, remonter au clitoris, qu'il suçait avidement, me le mordillant. Je me tortillais et gémissais de plaisir. J'avais réussi à attr le pénis de Paul et le masturbais vigoureusement.
- C'est délicieux, Paul la chantilly parfumée au foutre de Mademoiselle Trixie. Voulez-vous goûter ?
Demanda-t-il ironiquement à Daniel..
Un juron lui répondit.
Paul ne se le fit pas dire deux fois, je sentis son double menton me frotter l'entrejambe, tandis que sa langue me parcourait le vagin.
- C'est dommage, il n'y en a plus... rétorqua Paul !
- Bon alors on va nettoyer la chatte de Mademoiselle !
Le maître d'hôtel attrapa la bouteille de champagne et me versa une rasade de liquide sur le mont de vénus. Il écarta de deux doigts mes lèvres et en fit couler encore un peu à l'intérieur.
- Paul si tu veux bien boire !
Celui-ci se pencha, lécha ma fente, aspira le liquide mêlé au mon foutre de mon vagin.
- Marcel, dit-il, tu as des idées merveilleuses !
- Si Monsieur veut bien me permettre... dit-il en s'adressant à Daniel.
Il s'installa entre mes jambes. Il me sortit délicatement l'autre sein, les caressa pour bien faire dresser mes mamelons.
- Paul, les tétons de Mademoiselle Trixie sont étonnants, as-tu remarqué la longueur qu'ils peuvent atteindre ? Je les trouve parfaits...
Il me mit la jambe droite sur son épaule. Son énorme gland chercha mon orifice anal, le champagne l'avait imprégné et le fait que ma jambe soit surélevée l'ouvrait largement. L'énorme rouleau y pénétra tout en douceur, mais sans aucun arrêt. Apparemment, Marcel comme Paul était un as de la sodomie, sa toison blanche vint me chatouiller, le mont de vénus. Paul et surtout Daniel ne perdaient pas une miette du spectacle. J'avais repris sa queue en main et la caressais doucement.
Daniel avait l'air admiratif, de ce que me faisait Marcel. Je lisais dans ses yeux une jalousie féroce, pour l'exciter, je me mis à gémir, disant à Marcel que j'adorai sa grosse queue.
- Mets toi à l'aise Paul, je te laisse la place...
Paul se déshabilla en un tour de main. Lorsqu'il baissa son slip, sa verge, jaillit comme un diable monté sur un ressort. Il me fit pencher sur la table, je cru qu'il allait lui aussi me sodomiser. Mais je sentis son phallus s'insérer dans mon vagin, et il commença de lents mouvements de pénétration. Il s'appliquait à bien faire entrer sa virilité jusqu'au bout, pour me tirer lui aussi des gémissements de plaisir. Marcel s'était mis devant moi, il me pencha la tête sur son appendice ou quelques gouttes de liquide perlaient. Je le suçais comme un bâton de sucre d'orge. Il me malaxait les seins. Paul me tenait par les hanches et s'escrimait toujours pour me tirer des râles de plaisir, ses coups de boutoir et la caresse de ses mains sur ma poitrine, me firent enfin gémir de plaisir.
Paul, aidé en cela par Marcel, grimpa sur la table, il se coucha sur les coudes et me demanda de m'empaler sur sa verge. Ce que je fis lui tournant le dos. Mes deux seins hors de ma robe, tressautaient sous ses assauts.
Daniel s'était mis en face de moi, il se masturbait avec vigueur.
Dans cette position, son phallus me faisait plus d'effet. Marcel emplit une coupe de champagne et me fit boire le liquide ambré et pétillant. Il en fit couler sur mes seins, suçant ensuite mes mamelons. La faisant passer par-dessus ma tête, il quitta ma robe. Il fit ensuite couler du liquide ambré sur mon ventre, inondant mon porte-jarretelles et mes bas et se mit à me caresser le clitoris ruisselant de vin pétillant, tandis que genoux écartés, cuisses ouvertes, j'avais englouti entièrement la bite de Paul et m'étais assise sur ses cuisses. Je hurlais d'extase. J'embrassais le vieux Marcel pervers, lui titillant sa langue avec la mienne, puis l'aspirant dans ma bouche. Je sentis les mains de Paul me saisir les seins, les presser fortement. Il se vida de sa vieille semence, dans mon vagin ruisselant de champagne, j'attendis le dernier spasme de son pénis pour descendre de la table, me pencher sur lui et bien le lui lécher.
Marcel était monté à son tour sur la table, jambes pendantes de chaque côté. Il entretenait sa condition physique, le vieil homme. Il me dit de venir le rejoindre et de m'accroupir de dos sur son pénis tendu. Il le tenait fermement d'une main.
- Met le dans ton anus...
Je guidais l'imposant mandrin, dans mon orifice anal bien ouvert, avec ma position accroupie, il glissa presque tout seul entre mes parois anales elles aussi détrempées par le champagne. Lentement pour bien profiter de la grosseur de la queue qui m'empalait, je me relevais et me rabaissais tout aussi doucement. Puis tenant la bite rigide d'une main, j'alternais les pénétrations entre ma chatte et mon anus. Lorsque les poils pubiens blancs de Marcel frottaient mon entrejambe, son sexe emplissant bien à fond mon vagin, je remuais lascivement mon bassin d'avant en arrière ou en rotation autour de l'énorme pieu, regardant ironiquement Daniel, qui marmonnait toujours des insultes a mon égard.
Paul lui s'était accroupi devant la table et ne ratait rien des pénétrations. Puis il se leva, passa à coté de moi et me caressant les seins se mis à m'embrasser comme un fou.
- Maintenant, tourne toi et met toi à genoux, Marcel enfonce bien ta bite dans la chatte de Trixie.
Ouvrant une seconde bouteille de champagne, qui trempait dans un seau de glace, il l'ouvrit, me fit pencher sur le torse de Marcel et fit couler le liquide glacé entre mes fesses. Je poussais un cri de surprise et le froid me couvrit de chair de poule. Paul s'était mis à plat ventre sur la table et je sentis sa langue s'insinuer dans mon orifice anal. Il lécha le breuvage répandu. Puis deux et enfin trois doigts remplacèrent la douce caresse de son appendice buccal.
Marcel avait récupéré la bouteille, et me faisait boire de petites gorgées glacées. Je ne sais pas si c'était l'alcool qui commençait à me faire beaucoup d'effet, mais il me semblait être dans un rêve. La sensation de bien-être était décuplée par la chaleur qui montait de mes entrailles... Marcel accélérait la cadence de ses pénétrations. De violents spasmes contractèrent ses bourses, il me sembla que sa queue devenait encore plus grosse, il me plaqua sur la base de sa bite, m'empêchant de bouger, comme s'il ne voulait pas qu'une goutte de sa vieille semence puisse gicler au-dehors.
Puis tout se calma d'un seul coup, à part le cri que poussa Daniel en éjaculant.
- Tu n'es qu'une grosse Salope, je ne veux plus te voir... te faire baiser par des vieillards !! Pute...
- Moi non plus je ne veux plus te voir... bon débarras !!
Il fit claquer la porte en sortant...
- Eh bien, ce petit morveux a compris la leçon... Tu as vraiment été sublime Trixie...
- Oh oui... Mademoiselle, vous pouvez revenir quand vous voulez, le repas sera toujours gratuit pour vous !

A suivre

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