Collection Vengeance. Elle Se Mange Froide (2/3)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Coralie :

- Que me faite vous, laissez-moi, pourquoi vous me mettez une cagoule sur la tête et pourquoi vous me poussez dans cette voiture ?

Que m’arrive-t-il, je n’ai aucun argent pour avoir le droit d’être enlevée.
Gorges mon ancien copain n’en a pas non plus.
Nous nous sommes quittés fâchés, je lui refusais ce que j’avais fait faire à Jean, me sodomiser.
Avec lui, c’était pour la bonne cause, du moins je le croyais, je pensais aider maman à se détacher de ce bellâtre.
Il faut toujours qu’elle trouve des mecs impossibles, même papa.
En le mettant en prison j’étais sûr qu’elle l’oublierait.
Eh bien non, elle l’a épousé en prison.
De plus, j’ai appris qu’il avait une veine de cocu, avant de se retrouver avec des bracelets, il venait de jouer au loto.
20 millions d’euros, j’ai bien dit 20 millions.
Combien de temps de prison avait-il ramassé grâce à moi ?
5 ans, ça fait 3 ans et même un peu plus, merde et si c’était lui.

Jean :

- Alors comment vas-tu Coralie, te souviens-tu de moi ?

Merde, c’est lui où je suis, il est devant moi, l’un de ceux qui m’ont enlevé m’ôte ma cagoule.

- Comment trouves-tu l’endroit où tu vas vivre un certain temps ?
- Que veux-tu dire Jean, je croyais que tu étais avec maman ?
- Demain ma belle, j’ai été libéré deux jours plus tôt, elle me croit toujours en tôle.
Dis-moi pour le cadre, un lit, une chaise une table.
Le coin toilette, j’ai fait 3 ans 6 jours 10 heures à me morfonde et en faisant attention à mes arrières.
Tu ne peux pas savoir le nombre de suceur de bite qu’il y a derrière les murs où tu m’as fait enfermer en me prenant pour un con.
Par contre, tu ne peux pas savoir comment on est tranquille et le nombre de copains que l’on peut se faire bien que je les repoussais.


3 ans 6 jours 10 heures, c’est le temps que tu vas passer enfermer ici.
Désapez là, vous avez très bien travaillé, la pièce sans ouverture juste la porte est extrêmement tempérée inutile qu’elle s’encombre avec du linge.
3 ans 6 jours, si tu es sage, je te ferais grâce des 10 heures.
Mais ne crois pas que tu vas simplement dormir pendant toutes ces années comme je l’ai fait à cause de toi.
Tu sauras qu’il est vingt heures chaque jour que Dieu fait quand tu entendras la porte s’ouvrir.
Mes copains t’apporteront à manger et dès que tu auras fini tes premiers clients arriveront.
Tu ne peux pas savoir en prison ce que l’on apprend sur le sexe, j’ai dit à mes copains de donner cette carte à tous ceux qui sortent de tôle.
Certains n’auront pas baisé depuis des mois, d’autres des années et c’est toi qui vas les satisfaire.
3 ans 6 mois à te faire trombiner, avec eux tu ne leur feras pas le coup de la vierge qui cherche une bite pour ses dix-huit ans.
Ils vont te défoncer.
Nous prenions des douches en commun, j’ai parlé d’une pute que j’étais prêt à leur payer.
Laisse-moi 48 heures pour que je me fasse un alibi et mes potes t’amèneront tes cinq premiers mecs.
Pour te faire plaisir, ils auront le droit de te baiser les cinq ensembles.
Aller je te quitte, dors bien en attendant tes premiers clients.
- On va me rechercher, la police va te remettre en prison.
- Où es-tu, crois-tu que des mecs ayant fait de la tôle vont aller voir les flics pour leur dire que tu existes ?
Tu te mets le doigt dans l’œil.
Adieu ma belle n’oublie pas, personne ne sait où tu es mais tes clients non plus.
Mes potes iront au lieu de rendez-vous, feront venir les gars sans voir où tu es cachée, j’ai fait aménager un neuf places sans vitre.
C’est beau le pognon.
À dans 3 ans 6 mois, ma femme m’attend, je vais t’avouer quelque chose, je lui suis entièrement fidèle.

Que penses-tu de ma vengeance, elle se mange froide ?

Coralie :

Voilà ce que je pressentais arrive, c’est Jean qui se venge de ce que je lui ai fait.
Depuis combien de temps je dors, je vais à la porte, tout le temps où j’ai dormi la lumière semble être restée allumée.
Je frappe le plus fort possible.
La porte s’ouvre, je n’ai pas le temps de dire ouf, je me ramasse un aller-retour m’envoyant sur mes fesses.
Les deux types toujours cagoulés sont là, celui qui ne m’a pas frappé porte un plateau qu’il va poser sur la table.
Mon frappeur le plus baraqué reste à la porte impossible de m’échapper.
Les deux hommes sortent sans un mot.
Si j’ai bien compris Jean, 3 ans 6 jours sans compter les 10 heures.
Autant mourir tout de suite.
Grève de la faim, quand je serais à l’article de la mort il faudra bien qu’il m’emmène à l’hôpital.
Je suis près de la table, mon ventre gargouille, je regarde le plateau, une cloche est posée sur le plat.
Que m’a-t-on préparé, ça sent bon, un vrai supplice.
Et mon ventre qui gargouille.
Je prends la cloche, la porte s’ouvre.
Même rituel, l’un reste près de la porte, l’autre se saisit du plateau et l’emporte.
J’ai envie de crier.
Pas le temps, comme me l’a dit Jean, pour ma première ils sont cinq et pas des moindres tous aussi baraqué que celui aux baffes restant à la porte.

- Notre pote ne s’est pas foutu de notre gueule, sa pute c’est un canon.
- Déjà à poil, je sens que nous allons passer un bon moment.

Prise en main, une bite se propose à ma bouche, j’aurais mieux fait de manger.
Au début c’est mou et comme avec George, ça durcie.
Une, deux, ma chatte est honorée, je ne suis plus qu’un morceau de viande qui sert de vide couille.
Que Jean n’attende pas de moi que je jouisse.

- Ah ! Ah !
Continuez les mecs, oui comme ça tous les deux.

Comme pour le repas où j’ai failli craquer, mon serment de ne pas jouir, je le jette aux oubliettes.

Comme m’a dit George un jour, « tu es une folle du cul ».
Folle du cul, je le suis, les cinq gars les cinq bites stimulent mon clito qui a force de s’éclater me laisse pantelante.
Une envie irrésistible de pisser me réveille, je me suis fait tellement défoncer que lorsque mon urine sort, j’ai un peu mal.
Voir un toubib voilà la solution.

La porte s’ouvre, un plateau adorant m’arrive, même rituel.

- Monsieur, je dois voir un toubib, j’ai dû attr une cystite.

Deux baffes dans ma tronche, je fais le même soleil qu’hier.
Rien ne semble perturber les deux gars, ce qui est stressant c’est que je n’ai jamais entendu le son de leurs voix.
J’ignore le temps que je vais passer dans cette pièce et si ce sont eux qui vont toujours me garder tout le temps dès 3 ans 6 jours, laissons les 10 heures, mais je sens au fond de moi que je finirais folle.

Je me relève, ils sortent.
La cloche, gratin, rôti de veau, fourchette.
Pas le temps, à pleine main, je croque dans la viande, ça serait un étron je le savourerais pareil.
Je me brûle avec le gratin.
Je suis restée debout, une tranche de patate tombe au sol, je m’agenouille pour la ramasser, je tiens à ne rien perdre, merci les belles résolutions.
La porte s’ouvre.
Ce n’est pas croyable, je venais de mettre mes genoux au sol pour le lécher et récupérer la sauce.

- Regardez, elle nous attend, les potes m’ont dit que c’était une vraie chienne.

Pas le temps de boire un coup, le plateau part, j’ai juste le temps de voir la verge que l’un des trois gars a sorti qu’elle m’encule.
Une chienne, je suis une chienne lubrique, me faire enculer dans les jours suivants avec un deux ou trois gars, c’est fréquent.
Je jouis à en avoir de plus en plus mal à la chatte, mais m’habituant aux diverses pénétrations, ça devient de plus en plus supportable.

Chaque fois que le plateau arrive je me jette dessus.


- Laissez-moi de l’eau, il m’arrive d’avoir soif, je ne peux pas dire dans la nuit.

C’est un problème, je sais ce que je risque à émettre une demande.
Mes bourreaux deviendraient-ils humains, rien pas de baffe, la carafe m’est laissée avec le verre.
Me sectionner les veines en la cassant voilà la solution.
Je la jette contre le mur, elle explose.
La porte s’ouvre, je suis attrapée et je ramasse mes deux baffes.
Depuis, c’est une poche d’eau qui m’est apportée, je ne me ferais pas grand mal.
Cet épisode de la carafe me montre que derrière la porte, un de mes bourreaux est toujours là pour me surveiller.

Deux jours plus tard, c’est un gamin, pas plus de 18 ans moi qui en aient 23 ou 24 ignorants le jour où l’on est qui entre.

- Bonjours madame.

Quand il me baise gauchement, je lui susurre à l’oreille pour ne pas être entendue.

- Je suis séquestrée et prostituée ici depuis un temps qu’il m’est impossible de calculer.
Si tu préviens la police d’où je suis, je serai ta copine tout le temps que tu voudras.

Il décharge, se lève et tape à la porte, qui s’ouvre.
Il sort emportant avec lui ma possibilité de m’évader de la vengeance de mon beau-père.
Le temps passe, la porte s’ouvre, je suis persuadée que c’est la police…

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