Amour En Musique 9

J'ai envie de laisser libre cours à mon désir

J’ai glissé ma main dans le tanga de Laura. Pour beaucoup d’hommes, ce serait banal. Normal, quoi. Pour moi, c’était important et ça représentait énormément. Je me permets juste de rappeler qu’il s’agissait de pas mal de premières fois en une.

Ce n’était que pur plaisir de maintenir ce contact intime et privilégié avec la jeune femme. Elle m’avait rendu fou et j’avais craqué pour elle. C’était aussi simple que ça.

It Must Have Been Love de Roxette…

J’avais la main à l’intérieur de son sous-vêtement et je la passais légèrement… doucement sur sa peau. À l’exception de son pubis en «ticket de métro», la peau était nue alors que je m’attendais à toucher un doux duvet de poils. Plus je me rapprochais de son puits d’amour, plus ce n’était que pur délice…

Je sentais qu’elle n’avait pas encore bien sûr les lèvres écartées. Ça demandait de moi que je sois patient et que je continue d’exciter davantage Laura. En d’autres termes, que je prenne mon mal en patience, si l’on peut dire, et que je me consacre encore et encore, encore et toujours, au plaisir de ma partenaire.

Néanmoins… je sentais, quand je la caressais distraitement, qu’elle mouillait déjà un peu.

Elle n’avait donc pas menti.

Elle ne faisait pas semblant.

Elle avait décidé de s’offrir à moi. Elle se donnait à présent corps et âme… et j’aimais ça.

La peau de son abricot était toute lisse et c’était… trop bon de passer ma main dessus, délicatement. Dans un instant de folie, l’envie et le désir firent que je passais ensuite le bout d’un doigt le long de sa fente, de haut en bas puis de bas en haut, et ce plusieurs fois d’affilée. Ça avait un impact psychologique puisque j’en étais à la fois excité mais aussi… ému. Eh oui… Ça me faisait… beaucoup d’effet.

Son mont de Vénus a beau être orné d’une jolie petite bande verticale de poils… son sexe, lui, est glabre.

Il est… agréable au toucher.

She’s on Fire de Amy Holland…

Et justement, rien qu’au toucher… sa porte du plaisir me donnait vraiment envie. Mais… vraiment, je veux dire ! Laura a réellement un beau minou. Pour ne rien «arranger» à cela, elle a une poitrine magnifique. Et sa bouche pulpeuse… Et son ventre plat… Et ses yeux de femme fatale… Rhoo… !

Je continuais de faire coulisser le bout de mon doigt le long de l’entrée de sa fente.

On était face à face. Corps à corps. La magie et l’alchimie s’étaient créées entre nous deux. L’un appartenait à l’autre. L’autre appartenait à l’un. C’était comme ça. Nous étions sur la même longueur d’onde.

J’étais de plus en plus conscient, malgré mon inexpérience, que Laura prenait du plaisir avec moi. Je faisais tout ce que je pouvais… je faisais tout ce dont j’étais capable pour qu’elle passe un moment aussi agréable que possible.

Un peu plus tôt dans la soirée, quand on était dans sa voiture et qu’elle me suçait, après le concert au bar des Amours mortes, elle m’avait dit, comme ça, dans le feu de l’action, qu’elle m’imaginait, ma tête entre ses jambes et que je m’occupais de sa «belle petite chatte appétissante»…

À présent, elle était presque entièrement nue. Elle ne portait plus que le tanga et rien d’autre qu’un peu d’huile de massage sur les seins. Ce tanga était mouillé et il allait finir, à un moment ou à un autre, par être détrempé si je continuais dans cette voie… De plus, moi, à mesure que je caressais Laura et que j’avais la main dans sa culotte, j’étais bien plus intime avec elle. Je voulais donc laisser libre cours à mon imagination. Libre cours à mon inspiration. Libre cours à l’action. Tout simplement… j’avais envie de laisser libre cours à l’amour et au sexe.

Pendant un bref laps de temps, j’ai enlevé ma main du sous-vêtement humide de ma partenaire, coquine à souhait. J’ai regardé Laura dans les yeux et je l’ai embrassée avec appétit et avec fougue.
J’avais pris l’un de ses seins rebondis dans ma main et je l’empoignais. Ma main est ensuite remontée jusqu’à son cou et elle s’est posée sur sa gorge. J’ai alors fait remonter encore un peu plus ma main et j’ai effleuré de ses doigts. La main en question, c’était celle qui… la caressait, quelques instants plus tôt.

Laura a léché l’un de mes doigts, doigt qui avait été badigeonné de sa cyprine. Elle léchait ce doigt avec avidité. Puis, sa bouche s’est ouverte pour forme une sorte de «O ». J’ai alors pénétré ses lèvres de quelques centimètres et la jeune femme s’est mise alors à me sucer mon doigt de la même manière qu’elle aurait sucé ma queue. Elle goûtait à sa saveur. Elle en a émit un nouveau bruit de plaisir, un peu comme un gloussement. Elle y prenait du plaisir.

Quant à moi, j’avais senti son liquide d’amour sur mes doigts mais je ne connaissais toujours pas sa saveur. Qui plus est, je brûlais littéralement de lécher son sexe mouillé et de le manger…

Je me suis alors agenouillé de nouveau tout en prenant le soin d’effleurer sa peau avec ma bouche, de haut en bas, au fur et à mesure que ma tête descendait progressivement.

What the World Needs Now Is Love de Jackie McShannon...

J’avais à présent la tête à hauteur de son pubis. J’étais quasiment à hauteur du tanga humidifié par sa cyprine. Je voyais à présent l’état d’excitation de Laura. Je voulais cependant en voir bien davantage maintenant…

J’ai légèrement écarté le tanga et j’ai enfin vu de mes propres yeux sa magnifique chatte…

Elle était effectivement… appétissante. J’avais vraiment de la lécher avec gourmandise…

J’ai alors approché ma tête de son sexe et j’y ai placé mon visage. J’ai d’abord embrassé puis j’ai donné un premier coup de langue alors qu’elle ne s’y attendait peut-être pas…

Hmmm… Elle avait un très bon goût. Certes, salé mais… j’aimais ça.

Laura a gémi.


Ça m’a donné encore plus envie...

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C'était un joli sexe que je... (1/2)

Laura était debout, et j’étais à genoux. J’avais un peu écarté son tanga afin que je puisse accès à sa vulve.

C’était la première chatte que je voyais de mes propres yeux et je la trouvais très belle.

Ses lèvres n’étaient pas encore écartées, et pourtant, je constatais que son sexe était luisant… luisant de mouille.

J’avais embrassé sa moule dans un premier temps avant que je ne laisse ma langue entrer en scène à son tour.

Et quand ma langue s’est mise à la goûter et à la manger… C’était une délicieuse saveur salée que j’avais à présent en bouche. Hmmm… Le liquide d’amour de Laura, rien que pour moi… Ça me rendait fou et j’avais plus, bien plus, encore plus, toujours plus envie de fouiller son sexe avec ma bouche…

Nothing but You de Paul Van Dyk…

Il n’y avait pas que ma bouche qui était actrice. Mes yeux, eux aussi, se délectaient de ce sexe de femme attirant et tentateur à souhait.

C’était un joli sexe que j’embrassais avec mes lèvres. C’était un joli sexe que je léchais avec ma langue. C’était un joli sexe que j’admirais avec mes yeux. C’était un joli sexe dont j’appréciais l’odeur avec mon nez.

Laura avait un très beau sexe. Elle devait en être fière. A mon avis, c’était le cas. Je ne vois pas comment il aurait pu en être autrement.

Vous verriez son minou… vous n’auriez envie que d’une chose : y porter vos lèvres et votre langue, les hommes comme les femmes.

Quand les nymphes de la jeune femme ne sont pas écartées, ils forment un joli ensemble. Tout ce qu’il laisse apparaître à sa surface, c’est du rose. Un peu comme celui des aréoles de ses seins, sauf qu’elles, elles sont pâles.

Dieu que Laura est magnifique. Qui plus est, elle semble avoir tout pour elle : un corps voluptueux, béni des dieux… un joli sourire tantôt amoureux, tantôt aguicheur… des yeux qui vous font tomber de haut pour elle, et qui font que vous ne pouvez alors plus lui résister…

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Petit retour en arrière

Elle savait que j’étais puceau, et ce mot aurait pu faire en sorte qu’elle prenne ses jambes à son cou.
Elle aurait très bien pu me laisser en plan. Ma virginité tardive l’avait touchée, certes, mais justement elle ne m’avait pas pris en pitié. Elle avait tout fait pour que je me décoince. Elle avait su trouver les mots justes pour me faire comprendre que ce n’était pas une tare et que ça l’avait émue.

Elle avait de l’or aussi bien à la surface qu’en profondeur.

Certes, cette petite rousse était un canon. Elle avait de jolis gros seins, capables, je pense, de faire bander un mort. Elle était irrésistible, et, la preuve ! J’avais plié et j’avais rompu. Laura m’avait séduit, aussi, parce qu’elle restait elle-même. Elle était venue vers moi, backstage, un peu après le concert alors qu’elle se doutait que je risquais d’être taciturne, pragmatique. Ça, c’était l’image qu’elle avait de moi, jusqu’à présent, alors qu’elle ne ratait pas un concert de nous, les «Princes of the Universe».

Elle avait su qu’elle allait devoir prendre son temps avec moi. Elle mourait d’envie de faire l’amour avec moi. Ça, elle ne pouvait s’en empêcher d’y penser. C’était devenu tout simplement impossible pour elle de réprimer ses désirs. Chaque fois qu’elle se masturbait, à l’aide de ses doigts, de vibromasseur en faux cristal ou bien de son gode préféré, elle pensait à moi et elle s’imaginait que c’était moi qui m’occupais d’elle.

Elle savait qu’il y avait un risque que je ne veuille pas d’elle, mais elle, elle savait qu’elle allait justement devoir prendre ce risque à un moment ou à un autre. Elle avait le cul entre deux chaises, si l’on pouvait dire les choses ainsi. Elle était consciente que j’allais probablement avoir besoin de confiance pour que je m’abandonne (d’un côté) mais que elle aussi, elle était consciente qu’elle n’était plus capable de réfréner ce désir qui se consumait inexorablement en elle et qui la possédait (de l’autre côté)… alors que je n’avais peut-être pas envie d’elle et que ça ne m’avait certainement jamais traversé l’esprit. Tout ça, c’étaient les conclusions qu’elle avait tirées de ces observations quand elle venait à nos concerts, qu’elle m’observait quand je jouais sur scène et qu’elle m’écoutait quand je faisais mon solo.

Les dés avaient été jetés et elle avait décidé de jeter son dévolu sur moi, une fois pour toutes...


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