La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1318)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1317) -

Le Seigneur jouit Lui aussi à son tour après quelques coups de reins en jets abondant et saccadés de Sa semence chaude… Quand tous le deux eurent repris leurs esprits, le Maître ordonna à Marion d’aller se laver et l’autorisa à utiliser le reste de l’eau chaude, qui ne l’était presque plus, et ensuite de revenir à Ses pieds. Après s’être brièvement lavée et séchée, Marion revient se mettre à genoux à côté de la couche du Maître et attendit ses exigences.

- Grimpe et toi à Mes pieds.
- Merci Maître, dit Marion en montant sur la couche, de me faire l’honneur de dormir sur Votre couche et à Vos pieds.

Marion se mit en boule sous les pieds du Maître au fond du lit et tous les deux s’endormirent rapidement fatigués de leurs orgasmes successifs… Quand soudain au cours de la nuit, le Seigneur d’Evans se réveilla, Il n’aurait su dire pourquoi mais Il était pris d’une érection nocturne et forte. Il réveilla sans tarder Marion qui dormait profondément toujours lovée à Ses pieds, et Il lui ordonnait de se mettre immédiatement en levrette. Marion lui répondit dans un demis sommeil tout en prenant la position exigée.

- Oui Maître, tout ce qu’Il Vous plaira.

Voyant que Marion avait du mal à s’éveiller et trop lentement à Son gout tant Son érection était forte, qu’Il entreprit de la réveiller par une série de claques sur les fesses. Marion fut ainsi certes réveillée mais son excitation aussi. Le Maître caressait un même temps son anus, qui au moindre doigtage, se dilatait instantanément. Le Maître la sodomisa d’un seul coup de reins puissant et précis et commença à la besogner virilement voire bestialement ne pensant cette fois qu’à Son plaisir à Lui se servant de Marion, que juste à ce moment-là, Il la considérait, comme un simple trou, un vide-couilles.

.. Cependant Marion y prenait malgré tout en plaisir intense car son seul but était de satisfaire le Maître et aimait être traitée ainsi tel un objet sexuel de plaisir quand le Maître le décidait.

- Ho Maître c’est trop booooooon … continuez j’adooooore.

Marion coulait littéralement tant cela l’excitait et presque au même moment le Maître jouit dans le cul béant de Sa soumise, et à Son ordre, elle jouit aussi.

- Ha Ma chienne, Ma salope, Ma Marion tu es un bon réceptacle à Ma Noble semence.
- Maître Vénéré, dit- elle en se mettant à genoux à côté de la couche du Maître, je ne désire que Vous satisfaire, être ce que Vous voulez que je sois selon Vos besoins du moment.
- Bonne chienne, viens te coucher à Mes côtés.

Le Seigneur d’Evans l’a pris dans Ses bras puissants et rassurants et c’est ainsi sereine et comblée et détendue que Marion s’endormit, enlacée dans les bras du Maître protecteur… Au matin, quand elle se réveilla, Il n’avait pas bougé. Elle connaissait la règle quand elle avait le privilège de partager la couche du Maître, le réveiller en le suçant, comme Il l’exigeait et l’adorait, mais dans cette position le moindre mouvement Le réveillerait, et le réveiller n’était pas vraiment une solution envisageable, car le Maître n’aimait pas être réveillé sans raison. Marion ne savait que faire pour bien faire et obéir à Sa règle et Le réveiller ou attendre sans bouger. Elle se résolu alors à attendre se disant que le Maître avait besoin de se reposer, car depuis presque 20 ans, c’était Lui seul et Antonin qui gouvernaient leur Grand- Duché et que peut-être, Il finirait par bouger et avant qu’Il ne se réveille passer sous les draps et le réveiller comme Il le voulait. Un long moment plus tard, quand Il se réveilla, Marion s’était mise à somnoler légèrement. Il fut très mécontent de ne pas avoir été réveillé comme Il l’exigeait.

- Descend immédiatement, la chienne et à genoux devant Moi !

Marion obéit de suite surprise par Son ton courroucé.


- Alors salope, on oublie une des règles de base ? Tu crois que parce que tu es devenue Ma favorite que ça te donne tous les droits?
- Maître Vénéré, je Vous présente mes humbles sincères excuses, mais quand je me suis réveillée, je ne pouvais bouger, sans Vous réveiller et j’ai pensé que Vous deviez Vous reposer donc j’ai préféré ne pas bouger, je suis désolée si j’ai pris la mauvaise décision et accepterai la sanction que Vous voudrez m’infliger.
- … Bon si tu as agi dans le but de ne pas Me réveiller, car tu sais que je n’aime pas cela, alors je vais être magnanime.
- Merci Maître pour Votre compréhension.
- Attend je n’ai pas terminé, tu vas Me sucer maintenant mais attention je veux la fellation la plus parfaite dont tu es capable, si tu Me satisfais, je passe l’éponge sinon tu seras punie. Est-ce clair salope ?
- Tout à fait Maître, dit-elle en remontant sur Sa couche.

Marion commença alors à lécher de haut en bas et de bas en haut avec une infinie douceur et savoir-faire cette verge dressée qui se présentait devant sa cavité buccale. Pendant ce temps, elle utilisa une main pour masser délicatement mais aussi savamment les bourses du Maître, ce qui Lui procura une savoureuse excitation. Puis elle le prit totalement en bouche et suça, aspira, faisant tourner sa langue tout autour du gland puis de la hampe en descendant doucement. Modifiant la pression de ses lèvres sur le membre dressé, de celui qu’elle appelait depuis toujours le Seigneur Adoré. La douce Marion faisait aller et venir cette queue si raidie dans sa bouche repassant de nouveau sa langue sur toute sa hauteur. Par moment, elle suçotait le gland lui donnant des petits coups de langue bien excitant et une quantité infinie de baisers, puis elle l’aspirait et recommençait ses baisers et coups de langue sur la totalité de la verge du Maître. Ce doux traitement était empli de tendresse, de respect et de dévouement, espérant ainsi Lui faire comprendre que ses agissements n’étaient en rien pour Lui déplaire, bien au contraire.
Ensuite, elle inversa et commença à Le branler de ses mains et passa avec sa langue a Ses bourses remplies, qu’elle suça, aspira, goba aussi.

Après de longues minutes, elle entendit le Seigneur d’Evans émettre des grognements de plaisir, que depuis un moment Il retenait volontairement tant cette fellation était divine. Ses grognements devinrent de plus en plus forts pour se transformer en râles presque jouissifs. La belle soumise le reprit alors totalement en bouche et se remis à Le sucer avec avidité et cadence rapide, quand soudain le Maître saisit une touffe de cheveux et maintenant fermement sa tête pour imposer le rythme des va-et-vient jusqu’à enfin lâcher Sa Noble semence dans la bouche de Marion qui avala sans en perdre une goutte avec délice et reconnaissance. Ensuite, elle s’appliqua à nettoyer longuement le sexe mollissant du Maître tout en prenant son temps pour faire durer le plaisir au maximum. Quand ce fut fait, Marion descendit de la couche, se mit à genoux et attendit Sa décision. Après quelques instants où Il reprenait Son souffle, Il lui exprima :

- Tu es décidément une bonne chienne et pleine de ressources insoupçonnée. Tu M’as satisfait au-delà de Mes espérances, je dois bien le reconnaitre.
- Merci Maître Vénéré, mon seul désir est et sera toujours Votre plaisir et Votre satisfaction.
- Bien, maintenant j’ai à te parler alors va Me chercher Lucie en cuisine et revenez ici toute les deux.
- Bien Maître, tout de suite, dit-elle en quittant la pièce le plus rapidement possible.

Quand elle revient accompagnée de Lucie, elles se mirent toutes les deux à genoux à Côté de la couche du Maître pour recevoir Ses exigences.

- Lucie, je veux que tu M’apportes Mon petit déjeuner mais exceptionnellement, je veux pour Marion la même chose que pour Moi.
- Oui Maître, je vais Vous préparer cela immédiatement et elle sortit.
- Marion, lève la tête et viens t’assoir près de Moi, j’ai à te parler.
Cela fait un bon moment que j’y pense. Sais-tu de quoi il s’agit ?
- Je pense le savoir Maître, mais je ne suis pas sûre.

Sur ces entrefaites, Lucie apporta les petits déjeuners et les déposa sur les tables de nuits et souhaita un bon appétit et retourna à ses occupations, quittant la chambre.

- Dit-Moi à quoi tu penses!

Marion hésitait car elle craignait de se tromper.

- Hé bien, je … je pense que Vous allez m’annoncer une bonne nouvelle, sinon Vous ne m’auriez pas proposé de prendre un vrai petit déjeuner avec Vous.
- En effet, j’ai une grande nouvelle à t’annoncer mais pourquoi as-tu cette mine triste ?
- Parce que je m’étais habituée et un peu égoïstement je le reconnais, j’espérais que cela continuerait.
- De quoi parles-tu ? Je ne te suis pas ?
- De la grande nouvelle que Vous allez nous annoncer Maître. … Vos fiançailles avec la Duchesse qui Vous a rendu visite, il y a quelques mois.
- Pardon, tu parles de cette jeune Duchesse De Richemont, aussi sotte qu’insolente et qui est venue passer quelques jours au Château ? Alors tu te trompes, elle était là parce que ses parents sont de Mes amis de longue date et que je les avais simplement invités.
- Je Vous présente mes excuses Maître, je la croyais relativement proche de Vous.
- Oui et même trop à Mon gout, mais ce n’est pas la question. La nouvelle que j’ai à t’annoncer est que je veux faire de toi Ma favorite. Cette nuit, j’ai prononcé ce mot dans l’excitation mais c’était aussi pour commencer à te préparer à cette annonce !
- M…moi Maître ? Mais … je … je …ce serait un honneur mais je ne sais si je suis digne d’une telle faveur de Votre part.
- Ce n’est pas une faveur mais une distinction. Tu as pour ainsi dire grandi au Château, tes parents m’ont servi fidèlement en tant que servante et jardinier quand je les ai pris à Mon service, tu étais encore une . Quand tu en as été capable, tu as aidé ta mère et est devenue une de Mes servantes et ce n’est qu’après son décès et celui de ton père, vers tes 20 ans que tu es devenue Ma soumise. Et depuis tu n’as cessé d’être à Mon service et à Ma disposition, avec une dévotion sans faille et je crois pouvoir dire que depuis ton plus jeune âge, tu as été à Mon service et ton dévouement, ta fidélité, ton humilité et ta motivation à bien faire et ton amour envers Ma personne méritent cette distinction.
- Merci Maître c’est un grand honneur pour moi, je Vous suis si reconnaissante.
- Tu le mérites Ma belle Marion, tu es la seule à ne pas être mariée ou partie et depuis tu Me consacres tout ton temps et même si cela est aussi un peu égoïste de Ma part je te veux à Mon service exclusif et te garder rien que pour Moi…

(A suivre …)

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