La Nuit De Tous Les Risques : Partie 2

À la suite de cette agréable petite parenthèse lors de notre arrivée, le reste de la journée se déroula « normalement », dirons-nous.

Après être redescendu, je retrouvai ma femme et mes s, jouant dans le jardin avec leur grand-père. Ma belle-mère nous rejoignit une dizaine de minutes plus tard, mon envie pour elle ne cessant de croître à chaque fois que son corps entrait dans mon champ de vision. Et tandis que chacun s'affairait au bonheur de nos garnements, je préparais la table en me demandant si, durant ce laps de temps ou elle s’était isolée, elle n’avait pas pris un instant pour se détendre en solo...

Je l’imaginais donc, confortablement installée dans une des chaises en rotin entreposées dans son grenier, écartant les jambes avec la plus grande amplitude possible afin de ressentir au maximum les effets de son imminente masturbation. Les yeux clos, repensant à notre petit aparté, ses mains effleurant doucement l’intérieur de ses cuisses, remontant vers sa vulve humide et gonflée d’une envie irrépressible que nous nous étions promis d’assouvir plus tard dans la soirée, avec nos partenaires respectifs.
Ou plus précisément, que de mon côté, je lui avait concédé en ce jour de fête.

Un rapide coup d’œil aux alentours, et je fus rassuré. Car tout le monde s’amusait à l’extérieur. Sans personne dans les parages, je pouvais donc continuer ma petite histoire, qui m’avait déjà flanquée d’une belle érection.

Assise confortablement, elle portait sa main sur ses grandes lèvres frétillantes d’excitation, la seconde préférant s’attarder sur un de ses mamelons, qu’elle maltraita avec la même force qu’appliquée quelques minutes auparavant sur mes parties.
L’index et l’annulaire écartant ses chairs alors que son majeur titillait son joli bouton rose.
Je la voyais perdre le contrôle petit à petit, subissant les affres du plaisir intense et solitaire auquel elle s’adonnait, sa respiration devenant de plus en plus difficile, presque haletante, ses mouvements rendus saccadés, spasmodiques même, alors que la jouissance approchait.

Ses muscles devenaient douloureux sous l’effort, mais l’envie d’arriver au bout de cette course et d’arracher ce trophée tant convoité devait être sa seule préoccupation. Mon imagination débridée la représentait à présent la paume posée sur la bouche, tentant d’ ses petits cris, le bout de son majeur effectuant des vas et viens à vive allure à l’intérieur de sa grotte humide, laissant s’écouler des gouttes de cyprine tombants sur le parquet, utilisant toute la longueur de son doigt pour stimuler dans un même temps son clitoris, ce qui la rendait folle.

Soudain ma femme entra, et je me rendis compte que j’avais été trop absorbé par ma petite histoire imaginaire, ne prêtant plus assez attention à tout ce qui m’entourait.
— Ça va mon cœur ? Tu t’en sors ?
Je la regardais en faisant la grimace.
— C’est vrai que c’est tellement compliqué de dresser une table…
Elle avait noté ma note d’humour et me sourit, de connivence. Cependant, ses yeux se plissèrent légèrement lorsqu’elle abaissa son regard.
— Et ben ! C’est ma mère qui te fait cet effet ? me lança-t-elle en riant.

Waouh…

Un filet de sueur glacé coula le long de ma colonne vertébrale. Ce n’était qu’une pique, bien placée qui plus est, mais elle me fit tout de même froid dans le dos.

Si tu savais ma chérie…

La gorge soudainement sèche, je répondis pourtant sans me laisser démonter.
— Vu comment vous vous ressemblez, je me demandais ce que ça donnerait avec vous deux en même temps dans le lit !
— Répugnant ! me dit-elle en faisant mine d’être dégoutée.
J’avais marqué un point, et très certainement détourné le sujet de la conversation.
— Plus sérieusement, j’avais déjà envie de toi, mais voire cette bosse dans ton pantalon, ça me donne des sacrées idées !
Ma femme n’était pas très imaginative, cependant, malgré un certain classicisme, qu’il s’agisse du lieu ou des positions, il y avait de fortes chances pour que nous passions un excellent moment, comme à chaque fois que nous faisions l’amour.
Après tout, je l’aimais et je la désirais également, sa seule vue suffisant à faire fonctionner la machine à idées lubriques de mon esprit.
Elle se rapprocha de moi, et je pu sentir ses courbes rondes et gracieuses faire pression contre mon sexe, qui n’avait très clairement pas besoin de ça pour être au top de sa forme.
Elle me mordilla le lobe de l’oreille en pinçant mes fesses, s’attardant un peu plus sur mon membre turgescent.
— Si tu savais comme j’ai envie de l’avoir en moi cette lance… me susurra-t-elle.
Excité comme je l’étais, je devais avouer que me contenir devenait difficile.
Car entre la fille, que je voulais littéralement déchirer sur la table de la salle à manger, et la mère, dont j’avais envie d’explorer l’intérieur afin de m’y répandre dans une explosion de bien être, j’étais servis, et désormais, l’impatience de cette soirée avec ma femme me gagna.
Elle fourra sa langue dans ma bouche, et je ne pus résister à cette proposition. Durant quelques secondes nous échangeâmes langoureusement, avant que sa mère ne l’enjoigne, pour une raison quelconque, à retourner dans le jardin.

Ce pourrait-il qu’elle soit jalouse ?

Elle me connaissait désormais, et se doutait très certainement qu’une petite fellation dans la salle à manger n’était pas hors de ma portée…
Mais ma femme obéit avec discipline, et s’en alla presque instantanément, craignant évidement qu’un des s ne se soient blessés.

Lorsque la table et le repas furent prêts, tout le monde se précipita à l’intérieur pour se régaler.
Ce dernier se déroula sans heurt et dans la bonne humeur., et ce n’est qu’une fois que les s devinrent turbulents à cause de la fatigue, que nous avions décidé de débarrasser la table pour monter dans nos chambres.
Je mis, comme à mon habitude, les s au lit, et pour une fois, ceux-ci s’endormir très vite, à mon plus grand bonheur. Oui c’est égoïste, mais parfois, il est bon de penser à soi aussi !

Ma femme m’attendait à l’étage du dessus, dans notre chambre, seulement espacée de celle de ses parents par une salle de bain. Mais nous savions, pour l’avoir éprouvé durant notre jeunesse, que cette pièce n’isolait rien du tout, et que tout ce qui se passait dans une chambre pouvait être entendue dans l’autre, pour peu que l’on tende l’oreille ou qu’il n’y ait pas de bruit parasite.
Après tout ce tumulte, le silence religieux qui régnait dans la maison me fit un bien fou.
Mais conformément à notre pacte, cela allait être de courte durée.

Elle me regarda d’un air malicieux, et je sus immédiatement que nous n’allions pas tarder à commencer les hostilités, ce qui, en plus de m’enchanter, n’allait rendre ma mission que plus simple à exécuter.
Elle se tenait debout à côté du lit, occupée à dégrafer sa robe olive.
— Tu peux m’aider à l’enlever s’il te plait ?
Je ne me fis pas prier.
Elle plaça son dos contre mon torse, vérifiant à l’aide de sa croupe si mon sexe était toujours au garde à vous, et il l’était.
Je m’employais à défaire les attaches, lorsqu’elle se frotta un peu plus fort encore, sa robe finissant par glisser sur sa peau pour échouer au sol sans un bruit.
— Je te plais ? me dit-elle sensuellement tout en me regardant droit dans les yeux après un bref demi-tour.
Effectivement cela m’envoûtait, énormément même.
Elle arborait un ensemble noir, aux motifs travaillés, mettant parfaitement en avant ses magnifiques courbes. Des jarretelles pendaient le long de ses cuisses épaisses et son bonnet G était superbement tenu par des demi-cercles, lui conférant un aspect encore plus proéminent. Aucun doute, je mourrais d’envie de me plonger dans ce corps tout entier, et d’en redécouvrir les moindres aspérités. Sa longue chevelure brune, qu’elle balançait sur son épaule droite, répandait dans la pièce un mélange subtil de parfum et de sueur, cocktail hautement érotique.
Elle me poussa en arrière de ses deux mains, et je tombai assis sur le bord du lit, me rattrapant de justesse en utilisant mes paumes comme appui.
— Tu as toujours envie de moi ? crachat-elle sur un ton de défi.
— Comment ne pas avoir envie de toi ?
J’étais on ne peut plus honnête.
Elle défit ma ceinture et enleva d’une seule traite mon pantalon et mon caleçon avant de déposer un bisou, du bout des lèvres, sur ma bouche.
Elle défit son corsage et ses deux énormes seins sautèrent de leurs prisons. Elle effectua quelques mouvements de langue tout autour de ma verge décalottée pour mieux l’envelopper ensuite de son manteau de chair opulent.
Dans un tempo ni trop rapide ni trop lent, elle fit monter notre désir crescendo. Je profitais de l’instant, alternant entre la vision de son joli visage, et celui de sa poitrine avalant mon gland avant de s’abattre lourdement sur mes couilles, me laissant échapper un râle de bien être à chaque aller-retour. Je la soulevai par le bras et la plaça sur le lit à son tour, elle se coucha automatiquement sur le dos, les jambes écartées.
Elle me stoppa alors que je me jetai sur elle.
— Attends, ne la déchire pas celle-là, elle est faite pour les salopards dans ton genre…
Elle fit sauter deux pressions, et la bande qui couvrait son entrejambe sauta, me livrant à présent sans obstacle son espace intime.
Je lui grimpai dessus sans attendre, l’enlaçant pour l’embrasser avec amour durant plusieurs secondes.
— Vas-y, défonce-moi !
Elle ne voulait pas faire l’amour, non tout ce qu’elle voulait c’était se faire baiser. Je n’avais aucun souci avec ça, je comptais de toute façon la tringler comme une salope, la faire hurler à en réveiller tout le quartier.
Elle attrapa mon membre et le guida vers sa fente pendant que je soulevais ses jambes, posant ses genoux sur mes épaules et plaquant ses cuisses contre mon buste. Mes mains attrapant ses globes laiteux avec poigne, pinçant les tétons avec force tandis que je la pénétrais aisément, tant sa cavité était inondée, motivée à l’idée de se faire prendre. Mon gland écarta facilement ses lèvres gorgées d’envie, me laissant découvrir un vagin complètement dilaté. Elle poussa un soupir lorsque nos pubis s’entrechoquèrent, indiquant que l’entièreté de mon sexe était en elle. Je voulais commencer en douceur, mais très vite, elle me fit comprendre que même cela, elle n’en voulait pas.
Ses mains plaquées sur mes fesses me secouaient presque, s’insurgeant contre ma lenteur, m’exhortant à passer la vitesse supérieure.
Ne voulant pas la décevoir, je m’appliquais à donner à mes mouvements plus d’amplitudes et de vigueur. Elle se mit à hausser le ton lorsque mes couilles tapèrent violemment contre son cul. Bientôt, elle pourrait l’entendre. Cette situation m’enivrait au plus haut point, et ma femme était en pleine extase.
J’embrassais ses mollets tout en la labourant copieusement, lorsque, sans prévenir, elle se mit à crier.
Elle allait jouir, c’était le moment de tout donner.
Extatique, elle n’était plus maîtresse d’elle-même, son corps n’obéissant plus à son cerveau mais à ses pulsions. Dans une série de mouvements désordonnés, ses mains allaient de sa poitrine à mon corps, ne sachant pas qui elles devaient toucher, ni où. Je relevais son bassin plus haut encore, lui tenant les jambes par les chevilles, de façon à les éloigner le plus possible l’une de l’autre. Elle se tortillait dans tous les sens, provoquant à chaque coup de rein une giclée couvrant le matelas de son nectar. Je n’aurai su dire si j’avais joui ou s’il s’agissait uniquement de son liquide blanchâtre et collant qui tapissait nos sexes, mais tout cela devint futile, car moi aussi j’approchais de l’orgasme.
Elle se mordait les lèvres, accompagnant à contre sens mes coups pour en augmenter la brutalité.
Soudain elle marqua une pause, l’air préoccupé et curieuse.
— Attends, tu entends ?
Tout d’abord j’eu peur que les s soient réveillés, mais ensuite je compris qui hurlait non loin de nous.
— Quelle vieille salope !
Elle ne mâchait pas ses mots, mais elle ne savait pas à quel point non plus elle avait raison…
— Telle mère telle fille !
Elle rigola en me tapant sur l’épaule.
— Tu veux qu’on arrête ? lui proposais-je, inquiet quant à sa réponse.
Sa mère beuglait à s’en casser les cordes vocales, on avait presque l’impression qu’elle se trouvait dans la même pièce que nous.
— Non continue, j’allais jouir, j’ai besoin que tu me termines mon amour.
Parfait !
Après quelques coups dans la même position, rendus plus féroces grâce aux gémissements de ma chienne de belle-mère, il était temps d’entamer la dernière ligne droite, et je savais exactement comment faire.
Plaçant ma queue à l’orée de sa chatte, je fis mine de me masturber, le mouvement de ma main stimulant à la fois ses lèvres et indirectement sa petite tour de chair.
Galvanisé par nos préliminaires, et par les cris de la chambre voisine, nous nous sommes abandonnés au plaisir brut.
Son visage était pivoine, et je sentais que tous les muscles de son corps se contractaient pour se préparer à l'événement qui allait se produire une poignée de secondes plus tard.
J’entrepris de la doigter avec la plus grande des ferveurs tout en pivotant pour me retrouver sur son côté gauche. Elle répétait sans cesse un « oui » aigu, de plus en plus rapidement, rendue folle de plaisir. Il ne fallut que quelques secondes pour qu’un jet ne macule le mur situé devant nous, laissant une trainée semi-transparente sur toute la hauteur du miroir le recouvrant.
Elle hurla une ultime fois, cessant immédiatement de me masturber, les muscles tendus, presque tétanisés.
Et dans un dernier râle, elle s’effondra.
Elle vint se blottir contre moi, et quelques instants plus tard, sa mère cessa à son tour.
Tout redevint calme, et je m’aperçus qu’elle s’était endormie sur moi, le sexe dégoulinant sur des draps pourtant déjà largement souillés.

Quant à moi, je me retrouvais encore plus excité, ma verge tendue au maximum, désireuse d’expulser elle aussi tout le contenu de mes bourses.
Mais j’étais conscient que ne pourrais plus rien tirer de ma femme jusqu’au lendemain.
Frustré mais heureux de ce moment, je décidai de descendre à la cuisine pour boire un verre d’eau avant de me terminer, ou de m’endormir les bourses pleines.

Mais par la force des choses, je n’allais pouvoir faire ni l’un, ni l’autre, tout de suite…