Double Vie... Ou Plus 6/7 Retrouvailles

Mes deux « femmes » sont donc enceintes. Du côté de mon ex – maintenant – belle-famille, la nouvelle de la grossesse de Nelly a été fraîchement accueillie. En effet, celle-ci ne voulait pas donner le nom du père de son -et pour cause-. Malgré l'insistance des divers membres de la famille, elle n'a rien lâché. J'ai été interrogé par mon ex-femme et mon ex-belle-mère, qui étant donné que j’habite la même région que sa fille et que je vais la voir de temps en temps, elles pensaient que je pouvais le connaître. Je confirme que je ne l'ai jamais rencontré.
Nous étions une nouvelle fois descendus ensemble et la mère de Nelly m'avais demandé de l'interroger au retour. Quand son fils s'est endormi à l'arrière, nous avons bien sûr discuté et beaucoup ris de la situation, même si elle présageait d'un futur pas très simple à gérer.
A cette occasion, ma belle-mère m'a proposé de loger dans l'appartement du sous sol que sa « locataire » avait laissé vacant pour poursuivre sa carrière... en région bordelaise ! J'avais laissé la maison à ma femme et cela m'évitait de trouver un logement que j'occuperai peu.
Jusqu'à son accouchement, Nelly n'est plus revenue chez ses parents. On lui avait fait comprendre que sa grossesse affichée était indésirable au pays. Je redescendais donc seul, pour voir mon fils.
Mon ex belle-mère, tenait à m'héberger, ce qui lui permettait en même temps, d'avoir son petit-fils à la maison. Son facteur-amant était mort et sa locataire-amante partie vers d'autres cieux, elle se retrouvait seule après avoir vécu presque dix ans de luxure, dont j'étais le seul à être au courant.
Un soir, alors que mon fils était parti au lit, je me suis retrouvé seul dans la cuisine avec ma belle-mère. Penchée sur l'évier, je voyais son gros cul face à moi. Elle avait revêtu son éternel peignoir, celui sous lequel j'avais découvert son corps la première fois, il y a plus de dix ans. Certes, ses formes s'étaient épaissies, surtout depuis le départ de sa maîtresse, mais elle m'excitait toujours.

Je me suis levé et me suis collé derrière elle, lui faisant sentir mon érection.
J'empaume ses seins par dessous. Elle proteste mollement :
« Voyons, il ne faut pas !
Tu n'es plus ma belle-mère. Notre contrat ne vaut plus rien.
Tout de même.Je suis vieille maintenant.
Mais tu es toujours bandante et je suis sûr que tu es encore chaude.
Mais... Votre fils...
Il dort. Ne t’inquiète pas ».
Geneviève s'abandonne, ferme le robinet d'eau et se sèche les mains. Je profite de ce moment pour ouvrir son peignoir.Je plaque mes mains sur ses seins et je retrouve ses gros tétons dardés, preuve de son excitation. Bien sur, je les triture, sachant que cela provoque son excitation et même parfois sa jouissance.
Je la retourne, la débarrasse du peignoir, je m'écarte pour admirer son corps pulpeux. Elle a chaud et se plaque contre moi en cherchant mes lèvres. Vaincue par ses sens, elle se donne à moi complètement.
« Venez ! »
Elle m'entraîne dans sa chambre dont le décor n'a pas changé. Alors qu'elle s'étale en arrière sur le lit, je me déshabille à la hâte. Ma bite est bien raide. Ma belle-mère tend ses bras. Je grimpe sur elle et nos lèvres se collent pour un baiser monstrueux. Geneviève est particulièrement chaude et humide. Sans me guider, ma queue trouve sa chatte et je la pénètre d'un coup jusqu'au fond. Elle est toujours aussi souple, ses jambes enserrent ma taille. Déjà sa mouille coule. Geneviève couine.
La position est malgré tout fatigante pour elle. Elle est obligée de décroiser ses jambes. Je me rappelle alors qu'elle adore la levrette, aussi je me redresse, je la retourne à quatre pattes sur la couche. Alors qu’elle se positionne, je vais très vite à l'armoire à glace. J'ouvre une porte et la positionne afin qu'elle nous renvoie notre image.
Revenu vers ma belle-mère , je la place en face du miroir.
« Regarde, salope. Tu te souviens quand on baisait ainsi avant que je me marie ? Tu adorais ça vieille pute ! Je sens que tu vas encore tremper ton lit !
Vous êtes un monstre ! »
Dans cette position, je sais que Geneviève va jouir très vite et que sa fontaine va gicler.
Effectivement, elle ne tarde pas à geindre. La tête enfouie dans les draps pour ne pas alerter mon fils. Elle pisse sa jouissance et arrose les draps.
Je ne la lâche pas et lui procure une autre jouissance. Alors je me déchaîne dans sa connasse et je jouis à mon tour.
Geneviève s'effondre sur les draps, m'entraînant avec elle. Je me couche sur elle et nous reprenons notre souffle. Mon ex belle-mère a du mal à récupérer, mais je ne veux pas la laisser comme ça. Je la retourne sur le dos, la tire vers le bord du lit et je plonge mon visage entre ses jambes. Sa vulve est trempée de ses sécrétions. Je lèche le pourtour de sa chatte, me régalant de laper ses effluves. Ma langue retrouve son gros clitoris que je cajole un moment malgré ses efforts pour me tirer la tête en arrière. Je veux recevoir son jet de cyprine dans la bouche, aussi j'insiste en ajoutant deux doigts dans son vagin ruisselant. Je parviens sans effort à lui faire accepter ma caresse et très vite je reçois mon cadeau avec une nouvelle giclée de mouille que je m'empresse d'avaler.
Enfin repus. Je me hisse à nouveau sur la couche, nous couvre du drap et nous sombrons dans un sommeil profond.
Au petit matin, avant que mon fils ne se réveille, je descend à l'entresol retrouver le lit qui m'est normalement dévolu.
C'est ainsi que dix ans après, je redeviens le seul amant de celle qui est maintenant mon ex belle-mère, enfin presque, puisque maintenant je couche aussi avec sa seconde fille qui va bientôt lui donner un nouveau petit .

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