La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1324)

Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1323) -

… et sous le regard amusé des autres nobles présents ... Au centre de la vaste pièce, tandis que l'orchestre de musiciens nus, collier au cou et aux yeux bandés, n'a pas cessé un seul instant de jouer, quelques couples mêlant esclaves et Invités de marque, dansaient encore, mais la majorité des convives s'étaient dispersée... les uns baisaient les esclaves par tous les orifices directement dans des recoins de la salle, par deux, par trois, par grappes... d'autres ont préféré rejoindre les nombreuses chambres de l'étage dans cette immense Demeure entièrement dédiée aux plaisirs, aux vices et aux jouissances Des Puissants. D'une chambre luxueuse à l'autre, je n’entendais comme par magie que gémissements, râles étouffés, cris de plaisir ou de douleur, claquement des fouets, bruits plus inattendus d'instruments divers et de corps emmêlés dans une luxure à excès ... Sur le parquet de la vaste salle de bal, je me voyais encore, nue, mon visage couvert de sperme, en train de danser nue un menuet avec le Maître habillé royalement, m'interrompant parfois sa danse afin que je puisse m'effondrer à Ses Pieds et Le sucer avec vénération Son sexe tendu et sorti de ses chausses...

En cette nuit d’Halloween, Monsieur Le Marquis choisit d'accorder à Son esclave que j’étais toutes les danses de cette époque des rois de France mêlant avec savoir et discernement les différentes prises de possession de mon corps soumis en de diverses positions lubriques et entrecoupées d’autres danses… Soudain, je vis arriver un homme perruqué et à l’énoncé de son nom, j’étais extrêmement impressionnée.

- Mon cher Charles-Edouard d’Evans, quelle belle chienne avez-vous là !
- Je vous remercie, mon cher Donatien de Sade ! Mais venez, suivez-moi, là près de cette haute fenêtre sur le côté ? Vous pouvez la consommer et sans modération, n’hésitez pas à user et r de son corps de chienne !

Je n’en revenais pas ! J’étais devant le fameux Marquis de Sade ! Ce qui me confortait que j’étais bien à l’époque des rois ! Et les deux Seigneurs prirent la direction d'une petite partie de la pièce sur le côté gauche sous les hautes fenêtres donnant sur le parc, dans un recoin et je les suivais à quatre pattes sans qu'Ils daignent m’accorder la moindre attention.

On aurait dit un boudoir aux tentures bordeaux avec un petit espace carré, dont l'essentiel était occupé par un beau canapé de soieries aux tons vieux rouge-bordeaux... Le mur entre les deux hautes fenêtres était recouvert d’un immense miroir qui valait pour les habitués son surnom de "petite galerie" à cette partie la pièce. Devant chaque côté de la haute fenêtre, une statue antique de fort belle facture... Celle d'un Faune enculant une jeune vierge effarouchée celle même attribuée à Praxitèle, tandis que l'éphèbe suçant un Centaure serait né du burin de Polyclète ! Mais l’œuvre la plus étonnante était sans doute ce siège sculpté de marbre blanc qui figurait comme un corps masculin accroupi, dont le sexe de marbre démesurément long dépassait largement... Sans attendre et dans une complicité évidente avec le Châtelain, le Marquis de Sade saisit alors d'une poigne de fer ma chevelure et ma força à se redresser... Il m'attira à lui et me fixa du regard, un regard pervers et gourmand, puis souriant tout en révélant mon fin visage :

- Aussi belle que dépravée... un visage d'ange et un corps de putain... Cela me ravit ! J’apprécie donc à loisir contempler ce beau visage et ces lèvres délicates qui sont la porte d'une bouche qu'il me plaît décidément d'emplir de Mon Vit et d'y déposer ma Noble semence !… Cher ami, Marquis, pensez-vous que cette femelle est prête pour découvrir les délices de cet antique siège ?
- Messire, ce n'est qu'en l'éprouvant que nous saurons en juger, répondit Le Marquis d’Evans en souriant.

Le Châtelain s'approcha et me saisit par un bras, me forçant à reculer vers le siège de marbre... Le Marquis de Sade m’imposa de m’y asseoir tout en ajustant la direction de mon bassin par une forte pression de ses mains sur mes épaules et ainsi contrainte à me pencher en avant tout en ployant mes genoux... Les Deux Seigneurs me contraignaient encore à reculer, jusqu'à me positionner mon anus juste devant le membre de marbre dressé.
.. Sans hésiter, sans non plus lubrifier un peu mon orifice ainsi livré au sexe minéral, les deux Marquis me poussaient doucement, enfonçant lentement le marbre poli dans mon cul de l'esclave docile que j’étais. Ils me positionnèrent ainsi, mon anus rempli par ce membre de pierre, et j’étais penchée en avant très inconfortablement, mais je mouillais à l’évidence à la vue de mon visage excité…

- Le cul de votre esclave vient d'avaler cette queue avec un bel appétit !, s'amusa à dire le Marquis de Sade avec perversité
- C'est que son cul aspire à Vous combler, cher ami... Et il n'est pas son seul orifice qui aspire à un tel honneur !

Tout en défaisant ses chausses et exhibant devant mon visage un sexe bandé, épais et rougi d'avoir été trop compressé, le Marquis de Sade saisit mes cheveux et me contraignit à redresser la tête... Docilement, je suivis le mouvement qui m’était imposé et instinctivement tant j’étais bien dressée, j’ouvris grand la bouche, lèvres humides, langue un peu sortie …

- Quelle parfait dressage, voyez comme elle m'offre sa bouche ! Aaah mon cher Marquis ! Il faut vraiment que je Vous félicite ! Vous avez dressé cette femelle à la perfection !

Et tout en complimentant Monsieur Le Marquis d'Evans, le Marquis de Sade enfonça lentement son sexe entre mes lèvres d'esclave... Il s'enfonça dans mon humide cavité buccale, au plus profond qu'Il put :

- Serre et suce, putain !, me lança-t-il

Et c’est docilement que je commençais à le sucer tandis que le Marquis de Sade me donnait de petits coups de reins, enfonçant à chaque fois un peu plus le sexe de marbre dans mon cul de celle que je suis dont il possède maintenant la bouche pleinement !

- AArhh oui, je me sens fort aise ainsi, cher Marquis, dit-il avec des yeux brillants de vices

Une carafe d'un très vieux Cognac était posée sur un magnifique guéridon avec deux verres de cristal à pied et Monsieur le Marquis d'Evans prit l’initiative de servir un de ces verres à son ami.
Puis se servant à Lui-même la même chose, il prend place dans le canapé de soieries, tandis que De Sade allait et venait entre mes lèvres, la conversation se poursuivit entre les deux Marquis... Faisant lentement tourner son alcool dans le verre bombé, Le Marquis de Sade s'exclama :

- Mmmhhh, aah la délicieuse catin, votre chienne suce à merveille mon cher Marquis ! ... mhh oui ne t'arrête pas, toi …, insiste-t-il tout en me donnant une petite tape sur ma nuque alors que je le suçais avec gourmandise ... Mmmhhh ooh vas-y salope ! Oui, vas-y, suces moi ! … Mmhh … ooh, je vais jouir de cette chienne oui … ouiiiiiiii... mmhhhhh ! …

Le Marquis de Sade me saisit des deux mains ma nuque et poussa pour s'enfoncer au plus profond de ma gorge... Il allait et venait encore, râlant et gémissant, jusqu'à ce que son plaisir jaillisse à flots épais et inonda ma gorge et ma bouche de chienne esclave... Puis Il se retira lentement...

- Conserve bien ma noble semence, putain... savoure l'honneur que je daigne encore t'accorder, car avoir la semence du Marquis de Sade n’est pas anodin …

Et puis tout d’un coup, il survint un fait extrêmement bizarre. Les lustres s’éteignirent tous, d’un seul coup, générant une obscurité totale et en même temps, le silence complet se fit remarquer à mes oreilles. Quelques longues secondes se passèrent et permirent à mes yeux de s’habi à l’obscurité. Puis, je regardais la faible lueur que la nuit pouvait encore m’accorder pour m’apercevoir que je me retrouvais à nouveau nue et assise à même le sol dans ce château désert et abandonné… Je me souviens de ce fait avant de sombrer une nouvelle fois dans les bras de Morphée alors que je ne pouvais pas retenir la fermeture de mes paupières d’avoir regardé une nouvelle fois mon téléphone portable pour constater que l’on était bien le soir d’Halloween, le 31 octobre mais que l’heure n’avait pas changé, il était toujours affiché 23h30. Avais-je rêvé ? Ou était-ce, par un phénomène paranormal, le spectre de Monsieur le Marquis d’Evans qui m’avait fait voyager dans le temps au Château à l’époque d’un de ses illustres ancêtres afin de marquer ce jour si particulier que reste Halloween ?… Si tel est le cas, ce fut un cauchemar de voir ces fantômes squelettiques mais aussi un rêve magnifique d’avoir eu le privilège de me trouver aux pieds d’un aïeul au Châtelain et aussi d’avoir pu sucer le fameux Marquis de Sade ! .
..

(A suivre …)

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