Collection Cocu. Sophie. Saison I (3/5)

Cour toujours belle Aurélie, la passivité de la verge de Damien est la cause de nos débordements et sa langue est l’exécutoire que j’ai à porté de main.
Je devrais dire de ma chatte pour faire comme c’est le cas en ce moment éclaté tout mon être dans des gerbes de plaisir.
Comme diraient les personnages de Star-Wars, je suis en train de passer du côté obscur de la force que je croyais être la seule et la bonne en tant que femme.
Je redresse Aurélie et la fais prendre place sur le siège.
Ma langue caresse son clito qui une fois de plus me fait voir qu’il apprécie sortant de sa cachette.
Ma copine a avancé son bassin en s’étirant au maxi qu’elle peut.
Je la lèche par des grands coups de bas en haut sentant d’un coup que je viens de toucher son anus.
Quand je dis que je suis devenue incontrôlable, ma langue revient dessus et pire même je la fais pénétrer au plus loin qu’elle le peut.
Elle apprécie et me prend la tête avec ses mains pour essayer que j’aille encore plus loin avant de pousser un cri de jouissance me montrant que l’on peut jouir de l’anus.
Nos bouches une nouvelle fois se retrouvent, je sens que l’on peut avoir des gestes comme ceux que je viens d’avoir avec ma langue sans pour autant trouver cela sale ou dégradant.

Je la rince et nous nous essuyons après ce plaisir incomplet qui au fil du temps va être comme la masturbation frustrant pour moi.
Un sexe voilà ce qu’il va falloir que je trouve rapidement.
Tant pis pour les convenances.
Ma vie est courte et si je perds du temps je vais me rabougrir comme un pruneau.
Il me faudra plus que les vingt kilomètres pour me satisfaire.

« Où Sophie cède un peu de terrain à Antoine. »

- Tient Antoine, tu nous as attendu, tu viens souvent dans cette salle ?
C’est la première fois que je t’y vois.
- Oui, mais les circonstances ont fait que nous sommes certainement venues à des heures différentes
- Tu as du temps, viens manger avec nous j’habite à deux pas.


- Pourquoi pas mes belles, Sophie acceptes-tu ma présence ?
- Oui.

En même temps que je dis oui, je me traite de conne.
En temps normal sous contrôle de la situation sachant ce que l’on m’a dit sur ce dragueur et baiseur invétéré j’aurais dit non.
Trois fois non.
Cent fois non et là je dis oui.
Ma garde et mes défenses sont amoindries.
C’est à ses côtés qu’il me laisse passer auprès de lui dans la porte d’entrée de la maison où habite ma maitresse.
Aurélie étant entrée, sous couvert de bien séance envers les femmes, il me fait passer à mon tour resserrant au dernier moment l’espace entre lui et le chambranle.
Il oblige mes seins à venir légèrement se frotter sur sa propre poitrine.
Je veux croire qu’il a fait cela sans s’en rende compte mais la main qu’il me met aux fesses comme une caresse est bien préméditée.
Pourquoi ma propre main reste inerte alors qu’un tel geste d’un homme avant mon manque de sexe masculin l’aurait immédiatement exposée à avoir une claque magistrale ?
Voir un aller avec retour.
Côté sombre, j’ai l’impression de tomber de plus en plus sans savoir où ce puits sans fond va m’entraîner.

« Aurélie me pousse au vice avec Antoine sans le savoir. »

- Installez-vous sur le canapé, je vais mettre une pizza au four.

Faire vingt bornes à la salle de sport sur un tapis roulant pour venir manger une pizza c’est un peu couillon.
Il faut dire que depuis que j’ai assimilé que la présence d’Antoine et surtout sa grosse queue me plairait, je dois reconnaitre que si notre amie nous avait dit qu’elle allait réchauffer une tartiflette haute en calories j’aurais applaudi et je serais venue en courant encore plus vite.
De la cuisine elle donne des ordres à Antoine qui s’empresse de se lever pour faire ce qu’elle demande.

- Peux-tu nous servir un whisky que tu vois sur le bar ?
Derrière il y a un frigo ou si Sophie le veux-tu trouveras du coca et de la glace dans le freezer.


Galant il s’exécute, prépare trois verres en pause un sur la table du salon et retourne chercher les deux autres.
Il s’approche de moi et sans sembler le faire exprès il approche sa verge à quelques centimètres de mon visage.

- Tu as le choix sers-toi.

Son allusion est directe je comprends bien qu’il me donne le choix entre le verre qu’il me présente ou son sexe qu’il me suffirait de faire sortir de sa braguette en défaisant sa ceinture pour le prendre en bouche.

« Où Sophie fantasme de plus en plus sur la verge d’Antoine. »

Sophie soit forte, évite de céder à la tentation, résiste le plus longtemps possible et cède si tu le souhaites à tout autre homme que ce beau gosse trop sûr de lui.
Tu as déjà franchi un pas dans ta déchéance en te faisant caresser par Laëtitia et brouter par Aurélie.
Évite d’être prise par un sexe masculin, surtout celui d’Antoine, tu risques de le regretter jusqu’à la fin de tes jours.
L’envie de cette verge à portée de main me met dans un état tel que je me rends compte que je me parle dans ma tête dans un long monologue avec moi-même.
Sophie soit forte, non Sophie soit une pute, demande-lui cent euros, je suis sûr que son envie de te mettre sur son tableau de chasse lui fera dire oui.
Sophie tu tombes bien bas, va dans la rue et donne-toi au premier venu tu satisferas ton envie de sexe sans tomber dans la déchéance des femmes que l’on paye.
Bref, je suis à deux doigts de perdre les pédales.

C’est au moment où Aurélie arrive quand revenant sur terre je me rends compte qu’Antoine s’est assis à mon côté me tendant son verre pour trinquer.
J’étais dans la situation de Depardieu et Clavier sans le film « Les anges gardiens » blancs ou noirs se déchirant pour me faire tomber du mauvais côté pour le noir et me rappeler mes bonnes résolutions pour le blanc.
J’étais satisfaite par mon mari sexuellement depuis vingt ans jusqu’à ce jour pourquoi plongerais-je dans l’adultère ?

- Venez à table, Sophie met le couvert, tu trouveras tout ce qu’il faut dans ce placard.

Je vais chercher des serviettes.

Je vais finir par croire que c'est exprès qu'elle me laisse seule avec mon suborneur.
Dès qu’elle est partie et que je m’approche du meuble il est près de moi.
Alors que je me baisse pour voir les assiettes au fond du placard il vient se frotter à mes fesses que je lui tends malencontreusement pour pouvoir les attr.
Il faut dire que vue sous un certain angle alors que je suis légèrement baissé mon cul doit tendre mon jean plus que de raison.
Heureusement que je suis habillé sport, car je pense que si j’avais été en jupe, il aurait été capable de me passer une main.
Faisant ce geste, il aurait pu remarquer que ma chatte dégoulinait comme sur le tapis où je courrais tout à l’heure.

« De nouveau, Sophie est à deux doigts de céder à Antoine. »

Sophie, recule-toi et frotte-toi à lui, tu vas encore sentir sa verge qui semble tendue à mort.
Tais-toi ange noir, je resterais la femme inflexible et je refuse de te céder.
C’est la position que je prends surtout quand mon ange blanc vient me féliciter de ma décision raisonnable.
Je me sors de ce marasme par le retour de la maîtresse de maison et attrapant les assiettes ça me permettait de me redresser.

- Antoine met toi là, Sophie ici moi là pour aller en cuisine.

Elle m’a mis côté opposer à mon bourreau des cœurs.
La largeur de la table fait que rien ne l’empêche de m’atteindre avec son pied.
Une nouvelle fois mon ange noir se fait entendre.

Sophie, change de côté, dès que vous serez seul il te mettra la main sur la cuisse et tu adoreras.
Mais mon ange blanc lui rétorque.
Non ma Sophie, profite de ce que ton amie t’a protégé en mettant de la distance avec lui pour te calmer et revenir dans la notion du bien ou du mal même si je dois reconnaitre que ton homme a tous les torts dans cette affaire.
Si mon ange gardien blanc se met à me mettre dans le doute en me rappelant l’inefficacité de mon mari, je suis mal partie pour rester dans le droit chemin.


- Antoine peux-tu aller ouvrir la bouteille de vin que j’ai laissée sur la table dans la cuisine avec le tirebouchon ?
C’est un travail d’homme.
- Sans problème, je suis là pour vous servir et pour votre plaisir.
Un verre de vin va réchauffer l’atmosphère que je trouve manquant d’entrain.
Sophie j’ai l’impression que tu sembles refuser que nous soyons des amis.
Tu sais c’est ton bien que je désire.

Mon « bien, » menteur, mon cul oui et je suis assez forte pour te résister.
Aurélie si tu veux devenir bisexuelle couche toi sur le canapé et écartes les cuisses pour qu’il te la mette bien profonde.
Je vais rentrer chez moi lui ayant résisté et je suis sûr que voyant son erreur je retrouverais mes ébats dévastateurs avec ma moitié.
Nous redeviendrons les amants dont nous n’aurions jamais dû cesser d’être.

De retour avec sa bouteille il me sert un verre de vin pour se coller derrière moi allant même jusqu’à poser sa main sur mon épaule me donnant l’impression qu’un fer rouge vient de me toucher.
Les trois verres servis il revient à sa place et me tend son verre.

- Aux deux plus belles femmes de notre hôpital…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!