Itineraire D'Une Pute Ch 8 Le Trottoir

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

LE TROTTOIR

- Nous allons terminer ta formation de pute.. ce soir tu vas faire le trottoir.

Mon cœur ne fit qu’un bond.. voilà où j’allais terminer ma vie sur le trottoir

Un ami a bien voulu me prêter un bout de trottoir qu’il exploite.. je t’ai loue une chambre aussi pour la nuit dans un hôtel du quartier

On y va…

Nous sommes arrives rue Saint Denis .. elle grouillait d’une faune interlope : entre les bandes de jeunes qui venaient s’encanailler, les hommes seuls en manque de compagnie quelques couples qui venaient émoustiller leur vie en se faisant peur, les néons des sex shop. Les prostituées toutes plus provoquantes les unes que les autres discutaient entre elles s’interpellaient d’un bout de la rue a l’autre …

Derrière la rue Saint Denis dans une ruelle un petit immeuble où l’on pouvait louer un studio enfin une chambre plutôt à la nuit..

- Voilà ton lieu de travail ma pute .Tu ramèneras les clients ici le tarif 30€ la pipe 50€ l’amour 80€ la sodomie. Je en sais pas combien prennent les autres mais c’est le prix auquel j’estime ton corps ! Tu fais se laver les clients là dans ce réduit qui sert de salle de bain. Ici les préservatifs.

voilà j’étais devenue une pute oui une marchandise monnayable.

- garde ton imper mais tu le laisses ouvert.. donc juste vêtue de mes Bas de mon porte jarretelles et bien sur chaussée d’escarpins Mon maitre m’a accompagnée jusqu'à mon bout de trottoir.

- tu dois ramener au moins 500 € tu vois je ne suis pas trop exigeant dit il en éclatant de rire. Ce rire moqueur si agressif me faisait frissonner de peur.

- Il est parti sans un geste sans un au revoir je viens de prendre demain vers 10H

je me suis adossée à un mur j’attendais les clients… je me sentis regardée aussi désirée bien sur surtout avec ma tenue si provocatrice j‘entendais certaines remarques salaces.



J’ai un peu discuter avec les autres prostituées, qui connaissaient déjà ma situation le pourquoi j’étais la a tapiner ce soir ..nous avons un peu discuter de ma situation de mon plaisir plutôt de mon excitation à être dominée à devenir une pute… mais il fallait penser à travailler mon maitre voulait 500€

Malgré tout j’étais troublée.. j’ai vu un homme la quarantaine s’approcher hésiter.. surement très timide surtout avec les femmes je suppose et même avec les putains.. je lui ai souris il a osé..

-je voudrais faire l’amour

- c’est 50€ suivez moi..

Je marchais devant lui, je sentais son regard sur moi


- écoutez non j’ai change d’avis..

- mais si venez je serai douce gentille n’ayez pas peur de moi

j’ai finalement réussi à l’attirer dans mon petit studio..

- l’argent s’il vous plait.

je ne voulais pas le brusquer je le sentais tellement timide ..

- non je vais partir

je me suis approchee de lui et je l’ai embrasse c’est moi qui ai force sa bouche avec ma langue. J’ai pose ma main sur sa braquette il bandait deja …

- deshabille toi.. et allonge toi sur le lit

je me suis approchée de lui il n’osait pas me regarder.. je lui ai mis un préservatif que j’ai fait coulisser sur sa bite avec mes dents ma bouche j’ai senti un souffle de bonheur un petit oui …
puis je l’ai enfourche pour m’empaler sur lui…

il m’a regardée hagard je l’ai senti heureux découvrant une sensation surement inconnue jusqu’ici. J’ai commence à onduler sur lui…

- ohh oui disait il oui c’est bon genial ahhhh

je l’ai senti jouir dans son préservatif un sourire beat aux lèvres..

je le sentais heureux.

Pendant que nous nous sommes préparer pour ressortir je lui ai demande

- c’était la première fois ?

il m’a répondu d ‘un petit « oui »

- vous avez aime

- ohhh oui…

j’étais contente j’avais fait ma bonne action.
Dépuceler un homme d’environ 40ans que cela devait miner
je suis retournée à « mon poste de travail »

Le deuxième client devait être un habitué car pas un bonjour direct au but

- combien la pipe ?

- 30€

- C’est bon tiens les voilà

Oui un habitue qui connaît bien les usages de la profession..

Dans le studio il est allé directement se laver et ai revenu avec un préservatif
je me suis agenouillée devant lui je l’ai caresse pour le faire durcir et lui passer le préservatif.. j’ai ensuite commencer a le pomper oui le pomper pas le sucer
ma tête allait et venait sur sa bite sans chercher a lui donner vraiment des sensations un acte mécanique pour le vider le plus vite possible..

Lorsqu’il a joui j’ai sentir son sperme gicler dans le caoutchouc sur ma langue.. drôle de sensation..


Il s’est tout de suite habille et est reparti

j’ai réussi à gagner 800€ dans la nuit

J’ai eu de tout des habitues des putains quelques jeunes plus ou moins avinés. Il en fallait pas se dégonfler devant les copains.. entrant avec moi timidement repartant fiers d’eux

En une nuit j’avais rencontre le pan le plus triste de la société composé le plus souvent d’hommes rejetés, isoles, très timides et renfermes sur eux même, les putains étant les seuls êtres humains auprès desquels il pouvaient obtenir quelque chose, oserais je dire un peu de bonheur..

j’ai aussi discuter avec quelques filles .. qui m’ont expliquer qu’elles avaient de la chance de travailler dans cette rue pas comme celle qui tapinent sur les boulevard extérieurs manquées par des roumains ou des bulgares ou les filles étaient vraiment traitées comme des animaux ne pouvaient rien refuser ni même repousser une personne trop sale ou répugnante..

Elles m’ont aussi dit que si j’avais gagne autant d’argent cette nuit c’était au bénéfice de la nouveauté.
. même sur le trottoir tout le monde se précipite pour essayer les nouveautés mises sur le marcher

Mon maitre est venu me récupérer vers 10h j’étais épuise par cette nuit blanche
pendant laquelle je n’avais pas joui une seule fois.

Une première depuis quelques temps. Mais je n’étais pas la pour cela et chaque passe était trop courte même si quelque part faire le trottoir contrairement a ce que l’on pourrait penser m’a troublée.. un autre manière d’être soumise avilie humiliée …


- Voilà maintenant tu es une vraie putain.. -donne moi l’argent

- voilà maitre

- Et moi je n’ai pas droit à une partie.

- tais toi chaque chose en son temps

j ai pris un bon bain très chaud puis je me suis couchée vers midi je n’ai émerge que vers 1 h du matin..

Bien réveillée je me suis installée bien emmitouflée dans un gros peignoir pour réfléchir faire le point sur tout ce qui m’est arrive depuis ce dernier mois

D’une femme très peu attirée par le sexe, assez peu sensuelle, j’étais devenue une nymphomane avide prête à tout pour ressentir des jouissances de plus en plus extremes..

plus je m’avilissais plus je m’humiliais plus mes orgasmes étaient puissants.. Jusqu’à me jeter dans les pattes de Simonard qui a su profiter de la situation pour me faire aller encore plus loin.. plus bas dans la fange en faisant de moi son objet et maintenant une putain. De plus j’ai du démissionner de mon travail. Pour devenir free lance.. malgré le fait que je couche maintenant avec mon directeur rien ne dit qu’il me donnera assez de travail pour que je puisse continuer à vivre selon le train de vie que j’avais jusqu’ici… Si je peux toujours faire la pute..

L’avenir n’était pas du tout sûr mais le côté positif était les sensations que je ressentaient les orgasmes déments que connaissais..

j’étais devenu accro à toutes ces situations les plus glauques, les plus avilissantes elles étaient devenues indispensables à mon bien être physique et mental
Etais je perdue folle déséquilibrée ??
sûrement un peu de tout cela mais je devais et je voulais assumer .


Et Simonard dans tout cela Mon Maitre ou veut il aller quel est son but .. Il m’est impossible de parler avec lui à chaque il me coupe la parole.et pour l‘argent j’en ai besoin puisque je n’ai plus de salaire..





Je me suis à nouveau endormie sur mon canapé cette fois ci vers 5H du matin.

J ai été réveillée vers 10H par l’odeur du café. Simonard enfin mon maitre en avait préparée.

- Tiens bois ca.

- Maitre nous devons parler

- Tais toi je n’ai rien a te dire

- mais moi si ..

et il m’a giflée comme toujours impossible de parler

- Ta formation arrive à sa fin, demain sera la dernière étape .. là nous parlerons la pute !!

J’étais en formation.. je ne savais pas. Mais le positif nous allions parler peut être après demain.





demain tu viens chez moi à 3 heures nue sous ton imper sauf ton collier d’esclave ta chaine et bien sur chaussée d’escarpins

- repose toi tu vas avoir besoin de toutes forces la pute

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!