Baise Avec Le Chroniqueur Télé

Vous êtes sur votre appli de rencontre préférée, quand vous êtes sollicité par un profil vide. Vous prêtez peu attention à ce genre de discussion, l’expérience vous a montré que beaucoup de ces profils étaient bidons. Vous répondez distraitement aux questions posées par le type: oui vous êtes actif, oui bien monté, oui vous pouvez recevoir... Il se présente comme un jeune mec de 23 ans, versa, discret... bref vous n’etes pas emballé, d’autant plus que, parallèlement à lui, vous discutez avec un autre type qui vous chauffe beaucoup plus.
Le premier type revient à la charge et vous demande des photos. Comme vous l’avez expliqué, n’attendant rien de lui et toujours aussi distraitement vous envoyez des photos classiques avec votre visage, une de vous torse nu et une de vous debout en maillot, photo prise l’été dernier. Vous lui plaisez, vous répond-il. « C’est déjà ça !», pensez-vous. Comme souvent sur cette appli au bout de quelques minutes, vous décrochez. Cette fois-là n’échappe pas à la règle, au bout d’une dizaine de minutes vous abandonnez votre téléphone pour vous faire un café, lire un magazine. Vous ne reprennez votre téléphone qu’un peu plus tard. Vous relancez l’appli pour découvrir que le mec que vous aviez envie de voir avait disparu, par contre le profil vide est toujours en ligne et vous demande plus de photos.
« Désolé, pas de photos hot pour un profil vide » La réponse arrive quelques secondes plus tard. Il est discret ...vous demande de le rester. Bref, ça commence à vous gonfler. Comme vous ne réagissez pas au bout de quelques minutes il vous balance deux photos: une d’un corps plutôt mince et imberbe et une autre qui semble être une jolie capture d’écran d’un compte Instagram. Vous en êtes d’autant plus sûr que le hasard veut que quelques jours plus tôt, un de vos amis vous a montré ce minois- plutôt mignon au demeurant - de ce chroniqueur télé.
En découvrant la photo vous éclatez de rire, tout en pensant que sans votre pote, vous seriez peut être tombé dans le panneau.

Vous êtes de bonne humeur, vous décidez de jouer le jeu.
« Pas mal » lancez-vous. Et amusé de la future réponse vous demandez : « dispo quand ? ». C’est généralement à cette question que les mythos sont obligés de se dévoiler. Impossible pour eux de donner une réponse claire et vous vous amusez souvent du farfelu de leur réponse. D’aucuns ne répondent jamais et disparaissent.
« je peux être là dans une demie-heure ». La réponse vous surprend. Mais vous décidez de jouer le jeu.
« très bien. Voici mon téléphone et comment venir chez moi ». Vous lui communiquez les informations et vous attendez sa réponse. 2 minutes passent puis 10. Le profil passe en hors ligne.
Vous êtes pris à votre propre piège. Vous ne savez pas à quoi vous attendre. Viendra ? Viendra pas ? Vous êtes pris d’un doute en regardant à nouveau la photo. Pourtant il vous semble bien reconnaître le mec dont on vous a parlé.
Par précaution, vous décidez de faire un brin de toilette. Vous changez de chemise pour un modèle cintré dont vous retroussez les manches. Votre pantalon chino va bien avec donc inutile d’en changer. Vous ouvrez les deux premiers boutons de votre chemise pour laisser apparaître votre torse poilu.
Vous êtes en train de jeter un dernier coup d’œil à votre reflet lorsque votre interphone sonne. Satisfait de l’ensemble vous parcourez votre appartement pour répondre.
- salut c’est p....
- 5e étage, précisez-vous avant d’appuyer sur le buzzer.
Quand vous ouvrez la porte trois minutes plus tard, vous réalisez que devant vous se tient bien le fameux chroniqueur. Vous le faites entrer. Vous en profitez pour le regarder un peu mieux. Il est pas mal. 1m76 diriez-vous. Les cheveux longs... propres. Il a un drôle de look qui vous semble un peu loufoque. Son pantalon, son teeshirt et sa sur-chemise vous empêche d’avoir une idée réelle de son corps. Il a cependant une bonne tête et une très belle bouche.
Vous lui proposez un café ou une boisson qu’il accepte avec plaisir.
Pour lancez la conversation vous lui dites que son visage vous est familier. Il se lance alors dans une longue explication de ses différentes activités. En l’écoutant vous le trouvez un peu prétentieux et surtout très jeune. Le déballage de sa notoriété ne vous intéresse guère. Il vous raconte qu’il a du interviewer une grande star américaine la veille d’un examen. Si l’anecdote doit impressionner certains, ça ne vous fait ni chaud ni froid. Par contre, plus il parle plus sa gueule vous plaît. Vous commencez même à sentir votre paquet qui se met à frémir. C’est bon signe.
Vous profitez d’un silence dans la conversation pour lui demander :
- ça te dérange si je me pose à côté de toi ?
- Non,non, vas-y je t’en prie, vous répond-il.
Vous vous asseyez donc à ses côtés. Assez proche pour lui montrer que vous allez passer à l’action. Un silence s’installe. Vous le sentez un peu nerveux. Vous poser gentillement votre main sur sa cuisse.
- tout va bien ?
Il se tourne vers vous en souriant. Il a peine commencé vous répondre oui que vous vous approchez de son visage. Vos lèvres se posent doucement sur les siennes. Elles sont douces et fermes. Il vous rend votre baiser. Vous entrouvrez votre bouche pour sortir votre langue. Doucement, vous caressez du bout de votre langue ses lèvres. En réponse il ouvre la bouche. Votre langue s’engouffre. D’abord délicatement puis de plus en plus fougueusement vous lui roulez une pelle. Pendant ce temps de votre main gauche vous lui caressez la tête pour vous permettre d’aller de plus en plus profondément dans sa bouche. Elle est délicieusement humide et chaude. Vous sentez que ça va être un délice d’y enfoncer votre queue. Il vous rend maintenant complètement votre baiser. Vous laissez sa langue jouer avec la vôtre. Il vous embrasse désormais avec passion. Quant il s’arrête c’est pour entreprendre de vous déboutonner la chemise. Vous remarquez que son sexe est en erection et que son pantalon est tendu au niveau de son entrejambe.
Ses mains se mettent à caresser votre torse. Il semble en apprécier la pilosité et les muscles.
- Je kiffe trop ton torse, vous confie-t-il
Et sans attendre votre réponse il commence à vous embrasser les pecs puis il se met à lécher vos tétons pour enfin descendre le long de vos abdos. Il semble beaucoup aimer vous lécher.
Vous vous redressez pour lui permettre de dégrafer votre ceinture. Un peu précipitamment ment à votre gout, il baisse votre pantalon et votre boxer. Votre sexe surgit au niveau de son visage.

Comme souvent, votre queue impressionne. La nature vous a généreusement doté. Certains diront trop mais P... semble plutôt déterminé. A genoux devant votre queue, il retire enfin son pull et son teeshirt informes et vous révèle avec surprise un torse assez lisse avec de belles épaules bien dessinées - votre pêché - des bras musclés assez dessinées. Ses tétons roses contrastent avec sa peau blanche et ses aiselles brunes. Un dégradé de poil en triangle descend de son nombril pour rejoindre son pantalon qu’il a d’ailleurs gardé.
P... s’empare de votre sexe qui bande à moitié pour le mettre dans sa bouche. Ce contact chaud et humide vous fait dresser directement. Son beau visage est très excitant avec votre chibre dans sa bouche. Ses lèvres douces enserrent votre sexe. C’est très agréable. Il entreprend de commencer à faire des allers et retours. Vous sentez que l’épaisseur de votre queue le gêne un peu. P... a du mal à la gober. Pour bien faire il faudrait qu’il ouvre plus la bouche et qu’il pense moins à son confort. De même qu’il ne cherche pas à relever la tête pour vous permettre de l’admirer en train de vous sucer. Vous avez beau lui caresser le front pour lui suggérer l’idée, il n’en fait rien. Vous ne voulez pas faire le forceur alors vous vous contentez de cette pipe même si elle est décévante. Vous remarquez aussi qu’il se dit versa mais semble ne pas avoir un grand désir que vous le suciez. « pas si versa que ça » pensez-vous.

Au bout de quelques minutes, vous décidez que vous alliez quand même prendre votre pied. Gentillement, vous le relever. Et pendant que vous l’embrassez à nouveau, vous déboutonnez son pantalon et faites tomber son fut et son boxer. Alors que le voici nu à son tour vous le prenez par la main et vous l’entraînez dans la chambre. Après l’avoir à nouveau longuement embrassé, vous le jeter d’un geste vigoureux sur la lit et le retourner pour qu’il soit en position adéquate pour que vous le baisiez. Vous notez qu’il semble apprécier cette prise en main un peu viril. Puis, de votre main gauche vous chercher votre matériel que vous aviez préparé et mis à proximité. Discrètement vous mettez un peu de gel. A l’aide d’un peu de lubrifiant, vous commençez a le doigter. Vos doigts s’enfoncent assez facilement.
- doucement, mon gars ! Vous prévient-il en poussant un gémissement dont vous ne parvenez pas à comprendre s’il est de plaisir ou de malaise.
« ton gars il va te défoncer le cul » pensez-vous immédiatement.
Une fois votre capote XXL mise, et P.. bien préparé, vous posez votre gland à l’entrée de son trou bien rose. La taille de votre sexe vous oblige à être précautionneux et doucement à l’aide de votre pouce vous pénétrez du bout du gland dans sa cul. P.. se cabre immédiatement et pousse des petits gémissements qui vous semblent peu virils mais de bon augure. Encore quelques secondes et votre gland rentre entièrement dans son cul. Il pousse un cri de douleur mais vous ne vous démontez pas.
- voilà! J’y suis, lui dites-vous
- Putain elle est vraiment balèze.
Il n’a pas fini sa phrase que vous en profitez pour donner un coup de rein. L’avancee de votre queue lui fait pousser un cri. Mais la chaleur de son cul vous encourage à le pénétrer encore un peu. Votre queue est trop longue et trop grosse pour que vous la rentriez en entier alors vous commencez à faire des allers et retours dans son cul. Il est d’abord très serré ce qui est un vrai kiffe. Vous devez vous concentrez pour garder un rythme confortable pour lui. Après quelques allers et retours, P.. se décontracte un peu plus et vous pouvez faire glisser plus aisément votre queue en lui. Il gémit de plus en plus. Son conduit est chaud, serré et accueillant. Vous l’empoignez par les hanches pour bien le pénétrer. Vous imprimez une cadence de plus en plus rapide pour lui faire du bien. Ses fesses un peu plates, se plissent sous vos mains et vous devez vous retenir pour lui mette une grande claque. Au contraire, après avoir craché dedans, vous glissez votre main droite sous lui pour lui agripper le sexe. Vous le branlez au rythme de la cadence de vos coups de rein.
P... se redresse et à l’aide de son bras droit, vous att la nuque pour vous embrasser. Ses tétons sont dures et aussi érigés que son sexe. Il soupire de plus en plus. Un coup d’œil à sa queue et vous remarquez que ses couilles sont très serrés et que de son gland s’écoule un liquide très clair alors que vous le branlez.
Or, vous ne souhaitez pas encore qu’il jouisse. D’un geste un peu vif vous le repoussez et le retournez. Le voici le dos sur le lit. Vous l’empoignez pas les cuisses et d’un coup sec vous le ramenez près du lit. Cette fois-ci, vous le pénétrez plus violemment et d’un coup sec. Vous lui épargnez les 3 derniers centimètres de votre queue .. comme il entreprend de se branler vous lui saississez les deux mains que vous lui plaquez derrière la tête. Et là, tout en le regardant droit dans les yeux, vous vous enfoncez complètement en lui. L’entrée de vos trois derniers centimètres, qui sont les plus gros, votre sexe étant plus épais à la base, lui arrache un cri de plaisir. Une fois entièrement en lui vous commencez à vraiment le baiser. Le bruit de vos coups de rein claquant sur son cul accompagne vos gémissements. Il est désormais complètement ouvert. Vous vous régalez. Son corps est tendu au maximum. Son beau visage est crispé sous le plaisir. Ses tétons et son sexe sont durs. Vous êtes en train de le besoignez depuis une dizaine de minutes que vous l’entendez dire :
- Oh putain
Et immédiatement après de son sexe jaillissent de longs jets de sperme chauds et odorants qui viennent s’écraser contre son ventre. « Il a jouit sans même se toucher le coquin » pensez-vous. Du coup, vous vous mettez à le baiser encore plus frénétiquement et trente secondes après vous lâchez vous-même prise en giclant à votre tour grâce à l’étroitesse de son conduit.
Essoufflé vous vous effrondez sur lui. Votre sexe est encore en lui qu’il pulse toujours de plaisir. Au bout de quelques secondes vous reprennez conscience et roulez sur vous-même. P.. vous demande s’il peut aller se nettoyer un peu. Vous lui indiquez la salle de bain. Alors qu’il s’éloigne vous en profitez pour retirer la capote que vous nouez. Vous retournez dans le salon où vous enfilez votre boxer et votre chemise que vous ne boutonnez pas.
Lorsque P.. sort de la salle de bain, il entreprend de se rhabiller. Vous lui demandez s’il veut quelque chose à boire, il vous remercie mais décline et précisant qu’il est attendu à une soirée hyper sélect.
Vous l’écoutez distraitement alors qu’il ramasse ses affaires.
- au fait, vous demande-t-il, tu me files ton numéro s’il te plaît? Tu ne me l’as pas donné.
- Ah oui bien sûr.
Après avoir enregistré votre numéro, P.. s’échappe rapidement. Vous avez à peine refermé la porte derrière lui que votre téléphone tinte. C’est votre ami Pascal qui vous invite, si vous etes disponible, à le rejoindre prendre l’apéritif. Après avoir rapidement convenu d’un lieu, vous jetez votre téléphone sur votre canapé en vous demandant si vous alliez avoir le culot de lui dire que le petit mignon qu’il vous avait montré la dernière fois, venait de gicler comme un bon passif dans votre lit....

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