Souvenir De Jeunesse - 4 : Tout Ça Pour Un Maillot De Bain.

Encouragé par les commentaires, j’ai décidé de vous faire partager le premier récit que j’ai écrit il y a un peu plus d’un an. Il concerne notre rencontre Martine et moi, avant les souvenirs déjà publiés.

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Nous avons la soixantaine, et deux grands s. J'ai pris ma retraite il y a 2 ans, mon épouse depuis le début de l'année. Nos relations sexuelles sont moins intenses que lorsque nous nous sommes connus, mais nous avons encore de l'imagination, pour notre plus grande satisfaction.

Souvenir, souvenir ... je me souviens de tous nos jeux érotiques, en 40 ans il y en a eu de nombreux… Commençons par le commencement, nous nous sommes connus elle avait 19 ans, moi 22, nous étions étudiants. Je logeais en cité U, elle louait une chambre dans une famille et gardait les s à l'occasion, mais retournait chez papa-maman tous les weekends.

Nous étions beaux, nous étions jeunes... ma femme, Martine, est un petit modèle, très ta, cheveux courts châtains clair, seins ronds bouts très sensibles, un beau petit cul rebondi superbe dans un pantalon moulant (et s'il est blanc hummm). Moi, Patrick, grand, le sport que je pratique par intermittence m’a permis de garder la ligne, comme Martine d’ailleurs dont le corps attire toujours les regards à l’approche de la soixantaine.

Nous ne vivions pas ensemble, à cette époque cela ne se faisait pas, nous profitions des moments passés dans ma chambre d’étudiant. Très vite j'ai pu la voir nue, elle aimait que je la déshabille en la caressant, elle aimait que je la regarde, que je regarde ses seins, ses fesses, son sexe, sans fausse pudeur elle aimait se montrer à moi, je la découvrais. Nous avons attendu 3 mois avant de faire l'amour, nous hésitions, sans véritable expérience. J'aimais qu'elle me raconte ses aventures passées, comment avait été sa première fois (en vacances avec un cousin à 16 ans), puis ses différents petits amis, je lui demandais toujours plus de détails, ça m'excitait de l'entendre décrire ces moments intimes, je l'imaginais .

.. elle avait aussi l'air d'aimer me raconter. Nous nous faisions des confidences, sans savoir si nous allions rester ensemble longtemps.
De mon côté, j'avais peu d'expérience, quelques flirts, pas de liaison durable, j'avais juste couché avec 3 copines, dont une pendant 6 mois. J'étais aussi très voyeur, et aimait regarder une femme nue sans qu'elle ne me voit, toutes les occasions étaient bonnes. J'avais commencé à l'âge de 13 ans, en regardant par la fenêtre de ma chambre dans l'appartement d’en face, où j'ai pu 2 ou 3 fois apercevoir une voisine se promener chez elle en petites tenues ou sortant de la salle de bain. A l’époque c’était divin… mes premières branlettes.

Assez novices tous les deux, nous allions tout apprendre ensemble. Elle a pris la pilule dès notre premier rapport, sans en parler à ses parents bien sûr. En ce temps-là, sans le sida, le risque était un bébé. On parlait de capote pas de préservatif, je n'en ai jamais utilisé avec elle, j'avais confiance en la pilule.

Afin de rendre plus agréable la suite de ce récit, je me projette 40 ans en arrière, en utilisant le présent.
Beaucoup de femmes se reconnaitront dans cette situation que nous avons réellement vécue. J’y ai rajouté quelques fantasmes bien masculins, mais tous les lecteurs feront facilement la différence entre notre vécu et mon imaginaire.

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Les années ont passé, nous étions amoureux, nous avons décidé de nous marier. Belle réunion de famille pour nos fiançailles ... le bonheur.

Elle avait presque 22 ans, moi 25. La fin de l’année arrivant, nous décidons de passer des vacances d’été au bord de mer, avec nos amis, étudiants comme nous, faire du camping sur la côte vendéenne, grande plage de sable en bordure de la forêt.

Un peu avant nos fiançailles, elle décide de s’acheter un nouveau maillot de bain. Nous allons dans une boutique de lingerie près de chez ses parents, elle avait l’habitude d’y aller avec sa mère.
Ce jour-là nous y allons tous les deux ensembles. C’est la première fois que j’entre dans ce temple de la féminité. Elle discute avec la vendeuse et choisi un soutien-gorge, me montrant les différents modèles, la taille des bonnets, la couleur, la dentelle, la vendeuse me demande mon avis, je suis un peu gêné, ne sachant quoi dire, je rougis. Martine suit la vendeuse pour essayer quelques modèles, j'attends sur une chaise près du comptoir, espérant qu’aucune cliente n’entre.

Le choix fait, Martine regarde les maillots de bain, elle choisit un 2 pièces mini, la vendeuse m'appelle pour voir si ça me plait. Superbe, la voir dans ce contexte hummm. Elle en essaye plusieurs, hésite, passe de l’un à l’autre, les soutien-gorge, les culottes, se mettant seins nus et petite culotte devant la vendeuse. Je suis surpris qu'elle le fasse si facilement, presque nue, comme chez un médecin. Elle hésite encore.

Certains assez petits laissent plus que deviner ses formes, la vendeuse nous signale :
- Attention au blanc, lorsqu'il est mouillé, on voit tout, les tétons, les lèvres ...

Je l’imagine …
Moi, charmé et excité, je les aime tous. Pour l'aider à choisir, la vendeuse appelle le patron pour avoir l’avis du spécialiste. Un homme d'environ 50 ans un peu bedonnant arrive devant le rideau grand ouvert, ma future dans un mini maillot face au miroir qui couvre les parois de la cabine.

- Bonjour mademoiselle, comment allez-vous ? Et comment va madame votre mère ?

Je ne savais pas qu’ils pouvaient si bien se connaitre. Ma femme répond naturellement, sans être troublée.
- Elle va bien, merci. Je viens pour un maillot de bain, avec Patrick, mon futur mari, Et oui, je me marie. Nous partons bientôt en vacances.

Il la regarde, la fait tourner en la tenant par les hanches, regardant bien les fesses à peine couvertes, les seins tout juste cachés. L’œil de l’expert… Martine se laisse faire, j’ai l’impression qu’elle ne s’aperçoit pas qu’il pose les mains sur elle… je suis intrigué, .
..
- C’est bien, il vous va parfaitement.
- J’hésite avec ses autres modèles, voyez,

Et sans complexe, Martine enlève son soutien-gorge, et le bas du maillot entrainant un peu sa culotte, fesses à moitié nues vite recouvertes. Elle passe alors d’un modèle à l’autre, revient au premier, reprend le dernier, mélange les bas et les hauts …A chaque modèle elle se retrouve seins nus et petite culotte à quelques cm de cet homme, qui l'aide à enfiler les maillots, lissant les fesses pour enlever les plis, arrangeant les seins pour bien positionner les bouts dans le soutien-gorge. Sans aucune gêne, elle le laisse la toucher, presque la caresser, devant moi, sans y réfléchir, cela parait naturel, normal. Pendant une bonne vingtaine de minutes, elle passe d'un maillot à l'autre, ne pouvant pas choisir, j'ai l'impression qu'elle fait durer le plaisir.

Enfin elle se décide, la vendeuse me dit, venez régler ses achats pendant qu'elle se rhabille. Je la suis.

En me retournant, je vois que le patron reste devant la cabine d'essayage rideau toujours ouvert. Je me dis « il est gonflé, il en profite au maximum ». A la caisse, je perds Martine des yeux, mais grâce au miroir sur le côté de la cabine, je la vois de profil, seins nus, juste en petite culotte, se regardant dans la glace, le patron la tient par les hanches et lui parle de je ne sais quoi, je n'entends pas d’où je suis.
Tandis que je paye, mon regard est toujours attiré par la cabine, je constate que ma future femme n'a pas encore commencé à se rhabiller, elle discute, le patron lui passe la main légèrement sur les cuisses, puis remontant lui met les deux mains sur les seins tout en lui parlant, face au miroir. Je les vois de profil dans le miroir de côté. Martine écoute, ne semble pas gênée. De quoi parlent-ils ? Il ne la caressait pas, non, mais ses mains ont emprisonné ses seins quelques instants. Cela n’a pas duré longtemps, mais ça m’a semblé une éternité.

La vendeuse, un petit sourire aux lèvres me dit d'attendre un peu.
Un peu honteux, je suis à l’étroit dans mon pantalon, j’espère que ça ne se voit pas.

Cinq minutes après, Martine arrive, un grand sourire aux lèvres, et innocemment :
- Ça y est… Tu as déjà payé ?

Dans la voiture je n'ose rien dire, ne voulant pas étaler une jalousie naissante. Mais il me faut savoir ... négligemment je lui demande :
- Ça se passe toujours comme ça ?
- Comment comme ça, que veux-tu dire ?
Se moque-t-elle de moi ?
- Ça ne t’a pas dérangé de te mettre nue devant ce type ? J'ai l'impression qu'il appréciait le spectacle.
- Tu es jaloux ? Tu es bête mon chéri, quand on essaye de la lingerie il faut bien se déshabiller. Tu sais il en a vu d'autres, c’est un professionnel, je ne suis pas sa seule cliente.
- Mais tu acceptes qu'il te caresse ?
Là, elle est un peu troublée, aussi l'air de rien :
- Il m'aidait juste à enfiler les maillots et à les régler. Les vendeurs sont là pour aider, et faire en sorte que le vêtement aille bien.
- Et quand je suis allé payer, vous discutiez de quoi ? Que te disait-il ?
- Rien de particulier… Que les maillots m’allaient tous bien, que j'avais fait le bon choix, que j'aurais du succès sur la plage, que j'étais bien faite, pas de cellulite sur les cuisses.
- Là, je suis bien d'accord avec lui… Et c'est tout ?
- Oui pourquoi ? dit-elle innocemment.
Moi tout aussi innocemment :
- Tu as aimé qu'il te caresse les seins ?
Là, elle réalise que je l'ai vu, un peu gênée mais sans se démonter :
- Tu es bête, je n’aurais jamais accepté qu’il me touche, il a juste voulu vérifier la taille du soutien-gorge, car il a constaté que j’avais les seins un peu plus gros que la dernière fois.
Elle se penche vers moi et me fait une grosse bise.
- Tu le connais depuis longtemps ?
- Bien sûr, c'est chez lui que j'ai acheté mon premier soutien-gorge avec ma mère, j’avais 11 ans, une toute petite poitrine, que des petits tétons. Depuis il m’a toujours très bien conseillé.

En arrivant dans ma chambre d'étudiant, je lui propose de réessayer son maillot, juste pour moi. Je la déshabille en l’embrassant, debout face au miroir de la salle de bain … je joue au vendeur, je lui place les seins dans son soutien-gorge, je lui caresse les fesses … on se regarde dans la glace, on se sourit, on s’embrasse … je lui enlève son maillot, elle est nue, son image dans le miroir me fait prendre conscience de ce que voyait le vendeur. Je me déshabille, et nu me colle à elle, mon sexe déjà bien raide contre ses fesses. Ses yeux se ferment, la tête en arrière, je l’embrasse dans le cou, elle m’offre ses lèvres …mes mains empoignent ses seins, je la caresse amoureusement, pince légèrement ses tétons, je me frotte contre elle, je la sens prête…

Tout à mon plaisir, et au sien, mon esprit se met à vagabonder, nous sommes encore dans la boutique de lingerie :
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« Nous sommes encore dans la boutique de lingerie, tu es seins nus face au miroir, le patron te regarde, te complimente, toi l’air de rien, tu essaie plusieurs modèles. A chaque nouveau maillot, il t’aide,
- Il faut bien placer le sein dans le bonnet, là, le bout bien au centre.
…
La vendeuse m’entraine à la caisse pour payer. Le patron reste avec toi. Je ne vois pas toute la cabine qui est un peu en biais, mais le rideau est toujours ouvert, je vois juste tes fesses qui dépassent un peu, mais je te vois bien de profil dans le miroir de côté. Le patron est juste derrière toi, passe sa main sur tes fesses, sur tes cuisses, puis tout doucement baisse ta culotte, l’enlève et la pose sur tes vêtements qui attendent sur le tabouret dans le coin. Il te regarde nue dans le miroir, ses mains partent de tes hanches, remontent doucement sur tes seins, il te caresse, frôle tes tétons, tout ton corps frémis. Te regardant bien dans le miroir, ton ventre attire son regard. Une main descend, caresse ta toison brune, atteint ta fente, écarte un peu tes lèvres, enfonce un doigt, c’est doux, soyeux. Il apprécie en connaisseur, tu te laisses aller, fermes un peu les yeux goutant le plaisir qui commence à monter en toi. Ce n’est pas la première fois que ses mains sont sur toi, la mémoire du corps.

Il te penche en avant, place tes mains sur le miroir, et sans attendre baisse son pantalon, son caleçon. Je vois de profil tes fesses bien cambrées, son sexe tendu, le gland décalotté, il se colle à toi, se couche sur toi, se frotte sur tes fesses, entre tes fesses, te caresse les seins à pleines mains.
Il se relève, prend sa bite à la main et passe son gland sur le sillon depuis le bas du dos jusqu’à ton sexe humide. Un frisson te parcoure de la tête au pied, il recommence une fois, deux fois, tu frisonnes de plus en plus, ta respiration se fait plus forte, tu te cambres au maximum allant à la rencontre de ce sexe que tu imagines, ta tête touche le miroir, tu t’y appuie, tes mains vont sur tes fesses qu’elles écartent le plus possible, il se recule, regarde ta rondelle bien exposée, ta vulve dont les lèvres frémissent, brillent de l’humidité naissante. Il recommence de haut en bas, de bas en haut, avec son gland il te caresse le sillon, s’attarde sur ton petit trou, tes lèvres, et remonte lentement. De profil, je ne perds rien du spectacle. Il s’arrête devant ton petit trou, son gland s’y frotte, il redescend un peu, caresse tes lèvres, les forcent à s’écarter, d’un coup de rein, son gland s’enfonce en toi, puis toute sa tige investi ton intimité, tu sursautes surprise, tu fermes les yeux, ouvres la bouche comme si tu avais arrêté de respirer. Son membre est en toi, il commence un lent va et vient, qui s’amplifie, on a l’impression qu’il va de plus en plus profond à chaque passage, tes yeux sont brillants, ravit, un instant de bonheur inonde ton visage.

Comme je regarde ma montre, la vendeuse me dit
- Asseyez-vous, elle n‘en a plus pour très longtemps …

Le patron continue son exploration, il te tient par les hanches, te pilonne encore et encore, dans le miroir je vois son sexe qui entre, qui sort, son gland dehors, ta chatte semble en redemander, entendant cet appel, il te pénètre à nouveau, tu tends bien les fesses pour qu’il puisse aller le plus loin possible, il cogne tout au fond de toi, puis se colle à toi, tu pousses tes fesses, son sexe bien à fond, comme tu aimes. Ta respiration s’accélère. Il te remplit entièrement, il ouvre la bouche mais aucun son ne sort, ses fesses se crispent, je prends conscience qu’il t’envoie ses jets puissants, il se déverse en toi, remplit ta petite chatte. Un large sourire sur tes lèvres, je sens ton orgasme arriver, le corps tendu, juste un petit cri.

Le patron remonte son pantalon et part dans son bureau. Tu te redresses, un peu étourdie. Tu fermes vite le rideau pour te rhabiller ...

La vendeuse lève la tête, elle a entendu ton cri, elle a un large sourire :
- Ce ne sera plus très long maintenant,

Cinq minutes s’écoulent, tu arrives, souriante.

La vendeuse te tend un petit sac avec tes achats, elle te sourit en disant :
- Au revoir mademoiselle, revenez nous voir, nous avons une très belle collection pour votre mariage. Ça plaira à votre mari.
En sortant, Martine se colle à moi, m’embrasse tendrement,
- Je t’aime … »

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- Je t’aime …

La voix de Martine me ramène à la réalité, elle vient de jouir, un orgasme puissant la traverse, elle me regarde amoureusement. Moi aussi, sans m’en rendre compte, j’ai joui au plus profond de son intimité, comme dans un rêve. C’est mon jet qui a déclenché son orgasme.
Nous sommes toujours debout, Je suis couché sur elle, les mains sur sa poitrine, sa tête est appuyée contre le miroir. Tout son corps est maintenant décontracté.
Elle se redresse, satisfaite.
Je regarde son image dans le miroir, nue face à moi, je la serre bien fort, elle tourne un peu la tête, nous nous embrassons.

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La morale de cette histoire : Ce jour-là, j'ai découvert que les (ma) femmes se déshabillent sans fausse pudeur devant un vendeur, que ma future femme aime se montrer nue, mais surtout que je suis excité que d'autres hommes puissent la voir.
Ce ne sera pas la dernière fois…

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