Ashley - 1 Quitter Notasulga.
Notasulga, Alabama, le 6 juin 2028
Dix-huit ans, enfin ! Ce matin, je quitte la famille chrétienne qui maccueillait. Jai un sac avec quelques vêtements, une brosse à dents, deux livres...
Je nai vécu avec ma mère que sporadiquement, entre ses séjours en cure de désintoxications. Je nai jamais connu mon père... À son sujet, ma mère a plusieurs versions. La mienne est quil sagissait dun client. La dope, ça coûte cher...
Jai un peu dargent reçu à droite à gauche et parfois "trouvé", si vous voyez ce que je veux dire. Je me devais de parler de mon enfance, cest fait, donc je ny reviendrai plus.
En ce qui me concerne, je mesure 1 m 65 et pèse 55 kg, mes mensurations sont 92 cm de tour de poitrine, 88 cm de tour de hanche et 62 cm de tour de taille. Jai des cheveux bruns et des yeux gris-vert. Mon visage est régulier, jai un petit nez et une bouche ourlée naturellement. Je plais beaucoup aux garçons et même aux filles...
Je sais que mon accent du Sud est prononcé, mais ça, je peux y remédier. Je manque aussi dinstruction, ça peut également sarranger. Je mise tout sur mon physique. Mon but, cest la ville, la vraie : dabord Atlanta, la capitale du Sud, ensuite Los Angeles. Là, je rencontrerai des hommes riches et jaurai une vie de luxe. Dans mes rêveries, je mimagine en robe blanche épousant un vieux bonhomme richissime... Je vais embellir ses dernières années ou, encore mieux, ses dernières semaines.
Pour commencer, je dois parler de la situation politique. En 2024, le sénateur du Mississippi, John D. Birch est devenu le nouveau président des États-Unis. C'est un Républicain pur et dur. Les démocrates disent quil a eu le soutien du KKK et des partis ultranationalistes. Peut-être, mais ça nempêche pas que ce sont les Américains qui lont élu. Le président Birch a fait campagne en parlant de l'insécurité et des mesures qu'il compte prendre pour y remédier. Comme emprisonner les gens coûte très cher à la société, il a fait voter la loi suivante : un condamné à une peine de moins de dix ans doit payer une somme d'argent qui remplace la peine de prison.
À tel point que des sociétés étrangères viennent s'installer aux États-Unis, attirés par cette main d'oeuvre. Y compris des usines chinoises. Bien sûr, ces amendes à payer favorisent les riches et la classe moyenne. Les gens revendus sont principalement des "petits Blancs", des Noirs et des Hispaniques. On prétend que les juges fixent des amendes très importantes quand il s'agit de jolies filles. Ça me rend très prudente, mais c'est leur but...
On parlait beaucoup de cette situation dans ma dernière famille d'accueil. Ils disaient même "Quand on n'aura plus Ashley, on achètera une fille ou deux."
Cette loi est très récente et à Notasulga, il n'y avait que quelques esclaves. Tout le monde les appelle des esclaves. Il y avait surtout des ouvriers agricoles et quelques servantes, noires et blanches. Par exemple, un riche propriétaire terrien avait deux esclaves comme servantes. Il est très facile de les reconnaître car elles ont des colliers de fer ou d'un autre métal autour du cou. J'ai assisté à une scène qui m'a marquée : dans la cour de la grosse ferme, une esclave blonde était couchée sur une grosse souche, la jupe relevée et ses fesses blanches à l'air. Une femme la fouettait tout en l'engueulant pour sa paresse. J'étais fascinée par le claquement du fouet sur les fesses, les plaintes de la fille, les reproches de sa patronne... Je repensais tout le temps à cette scène. J'ai donc décidé de devenir célèbre et d'avoir des esclaves que je punirais... si elles le méritent, bien sûr.
Ah oui, je mappelle Ashley Stirland... et mon but, c'est d'aller à LA pour devenir une vedette.
Ayant quitté Ploucland sans aucun regret, je marche sur le bord de la route avec mon petit sac et je fais de l'auto-stop.
Pas besoin dagiter le pouce longtemps, mes fesses vraiment à létroit dans mon jean se chargent du boulot. Il y a 125 miles jusquà Atlanta.
La première voiture qui sarrête, cest... Madame Mosby, qui a été mon institutrice. Elle me demande :
Bonjour Ashley, tu veux que je te dépose ?
Bonjour Madame. Volontiers, mais je vais à Atlanta.
Tu quittes le village ?
Oui, jai 18 ans aujourdhui.
Oh ! bon anniversaire. Tu veux que je te dépose à mi-chemin ? Jai juste le temps.
Elle a toujours été spécialement gentille avec moi, alors, je lui souris en répondant :
Volontiers, merci.
Après être montée dans la voiture, elle dit tristement :
Cest peut-être la dernière fois quon se voit.
Mais non, je reviendrai au village voir mes copines et vous.
On discute un peu du passé, je vous passe les détails. Elle me demande quels sont mes projets... Impossible de lui dire que je veux épouser un millionnaire de 95 ans, alors je réponds :
Jai rendez-vous dans un restaurant du centre pour un job.
Elle me parle des dangers des villes pour une belle fille dans mon genre. Moi, jentends "bla-bla-bla", comme si on était en cours... Et puis elle pose sa main droite sur ma cuisse en disant :
Tu as toujours été ma préférée et la plus belle élève que jai jamais eue.
Oh !! Je sais bien que je lui plais, mais je ne limaginais pas me caresser les cuisses. Elle est gentille, mais avec sa cinquantaine d'années bien en chair, cest un peu comme une bonne tante. Vous voyez ? Elle ajoute :
Je serai malheureuse de ne plus te voir.
Elle ne va pas pleurer quand même ! Je réponds :
Je vous promets de venir vous voir... Je vous aime bien aussi. Jai même rêvé que nous nous embrassions.
Là elle devient toute rouge et bredouille :
Et, euh... tu... aimais ?
Oh oui ! Surtout que vous embrassiez mon minou.
Coup dil de madame linstitutrice. Nen croyant pas ses oreilles, elle me redemande :
Tu aimerais ?
Ben oui, toutes les filles aiment quon leur embrasse le minou.
Si tu savais le nombre de fois que jai rêvé de toi. On partait toutes les deux et...
OK, je vois. Je sais que je suis le fantasme de pas mal de mecs, mais de mon institutrice, ça me plaît. Jattends une proposition concrète... Ah, la voilà : elle me dit :
Si tu veux, on roule un peu et puis on sarrête pour manger dans un resto à côté dun motel, pour... euh...
Membrasser le minou ?
Elle rit, puis répond :
Oui...
Vous léchez bien ?
Oui... et je te donnerai un peu dargent.
Cool... Je réponds :
Votre programme me plaît... Il me fait même mouiller.
Nouveau coup dil. Tante Mosby aime les filles ! Dingue !
Se faire lécher la chatte par son institutrice, ça cest rock 'n roll, non ? Une sorte de revanche sur les familles chrétiennes pures et dures. On roule encore un peu, avant quelle ne sarrête devant un restaurant.
On mange, on boit une bière... Elle me regarde en se léchant les babines, pas à cause du hamburger, mais à lidée de se retrouver entre mes cuisses.
Quand on a fini, nous sortons et je mets ma casquette sur la tête. Elle me demande :
Tu crains toujours le soleil ?
Oh, elle se souvient de ça ? Je réponds :
Oui, je bronze très vite et je nai pas envie quon me prenne pour une Métisse ou une Hispanique.
Pas de danger, ma chérie.
Je suis sa chérie ! Je mimagine en classe, elle me dit : "Tu as 10 sur 10, ma chérie."
Après avoir fini de manger, elle va au bureau pour payer la réservation dune chambre. Je lattends à lombre. À sa sortie, je lui dis :
Jai soif, prenez des bières.
Oui, pardon ma chérie, jy vais.
Dépêchez-vous, jai vraiment soif.
Elle court presque et revient avec un pack de 6 bières. Il faudra quelles soient fraîches, sinon, elle retourne. On va dans la chambre. Elle me prévient :
Je dois faire pipi.
Ou se laver la chatte, mais je nai aucune intention de la lécher. Je vais lui faire une surprise : jenlève mon jean, mon tee-shirt, mes baskets et je mallonge, nue, sur le lit, un bras sous la tête. Elle sort du cabinet de toilette et stoppe net en me voyant ! Je lui plais, y a pas de doutes. Jécarte mes jambes pour quelle puisse enfin voir la chatte dune de ses élèves. Quoique, je nen sais rien après tout. Elle me murmure :
Tu es trop belle, Ashley... Je nimaginais que tu avais daussi beaux seins.
Normal, je devais mettre les vieux vêtements des femmes chez qui jétais et cétait généralement beaucoup trop grand. Je lui lance :
Déshabille-toi !
La tutoyer et lui donner des ordres, quel plaisir ! Elle enlève sa robe et ses sous-vêtements. Elle est effectivement dodue, mais ça me plaît quand même. Tout est rond : son cul, son ventre, ses cuisses... Même ses seins qui pendent un peu... Je lui dis :
Sers-moi à boire.
Oui Ashley.
Elle va ouvrir la bière, prend un verre... Je la préviens :
Sans trop de mousse.
Putain, si les copines pouvaient nous voir ! Elle me donne la bière. Je bois goulûment, tandis quelle sassied au pied du lit. Après avoir bu, je lui demande :
Alors comme ça, je te plais ?
Oh oui...
Je lève une jambe et lui caresse la joue avec le pied. Aussitôt, elle tourne la tête pour lembrasser. Ah oui, là, je sais que je lui plais, parce quun pied qui sort dune basket, quand on a marché le long dune route par 30 ° à lombre, cest... spécial. Mais mon poussy, faut quelle le mérite. Donc je la provoque :
Demande-moi la permission de me lécher.
Sans hésitation, elle commence :
Ashley...
Mais je la coupe :
À genoux et cest « Mademoiselle Ashley ».
Obéissant immédiatement, elle s'agenouille pour me dire :
Mademoiselle Ashley, permettez-moi de lécher votre minou.
Oh, putain ! Cest mon institutrice qui vient de dire ça ! Ça me fait mouiller, la voir saplatir de cette façon ! Je lui réponds :
Daccord, mais commence par lembrasser.
Elle couvre ma chatte de baisers. Jadore voir ses cheveux gris entre mes cuisses et sentir ses lèvres membrasser avec passion... Bon, on va monter dun cran :
Maintenant, lèche-moi vraiment, petite chienne.
Ouch ! Sa langue est partout depuis mon clito jusquà mon trou du cul...
Je nai pas pris le temps de prendre une douche ce matin, mais là, ma chatte va être nickel. Nimporte quelle fille qui se fait lécher par son institutrice vous le dira : cest super excitant ! Je ne vais pas tenir... Jai limpression que mon minou se rétracte et puis tout se relâche et je jouis sur son visage en le plaquant sur mon bas-ventre. Elle continue à lécher doucement tandis que je caresse son dos avec mon pied... Je larrête :
Jai soif !
Oui Ashley.
Elle me sert encore une bière... Jusquà présent, tout se passe bien. Bon, je ne me fais pas trop dillusions, tout le monde ne va pas être à mes ordres comme elle. Elle me demande :
Je peux vous embrasser... euh... le corps, Mademoiselle Ashley ?
Jattends un peu avant de répondre négligemment :
Oui...
Elle membrasse du cou aux chevilles, en passant par les seins, le nombril, le pubis, les genoux... Cest amusant, mais bon, la récré se termine. Je lui dis :
On doit repartir, il faut que je voie quelquun dans le centre pour un boulot.
Je bois encore une bière, on se rhabille et on sen va.
Je somnole dans la voiture, tandis quelle me répète à quel point je lui plais. Oui, jai bien compris, là... On arrive à Atlanta, putain, ça cest une ville ! Surtout pour une fille de Ploucland comme moi... On arrive dans le centre. Elle me donne encore quelques conseils et son numéro de téléphone, puis ajoute :
Tu mappelles et je viendrai où que tu sois.
Cool... Elle me donne aussi 100 $. Encore mieux, je double ma fortune. Je la remercie et je lembrasse... Oh, elle a lodeur de ma chatte... Cest mignon.
Je sors de la voiture... Elle agite la main, oui, bye, bye...
A suivre.
Si vous voulez me joindre, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
Samia est publié.
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