La Madone De Sodome Et Gomorrhe

Plusieurs semaines après ma cure en Suisse, nous avions retrouvé mon mari et moi notre vie de couple intense et sans tabou. Nous profitions de ce mois de juin malgré une météo mitigée, dernière ligne droite avant des congés bien mérités dans notre villa du Sud. Richard, avant de partir en vacances, avait décidé d’investir dans l'art dans un but de défiscalisation. En effet, l'entreprise achetant des œuvres originales d'artistes pour les exposer au public avait la possibilité de déduire le prix d'acquisition de son résultat imposable. Il fallait cependant répondre à certaines conditions et notamment d’être l’œuvre d'un artiste vivant et d’être exposée dans un lieu accessible gratuitement au public ou aux salariés. Tableaux, peinture, dessin, aquarelle, dès lors, que cette production était exécutée entièrement de la main de l'artiste, nous étions éligibles à cette défiscalisation. N'étant pas un expert, il avait pris conseil auprès de notre investisseur principal Marquis de son état avec lequel j'avais eu plusieurs aventures quelques années auparavant. Le Marquis nous avait mis en contact avec le Prince Vittorio Malese, riche héritier d’une grande famille de Venise et collectionneur de son état. Connaissant le Marquis et son affection pour le SM, la domination et la soumission, je me doutais d'expérience que cet aristocrate italien devait avoir d'autres cordes à son arc. Richard avait convenu avec le prince une visite privée de son palais avec la présentation d’œuvre librement adapté de grands classiques de la peinture italienne. Nous avions donc planifié un aller-retour en avion à partir de l'aéroport de bâle-mulhouse avec une première soirée en amoureux et la seconde consacrée a notre futur investissement. Je souhaitais rendre ce moment unique, et donc pour le voyage, avais choisi une robe de type pied-de-poule rayé noir et blanc très élégante, mi-longue avec un type d'ajustement moulant et crayon, une légère fente sur la cuisse gauche, ainsi qu’une large ceinture blanche qui mettait mes hanches en valeurs.

Pour l’atout charme, j'avais assorti mes dessous au motif pied-de-poule de ma robe, l’ensemble me rendant très désirable avec un zest d’érotisme.


À notre arrivée à l'aéroport Marco Polo, un transport en bateau privé nous permit de profiter de toute la splendeur et de la beauté de cette ville merveilleuse que j'affectionne particulièrement. Cette traversée était très romantique et infiniment glamour, dans cette ambiance tellement spéciale des rives du grand canal. Richard avait réservé une suite dans l'Aman Venice se situant à quelques minutes du Pont du Rialto et de la Place St Marc. Cette bâtisse du XVIe siècle ne comptait qu'une vingtaine de chambres disposant de somptueuses vues sur le canal ou les jardins de l'hôtel. Une luxueuse enclave dans l'une des villes les plus romantiques au monde, l’Aman Venice incarnait tout ce qui était somptueux et sensuel avec ses œuvres d'art contrebalancées par une sobriété contemporaine des intérieurs et un jardin privé, rare dans cette ville flottante.


L’ «Alcova tiepolo » était une magnifique suite de 100 m2 située au 4e étage avec vue sur les jardins et le canal. Une fois dans la chambre, je passais du temps à contempler cette ville fascinante, alors que mon mari passait quelques coups de téléphones. Perdue dans mes pensées et émerveillée par la vue, je n’avais pas senti Richard qui s’était rapproché de moi, se collant à mon dos.
- Tu aimes cette vue ma beauté ?
- Ohhh Richard, c’est féerique...
- C’est toi qui es féerique, tu es tellement désirable. Je vais prendre un petit acompte avant le repas si tu n’y vois pas d’inconvénient.
Il me plaqua contre la fenêtre de la suite, qui donnait sur le grand canal, relevant ma robe jusqu’à mes hanches et exposant ma culotte pied de poule. Sa main droite plongea entre mes cuisses, alors que la gauche se saisit de mon opulente poitrine, baissant mon décolleté afin d’exposer mes gros seins à la vue des gondoliers qui circulaient sur le canal.
Je me laissais faire, bien décidée à laisser libre cours à tous ses fantasmes. Je sentis ses doigts en moi, s’activant vigoureusement, alors que la pression sur le haut de mon corps me faisait durcir les tétons...
- Oui, ma belle t’aime de faire malaxer tes belles mamelles, tu sens bien mes doigts ???
- Ohhhhhh, Richard, tu vas me faire jouir, prends-moi sur le lit, on va nous voir... Viens vite...
- Non ma salope, je vais te faire jouir ici, ton gros cul, je me le réserve pour le dessert ...
- Ohhhhhhhhhhhh
- Dis moi que tu aimes ça ma cochonne ? Allez dis-le, je veux t’entendre...
- Ohhhhhh, mon Dieu, c’est trop bon, ouiiiiiiiii continue, Ohhhhhh
- C’est ça grosse pute, je t’ai préparé un vrai planning, tu vas être la vraie et unique Madone de Venise ce week-end...
Afin de me pénétrer encore plus profondément, il releva ma cuisse droite, qu’il coinça sur son bras, et replongea ses doigts au fond de ma chatte en feu. Ses doigts coulissaient entre mes cuisses de plus en plus rapidement tel le piston d'un moteur mécanique. De manière alternative, il m'écartait volontairement le vagin, faisant tournoyer son index sur mes grandes lèvres avant de replonger au fond de mes entrailles. J'avais perdu le contrôle total de mon corps et m’étais abandonné une fois de plus entre les bras dominateurs de mon mari qui me contrôlait comme son jouet, sa soumise, son esclave sexuel. Il me doigta encore pendant de longues minutes avec férocité déclenchant un orgasme intense, qui me fit chanceler. Debout contre cette fenêtre, je ne tenais que par la pression de ses mains sur mon corps, mon vagin figé sur son poing, traversée par des spasmes de jouissance. La scène n’avait duré qu’une dizaine de minutes, mais suffisamment pour me faire partir dans un monde de plaisir et d’orgasmes. Il me poussa sur le fauteuil, défaite et détroussée, les cuisses dégoulinantes et mes gros seins rouges du traitement subi, me laissant quelques minutes pour reprendre des forces avant de quitter l’hôtel pour le dîner.



Il avait réservé au restaurant Quadri, qui jouissait d’une vue sublime sur la place Saint-Marc. On pouvait déguster dans ce restaurant étoilé, une cuisine pleine d’élégance et de poésie qui revisitait la gastronomie traditionnelle de l’Italie et de la Vénétie avec des associations audacieuses spécialement ses tortellinis farcis au crabe, servis avec Stracciatella et truffe blanche. Le repas fut un vrai délice, au terme duquel nous profitions du temps clément pour flâner tous les deux sur la place Saint-Marc avant de regagner notre hôtel. Arrivés à l’hôtel, il me proposa de rester avec lui pour prendre un dernier verre en compagnie de Vittorio afin de faire connaissance. Nous étions installés au bar, quand le Prince arriva après quelques minutes. Il se dirigea directement vers moi, me prit la main qu’il baisa avec une élégance supérieure.
- Signorita, Lieto di conoscerti, enchanté de faire votre connaissance
L’homme avait environ 70 ans, et était la représentation classique de l’aristocrate italien. Une classe folle dans sa posture, mais aussi dans ses vêtements, il parlait un français parfait avec un accent délicieux, tout en ponctuant son discours de mots italiens afin d’entretenir sa différence et d'accen son coté charmeur. Il s’assit à côté de moi, sur le petit canapé. Richard parlant un peu l’italien, il essayait aussi de communiquer dans cette langue splendide.
- Tua moglie è molto bella
- Grazie Vittorio, Patricia è una donna deliziosa
- Patricia, vous être ravissante, Monsieur le Marquis m’avait vanté vos charmes, mais j’ignorais à quel point il était loin de la réalité.
- Merci Vittoria, c’est très gentil de votre part, mais je n’ai malheureusement plus vingt ans.
- Dans ma langue, on dit : sei meravigliosa
On discuta ensemble pendant une bonne heure avant qu’il ne prenne congé, nous invitant dans son palais pour le lendemain à partir de 19 H, ce qui nous laissait toute la journée pour visiter la ville.
Nous regagnâmes notre suite, et une fois la porte fermée, alors que je posais mes boucles d’oreilles sur une commode, je sentis à nouveau mon mari derrière moi, me tenant par les hanches.
- Dis donc tu lui as fait de l’effet à notre prince. Heureusement que j’étais là, sinon je suis sûr qu’il t’aurait fait des avances.
- Voyons Richard, tu as vu son âge.
- Et alors je suis sûr que c’est un chaud lapin, et que tu lui plais beaucoup.
- Ne sois pas ridicule...
- En attendant, c’est à moi que tu fais de l’effet, si nous reprenions notre discussion de tout à l’heure.
- Hummmm, mon chéri, je sens que tu vas être lubrique.
- Va te mettre à quatre pattes sur le fauteuil, et relève-moi ta robe, je veux voir ton beau gros cul.
J’obéissais, me positionnais sur ce grand fauteuil et relevais ma robe de façon langoureuse... Ma croupe apparut, juste protégée par ma culotte pied de poule, que j’écartais de ma main, afin de l’inviter à venir me prendre comme un animal. Je savais que dans cette position, il n’allait pas résister longtemps.
- Oui, continue, fais-moi un show, fais ta pute ma cochonne...
- Tu aimes ce que tu vois, ça te plaît que je t’offre mon gros cul ?
- Hummmmm, t’es une grosse salope, je vais te saillir comme une pouliche...
Il était derrière moi, ses mains posées sur mes belles fesses bourgeoises, et je pouvais sentir son membre gluant se positionner entre mes cuisses. Il me pénétra d’un coup sec, son gros sexe envahissant mon vagin, me faisant pousser un grognement de stupeur. Sans préliminaire, il me pilonna, accroché à ma ceinture blanche, tout en se penchant pour attr mes gros seins qu’il malaxait alors que sa bitte me ravageait les reins. Sa main s’abattit sur ma croupe plusieurs fois afin de mieux me motiver.
- Oui, tu aimes sa grosse pute, t’aimes ça te faire saillir comme une femelle en rut... Allez bouge-moi ton gros derche de bourge...
- Ohhhhhh, Ouiiiii, Encore, Ohhhhhh Richard tu me défonces....
- Continue ma salope, j’aime te baiser comme ça dans tes fringues de bourge, allez, continue à remuer ton gros cul...
- Ohhhhhhhhh, mon Dieu Richard...
Il attrapa la fente du bas de ma robe, et d’un geste sec et brutal la déchira en deux, détruisant mon vêtement chic, qui m’avait coûté une vraie fortune. Il attrapa ensuite ma culotte, lui faisant subir le même sort, qu’il me passa autour de la bouche, afin de me bâillonner, mais aussi l’utilisant comme un harnais. Il tenait fermement ma culotte coincée dans ma bouche tirant de chaque côté comme pour mieux dresser sa pouliche rebelle. Sa main libre, continuait à me claquer les fesses, comme un jockey dominant sa jument rebelle.
- Allez, hue ma belle, bouge-moi ce gros fessier... Prépare-toi demain, il va falloir être gentille avec le prince, pour qu’il nous fasse un bon prix... Allez oui continue !!!!!
- Hummmmmmmm, Hummmmmmmm
Il me baisa comme ça à quatre pattes dans cette suite somptueuse, usant et utilisant chaque partie de mon corps. Je jouissais, la tête écrasée contre le fauteuil, alors que sa bitte continuait à me ravager. Il coulissait en moi, alternant les mouvements rapide et lent, allant jusqu'au bout de son désir. Je sentis enfin son sperme se répandre entre mes cuisses en grande quantité. Rapide, brutal, et bestial, il venait de me faire jouir en quelques minutes, me laissant dans ma tenue déchirée et recouvert de son jus bien chaud.


Après une bonne nuit de sommeil, nous profitions des charmes de l’hôtel avant de sortir. Une matinée sur la place Saint-Marc. Promenade en gondole, visite du Palais des Doges, point de vue sur le campanile de Saint-Marc et pour finir un shopping sur le Pont du Rialto, avant de rentrer et de se préparer pour la visite chez le Prince. Je me préparais avec une robe longue de soirée élégante en satin de couleur bleu azur, avec un col montant des manches bouffantes, un tour de taille haute et une coupe droite. On quitta l’hôtel en gondole pour se rendre au palais situé au bord du grand canal de Venise qui avait été transformé en maison-musée et abritait de précieux joyaux d'art ancien et contemporain. Il était l'un des plus importants collectionneurs de Venise.


À notre arrivée, deux serviteurs en costume de Pierrot, masqués, nous accueillirent. Les déguisements de Pierrot étaient composés d'une casaque rouge bordée d'un liseré jaune, d'un pantalon ainsi que d'un chapeau. L’un était en noir et blanc, alors que le second était en blanc et en noir.
- Benvenuti Signora e Signore al Palazzo Malese
Le palais était sur plusieurs étages, témoignage évocateur d'une tradition architectural Vénitienne, constituant le charme de la demeure. On emprunta un escalier en colimaçon ovale avec des références explicites à des modèles illustres tels que le ' l'escalier royal du Palais Farnèse pour arriver dans une fascinante salle à manger ovale de style néorococo, et abritant une splendide collection de porcelaine de la manufacture vénitienne. Le Prince nous attendait dans une grande salle, qui surplombait le Campo San Vio. Etant l'une des plus somptueuses du Palazzo, il l’utilisait comme une salle de réception. Une trentaine de personnes de toute nationalité étaient présentes, historiens de l'art, antiquaires, amateur et investisseur. Le prince nous invita à le rejoindre lui-même habillé en costume d’époque du XVIIème siècle, représentant, le sommet de la splendeur de Venise avec un habit spectaculaire, qui nous plongeait dans l’époque la plus faste du passé, et du charme de ce siècle libertin.
- Signora, vous êtes plus belle de jour en jour.
- Vittorio, vous êtes un incorrigible charmeur, mais encore merci du compliment.
- Richard, je vous propose de profiter de la soirée, avec une coupe de champagne, et quand il vous plaira, nous pourrons nous rendre dans le salon des collectionneurs afin que je vous présente une œuvre exceptionnelle qui correspond à vos critères.
- Parfait, Vittorio
Tout en profitant d’une coupe de champagne, nous visitions cette salle de réception splendide remplie de coffret précieux, de peintures, sculptures, verres, porcelaines, émaux, bronzes, tapis, miroirs, disposaient selon les principes de la noble élégance, de manière à rendre immédiatement perceptible l'image du gentilhomme riche et cultivé. Vittorio nous accompagnait, retraçant aussi l’histoire de sa famille intimement mêlée à celle de Venise et présentant tour à tour des toiles incroyable. Je vivais un conte de fée, déambulant dans cette magnifique demeure au bras de notre hôte sous les regards envieux des autres convives, je me sentais comme Cendrillon buvant les paroles de cet homme véritable encyclopédie vivante. Il brillait par sa culture et malgré son âge avancé transpirait un charme purement italien. Au bout d’une petite heure de mondanité, le Prince nous entraîna vers le salon des collectionneurs, afin de nous présenter l’œuvre. La salle était gardée par les deux Pierrots, qui après avoir ouvert la grande porte, dévoilèrent cette pièce immense recouverte de tableaux avec en son milieu un pupitre, comme une sorte de barre d’audience faisant face à un tableau éclairé par des jeux de lumières tamisés. Une immense caméra sur un trépied était également dans un coin de la pièce. J’entendais la porte se fermait, nous laissant tous les trois avec les deux Pierrots dans l’intimité de ce salon.
- Voilà l’œuvre en question, il s’agit d'une inspiration d’une toile du XVII siècle, la Madone des palefreniers, qui dans sa version originale représentait Marie, au centre-gauche habillée de pourpre largement décolletée, soutenant son fils, représenté assez grand et nu, appuyant son pied pour écraser un serpent et avec à sa droite Sainte-Anne, patronne des palefreniers.
- Je ne comprends pas Vittorio, l’œuvre décrite ne correspond pas.
- Vous avez raison Signora. Richard, m’autorisez-vous à donner une lecture plus intime de cette œuvre ?
- Avec plaisir Vittorio
- Arlecchino, porta Madame in aula e preparala. Richard, je vous invite à vous installer sur le Sofa afin de suivre la démonstration.
- Mais Vittorio de quoi s’agit-il ?
Les deux arlequins m’entraînèrent vers la barre d’audience se trouvant face à la toile, et alors que l’un me posait les mains sur la barre, le second m’entravait les poignets avec une chaîne, m’immobilisant les bras. Alors que je demandais des explications, une boule de latex m’entoura le visage, empêchant une quelconque protestation de ma part. J’étais donc face à ce tableau entouré par ces deux arlequins qui me tenaient par les hanches, alors que mon mari s’installait confortablement sur un canapé regardant autant la toile que sa femme contrainte.
- Ecco Madame, sei splendida, una vera Madonna. Je vous propose Bella Donna, une description un peu particulière, en vous faisant vivre l’œuvre de l’intérieur, une sorte de projection dans ce tableau et dans la pensée de l’artiste...
- Hummmmmmm, Hummmmmmm....
- Je vois que vous êtes consentante. Arlecchino prenditi cura di Madame
- Hummmmmm, Hummmmmmmm
- L’œuvre est d’un artiste américain Jon Carthirght connu pour son approche provocatrice de la vie moderne et de l'histoire de l'art, dans des peintures qui mélangent le brut avec l'érotique et le dérivé avec le nouveau. Dans son œuvre maniériste, le grotesque se mêle intimement à la beauté. S’inspirant du style des grands-maîtres italien baroque. Dans ce tableau, la Madone est sur cette barque de profil, nue...
Pendant que j’écoutais Vittorio, les mains de mes deux Pierrots s’étaient posées sur mon corps suivant scrupuleusement le script du Prince. Debout attachée, dans cette pièce sombre, j’étais à la merci de ces hommes dont j’ignorais le nom, sentant leurs mains parcourir ma croupe, mais également se poser sur ma poitrine opulente, tout en suivant la narration de Vittorio qui décrivait cette vierge aux seins lourds. C’était comme une reconstitution de la production de l’œuvre, dont mon corps en était l’élément principal.
- On peut apercevoir ses seins lourds libres et appétissants. Son fils est représenté par un jeune homme nu en face d’elle, tenant dans sa main un serpent de mer, tous deux regardant la Madone avec désir, alors que Sainte-Anne est remplacé par le pécheur derrière la Madone qui tient son filet prêt à le jeter sur cette femme plantureuse.
Toujours suivant la narration, les Pierrots relevaient doucement ma robe, faisant apparaître mon string et les bas de ma guêpière au motif léopard. La main de l’un, plongea entre mes cuisses, alors que l’autre continuait à me palper mes gros seins. J’écoutais Vittorio qui décrivait la poitrine lourde de cette Madone, me comparant avec.
- Hai un culo stupendo. Le tue grandi tette sono stupende. Son œuvre est un prétexte pour mettre en scène un personnage du quotidien comme s’il s’agissait d’une nature morte, sur un élément plan. J’ai choisi cette œuvre pour votre ressemblance avec la Madone.
Je perdais le fil de l’histoire de Vittorio, ne réagissant qu'aux caresses de ces deux hommes qui jouaient de leurs mains sur mon corps abandonné, captif, et bientôt soumis. Je sentais les doigts du premier entre mes cuisses, et réagissais à la palpation mammaire du second. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sentis la présence de Richard derrière moi.
- Richard, fai l'amore con tua moglie. Signora, on imagine très bien que l’objet est la capture de cette Madone par ces deux hommes dont ils vont r dans cette barque instable.
L’un des deux arlequins écarta mon string léopard, laissant la place à mon mari, qui me pénétra d’un coup sec. Son membre m’envahit, me transportant dans un monde parallèle. Je n’avais jamais connu une telle expérience, l’impression d’être modelé de toute pièce par les mains de ses hommes et les paroles de Vittorio. J’étais pour quelques instants la muse éphémère crée dans une atmosphère torride de luxure et de plaisir. Richard me pilonnait en silence lui aussi fasciné par cette situation. Je me tenais fermement au barreau, prise en levrette par mon mari surexcité, alors que les mains de deux arlequins continuaient à visiter mon corps de bourgeoise soumis. Alors qu’il me baisait tel, un prédateur, la voix de Vittorio continuait à raisonner.
- Regardez Signora Patricia, vous pouvez apercevoir la façon dont l’artiste à représenter la croupe de la Madone, dans laquelle on ne peut pas voir son vagin, synonyme de procréation, mais son orifice anal, que scrute le serpent représentatif du mal. Vous pouvez distinguer aussi dans le lointain horizon sombre et brumeux deux villes dont la réputation est à jamais entachée, c'est bien Sodome et Gomorrhe, dont le nom reste attaché à une pratique que la morale a souvent sévèrement réprouvée et qui est encore punie de mort dans certains pays.
- Hummmmmm, Hummmmmmm
- Richard, inculare tua moglie. Arlecchino, spoglia la donna e portala sul divano
Sans comprendre l’italien, j’avais bien compris le sens des paroles, confirmé par la présence d’un doigt dans mon anus depuis quelques minutes et dont j’ignorais qui était le propriétaire, mais qui n’avait que pour but une préparation dilatante de mon petit trou sensible. Alors que Richard se rendait sur le Sofa, les deux arlequins me retiraient entièrement ma robe, laissant apparaître une magnifique guêpière au motif Léopard de Dita Von Teese. En tulle doux et extensible avec des bonnets à coques intégrés, elle donnait un galbe parfait de ma poitrine. Ils me libérèrent de mes chaînes, tout en gardant mon bâillon, et me conduisirent à mon mari assis, sexe bien dressé, en attente de l’anus de sa femme. Il me prit par les hanches, me retourna et me fit asseoir sur son membre, le poussant au fond de mon cul, afin de me sodomiser devant ces trois hommes. Je sentis son sexe enfin bien au fond de mon anus, alors qu’il m’aidait à remuer ma croupe de plus en plus vite. Enculais, au plus profond de mes entrailles par mon mari, je regardais Vittorio, assis à mes côtés, qui n'en perdait pas une goutte et alors que Richard me défonçait l’anus, la main de Vittorio s’était posé sur mes gros seins qu’il malaxait avec gourmandise.
- Che bella donna. Sei così bella quando fai l'anale.
- Elle t’excite ma femme, elle te plaît, tu veux la prendre aussi, je crois qu’elle aimerait bien que tu la baises pendant que je l’encule.
- Qu’en pensez-vous Signora, vous me permettez ?
- Hummmmmm, Hummmmmm, Hummmmmm
- Laisse-toi faire ma belle, il va nous faire un bon prix quand il aura goutté à tes formes...
Vittorio ouvrit son pantalon, libérant son sexe bien dure, pour un homme de son âge. Je me doutais qu’il avait dû être un amant magnifique, mais à plus de 70 ans, je ne me faisais guère d’espoir. Son sexe m’envahit le vagin, et contrairement à ma première impression, il était étrangement bien monté pour un homme de son âge. Il me baisa vigoureusement alors que mon mari continuait à me détruire l’anus. Prise en sandwich par ces deux hommes, je m’abandonnais une fois de plus à ce monde de luxure et de plaisir. Je jouissais sous les coups de sexe de Vittorio, qui me scrutait droit dans les yeux pendant qu’il utilisait ma chatte en feu. Ils se déchaînèrent sur mon corps pendant de longues minutes. Les mains de Vittorio posaient sur mes grosses fesses, me palpaient ma croupe qui continuait à se faire démonter par la bitte de mon mari, qui me pétrissait mes gros seins.
- Regarde ses belles mamelles à ma bourgeoise, tu veux goûter du lait de ma Madone ? Cambre-toi salope qu’il te tête tes belles miches...
Le prince m’embrassa mes gros seins toujours fermement tenus par mon mari qui les secouait rudement me traitant comme un animal. De muse, j’étais passée à Madone de Sodome, utilisée par des prédateurs en rut, qui me saccageait le corps. Totalement défaite, je sentis enfin Vittorio se dégageait en premier afin de jouir sur la dentelle de ma guêpière, déclenchant également, la libération de mon mari qui se répandit au fond de mon anus, me laissant nue remplie et recouverte de sperme sur ce canapé. Je reprenais mes esprits au bout de quelques minutes alors que Vittorio et Richard debout discutait ensemble.
- Bella Donna, pendant que je discute le prix final de notre transaction avec votre mari, je vous laisse en compagnie de mes deux arlequins pour la scène finale. Après le pécheur et le serpent, il reste l’.
- Hummmmmm, Hummmmmmm !!!!!
- Laisse-toi faire mon amour, et puis la scène est filmée cela nous fera un bon souvenir...
Alors que Richard et Vittorio quittaient la salle me laissant seule avec ces deux hommes, l’un me prit par la main me relevant, et m’entraîna à nouveau devant le pupitre pour m’attirer dans ses bras. J’étais défaite du traitement que je venais subir, et me préparer à me faire violer par ces deux inconnus dont je ne comprenais même pas la langue, même si certains mots étaient sans équivoque
- La signora odora di sperma
- che puttana, Che grande troia
- Hummmmmmm, Hummmmmmmm...
- pensi che possa fare un bel pompino
Il m’embrassait dans le cou, alors que le second se collait derrière moi, m’attrapant mes gros seins libres des balconnets de ma guêpière souillée. Je sentais à nouveau leurs mains sur mon corps qui me caressaient. Mes gros seins, mes fesses, mon vagin, j’étais palpée, malaxée, caressée, fouillée par ces deux animaux, qui allaient m’utiliser de toutes les façons possibles. Ils me poussèrent à genoux entre eux, avant de me retirer ma boule en latex, et de forcèrent l’entrée de ma bouche de leurs sexes libres et gluants. Je les pris en bouche chacun leur tour, avalant avec gourmandise leurs bites bien dures, et alors que le premier me baisait les lèvres, le second me tenait par les cheveux, me forçant à faire coulisser le membre de son ami. Ils alternèrent plusieurs fois, avant de me relever. Le premier me releva la cuisse et après avoir écarté mon string poussa son sexe dans mon vagin me pénétrant d’une traite. J’étais accroché à sa nuque, jambe droite en l’air, alors que sa langue plongeait entre mes lèvres jouant avec ma langue tel le serpent de l’embarcation.
- bacio come un serpente
Nos langues tournoyées entre-elles, alors que son sexe me pilonnait la chatte. Je sentais le second derrière moi forçait l’entrée de mon anus déjà défoncé par mon mari. Il plongea sans difficulté, me sodomisant avec passion. Seule, debout, j’étais prise par ces deux hommes en double pénétration, face à cette toile, dont j’étais devenue la représentation vivante. Je regardais cette Madone devant moi en route pour Sodome et Gomorrhe, et qui allait se faire capturer par le filet de ce pécheur avant d’être possédée. Cette vision me fit jouir à nouveau. La force et la brutalité de mes deux Arlequins, la vision de ce tableau dont j’étais l’incarnation, me procura un orgasme démentiel. Mes yeux étaient révulsés par la passion, le désir et la luxure, je mordais mes lèvres afin de ne pas hurler de jouissance, restant accrochée à la nuque de ces deux hommes bien ancrée dans leurs pieux de chair gluants. Ils me baisèrent, encore et encore, me gardant debout comme une marque supplémentaire de fétichisme, et sans se préoccuper de mon état. Je sombrais, m’envolais, me perdais, sous les coups de bites de ces deux amants, rouvrant les yeux une dernière fois, pour croiser le regard de cette Madone qui m’observait en souriant. Elle était mon reflet dans cette toile, et participait au travers de moi à cette orgie dont j’étais l’avatar, m’encourageant de ses yeux plein de désirs, quand un ultime orgasme, eu enfin raison de moi. Je me cambrais, coincée entre les bras de mes Arlequins, laissant échapper un cri profond qui résonnât dans toute la pièce alors que le regard de la Madone retourna vers son destin en route pour Sodome. Comprenant qu’ils venaient de me donner un orgasme, ils me reposèrent, me couchant sur le sofa pour finir de se masturber au-dessus de mon visage.
- Eiaculare sul viso
Ils jouirent presque en même temps, sur mon visage, laissant se répandre des quantités impressionnantes de sperme, poussant leur sexe dans ma bouche afin de se nettoyer. Je me laissais faire une fois de plus, ne pouvant plus réagir suite à cette nuit de luxure et de débauche. La Muse venait de se transformer en Madone de Sodome. Je restais seule dans le salon, assoupis, recouverte par ma robe en guise de couverture, quand Richard me réveilla pour rentrer. Il m’embrassa avec passion, m’aida pour me rhabiller et retourner à l’hôtel. Il avait finalisé la transaction et acheté à toile avec en prime la vidéo de la soirée, le tout pour un bon prix, qu’il m’avait promis d’installer... Dans mon bureau...

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