Par La Faute Du Corbeau...

Quelques jours plus tard, comme au boulot la journée était calme, je décidais de rentrer plus tôt chez moi. Mais aussi, pour purger les nombreuses heures supplémentaires accumulées.
Une fois n’est pas coutume, en entrant chez moi je m’intéressais au courrier. Les doigts tremblant d’excitation, j’ouvris la boite aux lettres pour m’apercevoir malheureusement que je n’avais pas de nouvelle du corbeau. Le dernier message de ce dernier daté de quinze jours. Depuis plus rien. J’avais bien été tenté d’aller rendre une petite visite à Madame Durand, mais à chaque fois je m’en suis dissuadé de le faire. Laissant le suspens se faire. Que cela étonne quelque uns des lecteurs, j’étais loin d’être offusqué des infidélités de ma femme. Je dirai même que cela me donner le petit quelque chose qui m’incité de m’occuper de ma femme. Lui faisant l’amour plus régulièrement. Comme quoi il y a du bien à être cocu !
D’ailleurs il me tardait qu’elle rejoigne le domicile pour que nous puissions aller nous isoler dans la chambre. Je vous laisse deviner pour quoi y faire ?
Ce fut avec cette pensée, que je m’approchais du frigo pour me prendre une bière. Et alors que je décapsuler la cannette j’entendais quand marcher en dessus de ma tête. C’est-à-dire dans ma chambre. J’exclus tout de suite ma femme qui travaillait à cette heure, et les s à l‘école. Peut-être ma belle-mère, mais je n’ai pas vu sa voiture, donc il restait plus que le cambrioleur !
À pas de loup je m’aventurai dans les escaliers pour atteindre la chambre. Près à prendre en flagrant délit l’intrus. Par chance, la porte était entrebâillée. Et là chose incroyable, je découvrais le garçonnet à la grosse queue, qui avait fait jouir ma femme chez Madame Durand confortablement installé sur mon lit.
Ses jambes étaient gainées de bas blancs. Attachées à un porte-jarretelle. La tête renversait sur l’oreiller. Les yeux clos, en train de se caresser, l‘esprit tranquille.

Ne se doutant pas un seul instant que j’étais en train de l’épier.
Comme lors des trahisons de ma femme, j’étais dans incapacité de trouver une conduite à suivre. Paralysé que j’étais par ce qui se dérouler devant mes yeux. Alors je me contentais de le contempler quelques secondes.
Son sexe me paru bien plus gros que le jour où il l‘avait introduit dans la chatte de ma femme. Comme je remarquais que sur sa droite se tenait un petit tas de linge. Qu’il avait sans doute pris le soin de récupérer dans le panier de la salle de bains.
D’ailleurs hormis les bas, il avait aussi enfilé une mini culotte de ma femme. Si petite sur lui, qu’il ne cachait que la base de son sexe.
Au bout d’un certain temps, il tendit son bras et farfouilla dans le tas, tirant à lui un slip. Et pas n’importe lequel, le mien ! Qu’il s’empressa de porter jusqu’à ses narines. Humant bruyamment les arômes qu‘avait laissé ma queue en séjournant pendant pas mal d‘heures. De temps à autre il laissa échapper de sa bouche quelques phrases que j’assimilai, comme étant des mots crus :
- Putain ! Il sent bon de la queue !
Ou encore, en plein délire :
- Ça sent bon le sperme ! Oui le sperme… et le cul…
Il ouvrit la bouche en grand et enfourna le slip. Le mâchouillant. J’étais abasourdi. Qu’il lèche les slips à ma femme encore là je pouvais l’approuver, étant moi-même un renifleur, mais mon slip ! Là je ne comprenais plus ?
Je n’étais pas moins exciter. Pris d‘un coup de folie, je décidais de faire des vêtements que je portais un petit tas devant la porte. Ne gardant sur moi que mon slip. Après avoir pris une grande aspiration je poussais sur la porte qui pivota silencieusement sur ses gonds me donnant en grand l’accès de ma chambre. Je m’avançais alors, toujours sur les pointes des pieds. Il mit un certain temps avant de s’apercevoir que je me trouver à un mètre de lui. Il fut pris de panique.
- Reste calme ! L’ai-je réconforté. Ne bouge pas, je ne te ferai aucun mal.

- Je m’excuse Monsieur… je m’excuse Monsieur…
- Oui je sais… je t’en veux pas…
Ces quelques mots ont eu pour effet de l’apaiser.
- C’est sûr Monsieur, vous ne m’en voulez pas. Je ne vous ai rien volé.
- Je le sais. Sinon tu ne serais pas là. Tu aimes les odeurs de mon slip ?
- Heu !… oui Monsieur…
- Tu ne préfères pas ceux de ma femme ?
- Je ne saurai vous le dire.
- Que fais-tu chez moi.
- ...
- Tu ne veux pas me le dire ? C’est ça ? Cela te dirait d’ humer le slip que je porte ?
- Non…
- Et pourquoi ? Ce n’est pas ce que tu faisais avec mon slip ?
- Oui… mais…
- Mais quoi ? Aller pas de chichi, sens-moi là !
Les yeux grands ouverts, il restait sans réaction toujours allongé sur le lit. Pris d’une frénésie, je grimpais sur le lit pour m’installer au-dessus de lui. Un genou de chaque côté de ses joues. Plaçant mes parties intimes moulées dans le nylon à hauteur de son tarin.
- Aller gamin sens-moi ça ! Qu’attends-tu ? Lui fis-je.
- Je ne sais pas si je dois !
- Mais bien sûr mon gars que tu peux. Je le désire même… cela restera entre nous ! C’est une promesse. Je ne suis pas fan de ce genre de relation. Mais il y a que les cons qui ne changent pas d’avis. Alors je compte sur toi…
Ses mains commencèrent à me tâter d‘abords timidement. Mais sous mon impassibilité il prit très vite de l‘assurance. Il me caressa comme il l‘aurait fait sur lui. Bizarrement, je bandais dur. Très dur même.
Il prit même l’initiative de faire glisser ses doigts sous le slip, pour une caresse que je dirai, experte. Je fus submergé par une étrange envie. Celle de faire connaissance avec son sexe. Pour ce faire je plaçais mon visage au-dessus de sa barre de chair. Son odeur était prenante. Celle d’un fauve. Mais au lieu de me rebuter cela à fait effet inverse. M’exhortant à faire courir ma langue au long de sa queue. Qui sous ma caresse se mit à tressauter.
Je donnais des coups de langue sur son gland gorgé de désir. Il les accueillait d’un râle approbateur. Son goût iodé passa en peu de temps de sa bite à ma langue. Sans pour que cela me déplaise. Tout au contraire, allant jusqu’à enrouler ma langue autour de son gland. Comme je le faisais avec une sucette ronde.
Je restais ainsi quelques instants. À savourer cette sensation originale. Ensuite, j’avalais centimètre après centimètre le bâton de chair. Avec l’impression qu’il n’en finissait pas. Je léchais avec délectation. Le garçon s’abandonnait à ma caresse buccale. Remuant du bassin avec régularité. Appréciant manifestement ce que je lui prodiguais.
Je suçais ce pseudo friandise avec application, et détermination. Accélérant le mouvement de pompage sous ses gémissements encouragent. J’entendais sa respiration s’accélérait. Ainsi que les premières contractions, qui déboucha par une première giclée en bouche. Bientôt suivie de plusieurs autres. Que j’avalais au fur et à mesure de son explosion. Et ça, à mon grand étonnement. Me délectant de ce sirop. Jugeant mon travail terminé, je me dégageais pour me poser près de lui.
- Je pense que je me suis bien démerdé, tu n’es pas d’accord ?
- Oui… oui…
- Tu aurais préféré que ce soit ma femme ?
- Non… heu ! Je ne sais pas !…
- Elle ne te plaît pas ?
- Non… pas du tout ! Dit-il.
- Comment ça, non ? Tu la trouve moche ? Le provoquais-je avec un sourire narquois en lui exposant une petite culotte de ma femme qui se trouvait dans le tas.
- Je n’ai pas dit ça ! Rectifia-t-il. Si… si, elle est très bien, mais…
- Mais quoi ? Tu ne sais peut-être pas, mais elle aime bien les petits jeunes comme toi…
- Je le sais !
- Ah oui ! Tu le sais ?
- C’est même elle qui m’a autorisé… de…de…
- Laisse tomber. Lui fis-je en lui ôtant la culotte de ma femme qui m’empêcher jusqu’à maintenant de voir ses couilles.
Je me plaçais devant ses jambes.
Je remarquai qu’il avait un Plug enfoncé dans le fion. Il étouffa un cri quand je le lui retirai. Cela à fait un bruit de bouteille quand débouche.
Sans un mot, juste en le regardant droit dans les yeux, j’empoignais ma verge et la guidais jusqu’à l’entrée de son anus.
- T’es d’accord ? Fis-je.
- Je ne sui spas contre. Répondit-il.
Là mon gland força les chairs sans trop de difficulté. Je sentais les parois de son rectum se déformer au passage de ma queue.
- Ce n’est pas la première fois ?
- Pas a dernière non plus…
Il m’étrangla avec son anneau. Je défaillis.
- J’aime… ! Lui fis-je.
- Tant mieux…
J’attendis quelques secondes avant d’entamer des allers et retour. Je n’étais pas mécontent d'enculer celui qui baiser ma femme. Il se déhanchait, poussant son cul plus fort contre ma queue. Le spectacle hallucinant de son anus retourné à l‘intérieur était loin de me déplaire. J’ahanais, le pistonnant consciencieusement. De toute ma longueur. Dans la pièce résonnée, des claquements de chair, des bruits secs, des bruits mouillés.
Très vite, malheureusement, j’ai sentis monter de mes reins les signes annonciateurs d’un plaisir proche.
Je l’agrippais par les hanches et le ramonais à en perdre le souffle. Jusqu’à ce qu’une jouissance aux dimensions invraisemblables, s‘en suive.
Le coquin a bien essayé les jours suivant, de renouer contact avec moi. Mais c’était peine perdu… j’aime que les femmes…

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