Une Soirée D'Extase

Cette histoire est un extrait de mon roman en cours de conception.
On y découvre la rencontre du personnage principale Clara, 23 ans et d’un homme Axel 20ans.

Axel et moi, ensemble, on s'approchait du garde-corps et on se posait, chacun pendant un moment pour profiter de ce paysage urbain. Au bout de quelques secondes à se prendre une petite brise de vent dans les cheveux, il se retournait vers moi, en me fixant d'un regard profond, qui voulait tout dire.
- Alors Clara qu'en penses-tu finalement ? Tu es rassurée ?
- Oh que oui, c'est vraiment magique comme endroit, je ne pensais pas un jour voir une aussi belle vue de Paris. C’est le premier rooftop que je fais et ne regrette en rien. Merci Axel.
Il prenait ma main, posait la sienne sur ma hanche. Il se rapprochait de moi et sans rien tenter me regardait simplement dans les yeux. Son regard sombre m'absorbait.
- Tu penses qu'il peut se passer quelque chose entre nous Clara?
Je ne lui répondais pas.
Je scrutais son visage, ses yeux, ses lèvres, chaque petit détail. Mes cils clignaient à tout va. Je n'attendais qu'une chose c'était qu'il m'embrasse. Avait-il assez d'expérience pour oser ? C'est la question qui me trottait à l'esprit.

On était maintenant serré l'un à l'autre. Mes mains étaient sur son dos. L'une des sienne sur ma hanche droite et l'autre qui caressait mes cheveux. Comme il était plus grand, il me regardait légèrement de haut. Nous étions tous les deux collés à la rambarde.
- La façon dont tu me regardes avec tes yeux, tous scintillants, c'est juste magnifique Clara. Je pourrai rester là avec toi indéfiniment, simplement en te fixant.
Je n'avais encore pas répondu. Mais je pensais exactement la même chose.
Je ne voulais pas prendre l'initiative.
Je voulais que ce soit lui qui att mes lèvres en premier.
- Axel ?
- Oui Clara ?
- Embrasse-moi.


Il n'y avait pas besoin de lui demander deux fois.
Il posa délicatement sa bouche sur la mienne. Il commença par un simple premier baiser, et enchaîna directement sur quelque chose de sensuel. Nos lèvres étaient une à une mordillées l’une par l'autre. Moi qui pensais qu'il serait maladroit, je me trompais car c'est lui qui me guidait.
Ensemble on laissait s'échapper une petite ouverture assez large pour y introduire nos langues.
Après ce long baiser langoureux, on s'était légèrement décalé, il me regardait en souriant, et je rougissais très probablement en retour.
- Tu veux boire quelque chose ? On se pose à une table là-bas ? propose-t-il.
- Avec plaisir.
- Va t'asseoir, ici c'est nous qui devons aller commander au bar, j'y vais !
Je m'exécutais. Il revenait peu de temps après, deux cocktails à la main ainsi qu'un petit bol d'olives à picots.
- C'est une spécialité d'ici, explique-t-il. J'avais l'habitude de les faire, ce n'est pas très loin du mojito au niveau du goût, c'est juste un tout petit peu plus fort.
La soirée passait et on se racontait nos vies à en plus finir. Il parlait de ses colocs et des soirées qu'ils avaient fait à dormir debout. Le voisin du palier inférieur qui venait taper à la porte avec un marteau. Il avait laissé une énorme marque dans la porte sur le coup de l'énervement.

Pour ma part, je lui avais dit que je n'étais pas très proche de ma famille, j'étais la cadette, après trois grands frères. J’avais eu du mal à rentrer dans les détails, comme toujours je restais plutôt réservée.

Il était bientôt 23h30 quand après un gros fou rire, nous voulions retourner voir de plus près ce décor parisien qui avait encore changer. En effet, avec l'arrivée de la nuit, les teintes du ciel avaient complètement changé. On avait bien sûr assisté au magnifique couché de soleil un peu plus tôt dans la soirée avec sa traînée couleur de braise. Cette fois si c'est la brise légère de la nuit qui s'installait.
C'était encore différent. Bien sûr, la tour Eiffel avait elle aussi avait changé d'apparence. Elle avait revêtu sa robe de lumières. Elle était étincelante, éclatante de mille feux. Après être tombée sous le charme du jeune homme à côté de moi, c'était la beauté de la ville qui m’envoûtait à son tour.
Après avoir longtemps profiter de ce ciel noir mélangé aux lumières de Paris je m'étais retournée vers lui et nous avions reprit là où nous nous étions arrêtées peu de temps auparavant. Simplement cette fois si, il me serait encore plus fort contre lui. Sans arrêter de m'embrasser, il commençait à me caresser dans le dos. Sa main agrippait mon haut puis descendait lentement sur le haut de ma jupe. Parfois il s'interrompait dans nos baisers pour me toucher lentement la joue en me souriant avec envie. Tout ce qu'il faisait, était fait de manière si naturelle et très sensuelle. Il me rendait folle de lui.

En descendant dans l'ascenseur il me demandait :
- Tu veux que je te raccompagne chez toi ?
- Non, non pas la peine, je vais prendre un taxi, comme ça tu es tranquille.
- Oh arrêtes Clara tu sais bien que ça ne me dérange absolument pas, au contraire j'ai envie de le faire. Allez monte !

On avait mis plus de temps pour rejoindre le 19eme arrondissement, c'était probablement parce qu'il ne connaissait pas exactement la route à suivre et que je devais lui indiquer le chemin à prendre.
Pendant le trajet je m'étais rendu compte que jamais dans ma vie je n'avais craquée aussi vite pour un homme. Tout avait été si vite et en même temps il avait tellement bien fait les choses. J'avais l'impression qu'il s'était appliqué pour ne pas que l'on ressente cette sensation de relation précipitée bien que cela paraisse en être une.

Arrivée au bas de la porte de mon immeuble, je ne savais pas quoi lui dire. Lui non plus cette fois-ci ne voulait pas casser ce silence. On se tenait l'un contre l'autre. On se touchait.

Mon cœur quant à lui ne suivait pas du tout cette cadence, bien trop lente à son goût. J'avais l'impression que ma poitrine résonnait tellement mes pulsions défilaient rapidement.

Cette fois, c'était à moi de faire quelque chose. De faire ce que tout le monde fait quand un couple vient de se former. Je devais l'inviter à monter chez moi. J'en avais cruellement envie. Mais j'avais l'impression que je n'avais pas le droit.
- Tu veux que je m'en aille, finit-il par dire. Parce que moi je n'ai pas du tout envie de te lâcher.
- Non reste avec moi Axel. Monte avec moi s'il te plaît.
Mon studio était au dernier étage et il n'y avait qu'un tout petit ascenseur pour y accéder. Tout du moins il m'avait vraiment semblé petit à partir du moment où Axel m'avait littéralement plaquée dos à la paroi en embrassant chaque petit coin de mon cou. En arrivant au dernier arrêt, il avait mis ses mains sur mes fesses et avec un élan de force, il me souleva dans ses bras. Je m'étais retrouvée à sa hauteur et je continuais à l'embrasser tout en m'accrochant à lui avec mes jambes. Nous avions légèrement bu auparavant dans la soirée mais je ne pense pas que nous étions complètement ivres pour autant. Au contraire, l’alcool avait permis à la température de monter entre nous, mais pas plus. Après lui avoir indiqué la porte, après l'avoir ouverte et après l'avoir refermée avec son pied, il me posa délicatement sur mon lit juste derrière mon canapé blanc. On se jetait encore un regard débordant d'envie l'un pour l'autre.
Il était debout et moi assise sur le lit.
Il commençait à déboutonner sa chemise blanche.
- Attends, lui dis-je. Laisse-moi enlever ça pour toi.
Je me relevais et commença à lui enlever chacun des boutons un par un. A la fin c'est tout son buste qui était nu face à moi. Je pouvais passer mes mains sur son torse et descendre pour sentir les muscles de son ventre. Je me mettais maintenant à genoux. Je passais mes mains derrière lui, sur ses fesses avant de rattr la ceinture de son pantalon.
Je la détachais tout doucement, puis je faisais descendre l'ensemble lentement jusqu'au sol. Il m'aidait en enlevant ses chaussures pour que finalement je puisse dégager son pantalon plus loin dans la pièce. En remontant ma tête vers lui, je lui lançais encore un regard. La seule lumière que nous avions eu le temps d’allumer était une petite lampe d’ambiance tamisée qui n’éclairait que très peu. Il me regardait de tout en haut pendant que je passais mes mains sur son boxer. Je sentais quelque chose de dur, très dur.
En me remettant debout il s'était mis à m'embrasser avec ses deux mains derrière ma tête.
Il comprit que c'était à son tour. Il passa ses mains dans mon dos sans jamais me quitter du regard. Il attrapa mon haut par le bas et le remonta alors que je levais mes bras vers le plafond. Il faisait ça calmement. Il se retrouva face à mon soutien-gorge rouge. Avec ses deux mains il me retourna de manière à ce que je sois dos à lui, il me pressait contre lui. Par la suite il attrapa en même temps chacun de mes deux bonnets et commença doucement à les compresser. Pour ce qui est de la jupe que je portais, il l’attrapait pour me la faire glisser vers le bas, en forçant sur chaque côté pour la faire coulisser sur mes fesses. Arrivée en bas j’enjambais la jupe pour qu'il puisse la dégager. Il remonta ses mains sur chacune de mes deux jambes en prenant bien le temps de les caresser à travers le tissu du collant. Arrivé debout il me tourna face à lui puis me poussa sur le lit. D'un geste vif il rattrapa mes deux jambes et enleva mes chaussures. Ensuite il fit descendre mon collant. Je devais cambrer mon dos pour qu'il puisse les attr à la base c'est à dire au niveau de ma taille. Une fois ceci fait il monta sur moi, en faisant attention de ne pas m'écraser. Nous étions l'un contre l'autre, en sous-vêtements, on s'embrassait sans jamais vouloir se lâcher. Au bout d'un moment il prit ma main qui était sur son dos et la mise sur son caleçon. Je sentais encore plus son sexe dur, à l'étroit derrière ce bout de tissu. Avec ma deuxième main je l'attrapais par les fesses pour finalement lui enlever. Il s'était arrêté pour me regarder. A l'inverse moi je regardais son sexe que je venais de prendre entre mes mains. Il avait beaucoup de chance d'être aussi bien fait. Il était dur et gainé vers le haut. Au moment où je commençais délicatement à le masturber il dégrafa mon soutient gorge alors qu'il venait de passer une main dans mon dos. Il le jeta sur le côté et se précipita sur mes tétons. Il me mordillait le sein gauche tout en attrapant fort l'autre avec sa main. Mon premier petit cri venait de couper nos bruits de respiration. Je n'étais pas prête pour autant de force et d'adresse en même temps. La façon dont il s'occupait de ma poitrine était tellement agréable. Jamais je n'aurais pensé qu'il puisse être aussi doué. Je commençais à me tortiller de plaisir. J'avais lâché son sexe l'espace d'un instant. Il en avait profité pour descendre avec quelques baisers sur mon ventre, pour arriver au niveau de ma culotte, rouge elle aussi.
Arrivé ici il l'enleva d'un coup sec après avoir remonté mes jambes une fois de plus. Il reculait et écartait mes genoux. Avant de plonger il me laissa un dernier regard, comme s'il avait attendu mon autorisation. Avec sa langue il commença à jouer avec ma fente. J'étais déjà complètement mouillée avec de tels préliminaires. Ce qu'il faisait avec sa bouche me provoquait une sensation délicieuse de plaisir débordant. Au bout d'un moment il remonta une main sur un de mes seins comme pour me divertir. L'instant d'après il me mordillait le clitoris. Je ne m’y attendais pas et fut donc e de lâcher un autre cri de plaisir. Comment pouvait-il s'y connaître si bien avec le corps des femmes. Il savait ce qu'il faisait. En un rien de temps, à force de le sentir me toucher de partout tout en gardant le contrôle de mon entre-jambe, je ne pouvais plus me contenir. C'était un premier orgasme qu'il me donnait. Je me tordais dans tous les sens tellement j'étais excitée par ce qu'il faisait de moi. J'aurais voulu qu'il continue comme ça sans jamais s'arrêter mais je savais aussi qu'il attendait autre chose.
De la même manière qu'il s'était occupé de mon intimitée avec sa bouche, sans hésitation et vu la manière dont il l'avait fait, je ne pouvais refuser de lui faire plaisir à mon tour. Je l'incitais à se retourner sur le dos et je me posais devant lui, à genoux entre ses jambes écartés. Son sexe était toujours très dur, toujours aussi imposant. Je le saisissais alors qu'il était couché sur son ventre. Je recommençais à le branler, cette fois-ci avec mes deux mains. Il me regardait faire, appuyé sur ses coudes, il attendait la suite. Finalement j'ouvrais ma bouche et mettait son sexe à l'intérieur. Je commençais à faire quelques mouvements du mieux que je pouvais. Je me rendais compte à quel point il était volumineux car j'avais beaucoup de mal à passer ma langue autour. Après avoir fait quelques va et vient je l'entendais finalement lui aussi laisser libre court à quelques cris de satisfaction. Au bout d'un moment alors que je m'inquiétais de lui faire trop plaisir et que je commençais à douter de ses capacités à pouvoir aller plus loin, il se redressa et attrapa mes fesses qui pointaient vers le haut. Il les agrippa de toutes ses forces en me les comprimant. Je pensais qu'il allait jouir, mais en réalité pas du tout, il venait simplement de me complimenter sur ma façon de faire.
Mais combien d'expériences avait-il eut pour résister à quelque chose d'aussi bon ?
La tension, la chaleur entre nous était tellement forte que n'importe quel autre jeune homme de vingt ans ne se serait pas contenu jusqu'ici. Il m'impressionnait et m'excitait davantage. J'avais envie d'aller plus loin. Et puis j'avais de plus en plus de mal à contenir son sexe dans ma bouche. A croire que son érection avait encore grandit au contact de ma salive.

Après quelques dernières frictions avec son sexe entre mes mains, je me décidais finalement à le retirer délicatement, finissant par un dernier petit coup de langue sur son gland tout rose.
Il s'était redressé lui aussi le temps d’enfiler rapidement un préservatif. Ensuite il m'avait attrapée de manière à me repositionner sur le dos, lui sur moi, plaquant son corps nu et chaud contre le mien.
- J'ai très envie de toi Clara.
- Moi aussi Axel, je te veux à l'intérieur.

Il commença par écarter délicatement mes nymphes avec ses doigts. Il se repositionna et dès qu'il se senti prêt, il commença à introduire son pénis en moi. La première entrée fût très lente mais très facile, j’étais tellement trempée, j'étais tellement excitée ! Je n'avais jamais ressenti quelque chose d'aussi grand et surtout d'aussi large à l'intérieur de moi. On s'embrassait encore pendant que chacun de nous s'habituait au contact de l'autre. Le premier coup de rein qu'il donna me força à lâcher un cri. Autant de force et ce sexe tellement imposant me faisait frémir. Les premiers va et vient étaient les plus durs à encaisser, ma cavité n'était pas habituée à une telle taille. Il était obligé d'y aller doucement, il en profitait pour se préparer lui aussi. Au bout d'une vingtaine de mouvements lents, il décida que j'étais apte à passer à la vitesse supérieure. Il s'approcha de mon oreille et me murmura la chose suivante.
- C'est tellement bon d'être à l'intérieur de toi Clara. J'ai envie d'aller plus vite.
Je n'avais pas eu le temps de répondre qu’il avait déjà modifié le rythme. Son bassin claquait contre le mien après chaque entrée de son sexe en moi. Il avait entièrement déplié ses jambes, de manière à reposer uniquement sur ses mains et ses pieds. Il était droit, le seul contact entre lui et moi se résumait à la pénétration. A chaque va et vient je sentais ses testicules qui claquaient contre moi. Il restait dans la même position avec la même intensité et les mêmes mouvements forts. Je sentais chaque centimètre s'enfoncer dans mon intimité.
Pour la suite, je voulais qu'il revienne proche de moi, je décidais de l'attr avec mes mains dans son dos. Je le griffais involontairement, tellement ce qu'il me faisait était bon, je ne me contrôlais plus. Je ne pouvais plus contenir mon souffle et je commençais à esquisser un cri régulier à chaque fois que son sexe imposait sa largeur à l'intérieur de ma fente. Il accélérait encore. J'étais complètement excitée, il avait senti mon orgasme monté et il continuait de maintenir ses mouvements. D'un dernier coup fort et puissant comme s’il avait su à quel moment s'arrêter, il s'était enfoncé, entièrement le plus profondément possible en moi sans se retirer pendant de longues secondes. Il devait sentir mon vagin complètement trempé, complètement submergé par son sexe massif. Il sentait très probablement mes contractions internes. J'avais été obligée de m'agripper complètement a lui en hurlant de plaisir. J'écrasais ma poitrine contre lui en le serrant de toutes mes forces. Ce qu'il m'avait fait m'avait rendue dingue. Jamais je n'avais ressenti une telle sensation. Il me faisait l’amour subtilement, en comprenant chaque réaction de mon corps. Il me maîtrisait et dominait parfaitement l'acte.

Résistant comme il était, j'avais vite compris qu'il ne voulait pas s'arrêter là. Il en voulait plus.
Après avoir sortie sa verge encore très humidifiée par l'intérieur de mon vagin, il décida de se mettre derrière moi, tout en restant sur le côté. Il voulait me prendre en cuillère. Après le plaisir qu'il venait de me procurer, je ne pouvais rien lui refuser. Il commença par m'embrasser sur la nuque et à jouer avec mes seins en les attrapant avec ses mains. Il avait plaqué son sexe contre mes fesses et je continuais à ressentir à quel point il était dur. Il n’attendit pas bien longtemps, il voulait recommencer à me pénétrer. Cette fois si, il n'y avait pas besoin de mouvements lents. Il pouvait y aller directement avec force. Et c'est ce qu'il faisait. A peine était-il retourné à l'intérieur qu'il avait directement remis beaucoup d’intensité. Je sentais encore ses testicules qui n'arrêtaient pas de claquer contre mon corps. Moi qui pensais qu'il était à sa vitesse maximum, je me trompais, d'un geste brusque il plaqua mes deux avant-bras contre ma poitrine avec son bras qu'il avait passé derrière mon cou. Puis il souleva ma jambe droite pour avoir plus d'espace entre mes jambes et finalement il accéléra. Tout avait été très vite. Pendant un long moment je n'entendais plus que son souffle chaud contre mon dos et les bruits sourds de son sexe qui me pénétrait de plus en plus vite, en allant toujours aussi profond. J'étais crispée, je ne bougeais plus, je le laissais tenir ma jambe et s'enfoncer en moi, sans jamais s'arrêter. Après un très long moment je craquais, je ne pouvais plus me contenir. Je venais de jouir. Encore.
Je lâchais un dernier cri de plaisir, toute frémissante que j'étais.
Il m'avait littéralement achevée, j'étais épuisée face à tant de force et tant d'endurance. Au bout d'un énième va et vient il sortit lentement son pénis, prenant le temps de bien faire sentir sa largeur en se frottant contre mes petites lèvres. Il reposa ma jambe et immédiatement je me mettais à trembler. J'avais des petits spasmes très légers tellement mon corps ne s'était pas remis d'un tel plaisir.

Il avait clairement senti que j'étais montée au septième ciel. Il s'était redressé près de moi et avait commencer à m'embrasser langoureusement. Ses mains jouaient avec mes seins. Il attrapa mes tétons qui pointaient, il les pinçait puis avec la paume de sa main il continua de les caresser. Il prenait soin de toutes les parties de mon corps pendant que j'essayais de me remettre de mes émotions. Je posai ma main sur son abdomen et je me retournais face lui. Il senti que j'étais toujours tremblante.
- Tu es sûre que ça va Clara ? Tu trembles...
- Oui, répondis-je. Je suis complètement excitée, tu as rendu mon corps accro au tiens.
Jamais on ne m'avait aussi bien fait l'amour.
- Ravi de l'entendre, c'est aussi grâce à toi. Te voir prendre autant de plaisir me donnait la force de ne pas m'arrêter.
Après cet interlude il y avait eu un blanc de quelques secondes.
- Axel ?
- Oui Clara ?
- Ton sexe est encore dur...
- Je sais...
- Laisse-moi continuer cette fois.
Cette fois c'est moi qui allais mener la danse. Je voulais lui montrer que j'avais encore de quoi le tenir. Il s'était allongé sur le dos et avait remis un autre préservatif. Je l'avais enjambé. Pour le moment j'étais assise sur son bas ventre. Je sentais le gland de son sexe derrière moi. Par un geste lent, j'attrapais sa verge et tout en me relevant légèrement, je l’enfonçais à l'intérieur de moi. Je lâchai un soupir d'excitation une fois au fond. Dans cette position je le sentais encore plus érigé en moi.
Je pris ses deux mains et les plaqua contre mes seins. Je le prévenais de ne surtout pas les lâcher. Il était temps de me lancer, je commençais à faire des va et vient sur sa queue toute dressée. Les sensations étaient encore une fois différentes. Qu'est-ce que c'était bon. J'y allais moi aussi de plus en plus fort. Mes fesses claquaient à leurs tours sur ses testicules pleines à craquer. Il avait toujours ses mains sur mes seins. J’accélérais, de plus en plus fort. Je sentais son pénis qui entrait puis sortait à l'infini. Je sentais son gland au fond de moi à chaque coup. Je prenais plaisir à dominer la situation pour changer. Je le voyais commencer à crisper son regard. Il commençait à faiblir alors j’accélérais, je voulais lui montrer ce dont j'étais capable. Je m’efforçais de continuer à absorber sa verge toute dure à l'intérieur de ma fente. Je voyais que son souffle s’accélérait alors je commençais moi aussi à lâcher des cris de plus en plus distincts. Cela ne s'arrêtait pas, le plaisir était infini. L’extase était si puissante que je ne sentais même plus la présence d'habitude gênante du préservatif.
Sentant qu'il allait venir, il m'attrapa dans le dos, me plaqua contre lui de manière à ce que je cambre mes fesses. Il voulait en finir, la suite fut des plus intense en l'espace de quelques secondes il m’enfonça sa queue avec une telle force que je ne pouvais plus bouger, mais simplement ressentir ce qu'il me faisait.

Dans un final d'excitation totale je le senti jouir à l'intérieur de moi. Cette sensation délicieuse provoqua en moi un bonheur fou. C'était chaud, je percevais presque son liquide visqueux à travers le plastique. Légitimement, après être resté autant de temps gainé comme il était, c'était une très grosse quantité de sperme qu’il avait libéré. Jamais je n’avais vu une capote aussi remplie. Epuisée, je m’endormais sur son torse sans entendre un mot pour venir gâcher la fin de cet acte.

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