L'Ile Maurice 2

Quand je me suis réveillée, j’étais contre mon mari adoré. Marc n’était plus là.

Je me suis redressée et je l’ai regardé. La première pensée qui m’a traversé l’esprit était que je l’aimais. J’étais plus sûre de moi que jamais.

Cependant, je n’ai pu m’empêcher de le comparer à Marc. Le moins que l’on puisse dire était qu’ils étaient totalement différents. Luc est fin, mignon, bien plus mignon que Marc. J’éprouve une tendresse infinie pour lui.

A l’inverse, Marc a un visage plus brut, moins fin. Mais son corps !!! Alors même que je regardais mon mari, je n’ai pu m’empêcher de repenser au plaisir pris dans les bras d’un autre.

Marc a un corps doux, élancé et musclé à la fois. Ses caresses sont plus franches et pleines de sensualité, de sexualité, de virilité. Et le fait que Marc n’aie quasiment pas de poils le rendait encore plus beau, plus attirant.

Mon mari bandait dans son sommeil. Pensait-il à la soirée d’hier ?

J’ai toujours aimé le sexe avec mon mari et je pense qu’on est dans la bonne moyenne pour la fréquence des rapports. Et si l’orgasme n’est pas présent à chaque fois, j’ai au moins toujours du plaisir et du désir à le recevoir en moi.

Avec Marc, ça avait été totalement différent. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas couché avec un autre homme que je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre.

La situation m’avait mise dans un état d’excitation telle que le plaisir allait déjà obligatoirement être au rendez-vous. Seulement, Marc m’avait faite jouir comme jamais je n’avais joui. Son sexe était majestueux, long et gros. Comme le reste de son corps, il était harmonieux, bien net et avec un gland proéminent et plus gros que la verge. J’avais été folle de ce sexe.

Marc m’avait comblé comme jamais je n’aurais cru qu’il était possible de l’être.

Toutes ces pensées me troublaient. Je ne savais même pas comment avait réagi Luc, quels avaient été ses sentiments et je m’en voulais terriblement pour ça.



 Je me suis collée à Luc en posant ma tête sur son ventre et j’ai caressé son sexe. Mon mari s’est réveillé et m’a passé la main dans les cheveux. J’ai pris son sexe dans ma bouche et je me suis appliquée à lui donner du plaisir. Je sentais à sa respiration et à ses soupirs le plaisir que je lui donnais.

Luc m’a attiré à lui et on s’est embrassés.

-          Luc : Je t’aime

-          Moi : Moi aussi mon amour

-          Luc : C’était très fort hier soir !

-          Moi : Oui… Tu ne m’en veux pas ? Tu n’es pas jaloux ?

-          Luc : Non. En fait, je n’avais jamais osé t’en parler. Ça fait longtemps que je voulais vivre un truc comme ça tu sais. Et j’ai été surpris moi-même. J’ai beaucoup aimé te voir jouir. Je ne t’avais jamais vu comme ça.

-          Moi : Désolée.

-          Luc : Tu n’as pas à être désolée. Sans mon intervention, tu n’aurais jamais déclenché ce qui s’est produit. Je suis le seul « fautif » si on peut dire. C’était terriblement excitant pour moi et je comprends tout à fait que ça l’aie été pour toi aussi. Aussi bizarre que ça puisse paraître, j’ai aimé te voir jouir avec un autre. J’ai aimé te voir apprécier son sexe.

-          Moi : Tu y vas fort. Je t’ai toi. Ça me suffit.

-          Luc : Ma puce, tu n’as pas à me ménager. Je ne suis pas aveugle. Marc serait un sacré coup pour n’importe quelle femme je pense…..

-          Moi : Peut-être mais tu n’as pas d’inquiétude à avoir. Je t’aime et toi aussi tu me donne du plaisir

-          Luc : Je ne doute pas de ton amour mais il a quand même plus d’un atout : il est beau, il est gâté par la nature, il sait s’en servir et en plus il est endurant le salaud…. Je veux bien croire que je te « suffis » mais tu as joui très fort avec lui….

-          …….

-          Luc : Je t’ai vu hier… Tu te pâmais d’envie pour lui, tu te faisais sensuelle et tu adorais voir sa grosse queue bander pour toi.
Ce n’est pas vrai ?

-          Moi : …. Si…. C’est vrai mais à quoi ça sert de parler de ça. Je ne veux pas te blesser.

-          Luc : Pas de tabou, pas de mensonge entre nous…. et ne me ménage pas je t’ai dit

-          Moi : En fait, c’était tellement différent. Avec toi, j’ai toujours aimé la douceur, la sensualité. J’en ai besoin pour mon plaisir. Ne le prends pas mal mais Marc est plus… viril. Plus puissant. Il a fait naître chez moi un désir très fort et son sexe mon dieu !! Je le sentais loin ! Si loin ! C’était fort, bestial, j’étais une autre….. Je… Je m’excuse de te demander ça mais toi, comment tu as vécu ça ? J’ai du mal à comprendre que tu n’aies pas été jaloux.

-          Luc : Te voir jouir avec un autre, c’est une chose que j’ai accepté sans jalousie, vraiment. Tu étais magnifique, et j’estime que je t’ai fait un cadeau. Un cadeau que je ne regrette absolument pas. Et c’est contradictoire avec ce que je viens de te dire mais c’est aussi justement que tu sois si belle et désirable qui m’a fait un pincement au cœur : un autre que moi te voyait comme ça, un autre que moi profitait pleinement de tes charmes… et encore plus profondément que moi, même.

-          Moi : mais il y a une chose dont il n’a pas profité….

-          Luc : Ah oui ? C’est quoi ?

-          ….. (je me suis mise à genoux et j’ai tendu ma croupe en écartant un peu mes fesses)

-          Luc : Tu veux dire… OH ! Et tu serais partante ?

-          …..

Pour seule réponse, j’ai repris son sexe dans ma bouche.

Luc m’a fait passer sur lui et il m’a léchée pendant que je le suçais. Une nouvelle fois, sa langue et ses doigts ont caressé mon petit trou. Son index m’a pénétré et je l’ai encouragé à continuer. Bientôt, un deuxième doigt a rejoint le 1er.

Toujours au-dessus de lui, je me suis positionnée à la verticale de son sexe. Son gland pointait sur mon anus mais ça ne rentrait pas.


-          Luc : Ce n’est pas grave…..

Je me suis mise en levrette et il est venu derrière moi.

-          Moi : Tu vas entrer Luc. Tu vas m’enculer ! Je te veux là !

-          Luc : Tu me veux dans ton cul ?

-          Moi : Oui. Punis-moi d’avoir joui avec un autre ! Encules-moi !

-          Luc : OK ! Alors lubrifie bien ma puce !

Luc m’a fait sucer son sexe tout en me mettant un doigt dans le cul. J’ai laissé beaucoup de salive sur son sexe et il est passé derrière et a craché sur mon anus. Son gland m’a pénétré d’un coup et il a tiré sur mes hanches pour m’empaler.

J’ai poussé un petit cri de surprise et de légère douleur. Il s’est immobilisé et m’a laissé m’habi. Puis il a commencé à bouger. Rapidement, la gêne que je ressentais s’est transformée en un plaisir nouveau pour moi.

Luc m’a baisée. Il baisait sa femme et j’aimais ça. Il m’a baisée comme un forcené. Et s’est lâché tout au fond de mes reins dans un grand cri à peine couvert par les miens.

J’avais aimé ! Réellement aimé ! Je n’en revenais pas. On était en sueur, on s’embrassait, on se caressait et Luc m’a refait l’amour. C’était doux et tendre, parfait.

On s’est échappés du complexe hôtelier pour la journée, se bécotant tout le temps.  Le soir, on s’est endormis heureux comme rarement on l’avait été.

Au réveil, il ne nous restait plus qu’une journée à passer ici et une dernière nuit.

On a passé toute l’après-midi à la piscine avec Marc qui nous avait rejoints. J’ai bien vu qu’il appréhendait le premier contact avec Luc et moi aussi je dois dire. Mais Luc a tout de suite plaisanté et détendu l’atmosphère. Il ne paraissait absolument pas gêné d’être en présence de l’homme à qui il m’avait offerte 2 jours avant.

A un moment, j’étais sur les transats entre Luc et Marc. Je n’ai pu m’empêcher de regarder le corps de Marc et une bouffée de chaleur m’a envahie en repensant au bien qu’il m’avait fait.


On s’est aussi baigné tous les trois et ça s’est fini dans une petite bagarre d’eau pendant laquelle j’étais successivement prisonnière de l’un ou l’autre.

Luc m’a fait comprendre qu’il appréciait ces moments et m’a dit à l’oreille de me « libérer » et comme j’étais moins forte qu’eux, j’ai joué de mon charme dans l’eau. Mes seins arrivaient comme par enchantement au niveau de leurs yeux, ou mes fesses frôlaient leur sexe. De leur côté, une main agrippait tantôt ma hanche, mes fesses ou mes seins tout en essayant de rester discret. Au bout de peu de temps, Luc comme Marc avaient bizarrement une raideur au bas ventre.

C’est le moment que j’ai choisi pour sortir de l’eau et prendre une pose aguicheuse en rigolant. Je rigolais mais j’étais moi-même assez émoustillée par ces jeux pendant lesquels les mains de Marc avaient « innocemment » parcouru mon corps. Mes tétons pointaient sous mon bikini et deviner leur désir était très excitant.

Le soir, Luc a invité Marc à venir dîner avec nous et nous sommes rentrés dans nos bungalows.

-          Moi : Luc, j’ai passé un très bon après-midi mais on aurait peut-être pu rester seuls ce soir non ?

-          Luc : Ah ! Excuses-moi ma chérie, je pensais te faire plaisir. Tu sais, je te l’ai dit, ce qui s’est passé ne me dérange pas……. Pour être franc, je ne veux pas avoir à regretter quoi que ce soit, ni pour toi, ni pour moi. Je pensais que tu aurais peut-être encore envie de connaître ce qu’on a vécu l’autre soir.

-          Moi : Luc, je te l’ai déjà dit, je t’aime. Je n’ai pas besoin de ça.

-          Luc : Ecoutes, je sais que tu m’aime. Mais j’ai une chose qui me trotte dans la tête depuis longtemps maintenant, très longtemps. C’est une chose que je voudrais que tu fasses et je me dis que ça pourrait être la seule occasion de notre vie. On verra comment se passe la soirée. Ne fais pas d’objection tout de suite s’il te plaît.

-          Moi : Je… Qu’est-ce que je suis sensée faire ?

-          Luc : je te le dirais plus tard d’accord ?

On a rejoint Marc au restaurant et on a mangé tout en discutant, en rigolant bien aussi et petit à petit, des allusions à notre soirée coquine ont été évoquées. Marc, lui, ne tarissait pas d’éloge sur moi et il a remercié Luc de lui avoir permis de vivre une expérience inoubliable.

Nous sommes ensuite allés dans un bar de l’hôtel et Marc me fixait par moment avec intensité et plusieurs fois, ses mains se sont attardées sur ma taille ou ma cuisse sans que Luc ne réagisse. Malgré moi, je sentais le désir envers Marc renaître. Surtout que Luc n’aimant pas particulièrement danser, Marc m’a servi de cavalier 2 ou 3 fois. Marc en profitait pour me caresser un peu et je voyais Luc sourire.

A un moment, alors que je revenais des toilettes, Luc et moi nous sommes retrouvés seuls. J’ai en même temps été déçue et soulagée. Nous allions partir le lendemain et retrouver notre vie, loin des tentations que faisaient naître en moi cet homme.

-          Luc : Alors ma puce, tu passes une bonne soirée ?

-          Moi : Bien sûr.

-          Luc : Tu sais, quand tu es partie aux toilettes, Marc m’a beaucoup parlé de toi.

-          Moi : Et qu’est-ce qu’il t’a dit ?

-          Luc : Qu’il avait adoré la soirée passée tous les trois. Qu’il avait adoré ton corps et tout ce que tu avais fait. Qu’il était extrêmement flatté d’avoir été celui qui avait pu connaître ça avec toi et moi…. Il m’a dit qu’il avait vraiment eu envie de rester avec nous avant-hier  soir  mais qu’il avait pensé qu’il valait mieux qu’il parte…

-          C’est plutôt gentil de sa part !

-          C’est ce que je lui ai dit. Je lui ai aussi dit que j’avais bien conscience du plaisir que tu avais pris avec lui, que j’avais aimé te voir jouir. Il en a été surpris et ravi. Je me suis permis de lui dire aussi que tu l’avais trouvé particulièrement doué en plus du fait que tout était nouveau pour toi.

-          Moi : Tout ça !

-          Luc : Oui. Et il m’a dit qu’il était à notre disposition pour une autre nuit ensemble mais j’ai refusé sans te demander ton avis.

-          Moi : Tu as fait ce qu’il fallait mon amour. Il n’est pas parti fâché ?

-          Luc : non, il est plutôt parti surpris !

-          Moi : C’est quand même dommage que ça se finisse comme ça !

-          Luc : C’est-à-dire ?

-          Moi : C’est juste qu’on a vécu quelque chose de particulier et que j’aurais pensé qu’on aurait pu se dire au revoir mais je te  comprends.

-          Luc : non, tu n’as pas bien compris ma chérie. « Je » lui ai dit au revoir. Maintenant, c’est là que je vais te laisser un choix à faire. Tu sauras lequel choisir !

-          Moi : Tu me fais peur…

-          Luc : Laisses-moi finir…. Cet homme te désire et je ne suis pas aveugle. Tu le désire aussi.

-          Moi : Mais…

-          Luc : Chut ! Nous sommes à des milliers de km de chez nous. Cet homme que nous ne connaissions pas et que nous n’avons aucune chance de revoir te plaît, il t’a fait grimper au rideau. Je l’ai vu ! Et j’ai vu tes regards aujourd’hui. Tu y penses encore et je ne t’en veux pas du tout. Je veux que tu le rejoignes cette nuit. Deviens cette autre femme dont tu m’as parlé et que j’ai trouvée si belle. Profites-en. Lâches-toi sans la bride de ma présence.

-          Moi : Admettons que ce que tu dis est vrai… Toi, tu deviens quoi ce soir ? Je t’abandonnerai pour un autre et ça ne te ferait rien ?

-          Luc : Oh que si ! Mais justement… Je ne me l’explique pas mais je crois que je veux connaître cette situation. Demain on rentre et on laisse tout ça derrière nous. Tu es ma femme et je t’aime. Je respecterais ton choix.

Luc était sérieux, très sérieux. Et moi, j’avais envie de Marc depuis le début de l’après-midi. Je ne pouvais pas le nier. C’aurait été hypocrite.

Je me suis levée, je l’ai regardé dans les yeux et je l’ai embrassé en mettant ma langue dans sa bouche et en me collant à lui. Luc bandait dur et je l’ai caressé à travers son short le plus discrètement possible. J’ai compris à ce moment que l’idée seule de me savoir avec un autre le rendait fou, qu’il s’agissait certainement d’un fantasme très fort pour lui et j’ai lâchement décidé de profiter de cette « excuse ». J’allais partir quand je me suis retournée pour murmurer dans son oreille.

-          Si c’est ce que tu veux ! Mon corps que tu aimes tant sera à lui mais je veux que tu aies bien conscience d’une chose. J’ai vu le regard de Marc et je sais que je lui plais plus encore que tu ne le penses….

-          C’est-à-dire ?

-          Il aime mon sourire, ma bouche. Il aime mes cheveux longs et ondulés, il aime la douceur de ma peau et les courbes de mon corps. Il est fou de mes seins et tu as du voir comme il aime me prendre par ma taille si fine dans ses grandes mains.

-          ……

-          Je vais aller le rejoindre car tu as raison, il m’attire cet homme, ce vrai mâle. Quand je pense à son corps magnifique, je suis tout de suite humide. Tu veux qu’il me baise mais il ne va pas seulement me baiser. Il va aussi me faire l’amour…. ON va faire l’amour.

-          ….

-          Et quand je n’en pourrais plus de désir, il va me mettre sa grosse queue ! Tu l’as vue, tellement dure et longue mais surtout, bien plus grosse que la tienne…. C’est incroyable ce qu’elle est meilleure sa grosse queue… Et puis il sait se retenir, lui…. Il va me faire crier de plaisir…. toute la nuit….

-          ….

-          Peut-être qu’il va vouloir profiter de ce que tu as mis 10 ans à avoir ? Peut-être que c’est moi qui vais vouloir de lui dans mes fesses ? Pense bien à ça mon chéri !

-          …….

-          Demain, je redeviendrais ta femme.

-          ……

-          Mais en attendant, cette nuit, je suis à lui… et seulement à lui. Je te laisse donc imaginer tout ça…. Et ce que même moi, je n’imagine pas encore…. A demain.

Je lui avais dit tout ça très sensuellement et avec un ton de défi mais je savais qu’il n’allait pas me retenir. Je l’avais vu dans ses yeux. Je me suis ensuite éloignée sans un regard en arrière, le cœur battant à tout rompre.

Je me suis arrêtée dans un endroit où il faisait très sombre pour me calmer un peu et m’assurer que Luc ne changeait pas d’avis. J’ai repris ma route. Arrivée à l’embranchement des chemins séparant notre bungalow de celui de Marc, il m’attendait.

Je me suis approchée.

-          Bonsoir Julie !

-          Bonsoir Marc !

-          Avant que dises quoi que ce soit, je sais ce que Luc t’a proposé. Je ne sais pas quelle est ta décision, ton état d’esprit.

-          Je ….

-          Soit tu es partie fâchée et tu rentrais à ton bungalow, soit tu venais me rejoindre…

-          …… Je venais te rejoindre.

-          Ton mari veut te donner à moi….. pour s’offrir un fantasme je pense. Et je suppose qu’il pense te prouver qu’il t’aime.

-          Et je crois que tu as raison.

-          Mais toi ? Pourquoi tu acceptes ? Pour ma part, je ne pense pas que ce soit purement par amour pour lui.

-          …..

-          Je crois que TU veux t’offrir un moment de liberté. Tu as envie de moi autant que j’ai envie de toi.

Je me suis approchée de lui. Il m’a tendu la main et je lui ai donné la mienne.

Une fois dans son bungalow, Il a fermé sa porte à clé, tiré les rideaux. On était seuls au monde dans cette magnifique chambre. Il s’est approché de moi et m’a collée contre un mur en me regardant intensément. J’ai su de suite que j’allais passer une nuit exceptionnelle.

On s’est embrassés, avec passion et j’ai adoré son baiser. Très lentement, il a fait tomber ma robe au sol, empaumant mes seins, caressant ma peau de façon très douce. J’ai pris un peu d’assurance et j’ai enlevé sa chemise. J’ai déposé des baisers sur son torse, suçant même au passage ses tétons. Nos corps se sont collés, se sont serrés et nos langues se sont emmêlées. Etre seule avec lui me libérait. Je ne sais comment le dire. Il n’y avait pas d’amour mais un désir que je n’avais jamais connu auquel je pouvais laisser libre court sans avoir peur de blesser Luc.

Marc a saisi ma nuque et a fait une légère pression pour que je sois à genoux devant lui. Son sexe formait comme un saucisson déformant son short.

Je l’ai baissé doucement. Il ne portait pas de sous-vêtement. Son sexe a jailli à l’horizontale, contre ma joue, déjà gros mais pas totalement en érection.

J’ai caressé ses cuisses, ses fesses fermes et musclées. J’ai embrassé sa hanche et ses abdos bien dessinés en me rapprochant de la base de son sexe qui était contre ma joue. Je l’ai soulevé pour le plaquer sur son ventre. Je n’avais jamais fait ça mais j’ai léché ses bourses. Ensuite, je les ai mises une par une dans ma bouche. Je voulais tout faire avec cet homme, tout connaître. Il poussait des soupirs de bien-être.

-          MMMHHH ! Ces vacances prenaient une tournure très agréable. Dommage qu’elles finissent demain.

-          Oui ! Vraiment dommage !

Le sexe de Marc prenait de l’ampleur très rapidement et j’ai commencé à le sucer.

-          Elle est tellement grosse Marc ! Ce n’est pas possible !

-          C’est sûr que ça te change de ton mari. C’est bon de sucer une grosse queue hein ?

-          MMMMH OUI !

-          Prépare-la bien. Lèche-la. Il faut que je sois bien dur pour toi !

Le sexe de Marc me remplissait maintenant la bouche et ça m’excitait vraiment.

Je suçais son gros gland et je le branlais en même temps. Marc grognait de plaisir. J’étais très fière de moi mais il m’a stoppée et m’a relevée.

-          OUH LA ! Un peu plus et je venais dans ta gorge tu sais ?

-          Et alors ! tu peux !

-          Un peu de patience. On a tout notre temps.

Marc m’a allongée sur le lit.

-          Tu es magnifique Julie. Je vais adorer profiter de ton corps.

Ses mains et sa bouche ont parcouru mon corps. Il m’a léché longuement, sensuellement tout en me caressant partout, faisant tranquillement monter la pression. Sa langue était un délicieux supplice et il savait s’arrêter à la limite de ma jouissance. Lui aussi a exploré la raie de mes fesses, enfonçant un pouce entier en moi tout en me léchant. Je ne tenais plus. Des gémissements sans cesse plus forts sortaient de ma gorge.

On s’est à nouveau embrassés et j’ai goûté mon plaisir sur ses lèvres. Il a roulé sur le dos et je l’ai enjambé. Son sexe était dur comme du béton et il le tenait dans sa main, m’empêchant de le mettre en moi.

-          J’ai trop envie Marc.

Il a souri et a poussé son gland en moi.

-          Penses à ton mari. Tu le fais cocu et tu en es consciente. Tu veux cette grosse queue pour te faire jouir plus qu’il ne peut le faire.

-          OUIIIII ! OH MON DIEU ! OUIIII ! SI GROSSE !

Marc a enlevé sa main et je me suis empalée sur le pieu de mon amant.

J’étais tellement trempée qu’elle est entrée sans problème mais je l’ai sentie progresser en moi lentement, appréciant à sa juste valeur la taille de ce sexe si parfait pour moi.

Marc avait relevé ses genoux et je me suis arrêtée sur ses cuisses. Nos langues se sont trouvées et j’ai commencé à bouger. Je me suis faite sensuelle et câline. Chaque mouvement de mon corps était fait pour le rendre fou de désir. Ses mains caressaient mes hanches, mes fesses, mon dos et mes cuisses et à chaque fois, enserraient ma taille au passage. On a fait l’amour longtemps comme ça. Mon plaisir grandissait inexorablement.

-          Tu veux me rendre fou ? C’est ça ?

-          Tu crois ?

-          C’est moi qui vais te rendre folle ! Folle de ma queue tu verras !

Marc a saisi mes hanches et il a accéléré ses coups de bassin, secouant mon corps, léchant mes tétons dès qu’ils passaient à proximité de sa bouche.

J’ai senti le plaisir monter, monter si fort ! Ma jouissance devenait de plus en plus bruyante.

Marc a commencé à montrer les signes d’une jouissance proche.

-          Bon sang Julie je vais jouir !

Je me suis retirée et je me suis mise à genoux aux pieds du lit. Il a compris de suite et il s’est mis debout devant moi. J’ai sucé son gland comme une affamée tout en le branlant fortement. Sa jouissance est arrivée très vite. Il a éjaculé dans ma bouche dans un grand râle.

Son sperme me tapissait le palais. J’ai tout avalé et j’ai repris ma fellation jusqu’à ce que son sexe perde de sa superbe.

On s’est lové l’un contre l’autre et à ma grande surprise, il m’a roulé un énorme patin, goûtant certainement un peu son propre sperme.

-          Julie tu es exceptionnelle. Je n’aurais jamais cru te voir faire ça. Tu caches bien ton jeu

-          Je me surprends moi-même tu sais. Je n’ai jamais fait ce genre de chose.

-          Et c’est ce qui te rend encore plus désirable à mes yeux.

On s’est embrassés et caressés longtemps, roulant l’un sur l’autre. Jamais je n’avais connu de moments si érotiques. J’étais dans les bras d’un homme splendide et il bandait à nouveau pour moi.

-          Julie j’adore l’idée de ton mari seul dans sa chambre alors que je suis avec sa femme.

-          Salaud !

-          Il doit être en train d’imaginer ce que tu me fais, ce que je te fais… Tu crois qu’il se branle ?

-          Oui, sans doute !

-          Ça m’excite. J’ai encore envie de toi.

-          MMMMHHH ! Moi aussi ! Prends-moi encore

-          Tends-moi tes jolies fesses. Tu vas tout prendre ce coup-ci !

Je me suis mise en levrette et il m’a pénétrée en faisant de petits allers retours. Il s’enfonçait toujours plus. Je le regardais par-dessus mon épaule et il était beau, les yeux fixés sur mes fesses, tous les muscles bandés dans l’effort.

J’imprimais moi aussi de petits mouvements de bassin et j’ai commencé à jouir. Il est venu butter doucement au fond de mon vagin, créant une décharge de plaisir dans mon corps entier. Il  forçait sur mes hanches pour enfoncer au maximum son sexe. J’en ai eu le souffle coupé. C’était indéfinissable.

C’était comme si Marc voulais marquer son territoire.

-          Tu me sens bien là ! C’est autre chose que la petite bite de Luc hein ?

-          OH MON DIEU ! OOOOHHHHH ! OUIIIII !

-          Je vais te baiser à fonds Julie ! TIENS !

Marc a commencé à me pilonner. C’était fort, c’était bon, c’était exceptionnel ! Marc m’a ramonée, baisée, m’a défoncé la chatte. Il me traitait de salope, de chienne, me disait que j’étais trop bonne à baiser !

Je jouissais sans arrêt et lui demandais de continuer. De temps en temps, il s’arrêtait et m’attirait à lui pour m’embrasser, me peloter les seins. J’adorais quand il collait ses pectoraux contre mon dos, imbriquant au maximum nos corps en sueur.

Cet homme était un dieu du sexe, puissant et endurant après sa première jouissance.

Il m’a ensuite penchée au maximum pour écarter mes fesses et m’enculer de ses doigts.

-          Je vais te casser le cul ma salope !

-          Oui, tout ! Prends tout ! Encule-moi !

Il soufflait comme un bœuf, son corps était couvert de sueur et ça rendait la scène plus hard encore.

Il a positionné son gland sur mon anus et il m’a pénétré lentement. Mon sexe avait tellement coulé, on était tellement en sueur que je n’ai ressenti aucune douleur. Juste comme une gêne quand il s’est enfoncé loin entre mes reins. Il a tiré mes cheveux en arrière en m’obligeant à me redresser.

-          Ca y est Julie. Je suis enfin dans ton cul ! J’en rêve depuis que je t’ai vue au bord de la piscine.

-          OHHH ! Doucement ! C’est gros !

-          Oui, c’est gros ! Ton petit cul est bien serré. Je vais aller doucement au début. Et ensuite, tu vas voir.

Il a fait des petits mouvements, plutôt doux mais son membre frottait partout en moi. Par moment il s’arrêtait et caressait mon corps puis reprenait ses mouvements. J’ai senti le plaisir monter à nouveau. Chaque mouvement me rendait folle. Plus question de douleur. Juste une sensation que j’apprenais à vraiment aimer.

D’un coup, il a affermit sa prise sur mes hanches et il a accéléré. Mon cul s’était fait à sa taille et il me sodomisait maintenant de tout son être. J’ai recommencé à crier encore et encore.

J’ai senti son corps se tendre derrière moi et mon anus s’est trouvé d’un coup bien plus lubrifié, me soulageant quelque peu quand même. On a roulé sur le côté, son sexe toujours planté au fond de mon cul.

J’étais épuisée et lui aussi. Je l’ai senti se retirer et je me suis endormie aussitôt. Je me suis réveillée à 6h00. Je quittais l’hôtel avec mon mari à 11h00. Marc dormait. Il était vraiment bien fait. Son sexe reposait contre sa hanche, mou mais décalotté…. Tentant.

Mes mains sont passées sur son corps, ce qui l’a réveillé en douceur. Il a ouvert les yeux et m’a souri. J’ai caressé longuement ses cuisses, son ventre et ses pectoraux, ses bras forts. Je n’ai pas touché à son sexe mais il s’est redressé doucement.

Marc m’a attiré à lui et on s’est embrassé… Tendrement. On s’est enlacés, câlinés longtemps. Marc m’a fait rouler sur le dos et il est venu entre mes jambes. Il a frotté son gland doucement contre mon sexe.

J’ai repensé à ce que j’avais dit à mon mari la veille. On allait aussi faire l’amour, pas seulement baiser. Marc m’a pénétré lentement, en me regardant dans les yeux et ça m’a fait craquer. Il caressait tout ce qu’il pouvait de mon corps et je faisais de même. Son sexe était doux et gros en moi. Je le sentais si bien ! Je savourais la pénétration et la douceur de son corps quand un 1er orgasme m’a traversé le corps. Marc s’appliquait à être doux et à me prendre très profondément. Son gland forçait parfois doucement ma matrice, créant des décharges de bien être dans mon corps. J’ai joui une nouvelle fois, fort, très fort.

Je suis ensuite passée sur lui et le ballet de sensualité et de plaisir a repris. Quand il était sur le point de jouir, il me faisait signe et je calmais le jeu. Dans cette position, il me caressait divinement bien les seins, suçant par moment mes tétons. J’étais en feu.

Marc m’a ensuite allongé sur le ventre en remontant  une de mes jambes sous moi.

Il m’a pénétré et j’ai joui de suite. Marc a continué tout en m’embrassant sur l’épaule, dans le cou, sur la nuque, ce qui augmentait mon désir et mon plaisir. Puis Marc m’a saisi par les hanches et le mouvement de piston a fait son œuvre. Son pubis claquait en rythme contre ma fesse droite et j’ai senti qu’il faisait tout pour faire durer. Je l’ai regardé dans les yeux et j’ai prononcé les premières paroles de la journée.

-          Vas-y. Viens en moi ! Jouis !

Marc a accéléré et a joui alors que je criais mon bonheur.

On avait fait l’amour pendant plus d’une heure et demi. Marc m’avait fait connaître des orgasmes d’une intensité que je ne connaissais pas.

Je suis passée sous la douche et après un dernier baiser, je suis partie. J’ai retrouvé Luc et je lui ai sauté dans les bras. Après un langoureux baiser, je lui ai raconté ma nuit, dans les moindres détails.

Luc bandait dur. J’ai baissé son pantalon et je l’ai masturbé. Quand je suis arrivée au récit de ce que nous avions fait ce matin-là, j’ai vu son excitation grimper encore et je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il jouisse lui aussi dans ma bouche.

De retour en France, notre vie a repris normalement. Deux ans plus tard, maman d’un petit garçon de 1 an (de mon mari, je tiens à le préciser), j’étais toujours comblée par la vie avec mon mari et, s’il m’arrivait encore d’y penser, je ne sentais pas de besoin nouveau, sexuellement parlant….

Jusqu’à ce qu’un soir, assise en chemise de nuit sur mon canapé, un message me parvienne sur un célèbre site de relation ancienne. Marc m’avait trouvée. J’ai accepté le message qui disait ceci « Julie, je pense souvent à toi. J’imagine ton corps et le désir que nous éprouvions l’un pour l’autre, l’érotisme incroyable de cette situation improbable….. Et je bande…. Je revois encore la courbe parfaite de tes seins bougeant au rythme de mes mouvements, ta croupe magnifique allant au-devant de mes pénétrations parfois douces, parfois viriles, ton sexe enserrant si bien ma queue profondément ancrée pour ton plus grand bonheur. J’entends encore tes orgasmes résonner dans mes oreilles, ton corps secoué du plaisir ressenti... Et je jouis…… La France nous sépare mais qu’est-ce que la France ? Quand tu veux ! Où tu veux ! Chez toi ou chez moi ! Avec ou sans Luc ! N’hésites pas »

La simple lecture de ce texte m’avait fait mouiller comme une folle. Luc lisait le message en même temps que moi. Il a mis la main sur mon sexe et m’a souri en constatant mon état.

Je vois qu’il bande quand il prend l’ordinateur et qu’il tape « Chez moi ! Quand tu veux ! »

Les dés sont lancés….. et la nuit avec mon mari est déjà pleine de promesse !

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