Ça C'Est Passé Simplement 15

Vendredi 28 Mars 1986 le soir diner et nuit - Suite
Anaïs est d’accord
C’est ainsi que fut entamé le diner et au cours de celui-ci Evelyne m’annonça : « Anaïs est d’accord pour que tu puisses nous voir pendant, disons, nos débats »
Moi « Wouah, … »
Evelyne : « Elle est d’accord, mais la condition est que tu ne sois pas là dès le début, mais que tu arrives discrètement pendant, … comme elle dit elle saura et ça l’excitera, mais sans être certaine, … »
Moi : « Comment a-t-elle pris ta demande et comment as-tu fait pour la convaincre ? »
Evelyne : « Je me suis simplement souvenu d’une histoire qu’elle m’avait racontée il y a quelques mois. Elle habite un immeuble ancien, elle est au 3ème et il y a environ six mois un couple a aménagé au 4ème et elle a constaté que le type, la cinquantaine, l’observait lors qu’elle faisait sa gym devant sa fenêtre. Comme elle m’a dit, avant cette observation elle faisait sa gym en justaucorps, voyant ça elle a fait sa gym en T-shirt et short et un jour, comme il faisait chaud, elle a enlevé le T-shirt et est apparu en soutien-gorge, jusqu’au jour où elle se trouvant « volontairement » dans le bus juste derrière lui, elle lui dit discrètement : ‘’Vous aimez regarder par la fenêtre’’ - Il voulu se retourner, mais bloqué par Anaïs elle lui dit : ‘’Ne bougez pas ou je hurle’’ – puis : ‘’Ça ne me gêne pas, même ça m’excite, mais méfiez vous de votre femme, je n’aime pas les histoires, mais j’adore les chocolats ». Le lendemain, elle avait dans sa boite aux lettres une boite de chocolat »
Moi « Wouah, … elle n’a peur de rien, c’est vrai elle a de quoi intéresser les hommes »
Le repas terminé nous nous rendîmes au salon où nous passâmes une demi-heure à nous faire des gâteries, ce qui permit à « popol » de se refaire une santé et enfin pouvoir se dresser fièrement.
Moi : « Si on passait à des choses plus sérieuses, on reste ici où on va dans ta chambre ? »
Evelyne : « Si tu m’avais laissé me rhabiller, je pourrais te faire un strip-tease, je vais te faire une confidence, j’aurais aimé, un jour, faire un strip-tease, voir ce que cela faisait de se déshabiller en public.

Pour maintenant on peut rester ici » et elle m’enjamba, sa touffe contre ma queue, dressée et gonflée au possible et attirant ma tête vers ses seins : « Lèches moi, suces les ... J’aime que tu me têtes, … ça m’excite de sentir ta langue me lécher le bout, … me mordiller les tétons, … oh, …oui, … c’est bon, … oh Oui, … » Puis se tournant brusquement et s’asseyant sur mes genoux, de dos à moi, elle frotta ainsi son cul à ma queue.
Evelyne : « C’est bon, … j’aime te sentir dans mes fesses, … prends moi comme ça, … je suis prête, … prends mon cul, … j’en ai envie très, … tu veux dis, … encules moi, … »
Dans cette position j’aurais pu la prendre, mais c’est elle qui aurait mener la cadence. Je la poussait et lui dis : « Mets toi en levrette, je vais te prendre, … je vais prendre ton cul, … »
Elle s’agenouilla en s’appuyant sur le sofa, le cul bien prêt, en position et disponible.
Je me positionnais derrière elle et diriger mon sexe vers sa chatte que j’investissais sans problème, tellement elle était ouverte, chaude et détrempée. Sans attendre je l’entreprenais à grands coups de rein
Evelyne : « Oh,… oui, … c’est bon, … je suis prête, … prends mon cul, … oui, … encules moi, … j’en ai tellement envie, … ça fait longtemps, … oui, … tu as promis, … »
Je me retirais de sa chatte et me positionnais sur sa rosette, dont je tâtais l’élasticité en commençant doucement à la pénétrer.
Evelyne : « Oui, … fais doucement, ça fait longtemps, … forces mon cul, … je suis ta femelle, … montes moi dessus, … je veux te sentir, … oui encules moi bien, … je te veux entièrement, … OOOOHHH, … OUI, … »
Je venais d’investir et de m’enfoncer entièrement dans son petit trou que je commençais à ramoner doucement, pour l’habi à ma présence, mais sa propriétaire en avait tellement envie qu’elle s’était ouverte et cramponné à ses hanches je pouvais la ramoner à sa satisfaction et à la mienne. Mais me souvenant de ses goûts, je claquais la fesse droite, ce qui avait plusieurs avantages, à la claque, sa rosette se contractait et se relâchait, ce qui était efficace comme sensation sur mon engin en pleine action et c’était suivi d’un : « Oh, … oui, c’est bon » Certes il ne fallait pas en r mais cela avait un petit coté excitant tant pour la femelle subissant que pour le mâle s’activant.
Je remis donc une nouvelle claque sur la fesse gauche qui entraina la réaction suivante : « Oh, … c’est bon, … tu aimes me claquer, … profiteur, … mais j’aime, … continues, mais fais moi jouir, … je sens que ça vient, … oui, … » et sa main droite quitta le canapé pour se diriger vers sa chatte, qu’elle se mit à caresser et plus j’augmentais le rythme, plus sa main s’activer à son entrejambe : « Oh, … oui, … continues, … encules moi fort, … depuis que j’en ai envie, … une queue qui me bourres le cul, … je veux te sentir, … ouiii, c’est bon, … éclates moi, … continues fort, … je sens que ça vient, …, je vais jouir, … reste dur, … OUIIIIIIII, … OOOOHHHH, … JE JOUIIIIIIIIIIS… »
En même temps qu’elle criait son plaisir, elle eut un splendide spasme, ce qui fit que je me vidais dans son cul d’un seul coup et elle s’écroula sur le tapis, tout en ayant deux ou trois petits spasmes, alors que m’ayant éjecté de son fondement, je tombais assis à coté d’elle. Quelques minutes pour reprendre notre souffle. Evelyne balança ses escarpins et après avoir posé ses lèvres sur les miennes dit : « C’était bon, … vient on va dans la chambre, … »
Arrivé dans la chambre, elle s’affala sur le lit, bras et jambes écartées: « Viens près de moi, … j’ai aimé, … ça faisait longtemps que j’attendais ça, … «
Moi : « T’es contente, … j’ai été à la hauteur, … je t’ai bien baisé … »
Evelyne : « Oui, … tu ne serais pas un peu goujat, …je devrai te mettre à la porte, au lieu de ça je t’ouvre mon lit, … tu me baises, … et j’en redemande, … oui tu m’as bien baisé, et j’en veux encore, … j’étais réellement en manque, … tu es content, … mais plus ça va plus j’ai le sentiment d’être une salope et encore,…»
Moi : « Et je ne te vois pas pour midi ?
Evelyne : « Non, j’ai des rendez-vous importants et je sais ce qui risque d’arriver si je revenais à midi. Depuis que tu es là, j’ai un peu, … enfin beaucoup négligé mon travail, soit raisonnable»
Au lit, Evelyne vint se pelotonner contre moi : « Et mon câlin, … »
Il se faisait relativement tard, doucement on s’endormit.
Comme d’habitude, pour moi, en milieu de nuit j’émergeais, mais ce n’était pas seulement l’habitude, mais, une main était en train de s’occuper de « popol », ce qui eut l’effet de me réveiller complètement. Mon engin ayant repris de la vigueur, je m’insérais entre les cuisses de ma partenaire, qui tenant mon sexe, le guida vers son minou en disant : « Non, … tu exagères, … » et en ouvrant encore plus le compas de ses cuisses et je commençais à la ramoner avec ardeur : « Oui, … prends moi, … j’en ai tellement envie, … oui, … baises moi fort, … fais moi jouir avec ta queue,… des fois, ça me manque un homme, … Ouiiiiiii, … ne t’arêtes pas, … baises moi, … baises moi fort, … ». Je la ramonais avec application et c’était un plaisir de la prendre, je coulissais dans sa grotte d’amour avec facilité tellement elle coulait de plaisir : « Ouiii, … c’est bon,… j’aime te sentir me remplir, …ouiiii, …. Dis moi que t’aimes me prendre, … me baiser, … »
Elle était excitée au possible, tendue comme un arc, s’arcboutant pour être mieux investie, après quelques minutes, où elle sembla reprendre son souffle elle reprit : « Continues, … retiens toi, … je sens que ça vient, …OUIIIIIII, … je JUOIIIIIS, … continues, … OUIIIII, … », pour ma part, j’avais ces derniers jours usé et abusé des jeux du sexe et ce qui m’arrivait quelque fois, je sentais le plaisir me monter dans les reins, je bandais fort et dur mais rien ne sortait, je devenais, dans ces cas une véritable machine à baiser et je ne pouvais m’arrêter, il fallait que je décharge, … Evelyne me subissait avec plaisir et le disait : « Continues, … ouIII, … encore, …baises moi, … OUIIIII, … OUIIIIII, ….Je JOUIIIIIS,…. » Le tout suivit d’un nouveau spasme, et d’un seul coup je me vidais, alors que ma partenaire, commençait à rendre les armes : « Arrêtes, … Je n’en peu plus, … OHHHH, … OUIIIII, … » ?
Evelyne, se calla contre moi : « Maintenant on dort »

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