Collection Étrange Phénomène. Manon Et Les Zombies (2/5)

Mais qui tape à ma porte ?
C’est ainsi que tout a commencé.
J’étais dans mon labo, isolée du monde dans ma pièce étanche quand Susy s'est mise à frapper.
Un mystérieux nuage jaune semble avoir transformé les êtres vivants qui m’entourent en zombies.
C’était le cas de Susy qui dans la pièce voisine l’a respiré.
Moi la femme d’un médecin.
Moi la femme ayant une vie de couple irréprochable sentant la vie dans le bas-ventre de mon assistante, je la fiste trouvant par là même un remède à son mal.
Plusieurs personnes dont Madame la directrice de notre centre de recherche sont devenues des morts-vivants.
J’ai réussi à échapper à Susy grâce à une seringue remplie de liquide antiseptique.
Comment vais-je me sortir, nous sortir de cette nouvelle situation avec Susy ?
Gaspar le responsable de la sécurité semblant vouloir nous becter.
Au moment où j’arrive à fermer la porte de la salle des enregistrements, je constate que celui qui comme les autres est devenu un zombie, bande.
Je viens de faire une découverte fondamentale qui va faire de moi un prix Nobel, les zombies restent en vie par leur sexe.
Hélas, ce prix pour l’obtenir il faudrait pouvoir sortir de ce trou à rat et maitriser Gaspar cette force de la nature.
Les seringues comme une conne, j’ai posé le sac où je les ai mises dans la pièce où se trouve Gaspar.

- Susy, la porte est bloquée, elle nous protège de Gaspar.
Mais pour nous échapper il faut passer sur son corps qui a des pectoraux à faire pâlir certains boxeurs.
Réfléchissons comment sortir afin de nous en sortir vivante.
- Manon regarde, il semble y avoir un faux plafond.
- Je m’excuse, mais je suis plus légère que toi, aide-moi à monter.

Je constate que Susy a bien récupéré de son passage chez les zombies car elle saute sur la table devant les appareils enregistreurs et pousse une plaque.



- C’est tout noir, mais il semble que ça se prolonge au-dessus de la pièce voisine.
- Descend, il faut analyser la situation sous toutes ces coutures.
Regarde, il y a un poste de charge pour deux lampes torches sur batterie.
Gaspar avait dû la prendre pour faire sa ronde.
Je te passe l’autre.
- C’est ça, ça se prolonge.
- Essaye de grimper pour voir s’il est capable de soutenir ton poids.

Nous plaçons la chaise et elle arrive à grimper.

- Reviens, il faut regarder comment on va l’attaquer.

Suivant mon conseil, elle descend souplement.

- Il faudrait trouver une corde.
Tu sais, quand tu étais derrière ma porte, tu tapais avec tes petits poings, si je me souviens bien, tu les avais levés.
Gaspar aussi les avait toujours à hauteur, si nous arrivons à l’attacher, je pourrais prouver ma thèse.

Nous cherchons et trouvons ce qui va nous servir.
La rallonge qui permet aux enregistreurs de fonctionner.
Ils ont été généreux, une trois mètres aurait suffi, ils leur ont facturé une plus grande.

- Que fais-tu, pourquoi cette boucle ?
- Un lasso, je confectionne un lasso comme les cow-boys.
Tu vas aller au-dessus de la pièce voisine et enlever une plaque.
Quand Gaspar sera en dessous de toi, tu lui laisseras glisser ce nœud autour du cou et tu tireras pour l’immobiliser.
- Comment viendra-t-il en dessous de moi ?
- Ton odeur et le cri que tu pousseras.
Souviens-toi de Madame quand tu as fait du bruit, elle voulait venir vers nous et par chance nous l’avons isolé avant qu’elle puisse nous bouffer.
Quand tu l’auras attrapé, tu m’appelles, j’ouvrirais la porte et je pourrais savoir si mon intuition est la bonne après ce que j’ai constaté tout à l’heure.

Susy monte, j’entends jusqu’à son cri de victoire, elle tient Gaspar.


- Ouvre, je le tiens.
Vite il se débat.

Comme le diable sortant de sa boîte je sors à quatre pattes.
J’avais bien vu, il a les bras à hauteur de sa poitrine semblant dans l’impossibilité de les amener plus bas.
Je vais jusqu’à sa ceinture de pantalon bien tendu par la verge que j’avais bien vue, bandant.

- Manon, que fais-tu, il va me faire tomber.
- Je pense qu’il va se calmer, laisse-moi faire.

J’avais entendu dire que les noirs en avaient des impressionnantes.
Gaspar est blanc et la sienne l’est tout autant.
Je comprends Madame là-bas dans son bureau qui se faisait pilonner par un tel pieu.
Mais l’image de cette bite lui entrant dans la chatte s’estompe car je suis en mission.

- Tu le suces, c’est incroyable, il semble se calmer, il tire moins fort.

Il est si gros qu’il m’est impossible de la faire entrer dans ma bouche.
Je la suce du haut en bas arrivant juste à passer ma langue sur son méat.

- Tu t’y connais en fellation, c’est Antoine ton mari qui doit apprécier.
- Je vais t’avouer une chose Susy, tu as été la première femme que j’ai fistée et Gaspar le premier que je suce.
- Je comprends mieux pourquoi Antoine, pardon.

Je continue à lécher essayer de le prendre en bouche.
Cela dure environ une demi-heure mais je sens que ça bouge à l’autre bout de ce sexe.
Mes articulations me font mal, aussi sans me relever, craignant ses battoirs, je me mets à genoux et je continue à pomper.

- Dépêche, je sens que ça craque sous moi.

Les jets qui m’inondent le visage, obligés de les avaler tellement il en sort de la verge que je viens de pomper pour une première fois.
C’est à ce moment qu’un grand craquement se fait entendre.
Susy atterrit sur les épaules de notre force de la nature.

- Qu’est-ce qui m’arrive, madame Manon pourquoi avoir sorti ma verge de mon pantalon ?
Et toi Susy, inutile de me en sautant sur mes épaules, à moins que tu me coupes la bite pour t’en faire un trophée.

- Gaspar calme toi nous allons t’expliquer.

Revenu à la vie grâce à la fellation que j’ai faite à ce zombie, suçant la verge d’un mort-vivant.

- Gaspar, dis-moi tu étais l’amant de Madame, nous avons vu le CD où tu la baises sur son bureau.
- Susy, quand nous avons fait l’amour chez moi, je t’avais dit que j’avais de gros besoins sexuels et que j’avais de nombreuses amies.
Tu es mariée à ce que je sais et moi célibataire, j’ai horreur des femmes jalouses.
Dites-moi, j’ai compris ce qui nous est arrivé et je vous remercie Manon de m’avoir sortie de ce mauvais pas.
Dommage que dans la situation où j’étais votre jolie bouche je l’ai vu recevoir mon sperme à la dernière seconde où je l’aie rempli.

Je passe ma main sur ma joue quand il m’aide à me relever.
Je racle une grande quantité de sperme qui commence à sécher.

- Dis-moi Susy, dans la situation où nous nous trouvons tu dois être franche.
Je viens de donner un coup de canif dans mon engagement de mariage avec Antoine.
Quand tu étais là-haut, tu t’es arrêtée de parler, tu avais commencé à dire.
« Je comprends mieux pourquoi Antoine, pardon. »
Pardon quoi, à ce que tu m’as dit Antoine est ton médecin.
Tu as dit son nom ce qui est spécial.
En temps normal tu dis « votre mari » jamais Antoine.
C’était ton amant ?
- Oui, Manon, c’est à la fête des labos que l’on s’est présenté.
J’avais un problème d’ordre sexuel et il est venu faire un diagnostic.
J’avais eu peur pour rien, mais comme il avait ma chatte devant lui, comme tu l’as fait avec la verge de Gaspar me cocufiant au passage, c’est ton mari qui m’a brouté.
- Et il a sorti sa verge pour la mettre en toi.
Et je dois être satisfaite d’apprendre que je suis cocue.
Que j’étais, car où est mon mari maintenant ?
Quelle zone a pu être touchée par le brouillard jaune en faisant des zombies ?
Gaspar, nous avons trouvé une parade à cette maladie, comment l’appeler autrement.

J’ai eu la chance dans la bagarre qui m’a opposé à ta maîtresse que son bas-ventre semblait vivre.
Tient regarde le responsable des approvisionnements passe devant le local.
Il bande.
- Tu avais vu que je bandais c’est pour cela quand je suis revenu à moi tu me suçais Manon.
Bloque la porte afin qu’aucun de nos collègues cherche à nous bouffer.
Dis-moi, sur un CD nous t’avons vu sauter Madame dans son bureau.
Veux-tu que nous allions la remettre en forme ?
- Surtout laissez là, j’allais vers son bureau pour lui dire que je la quittais quand je me suis retrouvé dans ce brouillard jaune et que tout s’est arrêté.
- Quelle décision prenons-nous ?
- Il faut savoir si nous sommes que nous trois et si nous pouvons sauver la planète.

Prendre le risque de se retrouver devant une horde de mort-vivant, comme un bon petit soldat fier d’avoir fait ma première pipe.
Je récupère mes seringues et mon anesthésiant ainsi que mes scalpels, que va-t-il encore m’arriver.
Pardon, nous arriver…

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