Un Jeu De Société Qui Dé, Partie 6 : Cunnilingus, Peur Et Pénétrations

Ceci est une histoire réelle. J'ai juste changé les noms, résumé certaines choses et complété les moments où mes souvenirs manquaient.

C'est un jeu qui ressemble au Monopoly, où il s'agit d'acheter des propriétés, avec des gages permettant de payer les amendes. Noham, le beau métis baraqué, et Constance, la brunette intello qui se révèle tout le contraire de la meuf coincée qu'elle semblait être, dominent le jeu et possèdent le plus de propriétés. C'est donc souvent eux qui décident des gages. La tension a monté progressivement, et il a fini par faire chaud, très chaud. Au départ, je pensais avoir à faire à un jeu de strip poker, mais il semble qu'on s'éloigne vite du trip "strip poker" ou "action ou vérité" avec des gages vaguement coquins. Là, tout le monde est entièrement nu. Y compris moi, déesse de beauté immortelle, mais aussi Clara (qui a lancé l'idée du jeu, mais semble maintenant assez dépassée par les événements, surtout quand, suite à un gage, elle s'est fait doigter le vagin puis l'anus par Constance), Thomas son copain (beau mec bien musclé, sûr de lui, qui n'est sûrement pas pour rien dans le jeu) ou encore Hugo. Ce dernier, gringalet pas terrible, s'est même fait brièvement sucer par Constance, et elle a goulument avalé son sperme. Puis elle s'est retournée vers nous et a lancé :

"J'ai fait jouir un mec. Il m'en reste deux !"

A ce stade, je suis très excitée, mais je me demande aussi comment tout ça va finir. Nous sommes tous assis sur une chaise (sauf Thomas et Clara qui sont sur un canapé), autour d'une table basse qui supporte l'ordinateur. Noham et Thomas bandent comme des taureaux et nous regardent alternativement, Constance, Clara et moi, comme des morceaux de viande qui allons bientôt passer à la casserole. Comment tout ça va se terminer ? Clairement, les mecs vont jouir, ça, ça parait clair. Je ne les vois plus trop retourner à leur chambre sans avoir été satisfaits ! Noham, notamment, a un air presqu'un peu mauvais en me regardant, un peu menaçant.

Comme si c'était acquis, et que de toute façon même si j'étais pas d'accord, il allait me pénétrer quand même. Je m'aperçois qu'à côté de l'ordinateur, il y a maintenant un saladier rempli de préservatifs qui a fait son apparition. Je crois que c'est Thomas qui a dû l'y mettre. Je me sens un peu comme une dinde le jour de Noel : voilà, il y a les épices, les casseroles, l'huile d'olive, et tout ça c'est pour moi ! Cette idée, d'ailleurs, augmente encore mon excitation. Je pense à Noham. J'ai ENVIE de lui. J'ai envie qu'il me prenne, qu'il me plaque sauvagement comme il l'a fait plus tôt. Qu'il malaxe mes seins avec rudesse. Qu'il sourie en enfournant sa grosse bite dans ma chatte. Qu'il me serre fort dans ses bras. Ou bien qu'il me prenne en levrette et qu'il m'écrase au sol de toute son poids. J'ai envie qu'il me remplisse, qu'il me comble, qu'il m'explose, qu'il me fasse crier.

Oui, mais, on n'est pas dans un film porno là, on est dans la vraie vie. Que va-t-il se passer ? Est-ce qu'on va continuer jusqu'à bout à jouer à ce petit jeu, ou est-ce qu'on ça va brusquement devenir une partouse ? Est-ce qu'on va continuer sur les gages, que les mecs vont tirer leur coup, voire précocement comme Hugo, et puis hop ça sera fini, au lit ? Je sens que je suis excitée comme peut-être jamais je ne l'ai été, mais je suis aussi un peu méfiante. Constance, elle, semble kiffer à fond. Elle mate les mecs comme les filles, fait un petite caresse à Clara par ci, à Hugo par là. Elle adore donner et recevoir, c'est un petit ange. Le jeu (Sexual Heaven On Earth) semble porter le bon nom pour elle. Dommage que je ne sois pas bi, car elle serait sans doute parfaite pour une initiation !

C'est à moi de jouer, je lance le dé et tombe chez Thomas. Le gage est "Julie, mets-toi à genoux et prodigue à Thomas une fellation bien méritée pendant 1 minute."
Donc ça y est, les choses sérieuses commencent... Je m'exécute sans un mot. Je me lève de ma place, et vient de mettre à genoux devant Thomas, qui écarte les cuisses et me présente son sexe.
Je le saisis à sa base, et l'observe quelques secondes. Mon coeur bat à 100 à l'heure. Devant moi, le sexe est de belle taille, un tout petit peu dissymétrique. Thomas sourit, impatient. Je pense à sa copine, qui est aussi mon amie, et qui regarde ça. Je pense aussi à Noham, derrière moi, que j'entends se déplacer pour mieux contempler le spectacle. Je prends le gland entre mes lèves et entend que quelqu'un déclenche le chronomètre sur l'ordinateur. C'est donc parti pour 60 secondes, à moi de montrer mes talents de suceuse. Je dépose un peu de salive, puis enfourne à peu près la moitié de la verge dans ma bouche, lentement, en prenant bien soin de caresser le gland avec ma langue. Puis j'effectue le mouvement inverse toujours aussi lentement, en veillant à bien montrer ma langue. En même temps, j'effectue un mouvement de va et vient, avec ma main droite sur la base de la verge turgescente. En même temps que j'enfourne à nouveau la bite dans ma bouche, j'utilise alors ma main gauche pour lui caresser les testicules. J'ai remarqué que les mecs se divise généralement en deux camps : ceux qui, pendant qu'on les suce, aiment aussi qu'on les branle, et ceux qui aiment qu'on leur caresse les couilles. Là, je n'ai que 60 secondes, donc je gagne du temps : je fais les deux. J'enchaîne ainsi quelques caresses buccales puis j'enfonce soudainement le dard un peu plus profond dans ma bouche, en poussant un soupir sonore "mmmh!" du genre oh oui j'aime ça donne-moi tout ton sexe. Hélas, ça masque le fait que je suis incapable de lui prodiguer une gorge profonde (j'ai essayé de m'entrainer quelques fois avec un gode, mais rien à faire !). Je compense en accélérant un peu le mouvement. Thomas a l'air d'aimer ça, il pousse de petits grognements. Et le chronomètre sonne, c'est la fin de mon gage. Je vais me rasseoir, non sans lancer un petit coup d'oeil à Constance en mode "tu vois y'a du level en matière de pipe par ici !"

C'est ensuite à Noham de jouer, et il tombe chez Constance, qui a le choix entre trois gages à lui infliger : "Constance, Noham va s'occuper de ta poitrine avec sa bouche et de ton sexe avec sa main.
Le tout pour une minute.", "Noham, tu es l'esclave lécheur de Constance pour deux minutes !", "Constance, prends une des mains de Noham et montre lui comment tu te satisferai avec ta propre main."
Constance sourit, at aussitôt s'affale dans son fauteil, avançant ses jambes et ses hanches. Elle fait un signe de l'index vers Noham et lui sussure "Hum... viens donc, mon esclave lécheur !". Elle écarte ses cuisses, laissant bien voir à tous sa chatte bien rasée qu'elle offre à la bouche du métis. Celui-ci s'approche, s'accroupit puis pose ses lèvres sur le sexe. De là où je suis, je ne vois pas très bien, mais je me lève, curieux de voir Noham prodiguer un cuni - même si j'aurais préféré que ça soit à moi ! Noham lèche le vulve de la jeune fille, qui se caresse les seins, le regard dans le vague, semblant revasser. Puis le métis lui écarte plus encore les cuisses, et commence à lui caresser le clitoris avec deux de ses doigts, puis avec sa langue. Constance soupire, ferme les yeux brièvement et continue à se masser les seins, s'attardant sur ses têtons. Pendant ce temps, Noham a pris le clito à pleine bouche et lui prodigue ainsi une caresse buccale que Constance semble apprécier, d'autant plus qu'elle s'accompagne d'une pénétration de son vagin par le pouce gauche du beau métis. Elle se pince les tétons, son corps semble agité de vagues. De là où je suis, je constate que Noham fait un mouvement de sa main droite pour lui pénétrer également l'anus - décidément une obsession chez lui. Mais le chronomètre sonne, c'est terminé. Pendant que Noham se rassoit, je me dis qu'il s'agit d'un lécheur tout à fait correct. Ma chatte ne dirait pas non ! Et Constance n'aurait pas dit non à une petite prolongation : elle reste un moment dans la même position, et sa main droite se hasarde entre ses cuisses...

Au tour de Thomas de jouer. Le sexe dressé, et sans doute toujours humide de ma salive, il lance le dé et tombe chez Noham. Je me demande alors (je me le suis demandé plusieurs fois) si l'un des deux avait coché des préférences homosexuelles en début de partie, et si je vais voir les deux garçons se caresser, se sucer, ou autre.
.. Mais non, ça n'est manifestement pas le cas. Le gage de Thomas est : "Messieurs Thomas et Noham, choisissez une même partenaire consentante pour glisser chacun votre tour votre pénis dans son si chaleureux vagin." Avec Constance toujours avachie sur son fauteuil, les deux garçons ne prennent même pas la peine de nommer la partenaire qu'ils ont choisie. Bien vite, Thomas déchire un emballage de préservatif et dispose celui-ci sur son sexe, en faisant signe à Noham, qui semble plutôt réticent, à faire de même. Bien vite, les voilà, debout devant Constance, le sexe dressé et encapotté, les mains sur les hanches, prêts à remplir leur office. Constance, lascive et offerte sur sa chaise, se caresse les seins et se pince les têtons, les yeux mi-clos, attendant la pénétration promise. Thomas s'avance lentement, et pose son gland à l'entrée du vagin de la jeune demoiselle. Celle-ci continue alors à se caresser les seins, mais d'une seule main, sa main droite ciblant spécifiquement son clitoris par des caresses rapides et précises. Lentement, très lentement, Thomas s'introduit en elle, millimètre par millimètre, jusqu'à ce que sa queue disparaisse entièrement. Elle pousse un petit cri sans doute un peu simulé (quoique ?) et, alors qu'elle continue à se caresser le clito, le mec se retire, puis laisse Noham prendre la suite. Celui-ci s'approche à son tour, pose lui aussi sa bite à l'entrée de la chatte offerte. Il lance alors : "Alors bébé, tu vas kiffer ma teub, tu penses ?" Constance continue à se caresser les seins et accentue ses caresses sur son clitoris. Le métis veut une réponse, il veut jouer, alors elle répond "Oh oui, fais moi sentir ta grosse bite." Il s'ensuit un bref échange pendant que Constance continue à se toucher (que je cite approximativement, de tête) :

-Tu vas aimer, t'es sûre ? T'as déjà pris une bite aussi grosse ? Réponds-moi honnêtement.
- Hmmm... Elle est grosse !
- Mais regarde, honnêtement, regarde ma bite, regarde ce que tu vas prendre dans la chatte, regarde
- Hmmm... Oh oui, oui...

Il approche son visage du sien, en s'appuyant sur les accoudoirs du siège, ce qui fait saillir ses pectoraux. Son sexe est toujours posé à l'entrée du vagin. Il continue :

- Dis-moi si tu as déjà pris une bite aussi grosse
- Hmm... Euh... Non, je crois pas... Enfin je sais pas... On verra, fais voir... Oh... Mmmmh
- Dans les films de boule, tu kiffes les blacks ? Tu kiffes les grosses bites ? Dis-moi, honnêtement
- Mmmm... Oh oui, je kiffe les mecs, les bites...

Voyant que le dialogue tourne un peu en rond, Noham change de méthode. Il agrippe les épaules de la jeune fille et, avec sur le visage un petit rictus, il enfonce d'un coup son sexe entier dans le vagin qu'elle lui a offert. Elle pousse un cri. Il reste ainsi quelques secondes, lui murmure à l'oreille - sans doute - des paroles salaces que je ne parviens pas à entendre. Puis se retire et retourne à sa place. Constance soupire de satisfaction, mais son soupir fait comprendre qu'elle aimerait bien avoir davantage de tout ça.

Et c'est Hugo qui joue. Et c'est Hugo qui va continuer à donner du plaisir à Constance, car il tombe chez elle et le gage est : "Constance, tu es le grand professeur mondialement connu de cunnilingus avancé. Hugo est ton élève. Pendant ces deux minutes, tu devras le corriger, lui expliquer comment faire et ce que tu ressens. Dans tous les cas, il devra ressortir de ces deux minutes plus expérimenté."

Bref, c'est un peu sa fête, à Constance. Ca doit servir à ça de bien travailler à l'école, après on maîtrise un jeu de société et on peut se faire bouffer la chatte par plusieurs mecs. Constance reprend donc la pose, le sexe probablement tout humide. Hugo approche son visage et lui lèche la vulve avec gourmandise. Aussitôt, Constance prend les choses en main, de façon crue : "Bouffe moi le clito mec. Voilà, ta langue sur mon clito. Voilà, comme ça, change pas." Elle pousse de petits gémissements et tire sur la tête du gars comme pour lui enfoncer son sexe dans le visage. "Voilà, c'est bon, continue comme ça. Non! Arrête de te caresser, mets tes deux mains sur moi. Oh oui, voilà. Mets moi un doigt !" Hugo continue à lécher le clitoris, et enfonce un doigt, puis un deuxième, dans le sexe de la jeune fille et commence à appliquer un mouvement de va-et-vient. Puis il change de position, caresse le clitoris avec ses doigts et enfonce sa langue le plus profond possible dans le vagin de Constance qui pousse des gémissements de plus en plus rapprochés. Quand l'horloge retentit, Hugo se retire puis, délicatement, vient déposer un baiser sur le petit bouton de la fille.

C'est à Clara de jouer. Va-t-elle tomber chez Constance, et peut-être parachever l'oeuvre de Hugo, Noham et Thomas, et enfin la faire jouir pour de bon ? Non, car elle lance le dé, puis tombe chez Noham que cette perspective a l'air d'enchanter. Surtout qu'elle tombe sur une propriété qui donne droit à Noham de choisir entre trois gages... Noham demande à ce qu'elle les lui lise sur l'écran, ce qu'elle fait : "Premier gage, dit-elle, 'Clara, allonge toi sur le sol. Noham doit lécher et mordre fortement tes tétons.' Deuxième gage : 'Clara, place toi en position de levrette, la tête sur le sol ou posée sur un coussin, et les fesses en l'air. Noham doit pénétrer ton sexe avec son pénis, et effec des va-et-vient pendant 2 minutes.' Troisième gage : 'Clara, place toi en position de levrette, la tête sur le sol ou posée sur un coussin, et les fesses en l'air. Noham doit te sodomiser pendant 1 minute.'". Elle a prononcé ce dernier gage d'une voix blanche (et même alors que le jeu était déjà chaud, Hugo me dira le lendemain que ça l'a pas mal excité d'entendre Clara prononcer le mot "sodomiser"), et ajoute vite "Ah non, c'est pas possible le dernier, non c'est pas possible."

- Chut, chut ! lui répond Noham
- Non mais j'ai jamais coché le...
- Chut... Mets toi en levrette, et après on parle
- Non mais...
- Chut bébé. Mets toi en position, déjà. Je te jure après on parle.

Thomas installe un coussin par terre, et la jolie blonde se met à genoux, puis pose sa tête sur le coussin et obéit en présentant sa croupe. Elle est prête pour un doggystyle, les bras posés sur les côtés. Elle a la tête posée sur le coussin et tourné vers la droite. Noham ne s'est toujours pas levé de sa chaise, et caresse distraitement son engin.

- Voilà bébé, maintenant je t'écoute, tu disais quoi ?
- Alors voilà, moi au début du jeu, j'ai dit que je voulais pas faire certaines choses, je suis sûr de l'avoir indiqué.
- Qu'est-ce que t'as dit que tu voulais pas faire ?
- Ben par exemple par derrière
Noham ricane : - Quoi 'par derrière' ?
- Ben je veux pas par derrière
- Mais sérieux meuf, t'as 12 ans ou quoi ? Tu veux pas que je te sodomise, c'est ça ?

Clara, répond d'une voix plaintive:
- Je veux pas qu'on me sodomise...
- Tu veux pas que je t'encule ?
- Je veux pas que tu m'encules.
- Tu veux pas de ma grosse bite dans ton petit cul ?
- Non.
- Alors tu la veux où du coup ?

Clara semble totalement soumise et résignée :
- Dans ma chatte
- Mais tu t'es jamais fait enculer ?
- Non. Enfin...

Clara est toujours nue au centre de la pièce, la croupe en l'air, totalement offerte. Les autres participants sont tous assis. Noham s'adresse alors à Thomas :
- Avec un cul pareil, tu l'as jamais enculée, ta meuf ?
- Eh non ! répond Thomas. Enfin, on a essayé une fois, mais on a dû arrêter vite
- Elle avait mal ?
- Eh oui.
- Mais tu lui as mis un bout de ta teub quand même ? Genre la moitié ?
- Même pas la moitié...
- Genre le gland quoi. Ah quand même, meuf, ça veut quand même dire que t'as déjà pris une bite dans le cul, t'es presque prête...

Clara ne répond rien. Noham a raison en tout cas : elle a un ravissant petit postérieur, des fesses parfaites et rebondies. Thomas semble penser la même chose que moi, puisqu'il approuve :
- Clara a des fesses parfaites. Ma chérie, ton petit cul est un appel à la sodomie.

- Bon, s'écrit Noham, on va dire un truc. Et je le jure devant tout le monde. Bébé, tu vas me dire que tu veux que je te fasse le cul. Si c'est convainquant, alors je prends ta chatte. Vas-y.
- Quoi ?
- Dis-moi que tu veux que je t'encule. Et je jure devant tous les autres que dans ce cas, je le fais pas.

Et en même temps, il prend un préservatif et se l'enroule autour du sexe.

- Oh oui, sodomise-moi, risque-t-elle d'une voix monocorde
Noham ricane, pas convaincu. Il se lève.
- Oh, je veux que tu m'encules
Elle marque un silence puis ajoute :
- Je veux ta grosse bite dans mon cul. Dans mon petit cul. Vas-y.

S'il y avait un Oscar de la plus mauvaise actrice, on le lui aurait décerné sur-le-champ. Noham est à présent debout à côté d'elle. Il la regarde de haut.
- Ouais... Qui trouve ça convaincant là ? (Hugo, Thomas et Constance se marrent)
Noham ajoute :
- Bon, qui parmi vous pense que cette fille doit être punie ? Une bonne punition anale ?
Clara souffle : "Non..." mais reste en place sans bouger un orteil.
- Alors, qui pense qu'elle mérite une bonne punition anale ?

Noham s'accroupit, de sorte à mettre son sexe à la hauteur de la croupe de la fille. C'est alors que je prends la parole pour expliquer ce qui s'est passé (cf épisode 3), que Clara m'avait mis des préférences sans m'en parler, puis que du coup, en guise de représailles, j'avais modifié les siennes sans qu'elle s'en aperçoive. Clara ne réagit pas. J'ajoute alors qu'elle avait bien signalé qu'elle ne souhaitait pas de rapport anal, et qu'il faudrait donc respecter son souhait.
Noham réfléchit quelques instants, puis Hugo s'exclame : "Eh, mais elle a voulu piéger Julie, faut la punir !"
C'est marrant comme se faire dépuceler par Constance a donné de l'assurance à Hugo. Il ajoute :
- Faut la punir, défonce-lui la rondelle !
- Humm... réfléchit Noham. Mais est-ce que c'est pas Julie qu'il faut punir plutôt ?

Il pose sa verge entre les fesses de Clara, et fait bouger son engin de haut en bas comme pour donner des petits coups sur l'anus ou sur la vulve de la jolie blonde. C'est alors que je me rends compte que Clara mouille terriblement. Sa chatte est toute luisante, et on dirait presque que de la cyprine en suinte. Elle respire vite, sa poitrine se gonfle et se dégonfle a un rythme impressionnant, et clairement ça n'est pas dû (que) à la peur d'une sodomie non désirée. Je me rends compte à quel point Clara est une fille complètement soumise. Elle tire une grande, grande, excitation de la situation. Ca la fait kiffer au plus profond d'elle-même. En fait, c'est bien elle qui a dû avoir l'idée de ce jeu. C'est peut-être même elle qui a invité Noham, bad boy sans doute incontrôlable. Elle a peut-être même fait exprès de mal jouer pour se retrouver en situation d'être totalement à la merci des autres. Et là, la peur d'avoir mal, le risque bien réel d'être sodomisée sans ménagement, et pour la première fois, par un étalon au sexe énorme, tout ça provoque chez elle un émoi qu'elle a de plus en plus de mal à cacher.

Quel orifice Noham va-t-il choisir ? Il a toujours sa petite fiole de lubrifiant à côté de lui, mais il n'en a pas versé le contenu.

Il pose ses deux mains sur la croupe de la fille et écarte les fesses comme pour mieux en révéler mieux le petit trou, celui par lequel Clara a peur d'avoir mal. Il passe sa main sur le sexe de la jeune fille et, constatant l'abondance de ses sécretions, lui lance :

- Tu mouilles hein, ça t'excite ?
Elle lui répond d'une voix dont le souffle laisse voir la montée de l'excitation : - Oui.
- Ca t'excite hein. Tu aimes ça ?
- Oui, oui.
- Tu aimes être traitée comme ça, hein ?
- Oh oui
- Dis-le alors !
- Oh j'aime ça.
- Dis-le !
- Encule-moi. Encule-moi si tu veux. Fais ce que tu veux. (et là, l'Oscar de la mauvaise actrice est très très loin)
- Mais tu sais que ça va te faire mal, bébé ? (et il commence à lui caresser le clito, en passant par dela ses cuisses)
- Oh... Fais... Fais ce que tu veux... Oh... je suis à toi.
- Je peux te punir, tu sais. Je peux faire ce que disait Hugo (il continue à lui masser le clitoris. Son corps, toujours croupe vers le haut, est à présent animé d'une houle de désir)
- Punis... Punis-moi... Si tu le veux.... Fais ce que tu veux de moi...
- Tu sais que je risque de faire ce que disait Hugo : te défoncer la rondelle ?
- Défonce-moi... Oh, défonce-moi. Je suis à toi.
- Je vais réfléchir. Caresse-toi le clito. (un court silence). Allez-caresse-toi le clito, tout de suite !
Elle se caresse le clito en répondant :- Oui...
Il lui donne alors une violente claque sur l'une des fesses
- Oui, qui ?
- Oui... Noham
Nouvelle claque sur la fesse
- Oui qui ?
- Oui... Maître.
- Ton corps m'appartient, je vais en faire ce que je veux. Je vais peut-être te défoncer, et te faire souffrir atrocement, pour mon seul plaisir.
- Oui Maître.
- Ces deux minutes, tu vas être ma chose, je ferai ce que je veux de ton corps
- Oui Maître

Là-dessus, il saisit son sexe, et l'enfonce lentement dans le vagin de la demoiselle. Elle continue à se toucher, de plus en plus rapidement. Lui effectue des va-et-vient dans la chatte humide, à un rythme assez lent, sans sembler vouloir accélérer. Je m'aperçois alors à quel point Clara a un petit cul, surtout à côté du braquemard impressionnant du beau métis. La chatte semble presque trop petite pour absorber l'engin qui entre et qui sort à une cadence mesurée. A mon avis, une pénétration anale aurait été tout simplement impossible ici.

Plus aucun mot n'est prononcé. Clairement, autour du couple, tout le monde est scotché, et l'excitation a atteint un niveau extrême. Je me rends compte que je mouille et l'envie de me caresser se fait pressante. Thomas se branle en voyant sa copine soumise se faire prendre en levrette. Clara, elle, se masturbe toujours alors que Noham effectue d'amples mouvements de va-et-vient dans son vagin. Elle ne bronche pas lorsque le métis introduit doucement un pouce dans son anus, mais ses traits se crispent un peu et elle halète. Alors qu'on approche la fin des deux minutes, Noham continue son mouvement avec une impression de maîtrise et de contrôle. Elle ne dit rien et ne crie pas, mais Clara ferme les yeux et je vois son corps se crisper en deux spasmes discrets et silencieux. Je pense qu'elle a joui.

Les deux minutes étant écoulées, Noham cesse son mouvement et, les deux mains sur la croupe de la blonde, lance à la cantonade, avec un accent de caillra un peu surjoué :
"Eh, ma parole, vous avez cru j'allais la violer ou quoi ? Sérieux ? Moi je suis pas comme ça, je suis un gentleman".

Clara sourit et, en sueur va embrasser son mec, pendant que Noham jête sa capotte dans une corbeille.

A présent, c'est Constance qui joue et tombe sur un terrain de Thomas. Le gage : "Constance, mets Thomas debout. Lèche et suce ses bourses". Thomas ne se met pas debout, mais s'avance juste sur sa chaise, et Constance avance vers lui à quatre pattes, comme pour mieux exhiber son cul. Pendant que Thomas soulève sa verge, Constance lèche ses testicules, et les suce délicatement. Quand le temps imparti est écoulé, Constance ne s'arrête pas là, et saisit la verge dans sa main pour l'enfourner dans sa bouche. Pendant que Clara s'exclame d'une voix minaudante "Tricheuse...", Constance entreprend d'administer une fellation-expresse, avalant la bite loin dans sa bouche, à la limite d'une gorge profonde. Mais elle semble échouer à faire pénétrer le membre jusque dans sa gorge et, au lieu de ça, accélère son mouvement de va et vient. Son but est clair : faire jouir le mec dans sa bouche.

Je ne me souviens plus comment Constance s'est arrêtée, mais ensuite ce fut à moi de jouer, et je tombai sur la case "départ", ou plutôt sur la case "action communautaire". A quelle sauce vais-je être mangée ? J'ai bien vite la réponse : "Julie, mets-toi à quatre pattes et maintient cette position. Pendant cinq minutes, Messieurs Noham, Hugo et Thomas vont faire ce que bon leur semble avec ton corps. Attention, conformément aux préférences de Julie : pas de pénétration anale, pas d'uro, pas de forte douleur."
Wahou. C'est le gage le plus chaud pour l'instante, et il est pour ma pomme.

Je me mets à quatre pattes, et j'attends. Je sens que les trois mecs m'envisagent, je suis en situation de passivité totale, et ça m'excite terriblement. J'entends quelqu'un déchirer un emballage de préservatif. Ma chatte ruisselle. Je tremble.

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