Dresse Sur Commande

Ah, que je te dise, nous aurons une invitée samedi pour le dîner et pour la nuit. C’est une relation d’une amie de mon club de bridge qu’elle ne peut loger momentanément, alors je me suis proposée.
« Pas de problème » répondis-je.

Le samedi suivant vers 19.00 H la sonnerie de l’interphone retentit, je suis là, je décroche et j’entends : « bonjour c’est Maya, celle qui vient prendre ses aises chez vous ce soir, Annie m’attend, je suis en bas ». « Ah oui » dis-je, interloqué mais me souvenant d’un coup de ce que ma femme m’avait dit quelques jours plutôt. « 4ième étage gauche » répondis-je, en appuyant sur le bouton de l’interpone de l’immeuble.

Annie se hâte curieusement !, « C’est Maya ? » me demande-t-elle toute affolée. «  Je la reçois, ne t’inquiète de rien » Quelque secondes plus tard le carillon de la porte d’entrée retentit. Annie ouvre et je la vois accompagnée d’une superbe créature d’une petite quarantaine. Sûrement un bon mètre soixante quinze, des yeux bleus, des cheveux bruns mi longs, à l’allure assurée sur ses escarpins Louboutin et particulièrement distinguée. Une femme un peu plantureuse mais pour tout dire hyper sexy.
Elle porte un sac de voyage couture et une mallette en cuir noire. Je propose de les lui prendre mais elle refuse.

Annie, étonnamment brouillonne, fait rapidement des présentations : « mon mari, Jean-Serge », je lui serre la main et gardant la mienne dans la sienne, elle me toise et je me sens curieusement jaugé... Puis on se dit « à tout à l’heure » Ma femme l’entraîne rapidement à l’écart et elles disparaissent dans l’appartement pour s’installer et papoter je suppose.

A l’heure de l’apéritif, je retrouve Annie qui s’est changée. Elle est habillée d’une robe sans manche, assez courte comme j’aime et que je lui ai offerte. Une robe écrue et toute entière en dentelles et je regrette à chaque fois qu’il y ait une doublure, je la verrai bien sans rien dessous et sans la doublure évidemment.

Je lui en fais compliment en lui touchant les fesses et la complimente aussi sur la visiteuse et ajoute « qu’elle peut en inviter d’autre comme cela quand elle veut » Ma réflexion la fait curieusement sourire et à l’air de l’amuser… « Garde tes ardeurs… » me répond-elle . ???.

Nous nous rendons au salon. Notre visiteuse, Maya nous y rejoint.
Elle est superbe dans une robe en mousseline rouge, assez courte, à vrai dire très peu boutonnée et donc très échancrée laissant deviner une poitrine avantageuse dont les pointes de seins saillent dans l’étoffe et une fois assise je devine facilement qu’elle porte des bas. Mon imagination vagabonde…

Je sers du champagne et la conversation s’engage. J’apprends ainsi sans plus de détails qu’elle habite l’Isle Adam. Je crois donc comprendre pourquoi elle a sollicité de rester sur Paris ce soir. Elle exerce la profession de coach ou plutôt d’éducatrice comportementale ! mais nous n’en saurons pas plus pour l’instant. Nous parlons de tout, de rien. Nous buvons et après avoir presque terminé la deuxième bouteille se tournant vers moi elle m’assène sur un ton autoritaire : « Mets toi à poil »

Je suis heureusement assis sinon je tomberais de l’armoire mais elle réitère avec véhémence : « A poil ! j’ai dit » Je me lève hébété et elle ajoute à l’adresse d’Annie: « Dis lui que j’ai carte blanche, qu’on est bien d’accord? Je dirige cette soirée à ma guise et tu te fous à poil illico » et Annie de confirmer me regardant droit dans les yeux : » Maya que tu vois là, a désormais tous les pouvoirs sur toi à partir de cet instant et jusqu’à ce qu’elle le jugera nécessaire. Tu l’écoutes, tu fais tout ce qu’elle ordonne, tu es sa chose. Elle disposera de toi comme elle l’entend, je suis absolument d’accord avec tout ce qu’elle dira, fera, et exigera de toi qui n’a d’autre solution que de lui obéir sans broncher ».

Mes jambes ne me portent plus et Maya m’explique alors qu’elle est en fait dresseuse d’hommes ou de femmes pour les transformer en soumis ou soumises destinés à devenir des objets sexuels assumés.
J’ai été engagée par ta femme Annie pour te confondre et t’éduquer. Je compris tout de suite sa profession restée équivoque.
Ta femme sait que tu fantasmes sur la soumission depuis longtemps. Elle a découvert tes habitudes sur le net où tu surfes assidument sur des sites de Dominas, de Sissy, de Travestis, de Transgenres et même de Gays. Que tu rêves secrètement d’être travesti et offert.
Grâce à mes connaissances, elle a eu accès à ton pseudo et à certains des textes très explicites que tu as écrits. Elle a donc décidé d’avoir recours à la professionnelle que je suis pour te découvrir, te révéler et t’observer dans la satisfaction e de tes fantasmes. Elle veut apprendre à te diriger pour en profiter à sa guise ultérieurement.

Tout s’éclairait d’un coup ou plutôt tout devenait sombre. Le piège était bien monté et j’y étais tombé tout droit.

Tu m’appelleras Maîtresse, et ta femme, tu l’appelleras Madame à partir de maintenant. Tu es notre jouet dont on va user et r. Tes vices inavoués vont nous y aider.

Donc recule toi et mets toi nu qu’on t’observe. Abasourdi, je m’exécute.
Quand ce fut fait Maya me demanda de tourner sur moi même, de lui montrer mes fesses, de les ouvrir, de me pencher en avant pour voir pendre mes attributs. Elle félicita Annie sur mon cul qu’elle trouva plein de promesses.

« Voici des pratiques ou des articles que tu sembles apprécier en me tendant une feuille de papier où ils étaient détaillés: sado-masochisme, bondage, uro, scato, fétichisme, caudalisme, féminisation, sissy-training, face-sitting, ball-busting, god-ceinture, chasteté imposée, laisse et collier, soubrette, humiliation, lingerie, cuir, latex…
« Choisit ceux qui te font fantasmer secrètement et qui t’excitent. Avoue que tu as de la chance que nous te proposions de choisir le thème de ta soirée, n’est ce pas Annie ? ». « Oui, je suis curieuse de connaître ses choix ». « Tu pourras même les revoir en live immortalisés » dit Maya en accrochant sur a tête de ma femme une camera go pro montée sur un serre tête.


Anéanti mais finalement obligé de jouer leur jeu, honteux je choisis « féminisation, collier, laisse et soubrette, ce sont mes fantasmes préférés » avouais-je. La Maîtresse apprécia ce choix, siffla et se tournant vers ma femme elle dit en me regardant : « quelle salope tout de même, elle assume, tout était donc bien vrai tu vois !  ».

« Bon, eh bien je vais préparer cette salope en catin pour la suite des réjouissances » dit Maya. Elle ouvrit un sac qu’elle avait apporté. Elle me tendit une paire de bas noirs, puis un serre taille à lacets avec porte jarretelles, enfin des escarpins à ma taille. « Enfile moi tout ça, et viens là que je te lace le bustier. Montre moi, fais quelques pas. C’est pas mal. Viens t’asseoir maintenant sur la table basse face à moi, je vais te maquiller. Tu vas voir apparaître la belle pute qui sommeille en toi «

Ma femme s’était absentée un instant. La situation devait l’avoir vraiment excitée car elle revint rapidement, doublure de la robe et sous vêtements envolés. Vision inespéré depuis des années et tout simplement fantastique. Maya apprécia aussi et lui dit « Je vois que tu commences à apprécier la situation et à la goûter vraiment, n’est ce pas ? C’est très bien, lâche toi, tu vas voir, tu vas vraiment te régaler et en redemander ».

Ma femme aida même Maya à finir de me maquiller outrageusement. J’étais fin prête en vraie femelle d’apparence lubrique et totalement offerte.
Maya avec l’assentiment d’Annie m’affubla du prénom de « Sucette » cela promettait pour la suite.
Alors Maya saisit son autre mallette qu’elle ouvrit en la partageant en deux puis en quatre comme une trousse à outils. Et c’était le cas, on y trouvait rangés par ordre de taille des gods, des gods ceinture, des plugs, des pinces à seins, des colliers et des laisses, des cockrings, des menottes enfin des fouets, l’attirail de la parfaite dominatrice.
« A toi l’honneur » dit-elle à ma femme en lui tendant un collier d’esclave et une laisse.
« Met un point d’orgue à son état de soumise, en lui passant cet attribut d’esclave qu’elle devra dorénavant conserver. Promène maintenant cette chienne en laisse à quatre pattes pour lui montrer sa place et sa nouvelle condition. » Allez Sucette, remercie Madame d’accepter de te promener comme une chienne que tu es. « Je suis à vos ordres, Madame » dis-je à ma femme que je ne reconnaissais pas et qui entrait de plus en plus dans le jeu. Elle me promena ainsi fermement tiré par le cou et à genoux et presque nu dans l’appartement. J’étais totalement asservi et cela lui plaisait vraiment semble-t-il.

« Maintenant, Sucette » ordonna Maya «  regarde bien ce qui t’attend » Maya s’étant mise debout commença à dégrafer sa robe qui tomba à ses pieds. Elle portait des bas noirs accrochés à une guêpière seins nus en cuir noir qui mettait en relief une poitrine magnifique. Elle portait enfin un string noir de la même matière. Elle s’approcha et m’ordonna « Baisse mon string avec ta bouche, petite salope ».
Je m’appliquai avec les dents pour le descendre jusqu’à ses pieds et quand je relevai la tête je découvris une belle queue que je ne pouvais imaginer. Ma femme non plus d’ailleurs qui se montra autant surprise que moi mais apprécia au plus haut point ce travesti si j’en jugeais par son visage épanoui et l’imagination dont ses yeux pétillants se faisait le révélateur.

Maya s’installa dans le canapé jambes bien écartées et dit à ma femme : prend mon sexe fermement en main et enfourne lui dans la bouche. Qu’il me fasse bander et tu peux me branler si tu le sens, ta salope de mari, elle n’a qu’à sucer » « Encourage cette salope afin qu’elle me titille bien le gland avec la pointe de sa langue, puis qu’elle me lèche bien toute la queue, dessus dessous et aussi les couilles, et qu’elle m’avale bien la bite à fond comme il sied. N’oublie pas que c’est une soumise, qui n’a qu’à exécuter nos ordres et se montrer tout à son avantage, docile et dévouée ». Tendant un fouet à Annie elle ajouta » Tu la surveilles, tu la guides et surtout tu la fouettes en même temps, c’est absolument nécessaire. Tu vas voir, tu vas y prendre du plaisir. Pense à tout ce qu’elle t’a caché depuis des lustres et tu vas finalement te régaler de sa nouvelle condition d’esclave dont tu vas pouvoir profiter à loisir à ton tour»

Ma femme prenait manifestement un plaisir sadique à m’humilier et m’obligeait à une pipe totale en appuyant sur ma tête et en me lacérant le cul et le dos.
La queue de Maya sous les effets de ma langue avait pris une ampleur considérable voir étonnante, un chibre raide et énorme.
Elle pria alors Madame, ma femme, de m’agenouiller sur le canapé les cuisses bien écartées, cambré et le cul tourné vers elle. Madame me tira par la laisse et prit même l’initiative de me menotter les bras dans le dos. Son visage exprimait une jouissance non contenue. Maya lui suggéra alors de me préparer la rondelle avec un onguent qui se trouvait dans sa mallette et ainsi de me préparer le fondement.
Madame ma femme ne se fit pas prier, elle vida littéralement le contenu d’un tube sur ma raie et ma rondelle tout en introduisant un doigt, puis deux et trois et jugeant que cette désormais chatte était bien souple et bien prête elle encouragea Maya à s’y introduire pour me « défoncer » selon son expression. « Quel pied » s’exclama-t-elle. « Il va connaître ce que je lui ai toujours refusé » « Défonce lui le cul, Maya, je vais adorer voir cela de près et le graver sur la pellicule » J’étais totalement effrayé et cela décuplait son plaisir.
La Maitresse appliqua son gland sur ma rondelle, poussa et me pénétra sans ménagement jusqu’à la garde. « Putain ! Quel cul de salope, tu l’a toute avalée» me dit ma femme à l’oreille « Je prierai Maya de me faire elle même l’honneur de ce plaisir inconnu, avec douceur bien sûr, et je sens finalement que cela me plaira… tu pourras en profiter mais de loin, ma pauvre sissy! »
« En attendant et en même temps rend toi complètement utile » me dit-elle en sautant sur le dossier du canapé. Elle retroussa sa robe sous laquelle elle était toute nue, ouvrit grandes les cuisses et exigea que je lui aspire sa chatte trempée et pleine de désir. Elle apprenait vite.

Pendant ce temps, Maya me limait avec ardeur et je gémissais sous ses coups de boutoir. Prête à se vider, elle se retira puis attrapa une main de ma femme tout en lui demandant de me tourner et de diriger sa queue vers ma bouche. Elle m’intima d’ouvrir celle-ci largement en tirant la langue. Alors demandant à Madame de la finir elle éjacula copieusement dessus exigeant que je nettoie tout avec application et délectation. « Montre que tu aimes, que dis-je, que tu adores et que tu souhaites qu’Annie te propose de nombreuses autres queues à flatter »
« Avec plaisir » répondis-je en véritable soumis avéré.

Ma femme, proprement ravie, s’était bien vengée et je me demande si je ne lui avais pas rendu sans le savoir, un fier service...
Tirant la laisse sans ménagement, elle me fit descendre du canapé toujours à moitié nu et endolori et déclara :
« En accord avec ton Coach Maya, cette tenue de catin sera désormais la tienne sous tes vêtements habituels montrant ainsi que tu est prête à servir à tout moment. De plus tu devras adopter dès maintenant une attitude de soumission permanente ».

« En effet nous n’allons pas nous arrêter en si bon chemin.
Nous te sortirons dans le monde pour notre plaisir et tu seras exhibé affublée d’ une perruque et d’une tenue toujours sexy à souhait afin que tu apparaisse comme la femelle suggestive et attirante que tu es devenue et que tu vas aimer parfaire. ».
« Tu as raison, Annie. J’ai plein de projets pour elle dans ma tête » dit la Maîtresse à ma femme qui acquiesça en applaudissant.
« Maya, tu me diras à quoi tu penses, s’il te plaît, mais rassure moi, tu vas continuer le dressage de cette larve autant que nécessaire ? S’inquiéta vicieusement ma femme. « Avec le plus grand plaisir, ma Chère, il y a du travail mais je t’en ferai une soumise insatiable et une incontournable attraction sexuelle » répondit Maya
« Cette petite pute sera à ton entière disposition et celle de tes Amis chaque fois que tu en auras besoin « précisa ma femme « Elle aime ! n’est ce pas ? » dit-elle en me regardant droit dans les yeux «  Et elle n’aura de cesse désormais de se conduire en vraie pro pour nous faire honneur et valoriser notre excellente réputation de domina »

Répète après moi : « Je suis une salope et j’adore ça » Je suis une salope et j’adore ça, « je n’aurai de cesse de combler tous vos désirs » Je n’aurai de cesse de combler tous vos désirs. « Je me conduirais en pute vicieuse avide de bittes et de dépravations de toute sorte ». Je me conduirais en pute vicieuse, avide de bittes et de dépravations de toutes sortes. J’avais ainsi répété tout sans faute montrant par là ma volonté nouvelle et assumée.
« C’est parfait et tâche de t’en souvenir » Ajouta ma femme, « ou tu seras fouetté. De toutes façons tu le seras et tu en redemanderas »

Les deux femmes si je puis dire, se mirent à rire et se réjouissaient de la séance en envisageant déjà à voix haute d’en organiser rapidement d’autres avec de multiples et différents partenaires lors de soirées très spéciales que Maya fréquentait ou organisait.
Elle précisa : « des soirées de couples, de femmes ou d’hommes ou encore de transgenres dont je connais l’appétit débordant particulièrement pour les séances de domination.
Cette soumise, tu es d’accord Annie ? a manifestement montré d’excellentes pré dispositions pour sa nouvelle condition d’objet sexuel.
Nous allons maintenant peaufiner sa féminisation de salope gourmande et servile. En faire une belle chienne en chaleur permanente.
Une chienne qu’on nous enviera et qu’on voudra venir mater de loin et surtout essayer tour à tour bien sûr. 
Tu permets évidemment, Annie ? » « Mais comment donc, très Chère Maya, je suis déjà plus qu’impatiente de la voir dans une séance d’abatage » répondit ma femme qui avait pris une assurance inquiétante.
Elle rajouta à mon intention « Toi, n’oublie pas la vidéo. Elle est dorénavant le gage permanent de ta dévotion définitive à nos ordres et à notre imagination sans limite, et surtout gage de ta nouvelle condition d’esclave sexuelle toujours disponible » Elle ponctua « Compris ? » en m’assénant trois ou quatre coups de fouet cinglants sur la queue et les fesses.

Puis elle me tira en laisse contre un fauteuil auquel elle me menotta.

Elle ota alors sa mini robe qu’elle me jeta à la tête et complètement nue, elle dit : » Nous allons maintenant dans notre chambre, Maya et moi, nous avons fort à faire ensemble… »

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