Ça C'Est Passé Simplement 17

Dans la cuisine avec Anaïs

On était au milieu de la nuit et je somnolais tranquillement, quand une mais se posa contre moi, ce qui me réveilla et une bouche murmura à mon oreille : « J’ai soif, … je vois que t’es réveillé, … viens, …suis moi doucement, … on va boire à la cuisine, …»
Nous arrivâmes dans la cuisine et je n’avais pas eu l’occasion de regarder de plus prés et avec attention cette nana. Je pouvais le faire tout à loisir et je pouvais constater qu’elle était drôlement bien foutue, elle le vit, mais prenant une bouteille d’eau elle en versa deux verres en disant : « Nous sommes venus pour ça, n’est ce pas ? »
Après avoir bu, en faisant un tour complet sur elle-même « Ça te plait »
Moi : « Oui tu es vraiment une très jolie femme » c’était de plus une véritable blonde à la toison bien taillée en triangle et cela me changeait de la brune Evelyne.
et se rapprochant de moi elle murmura : « Ta nana, elle est bien foutue et a ce qu’il faut où il faut , toujours d’accord avec cette analyse »
Moi : « Plus que jamais, j’ai été trahi, il faudra que je me méfie, mais désolé pour nana, j’aurai du dire jeune femme »
Anaïs : « Nana, c’est mignon, je ne me voyais pas comme ça, mais merci pour le compliment, mais peut mieux faire, … » et pendant qu’elle faisait trois pas et un nouveau tour, je me souvins de ce qu’elle avait fait et dit à son voisin et décidais d’être plus « explicite » et je lui dis : « Effectivement t’es une belle nana, avec des nénés bien ronds et bien remplis, qui devraient satisfaire les mains d’un honnête homme, t’as un joli cul très tentant. Quant à ta chatte, j’ai pu humer ta toison et j’aime ton odeur de femelle chaude, j’ai mal vu ton minou, il est gouteux, mais je pourrais en dire plus si tu as la gentillesse de me l’offrir »
Anaïs : « Je savais, … continues comme ça, … tu me fais mouiller, … mais je suppose que tu n’es pas venu simplement pour un verre d’eau, … j’espère t’inspirer d’autres ides, … embrasses moi, … pour commencer, … »
Ce que je fis avec empressement, elle avait les lèvres douces et la langue curieuse et fouineuse, ce qui était fort agréable, pendant ce temps sa main était descendu entre nous pour prendre, mon outil en main, le parcourant du bout des doigts puis carrément à pleine main, ce qui eut un effet certain sur mon anatomie et me caressant toujours, elle me dit : « J’aime sentir ton épée avant de la mettre dans mon fourreau, … dans ma main ou dans ma bouche, … j’aime sentir vibrer ta queue se gonfler de désir, … ça m’excite, … ça me fait mouiller, … je pense que tu n’es pas comme ces bonshommes qui te prennent, crack, crack, je baise, j’ai eu du plaisir et qui foutent le camp sans se préoccuper de leur partenaire, … … prends moi, … mais donnes moi du plaisir, … fais moi jouir, … »
Moi : « Je suis peut-être comme ces bonshommes.

Qu’en sais-tu ?
Anaïs : « Vendredi après-midi, tu es venu au bureau et vous avez … batifolé avec Evelyne »
Moi : « Que dis-tu ? »
Anaïs : « Je vous ai entendu, elle a aimé ce que tu lui as fait, tu lui as donné du plaisir, je pense donc que tu peux m’en donner, … »
Je trouvais cette garce de plus en plus tentante, elle était disponible et en demande de plaisir, je décidais de passer à l’action, d’autant que « popol » commençait à s’éveiller, ce don elle pouvait s’apercevoir. Je l’attirais de nouveau vers moi, elle revint se caller contre moi, les lèvres légèrement entrouvertes. De nouveau nous embrassâmes, un baiser chaud et légèrement humide. Celui-ci terminée, elle était contre moi et doucement, comme une confidence, elle me dit : « Prends moi, … baises moi, … je veux un homme, … fais moi jouir avec ta queue, … et je serais à toi, … quand tu veux, … comme tu veux, … » Elle s’était adossée à la table de la cuisine, je lui dis : « Tournes toi, … prends appui sur la table, … »
Elle : « Non, … Je veux te voir, … » et elle s’assit sur la table, le compas de ses jambes bien ouvert : « Prends moi comme ça, … » et glissant ses mains de chaque coté de son minou, elle l’ouvrit : « Regarde, je l’ouvre pour toi, … » Je plongeais entre ses cuisses pour la gouter de nouveau mais à ma façon. Ma langue parcourant cette jolie fente odorante et après quelques passages, je la pénétrais avec la langue, ce qui sembla la satisfaire, puis je pénétrais sa grotte d’amour d’un doigt, puis de deux et commençait une série de va et vient qui entrainèrent une nette accélération de respiration. Décidé à connaître ses limites, pendant que je continuais à m’occuper de sa chatte avec ma langue, mon majeur essayait la souplesse de son petit trou qui réagit agréablement, cela pourrait devenir un objectif à moyen terme, mais Anaïs réagit : « Pas maintenant, … je ne suis pas préparée, … je ne suis pas prête, … » Je décidais de ne pas insister, cela pourrait être imaginé plus tard.

Anaïs : « Arrêtes, … prends moi, … baises moi, … je veux qu’un homme me prenne, … me baise, … je veux ta queue, … » Je ne pouvais me refuser à une telle proposition et me redressant, elle prit mon engin et le dirigea vers son intimité, bien chaude et trempée, dans laquelle je m’enfonçais d’un sérieux coup de rein qu’elle encaissa par un « OOOOHHH » et je commençais mes va et vient, dès les premiers elle se laissa aller, les mains accrochées au rebord et le dos sur la table. Très rapidement j’atteignais une cadence honorable, et Anaïs commença à réagir : « Oui, … continues, … j’aime te sentir, … me remplir, … oui, … »
Je prie ses jambes tendues et les posais sur mes épaules puis prenant les chevilles je les écartais au maximum, elle était complètement ouverte : « OOOOhhhh, … oui, … baises moi, … baises moi fort, … éclates moi la chatte, … oh que c’est bon une queue, … donnes moi du plaisir, … ne t’arrêtes pas, … »
Il était évident que plus ça allait plus elle demandait à être ramonée avec force et énergie et de mon coté, je ne voulais pas la décevoir et il me fallait tenir la distance et la baiser jusqu’à ce qu’elle se mette à jouir, car dans mon subconscient, il était clair qu’avec elle j’en étais à mon examen de passage et si je tenais la distance je pourrais l’avoir d’autres fois et se payer, à mon âge, une nana d’au moins dix plus jeune, cela faisait plaisir. Soudain elle se mit à se contracter, bandant ses muscles, ce qui eut pour effet de me faire décharger brutalement et elle : « Ouiiii, … OOOHHH, … OUI, … continues, … je vais jouir, … je JUOIIIIIIS, …ne t’arrêtes pas, … OUIIIIIII, … » et elle se calma, se détendit, le souffle encore un peu court, je lui lâchais les jambes qu’elle laissa pendre au bord de la table. Elle replia ses jambes sur la table et jouant avec les muscles de son ventre et de son sexe, elle fit, ce que je n’avais jamais vu faire, sortir une partie de mon sperme de son vagin. Enfin me regardant et avec un léger sourire, elle récupéra, avec deux doigts, ce qui sortait de sa chatte et les porta à sa bouche en me disant : « Je n’ai jamais eu l’occasion de connaître ton gout .
.. maintenant je connais, … je ne l’oublierais jamais, … » Enfin se redressant, elle vint contre moi, « J’espérais, …tu m’as donné du plaisir,… beaucoup de plaisir, … on devrait aller se coucher, … » C’est ce que l’on fit, mais arrivé dans la chambre, Evelyne plus ou moins réveillée, nous dit : « Alors, bien baiser, … » et se retournant s’endormit. Je me collais au dos d’Anaïs et m’endormit lui tenant un sein. Plus tard, au petit jour, je fus réveillé par le départ d’Anaïs, qui me fit signe de ne rien dire, un doigt sur la bouche. Elle dut s’habiller et partir discrètement, car vers 8,00 heurs, quant Evelyne se réveilla, elle n’était plus là. Evelyne se leva et me dit : « Je prends la douche et je prépare le petit déj » La douche libérée, je l’utilisais pour ma toilette matinale, m’habillais et me rendais à la cuisine où Evelyne, en peignoir enfin une veste en tissu éponge qui arrivait au ras des fesses donc de la touffe, à peine fermée par une ceinture mais permettait ainsi un extraordinaire décolleté sur sa généreuse poitrine, avait préparé un petit déj sympathique que nous attaquâmes avec plaisir. La conversation était agréable, mondaine et portait sur tous les sujets, par contre, j’étais un peu gêné ce qui c’était passé sur cette même table pendant la nuit, alors que j’essayais maladroitement de m’expliquer. Evelyne me répliqua : « Te fais pas de soucis, … je savais pertinemment qu’Anaïs étant là et te sachant présent à nous regarder cela l’exciterait et t’exciterais et qu’elle aimerait se faire prendre par un mâle, car je savais que le mâle, enfin la queue, des fois lui manquait et là elle avait une occasion à saisir, … donc pas de regrets, au contraire tu as aimé ? Oui c’est le principal » Le petit dej terminé je récupérais mes affaires et au seuil de l’entée, Evelyne me dit : « Prends moi dans tes bras avant de partir » et c’est ce que le fis, mais en passant sous le peignoir, pour la caresser encore et sentir ses seins s’écraser contre ma poitrine ce qui entraina chez elle un frisson pendant qu’elle se collait à moi en disant doucement presque comme un secret : « J’ai été heureuse de te retrouver.
J’ai rajeuni de 20 ans. J’espère que ton séjour a été agréable. Si tu as l’occasion de revenir dans la région … dis toi que tu auras toujours, ici, un lit … « garni ». Une femme, ou si tu préfères une femelle qui sera toujours prête à s’offrir à toi. … et qui a aimé ce que nous avons fait. »
Moi : « Tu es adorable, j’ai également rajeuni et surtout j’ai adoré la garniture du lit. J’espère pourvoir revenir pour satisfaire la jolie « femelle » que je tiens dans mes bras et dont les appâts me donnent des idées »
Evelyne : « Je voudrais, … «
Moi : « Oui, … »
Evelyne : « Je voudrais que tu me prennes, … comme tu veux, … fais moi l’amour, … ici même si tu veux, … comme ça, … je n’ai rien mis exprès … pour que tu vois que je suis à toi, … que j’ai envie de toi, … tu me rends folle de désir, … »
Moi : « Je ne sais si, … après les excès de cette nuit, … »
Evelyne : « Ce n’est pas un concours, … j’ai envie de toi, … laisses moi faire, (et en riant) la femelle va préparer son mâle, … » et s’accroupissant elle défit, ceinture, … et sortit le nécessaire à son plaisir qui, s’il ne brillait pas encore, semblait avoir, malgré tout, des velléités à vouloir se redresser. Et c’est avec l’art d’une belle suceuse, qui aime ce sport, qui utilisant le bout de ses doigts, la pointe de sa langue, toute sa langue pour réussir à faire bander la chose pour enfin prendre cette queue en bouche et faire qu’elle devienne dure et utilisable pour une femme gourmande de sexe et qui veut remplir le vide qu’elle a entre les cuisses. Effectivement avec art et douceur, je me mis à bander dure et jetant son peignoir au loin, se retournant et s’appuyant sur la petite table de l’entrée : « Viens, … prends moi, … je t’attends, … je te sens en moi, … prends moi par où tu veux, … j’en ai tellement envie, … » Refuser aurait été injurieux et idiot quand j’avais sous les yeux cette belle croupe qui laissait voir une rosette fort sympathique et un minou aux lèvres bien gonflées et ruisselantes de désirs. Le pantalon sur les chevilles ne me permettait pas un déplacement ni rapide, ni élégant, mais ma partenaire ne pouvait me voir. Arrivé auprès de ces belles fesses, ma partenaire s’emparant de ma queue la guida vers et dans sa chatte que je pénétrais facilement tellement elle était ouverte, accueillante et détrempée. Il fallait que je la satisfasse et que je sois à la hauteur de ses envies et peut-être de ses rêves. La saisissant par les hanches je commençais à la ramoner fort, brutalement même. La réaction ne se fit pas trop attendre : « Oui, … continues, … prends moi fort, … brutalement, … j’aime, … dis moi que je suis ta femelle, … OOOHHH, … oui, … continues, …» et je lui claquais la fesse droite, car je savais par expérience, avec elle, que cela la faisait se contracter et cela se répercutait sur les muscles de sa chatte et c’était excitant comme sensation : « Oui, … encore, …, brute, … je suis à toi, … » et je lui claquais l’autre fasse : « Ouiiiii, … continues, … je sens que ça vient, OOOHHH, … … OUIIIIIIII, …. Je JOUIIIIIIIS, … » et elle fut parcouru par un spasme brutale, mais moi, ayant pratiqué le sexe plusieurs fois, je sentais le plaisir dans les reins, mais, cela ne montait pas … et je bandais toujours autant, je devenais une machine à baiser, ce dont souvent mes partenaires ne se rendaient pas compte, surtout quand elles voulaient de la queue, j’en avais une qui ne demandait qu’à servir. Etant donné qu’elle avait déjà joui, je me retirais de sa grotte d’amour et décidais de monter d’un cran et de m’attaquer à sa rosette, mais en li disant : « Ouvres tes fesses, je vais prendre ton cul … »
Evelyne : « OOOHHH, … oui, … prends moi par là, … encules moi, … j’aime que tu me prennes par là, … fais doucement, … OOOHHH, … ouiiii, … maintenant vas-y, … je t’attends, … je t’aurais tout donné, … ». Je n’eu aucun mal à pénétrer et passer l’obstacle de sa rosette, quand elle se décontracta et cramponné à ses hanches, la machine à baiser se mit en route avec énergie, d’autant pus que sentais le plaisir monter dans mes reins, me gonfler la bite alors qu’Evelyne semblait apprécier, alors qu’elle commençait à gémir, je lui dis, prends ta chatte, tu aimes être prise des deux cotés : « Ouiiii, … tu aimes que je me caresse, … pendant que tu me prends comme ça, … ouiiiiii, … bourres moi le cul,… je suis ta femelle, … encules moi fort, … OOOHHH, … »
Mais je n’étais plus maître de la situation, car je me vidais d’un seul coup dans son cul, alors qu’Evelyne était en train de jouir : « Je sens que je vais jouir, ne t’arrêtes pas, … OUIIIIIIIII, … JE JOUIIIIIS, … ». Pour ma part, j’étais vidé, alors qu’Evelyne le souffle court et étant un peu sonnée, se relevait, se retournait et s’accrochant à moi : « Tu peux être fier de toi, … tu m’as crevé, … maintenant pars vite, … avant que je m’écroule, … » et se collant à moi : « Vas-t-en, … avant que je dise des bêtises, .. » C’est ce que je fis, alors qu’Evelyne rentrait dans la salle de séjour. Il me restait 500 bornes à me taper, étant sur les rotules mais avec un excellent souvenir, pour le travail fait, pour les nuits passées ou plutôt l’inverse, les nuits passées et le travail fait et peut-être un jour, … de nouveau Lyon.

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