Lisa Épisode 8 Lisa Un Petit Séjour Fécondable

Dès lors la journée se passa comma Marc l’avait décidé, Lisa avait enfin sut accepter sa condition de femelle docile et obéissante et Kévin était désormais réduit à l’état de petit mari soumis et corvéable a souhait.
En rentrant au bungalow, Marc annonça qu’ils partiraient un fin d’après midi sur Aix en Provence, pour un séjour prolongé en l’honneur de Lisa. Il annonça à Kévin, qu’il resterait ici et recevrait de temps à autres des nouvelles de leur part.
Marc s’étonna de lui même qui prenait finalement autant de plaisir à soumettre Lisa, qu’a humilier son compagnon.
Il donna quelques consignes sur les diverses tenues que devait porter Lisa pour la circonstance.
En fin d’après midi, ils dirent au revoir à Kévin et partirent en voiture, sur le trajet, Marc dit à Lisa.
- Je te félicite, tes progrès sont spectaculaires ces prochains jours sont déjà destinés a accélérer ceux-ci.
Lisa lui sourit, bercée par la route elle s’endormit.
Elle se réveilla qu’une fois la voiture stationnée et se rendit compte qu’elle se trouvait dans une magnifique demeure qui ressemblait à un mas de la région, elle n’en n’avait jamais vu de si beau.
Un Majordome, vint lui ouvrir la portière et elle en, descendit, le remerciant.
Ensemble ils montèrent les marches un un homme d’une soixantaine d’année vint les recevoir.
- Bonjour Marc, vous avez fait bonne route ?
- Bonjour Marcel, oui parfait un plaisir de se voir une nouvelle fois.
- Lisa dit bonjour à Monsieur Marcel !
Elle s’approchât et comprit immédiatement qu’elle devait être à la hauteur. Elle tendit ses lèvres que l’homme s’empressa de prendre à pleine bouche insérant sa langue à l’intérieur y déposant une grande quantité de bave, le baiser durât plus d’une trentaine de seconde, l’homme y prit un certain plaisir.
- Bonjour fit Lisa une fois l’étreinte terminée.
- Bonne fille que voila, une merveille lui dit Marcel.


Il prit la main de Lisa et la fit tourner sur elle même dévoilant ainsi sous ses yeux le corps parfait de la petite femme docile qu’il voyait pour la première fois.
- Encore mieux que les précédentes, tu es vraiment chanceux Marc.
- Tu n’as rien vu encore, elle a un potentiel bien plus développer que tu n’ose imaginer, une facilité à obéir qui va t’étonner.
- Lisa suit Abou il va te préparer !
Elle emboîtât le pas du Majordome et se rendit compte à cet instant qu’il s’agissait d’un grand black d’une cinquantaine d’année, la peau très noire très massif, il a l’aire tellement puissant se dit elle.
Elle le suivit jusqu’au premier étage, ou il ouvrit une porte qui donnait sur une grande chambre avec un lit rond.
Il déposa la valise sur une table et ordonna à Lisa de se mettre nue afin d’aller se doucher.
Lisa fut surprise du ton autoritaire que lui adressait cet homme, pour elle, il s’agissait d’un domestique d’un employé et elle comprit immédiatement ce que cela signifiait.
La domestique l’employée c’était elle, marc l’avait amener dans cet endroit car il voulait d’une part faire du mal à Kévin le laissant sur la touche, mais par dessus tout, lui faire comprendre que seul lui décidait de sa future vie.
Elle se dévêtit faisant attention de ne pas dévoiler ses charmes devant le Majordome en mettant son bras devant sa poitrine et son sexe.
- Mademoiselle, ne vous cachez pas dès ce soir, j’aurais à de multiples reprises utiliser vos orifices quand mon Maître me l’aura autorisé, je vous aurait rempli plusieurs fois de ma semence et votre ventre sera certainement fécondé durant cette première nuit, votre noir commencera dès ce soir a naître dans votre joli ventre plat.
A ces mots Lisa resta immobile. Le ton était assuré et monocorde, comme un texte apprit par cœur et débité sans que l’on puisse y échapper.
Lisa prit la direction de la douche, elle se lava et retourna dans la chambre. Abou s’y tenait là, il avait déposer une robe de soirée de couleur noire, une paire de bas un porte jarretelle et un soutien gorge que Lisa ne connaissait pas.
Il s’agissait tout simplement d’un porte seins, laissant ses seins nus dessous et les maintenant hauts perchés, une paire de talons à sa pointure.
Une fois vêtu ainsi il lui ordonna de la suivre, ils descendirent les escaliers et se retrouvèrent dans une grande salle ou les deux hommes se trouvaient assis sur des fauteuils, sirotant un whisky.
Abou annonça.
- Monsieur, elle est prête.
- Mène là dans la pièce nous allons pouvoir commencer.
Abou, prit la main de Lisa et la dirigeât vers une petite porte , il l’ouvrit et ils entrèrent dans une petite pièce ou se trouvait un siège munit de sangles en cuir.
- Asseyez vous, Lisa je vais vous préparer.
Lisa s’assit attendant que le Majordome lui fixe les différentes lanières en cuir lui bloquant dans un premier temps les chevilles puis, les cuisses, le poignets, les bras et pour finir, lui plaçant deux sangles l’une juste au dessous de la poitrine et l’autre au dessus, en ayant prit la peine juste avant de fixer dette dernière de lui descendre la robe dévoilant cette fière poitrine soutenue de la sorte.
Une fois harnachement fixé il partit chercher les deux hommes.
- Messieurs, elle est prête !!
Les trois hommes entrèrent dans la pièce, Lisa était assise, la position était inconfortable, la position sur le siège faisait en sorte que sa poitrine soit en avant ses seins jaillissaient.
- Parfait !! Annonça Monsieur Marcel, Tu peux commencer Abou.
Le Majordome se précipitât au fond de la pièce et revint avec un chariot roulant en inox, ou tout une série d’objets y avait été soigneusement disposé et ordre pré-établit.
Abou, se saisit d’une sorte de ciseaux sans lame, mais composé de cercles percés en son extrémité.
Il saisit la pointe du sein droit de Lisa la pinçât la fit tourner afin qu’elle se raidisse, puis fixa l’objet sur la pointe du sein procurant une douleur immense dans le téton de Lisa. Il répétât la même gestuelle sur le sein gauche, procurant la même douleur sur l’autre sein.

Puis enfilant des gants et une aiguille il perçât le premier sein de >Lisa, un cri lui échappât.
Il fit de même pour l’autre sein puis vint lui fixer deux barres de 4 cm à peine sur les seins en vissant à l’extrémité une petite boule.
- Voilà Lisa tu es parfaite avec ces barres sur tes seins, sublime et magnifié de la sorte, s’exclamât Monsieur Marcel.
Il s’approchât d’elle et tordit immédiatement les deux pointes d’un demi tour.
- Aieeeeeeeee ! Hurla Lisa de douleur.
- Chut, lui fit Monsieur Marcel, une bonne femelle remercie son maître et ne se plaint pas de sa condition de soumise obéissante.
- Merci Monsieur Marcel. Des larmes coulaient sur ses joues, Monsieur Marcel s’avançât et sortit sa langue pour les lécher.
Son halène, n’avait rien d’engageant, elle avait put s’en rendre compte lorsqu’il l’avait embrasser sur le perron de sa demeure, mais la l’odeur restait sur la joue et sa joue était si proche de ses narines que cela en devenait presque entêtant.
- Passons au salon Abou ! Ordonna Monsieur Marcel.
Les deux hommes retournèrent dans la pièce principale, alors qu’Abou commençait a défaire les différentes sangles qu’il avait déposé il y a peu.
- C’est bien mademoiselle, vous ne vous êtes pas évanouie comme certaines le font. Monsieur Marcel, va pouvoir me récompenser pour cela, je vous remercie.
Une fois libérée, il accompagnât Lisa dans la pièce, prit une chaise et la disposât devant les deux hommes qui avaient reprit leur verres respectifs.
Prenant la main de Lisa, il l’a fit asseoir a genoux devant les deux hommes les mains posés sur le dossier, la poitrine toujours découverte, dans cette position ses seins maintenant ornés des deux barres pointaient vers le haut.
- Abou, c’est à toi maintenant.
Abou se plaçât derrière Lisa, remonta la robe, puis vint se placer à l’entrée de son sexe qu’il constatât humide.
Son sexe en main, il s’approchât de l’entrée et d’un seul coup sans finesse, il s’introduisit avec force.

- AHHH, fit Lisa, laissant échapper un cri autant appréhension que de désir.
Même si son sexe avait connu bon nombre de partenaires différents ces derniers jours, celui d’Abou semblait incomparable, jamais auparavant, elle n’avait été remplie de la sorte il semblait si long si gros, en quelque sorte interminable.
Abou, prit un rythme lent et assuré, Lisa sentait déjà en elle venir ce premier orgasme dont elle avait tant envie.
Marc le sentit et se leva et compagnie de Monsieur Marcel, les deux comparses s’avancèrent jusqu’à Lisa.
Les yeux de celle-ci la trahissent juste au moment ou ce premier orgasme la terrassa, ils prirent ensemble chacun un sein de la belle et firent un demi tour de la pointe ceci facilité par la barre en acier qu’elle venait de se faire poser.
La jouissance accentuée par la douleur de ses deux seins malmenés, Lisa connut un premier orgasme dévastateur qui la fit vaciller, immédiatement remise en place par un coup de butoir d’Abou, qui se déversait une quantité exceptionnelle de sperme dans son sexe détrempé.
- 8, s’exclama Abou !
- Marc ! Abou vient de déverser 8 jets de sperme dans la petite chatte de Lisa, sa fécondation a commencé a cet instant. Abou continuait sur un rythme lent de pilonner l’antre de Lisa poussant a chaque mouvement son sperme plus près de l’ovule de Lisa facilitant sa fécondation.
- Parfait comme à chaque fois cet Abou dit Marc satisfait.
Les deux hommes sortirent de la pièce laissant abou, continuer sa besogne, celui-ci continua son œuvre durant plus de 20 minutes, procurant plus d’une dizaine d’orgasmes successifs à la belle Lisa empalée sur ce membre monumental.
Abou sortit du sexe Lisa et prit une coupe de champagne à l’aide d’une cuillère il récupéra quelques gouttes de son nectar et le fit glisser dans la coupe.
Il aida Lisa a se relever et la conduit dehors après des deux hommes.
Lisa tremblante a chaque pas s’approchât d’eux. Abou tendit la coupe à Lisa, et ils trinquèrent avec elle.
Lisa but ce breuvage d’une traite comme s’il s’agissait de trouver pour elle un quelconque réconfort.
- A table s’exclamât Monsieur Marcel.


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