Je Me Donne 10

Le lendemain de mon expérience avec Lydie et Benji, je me lève avant Anthony. Je prépare et prenons ensemble le petit déjeuner. Au moment de ranger la table, Anthony me prend par le dos et me force à me pencher sur la table. Il descend mon shorti et je sens sa petite queue déjà bandée.
-toute la nuit j’ai eu envie de toi ma chérie, mais là je ne tiens plus.
Il me pénètre avec précaution, mais le résultat de la veille à laisser des traces, je suis encore un peu dilaté. Il le sent rapidement et décide de visiter mes fesses. Là malgré la dilatation subit, je suis resserrée. Il humidifie le bout de son membre et commence la pénétration. Il entre simplement et me prend avec douceur.
-maintenant que tu es une salope qui aime les autres queues que ton mari, tu mérites que je te baise comme une garce
Et là il change sa façon de me prendre, il y va avec force et rapidité.
-tient tu aimes.., je t’encule comme une salope, hein tu aimes ?
-oui Anthony
-alors je vais te défoncer comme ces mecs qui te démonte le cul
Il me prend avec force et rage, il me surprend par son comportement et ses paroles. Ça m’excite, oui je le dis.
Les coups de son membre sont rapides et forts. Même si il est moyennement membré, un certain plaisir commence à venir et je l’encourage.
-vas-y chéri, traite-moi comme ces hommes, encoorree, ouuii, plus fooort
-tu es devenue une sale putain, un sac à foutre même et tu en redemandes, encore plus
-ouuiii, je suis ce que tu veux…
Avec tout cette excitation, je sens son jus se vider en moi. Un petit orgasme me parcourt, bien loin du plaisir que je peux prendre avec les autres hommes. Mais je suis malgré tout contente que mon mari m’est apporté ce plaisir. Cette situation semble le stimuler, c’est pas mal je trouve.
Il se retire, me retourne et m’embrasse d’un baisé amoureux.

Ce samedi soir nous sommes sur Paris pour une sortie en amoureux.

Il est vers minuit trente quand dans le métro nous sommes informés que ce dernier est en panne, donc arrêt définitif à Barbés-Rochechouart. Nous voilà donc en galère pour rejoindre notre voiture. N’étant pas expert de Paris, nous prenons nos petites jambes et cherchons notre chemin, heureusement le smartphone est là. Pour la soirée, nous étions élégamment habillés, Paris oblige. Nous déambulons dans les rues, cherchant à retrouver le bon chemin. Pour raccourcir le chemin, Anthony décide de couper par des petites rues. Le raccourci s’est soldé par un chemin chaotique. Dans une rue, nous nous sommes retrouvés face à une voie sans issue et cette rue est médiocrement éclairé. Une voiture sortant d’un parking souterrain s’arrête à notre niveau.
-bonsoir, j’ai comme l’impression que vous êtes perdu ?
-oui, effectivement, nous devons rejoindre Nanterre et avec la panne de métro, nous galérons.
-si vous voulez, je peux vous rapprocher, la-vous être complètement à l’opposé. Je dois juste passer chez une amie avant.
Nous nous regardons et acceptons de profiter de la voiture. Nous roulons en échangeant avec le conducteur. Au bout de 30 minutes, la voiture se gare et s’arrête.
-venez avec moi, vous prendrez un petit verre, La demoiselle, elle est Portugaise, je me trompe pas ?
-oui, ça se voit tant que ça ?
-disons qu’entre Portugais on se reconnait
Au début nous refusons, mais vu l’insistance du conducteur et ne voulant pas de nouveau galérer pour rentrer, nous acceptons.
Au rez-de-chaussée, nous entrons dans l’appartement du gardien. Une jeune femme nous accueille. Vu l’heure elle est en tenue pour aller se coucher.
-oh Albino, tu aurais dû me dire que tu étais accompagné
-ah oui, j’ai pas eu le temps, je les aient pris ils se sont perdus.
-pas grave, génial, tu m’as apporté mon dossier.
De fil et en aiguille, nous commençons à discuter, en buvant un petite alcool du pays. Aldina, la femme vient juste de prendre son poste de gardienne d’immeuble.
Elle vie seule et nous accueille les bras grands ouvert. Elle nous sert verre après verre, Anthony, ne buvant que rarement de l’alcool commence à vaciller et à être saoul. Moi, c’est guère mieux, mais je supporte un peu plus l’alcool que mon homme. Aldina, est une tapette à paroles, joyeuse, pleine de vie. Avec Albino, il y a une connivence, une complicité évidente. Aldina, assise à côté de moi, pose sa main sur la mienne.
-tu sais tu es toute mignonne toi, tu me plais beaucoup.
Un long silence dans la pièce règne. Elle vient poser un baisé sur ma joue, puis elle prend ma tête pour la tourner vers elle, et ses lèvres se pose sur ma bouche. OUPS !
Anthony ne dit rien, il regarde sans réaction. Albino, lui nous fixe toutes les deux, laissant apparaitre un sourire.
-oui, enfin, nous devons rentrer, je pense que ce serait mieux.
-mais non, mais non, nous allons profiter, vient suis moi.
Aldina me prend par la main. Je ne refuse rien et me laisse guider. Dans sa chambre, Aldino nous rejoint. Anthony, lui est affalé sur la table, il cuve son trop plein d’alcool. Aldina me déshabille, découvrant mon corps. Ses mains me caressent. Aldino, regarde, se caressant le sexe à travers son pantalon. Je décide de prendre l’initiative de dénuder cette femme. En quelques minutes, elle est nue. Je découvre des seins généreux, mais sans être trop gros, un corps de jeune femme qui prend soins d’elle et un sexe velu. Moi je suis poilue, mais Aldina c’est puissance 10.
-tu trouves que je suis trop poilue ?
-non, c’est pas ça, c’est que j’ai jamais vue un sexe aussi fournit, ça surprend, c’est tout.
-vient, vient me manger, j’en rêve dès que tu es entrée.
Je m’allonge face à ces cuisses grandes ouvertes. Le pubis d’Aldina n’est ni rasé, ni épilé, ni taillé. Elle a une toison de dingue. Je distingue à peine l’entrée de son sexe. Mes doigts doivent écarter ces longs poils afin de trouver ces lèvres intimes. Ma langue ose entrer dans cette forêt pubienne.
L’odeur sent le propre, avec juste ce qu’il faut d’odeur excitante. Ma langue lèche cette intimité. Les poils me caressent le nez, pour respirer c’est pas génial. Ma langue remonte jusqu’au clitoris, là je découvre un bouton bien gros, découvert, qui déjà est en excitation. Je ferme les yeux et ma bouche se plaque sur cette toison pour la dévorer. Je lèche, suce ce sexe qui m’enivre au fur et mesure que je me délecte.
-c’est bon continu, t’arrête pas…
Pendant que je donne plaisir à Aldina, les mains d’Aldino caresse mes fesses, entrant dans le sillon de mes fesses. Ses doigts viennent tâter mon entrejambe qui mouille, elles me caressent avec douceur, tentant de me pénétrer, ce qu’il arrive bien entendu. Aldino, présente à Aldina son membre à sucer. Elle gobe ce sexe avec délicatesse et fait une fellation. Je découvre le corps de cet homme. Il est poilu de ouf, je sais c’est un Portugais, mais je préfère de loin mon homme, il est peu poilu et ça me convient. En tout cas, cette pilosité n’arrête pas Aldina, elle suce et suce ce membre. Par moment sa main vient plaquer un peu plus ma tête entre ses cuisses, ma vue est cachée par la touffe pubienne.
A un moment, je sens un membre qui tente de me pénétrer.
-t’inquiète ma jolie, Aldino s’est protégé, laisse le faire
Je suis progressivement empalée par ce membre de bonne taille, qui me pénètre jusqu’au bout. Mes fesses sentent les poils de l’homme s’écraser sur ma peau. Je suis prise, sans violence, avec délicatesse. Anthony fait son retour. Il arrive et présente son membre à Aldina.
-oh, comme elle est mignonne cette petite queue, vient je vais la sucer
Je n’aime pas vraiment quand mon chéri est avec une autre femme, là ça m’énerve un peu. Lui n’a pas le droit de se faire plaisir avec une autre femme, il est à moi, nous sommes mariés et je suis jalouse. Oui je sais, lui non, mais moi je me fais prendre par d’autre hommes, mais je suis comme ça, je ne partage pas, ou je n’aime pas partager mon mari.

Aldina demande que nous nous mettions dans la position du 69, tête bêche, pour mieux nous dévorer l’intimité. Sa langue est sans nulle doute une habitué du sexe féminin.
Une de ses mains masturbe le sexe de mon chéri. Pendant ce temps Aldino continu de me posséder. Tout à coup, sous mes mouvements de langue, Aldina se contracte et laisse échapper un long soupir, sa tête vacillant de droite à gauche, elle vient de jouir. Le membre se retire de mon intimité, la capote est retirée et il vient déverser une quantité de jus clair et liquide sur les poils intime d’Aldina, juste devant mon regard au moment même ou sous les doigts d’Aldina qui me pince le Clitoris je jouie. Une jouissance très brève et agréable. Mon petit chéri, à la demande d’Aldina, vient jouir également sur cette toison, son jus plus épais, mais bien moins abondant.
Cette expérience est une première. Tout à été fait dans la douceur, la délicatesse et l’obtention du plaisir de tous. Rien à voir avec ces hommes qui m’ont baisées. Certes le plaisir n’est pas aussi extrême, mais c’est aussi agréable.
Après ce moment intime, nous discutons de nouveau, toutes les barrières sont tombées. Nous échangeons nos téléphones et décidons de partir. Finalement, Aldino nous raccompagne à notre voiture directement, il est 5h du matin, le trajet a été rapide.
Dans la journée, je reçois déjà un sms d’Aldina. Tous les jours, j’ai reçu un, voire deux sms de ma chère Portugaise. A un moment, elle me demande de venir la voir un samedi après-midi, prétextant qu’elle devait me parler. Avec l’accord de mon cher et tendre mari, je valide le rendez-vous.
Je retrouve donc Aldina, chez elle, le temps pluvieux ne nous permettant pas de faire autre chose.
-oh Maeva, que tu sois habillée classe ou en jean, tu es toujours aussi mignonne, vient entre. La porte refermée, elle pose ses lèvres sur les miennes et force l’entrée de ma bouche. Je ne résiste pas et nos langues se mélange. Après cet échange, autour d’un verre, nous discutons.
-je t’ai demandé de venir, parce que je dois te demander une chose.
-oui et c’est quoi ?
-dés que je t’ai vu, j’ai été conquise par toi, alors je veux que tu sois à moi, rien qu’à moi.
-euuuh, tu rigoles Aldina ? je suis marié et j’aime mon mari
-oui je sais, je veux que tu sois à moi en tant que femme, pour être plus clair, je veux être la seule femme avec qui tu as une relation. Je ne veux pas d’une femme avec qui vivre, juste une femme, toi avec qui de temps à autre avoir un petit moment sympa.
-là je ne sais pas quoi te dire, je suis un peu surprise.
-attends, ce n’est pas tout. Si tu acceptes tu devras respecter des règles, mes règles.
-ah… oui carrément. Mais c’est quoi tes règles ?
-elles sont simples.
-vas-y, explique-moi ?
-je veux que tu viennes quand je le souhaite. Je veux que tu accentues le marquage de tes sourcils, tu seras encore plus belle. Je veux que tu arrêtes t’entretenir ton intimité. Je veux que tu acceptes de remplacer les piercings aux oreilles par ceux que je t’offrirais. Je veux que tu te face relooké ta chevelure, tu es brune, mais ta tignace est trop longue. Voilà ce que je veux.
Je reste sans voix. Je n’ai pas l’intention de devenir sa femme, sa chose. Mon mari ne va pas accepter, il m’aime comme je suis.
-Aldina, tu demandes beaucoup, Anthony n’acceptera jamais, tu es exigeante en plus.
Elle rapproche de moi, prend une de mes mains et la passe sous sa robe pour me faire toucher son intimité libre de toute culotte. Ses poils sont humides.
-tu vois dès que je te vois tu me fais de l’effet, alors demande à Anthony et reviens vers moi pour me donner ta réponse.
Je décide de caresser son pubis pour lui faire plaisir.
-non, tu ne fais rien, tu ne me toucheras que si ton mari est d’accord.
Elle se recule, retire sa robe sous laquelle elle est nue.
-ca peut être à toi et tu peut être à moi, alors réfléchis bien ma chérie, mais pour le moment tu ne touches plus, d’ailleurs, j’ai un rendez-vous, tu vas devoir partir.
Aldina, part, me laissant là. Je rentre retrouver Anthony. A mon arrivée, il s’empresse de savoir ce que voulait Aldina, je lui explique.
-Bon, Aldina à flashée sur toi, encore une femme à qui tu plaît, tu ne vas pas t’en plaindre, après pour le reste, je vois rien de catastrophique.
-ah bon, rien ne te dérange toi ? être à elle, les bijoux et le reste…
-franchement non, elle veux une belle femme fidéle, normal. Les piercings, c’est histoire de prouver que tu l’aimes aussi, les poils ça tu étais comme ça avant que je te fasse entretenir donc rien de grave. Il reste le relooking, tu peux y trouver aussi un grand plus de ton côté. Tant qu’elle ne t’interdit pas les hommes, pourquoi tu te prends la tête ?
-Ah et bien vu comme ça
-tu n’a rien à perdre ma chérie, crois moi
-ok alors tu seras présent pour valider tout ce qu’elle me demande et si elle refuse, tant pis pour elle.
-voilà, tu viens de trouver la bonne solution.
-ok, j’appelle Aldina.
Je n’ai pu la joindre que le lendemain.
-bien sûr qu’Anthony peut être présent, c’est normal qu’il voie sa femme se faire belle pour moi, je te rappelle pour définir le jour, bisous


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