Récit D'Une Vie De Nuit - Chapitre 2

Cette première soirée de découverte, est riche d’enseignements. Et riche d’informations et de conseils d’Olga qui a tempéré les clients audacieux et insistants (des lourds comme ont dirait maintenant). Moi la pucelle du monde du sexe, Olga m’a indiqué qui je pouvais accompagner. Un homme qui pouvait être mon père m’invite a prendre un verre à table, et nous échangeons, pour très vite sentir ces mains sur mon corps. Olga l’œil à l’aguet me fait signe de la diriger vers les salons en prenant soin de récupérer une bouteille de champagne. Le canapé nous accueille et les mains de cet homme se font très insistant. Je suis tétanisée et ne sais plus quoi faire, je me retrouve très vitre les seins a l’air et la culotte à mi-cuisse, j’ai l’impression que nous sommes plusieurs tellement je me sens touché de partout. Malaxée, doigté, voir pincée… dois-je abandonner mon client ou m’abandonner a lui… Tout à coup la porte s’entrouvre et je distingue ma sauveuse, Olga me regarde me souris et cela m’apaise. Je me laisse aller à passer ma main sur l’entre-cuisse de mon client sans attendre ouvre son pantalon et sort son sexe. Il est gros, bandé, et long… il dirige ma tête vers son sexe et m’oblige a le prendre en bouche. Timide je commence à sucer et je revois les images dans le bureau et m’applique, le temps m’a paru très court et j’ai sentir giclé une salve chaude, acre et salé au fond de ma gorge, dans un réflexe inhabituel je déglutis. L’homme me félicite, essuie sa queue et quitte le salon. Je reste assise la bouche pâteuse, des larmes aux yeux. Olga ne tarde pas s’enquérir de mon expérience. Je lui fais part de mon trouble, me mon excitation, de ma surprise mais surtout de mon plaisir mais que mon excitation est forte et que j’ai besoin de me vider de cette excitation. Olga m’accompagne dans le bureau, et me propose de faire passer cette excitation ensemble, je ne me fais pas prier. Olga prend l’initiative et me dévêtit et puis viens son tour. Toujours à son initiative et me caresse me doigte, excite mon clito, elle me pose dans le fauteuil ouvre mes cuisses et pose sa bouche sur mon sexe et me lèche, je montre très vite et pousse des gémissements à réveiller un cimetière.

Je m’effondre. Olga se rhabille et me presse de rejoindre le bar. La soirée se passe plus calmement je ne revois pas d’autre client, mais assure un service en salle ou les mains ont très souvent parcouru mes fesses. Je ne suis pas déçue bien que surprise, j’ai fait un bonus de 50 DM pour ma première prestation assez légère. Pleins de pensées ont parcouru ma tête durant les jours qui ont suivis, dois-je poursuivre, que suis-je devenue, et si on me reconnaissait… Le mercredi suivant je repris mon service, Olga me presse a rester en salle. Nous sommes 4 en salle et les clients peu nombreux et bien évidemment que des hommes. Je vois la plus ancienne de nous partir dans les salons avec 1 client rapidement suivi d’un second. Je vais vers Olga, tout de suite elle comprend mon inquiétude et me dirige vers le salon derrière une glace nous apercevons le salon. Myriam est déjà toute nue, à genou et s’occupe des deux sexes, bien le plus grand des deux positionne Myriam buste penché, le second se glisse entre les bras de Myriam. Le client debout lime Myriam pendant que l’autre se fait sucer. Olga et moi retournons en salle, sans plus de commentaire et je poursuis mon service. Je suis abordé par un client qui commande une bouteille et désire que je l’accompagne, j’accepte et nous voila dans un des salons. Son désir est de me voir me déhancher et de m’effeuiller, je m’exécute, je me caresse les seins, le corps mon sexe. Il sort son sexe et se branle, je m’approche pour volontairement être à sa portée. Il ne tarde pas de saisir mon bras et me dirige vers sa queue, je comprends très vite que je vais devoir le sucer et je me plie très volontiers à son désir. Pour ne pas me trouver frustré je me caresse et me donne du plaisir presque en même temps que lui, il arrose mon virage de son jus épais et odorant. Satisfait de mon travail il me caresse, me doigte… je jouis encore… Je l’abandonne et me rafraichis dans le vestiaire, fait une toilette dans le salon et retourne au service. Olga m’appelle et me conseille d’aller voir un homme d’âge très mur.
Je lui tien compagnie, je sens ces mains baladeuses, je bois ma coupe à moitié, l’invite à poursuivre au salon, il me suit, je prends soin de récupérer une bouteille au passage. Il s’assoit dans le fauteuil m’attire vers lui pour me déshabiller, ces mains me caressent, je joue les allumeuses il me pose sur le canapé et me demande de me faire jouir. Je m’offre a ces désir et me caresse, passe mes doigts sur ma chatte, mes seins, je fais monter le désir et explose, il s’approche de moi me retourne, me pénètre, me tien les hanches et me baise. Il se retire, et commence à frotter son gland sur mon anus, un moment de retenu, mais sans autre procès il me pénètre. Je viens de perdre mon second pucelage. Outre cette première sensation de douleur, par l’ouverture inhabituelle de ma rondelle, cela à laisser place à une chaleur remontant dans le ventre et qui a provoqué un râle de salope que je n’avais jamais exprimé. Il s’est vidé dans mon anus, je me suis avachie dans le canapé, pleine de foutre mais vidée de mon énergie.
Une toilette plus tard, je reviens au bar la démarche un peu particulière, Olga en rit et me dit de rester derrière le bar. La soirée se passe, et j’ai encore été bonifié… Je commence à me sentir bien… L’esprit se libère petit à petit, et mon corps aussi. Je passe quelques mois à me perfectionner, et j’accumule les bonus et l’expérience. Les clients commencent à me demander, je deviens même une amie très proche d’Olga, sa partenaire pour des jeux devant des clients. Oui je suis une vraie femme libérée. Olga n’hésite pas m’invité à faire l’amour devant Friedrich ou avec Friedrich.
Un soir d’automne, nous arrive un terrible nouvelle. Le bar est fermé. Il n’y a pas eu de service l’après-midi, les filles et moi sommes dans le doute. Une voiture approche, un homme en descend l’air grave. Il vient nous annoncer une bien triste nouvelle, Olga est décédée d’un accident de la route et Friedrich légèrement blessé, il est toujours dans un hôpital des environs.
Sans se faire prier nous accompagnons l’homme à l’hôpital.
Friedrich ne semble pas très marqué physiquement mais accuse la perte de son épouse. Nous nous présentons pour les obsèques. Friedrich nous demande de passer le lendemain pour gérer la suite de l’activité. Friedrich est là, l’homme de l’annonce l’accompagne, et nous sommes rassemblées pour une discussion solennelle sur l’avenir. Nous quittons cette réunion rassurées sur la poursuite de l’activité. Afin de reprendre du poil de la bête nous avons le droit tous à 3 semaines. Je farniente chez moi lorsque le téléphone sonne et j’entends la voix de Friedrich qui me demande de passer au bar. J’accepte et prend la route vers le bar. Friedrich m’invite dans son bureau. La discussion est très sérieuse, et me propose d’occuper la place d’Olga au sein de l’entreprise. Sous le couvert de notre proximité avec Olga et mon plein investissement il avait pensé à moi. Je me sens bien dans ce lieu, et donc je ne vais pas refuser cette promotion. Le temps passe et une certaine complicité nous lie et je deviens sa maitresse puis sa compagne. Malgré la vingtaine d’année qui nous sépare, l’harmonie dans la vie et le sexe est au summum. La suite a été une demande en mariage que j’ai accepté. Il m’avoue avoir proposé à Olga un ménage à 3. Mais que cela n’a pas eu le temps de se faire. Friedrich était tombé amoureux de moi dès le premier jour, et j’ai compris pourquoi Olga était si bienveillante envers moi. Je suis libre, il est bel homme, il est bon amant, et je ne suis pas indifférente à son charme. Je me laisse donc séduire par cette demande et déclaration.
Moi Martine 24 ans et Friedrich 43 ans, nous nous marions. Les festivités sont retenues. Nous partageons toujours les plaisirs du bar, la clientèle est de plus en plus variée. Friedrich décide de transformer son établissement. Les mœurs semblent se libéré de plus en plus, la variété des plaisirs aussi, nous entrons dans une spirale qui commence à nous dépasser, alcool, sexe et drogue sont légions.
Friedrich coupe court à tout cela et décide de fermer. Il opte pour laisser l’activité bar ouvert et transforme le coté « sexe ». Nous pouvons dire que nous avons en vue de crée un lieu de rencontre et de plaisir. Les filles décident de poursuivre l’aventure sans le côté plaisir charnelle et la perte de rémunération, mais une option d’emploi dans le nouvel établissement ; Nous investissons, démolissons, reconstruisons. L’établissement reçoit une piscine chauffée, des sanitaires communs ou privé, plusieurs alcôves clos ou non. Nous allons donc ouvrir ce lieu réservé qu’a un public averti. Nous invitons quelques clients, avons embauchés du personnel attirants, masculin et féminin, parmi eux des artistes érotiques, et des spectacles pornographiques. Le succès a été presque immédiat. Pendant de nombreux mois tous les soirs été complet. Je ne prenais plus beaucoup part au plaisir donner à la clientèle, mais je faisais le recrutement, tant la gente féminine que masculine, toujours sous l’œil approbateur de Friedrich. Le filles ont presque toutes quittées l’etablissement seule Myriam reste mais comme barmaid. Les spectacles eux aussi ont évolués, l’offre devait satisfaire les besoins de la clientèle. Nous commençons par intégrer un spectacle lesbien dans la semaine, ouvert à tous. Nous avons touché un nouveau type de clientèle, mais très vite cela à imposer de sélectionner les entrées et trier la clientèle, jusqu’à créer une soirée exclusivement réservé aux relations homosexuelles, je vous rappelle nous sommes dans la fin des années 80 début 90. Avec un spectacle d’hommes. On rejoint très vite, des travestis, des drag Queen… Le monde changeait très vite. Trop vite. Malheureusement l’activité prends un coup de frein avec la peur de la contamination (Sida, hépatite,…).Nous avions anticipés cela, comme la mise à disposition en libre-service gratuit des préservatifs notamment. Ceci nous coute néanmoins une grosse clientèle, mais celle qui reste est d’une qualité exceptionnelle.
Myriam nous propose d’évoluer, ses oreilles toujours attentives, à l’écoute de la clientèle elle propose la vente d’accessoires et lingeries sexy. Nous avançons et nous développons donc en suivant cette proposition et créons un sex-shop. Et comme en guise de remerciement Friedrich propose à Myriam d’en être la gérante intégrale en quasi-copropriété. Une boutique qui initialement n’est ouverte que le soir avec le club. Myriam devient sa propre ambassadrice et propose des essayages sur la scène. Le succès est au rendez-vous.
Un soir ou l’activité est très calme, seul un couple et deux hommes occupent l’espace convivial et semble chauffer l’atmosphère avec la femme que l’on désignerait comme une « Milf », le zip sa robe est déjà très remontée pour ne plus masquer les magnifiques bas, alors que l’un des hommes caresse sa poitrine, ils sont arrivés tôt, 2 bouteilles de champagne ont déjà fait la bascule et une troisième semble bien entamé. Je constate que la femme accuse l’excès d’alcool. Elle se dirige vers les toilettes la démarche mal assurée, je la suis, et m’empresse de lui demander si tout se passe bien. Elle me confirme que tout est sous contrôle et qu’elle est partie se rafraichir pour occuper un salon avec ces 3 collègues. Je lui désigne le salon avec un lit et un divan et aussi me permettra de mater derrière la glace sans tain. Elle revient pose son string sur la table et attire le plus ancien par la cravate et le petit monde, en cortège suit la femme. Je suis impatiente et sans trop attendre je joue les voyeuses. Je ne la distingue pas mais à sa position je devine qu’elle est en train de se délecter par l’assaut buccal de son partenaire. Le deux autres attendent leur tour. Elle invite un des hommes a s’allonger se penche pour le prendre en bouche et offre sa croupe à ma vue. Après quelques caresses, le troisième homme l’enfile d’une façon brutale. La bite qui est fiché dans sa bouche l’empêche certainement de gémir mais n’esquive pas cette pénétration. Elle monte sur le lit pose un préservatif et chevauche l’homme allongé. L’un des partenaires restants enfile à son tour son morceau de plastique et se positionne contre les fesses de cette cochonne qui m’excite, Je suppose qu’elle est empalée par deux pieux fougueux, car malgré la porte fermée j’entends ces vocalises. Avoir sa bouche ouverte à donner envie au troisième homme de la lui remplir. Les 4 complices s’en donne à cœur joie, elle a dû prendre la semence de son partenaire dans sa bouche car elle essuie sa bouche d’un doigt, et son partenaire se retire. Suivi de très pres par les deux autres qui prennent le temps de retirer leur capote, et de se présenter devant la bouche de cette merveilleuse qui accepte de recevoir le salaire de leur jouissance qu’elle boit envie. Après une toilette, ils regagnent la salle et poursuive la soirée.
Un couple très bien sur eux entre dans le club, Myriam les accueille, propose le vestiaire, la femme y dépose que son manteau et leur propose un endroit douillet. L’homme s’approche et me demande si l’accès à la boutique est possible, je confirme et Myriam accompagne l’homme qui invite sa partenaire. La femme approche et je constate que son dress-code est très particulier, une robe de cuir noire, profondément plongeant qui souligne une poitrine moyenne et son dos n’est masqué que par des lacets qui ne cache en rien l’absence de sous-vêtement et donc la raie de ces fesses rebondies. Le plus marquant était le collier ras du cou, clouté, et garni de 4 anneaux chromés. Il entame une visite des lieux. L’homme semble déçu malgré la passion que l’on connait à Myriam pour valoriser sa boutique. Myriam me fait signe et me fait part de son sentiment. L’homme vient vers nous et nous informe que notre boutique manque d’intéret. Je me permets d’accoster la femme, surprise par sa réaction elle me dis de demander à son Maitre si elle avait la permission d’échanger avec moi. J’avais lu et entendu parlé de cette pratique sexuelle mais a aucun moment j’ai eu l’occasion de le côtoyer. L’homme lui autorise de me parler mais ma curiosité me dit que je devrais partager avec les deux. J’entame une discussion. Les premiers mots de l’homme a été sur la déception qu’un aussi belle endroit soit dépourvu de moyen d’assouvir toutes les envies. Et nous explique, que cela se fait de consacrer une salle appeler donjon et où la clientèle s’adonne à des plaisirs bien particuliers. Oui Emmanuelle avait défrayé la chronique, Histoire d’Ô ne se regardait que sous le manteau, Plus que de grandes phrases le couple nous propose de venir dans leur région et qu’ils nous fasse connaitre ce monde nouveau pour Friedrich et moi.
Voila ce chapitre 2 fini, il reste encore à raconter… Bonne lecture et merci aux lecteurs qui ont osé laisser un commentaire et une note surtout.

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