Un Dérapage Inattendu...

A 28 ans, voilà six ans que Léo est en couple. Belle et attentionnée, sa copine Julia du même âge que lui ne manque pas d’arguments lorsqu’il s’agit de décrire son physique. Julia mesure environ 1m60 et possède une taille fine, avec toutefois quelques kilos en trop. Elle a les cheveux bruns, longs et légèrement ondulés. A ses dires, il en a toujours été ainsi.

Léo commence à se lasser des attitudes de Julia, qu’il trouve bien trop renfermée sur elle-même et particulièrement rigide. Julia a un corps agréable, un joli fessier ainsi qu’une belle poitrine dont elle se plaint souvent. Léo trouve cela absurde. Un 85D, peu importe ce que Julia en dise, est un cadeau du ciel. Le fait est que Julia manque cruellement de confiance en elle, ce qui ressort notamment lors de leurs rapports sexuels. Avec le temps, Léo s’est habitué à faire le premier pas sexuellement, à la caresser tout en l’embrassant tendrement. Il sait que la fellation n’est jamais gagnée d’avance, Julia y étant plutôt réticente. De même, Julia n’est pas particulièrement créative au lit. Elle refuse de pratiquer la levrette qu’elle estime excessivement humiliante et se dit sceptique concernant la sodomie. Elle s’est d’ailleurs fait entendre sur ce point à plusieurs reprises auprès de Léo : « il s’agit d’une pratique douloureuse qui me met très mal à l’aise », lui a-t-elle dit. Bref, voilà six ans que Léo est en couple, amoureux mais frustré sexuellement.

Ce qui lui est arrivé ce-mois-ci fut à la fois le moment le plus troublant et le plus excitant de sa vie. Il sait qu’il ne devrait pas en être fier mais l’idée de recommencer le met dans tous ces états.

Avant de revenir sur cet épisode, il n’est pas inutile de préciser quelques éléments. Julia est issue d’une grande famille, comprenant une grande sœur et deux petits frères. Sophie est plus âgée qu’elle de quelques années et mariée depuis maintenant trois ans avec Pascal, un homme simple et discret indiquant à qui veut l’entendre qu’il souhaite avoir un .

Léo n’a jamais été insensible au physique de Sophie, pourtant très différent de celui de sa petite sœur Julia. Sophie mesure environ 1m64, soit 15cm de moins que Léo. Elle possède une poitrine visuellement attractive ; probablement un bonnet B ou C. Sophie se rend plusieurs fois par semaine à la salle de sport et n’a donc pas à rougir de son physique. Elle est belle, sexy à en croire son mari, et ne laisse pas indifférent les hommes qui l’entourent. Léo ne déroge pas à la règle.

Julia aime réprimander Léo pendant les repas de famille, lorsque son regard s’aventure trop longuement sur celui de sa sœur ou qu’il discute avec elle trop longtemps. Ces élans de jalousie l’excitent un peu à vrai dire. Sophie porte souvent de belles robes, s’arrêtant légèrement au-dessus des genoux. Léo n’y est pas insensible. Bien au contraire, il trouve cela agréable qu’une femme mariée continue de peaufiner son physique et de le mettre en valeur. Les robes de Sophie ont toutes un léger décolleté, ce qui a permis à Léo de constater la présence d’un petit grain de beauté sur le sein droit de Sophie.

Quand bien même Léo réprime ses pulsions, tant par amour pour Julia que par respect pour Pascal, il n’en demeure pas moins attiré par Sophie. Elle s’adresse souvent à lui lors des évènements familiaux, lui posant parfois des questions plutôt personnelles et intimidantes lorsque tout le monde a le dos tourné. Pas plus tard qu’il y a trois mois, lors du repas de Noël, Sophie, qui organisait le repas chez elle, a intercepté Léo qui sortait de la salle de bain afin d’obtenir son avis sur un nouvel ensemble de lingerie qu’elle venaitde s’offrir. De la dentelle, à ce qu’il paraît. Sophie souhaitait connaître l’avis d’un autre homme que le sien sur cette nouvelle acquisition. Léo a rougi, prétextant avec humour qu’il serait ravi de le voir porter par Julia mais qu’il devait probablement lui aller à merveille également. Sophie, déjà alcoolisée, a fait mine de s’offusquer, glissant discrètement une main dans son soutif afin de repositionner sa poitrine.
Elle est ensuite retournée dans le salon, s’appuyant légèrement sur Léo alors qu’elle sortait de la chambre.

Cet épisode a plongé Léo dans un état second, qui n’a cessé de penser à Sophie tout au long du repas de Noël. Il sentait son pénis en érection. Sophie n’a pourtant pas daigné lui adresser la parole, ni même un regard, pendant le reste de la soirée. Léo jugea cela très troublant. Néanmoins, Sophie s’est finalement installée à côté de lui à la fin du repas, alors que tout le monde déballait son cadeau de Noël, et lui murmura à l’oreille quelque chose d’encore plus troublant. « Tu as parfaitement raison, cet ensemble me sied merveilleusement bien ».

A l’issue du repas, Léo remercia chaleureusement Pascal et Sophie pour leur accueil. Tout en regardant Julia, Sophie le remercia à son tour et leva soudain les yeux vers lui, alors qu’elle se remémorait quelque chose d’important. Elle précisa à Julia qu’elle devait se faire livrer quelques meubles le lendemain matin entre 10h et 12h et qu’elle ne refuserait pas l’aide de Léo pour l’aider à les transporter jusqu’au quatrième étage. Pascal, qui n’avait pas été en mesure de s’absenter du bureau, félicita Sophie d’aborder ce sujet et demanda personnellement à Léo de venir aider Sophie le lendemain. Julia, prise au dépourvu, ne protesta pas et sembla au contraire insister pour que Léo se rende chez sa sœur ainée.

Léo accepta donc d’aider Sophie et se rendit comme prévu à son domicile le lendemain matin aux alentours de 9h55, avec cinq minutes d’avance au cas où les livreurs arriveraient plus tôt que prévu. Sophie l’accueillit les bras ouverts, vêtue d’une nuisette étonnamment courte. « Drôle de tenue pour accueillir un invité », pensa Léo. De couleur bleue marine, cette tenue flattait particulièrement le corps de Sophie, révélant subtilement la forme de ses seins ainsi que celles de ses tétons. Léo senti son sexe se raidir à la vue de ce spectacle, ce que Sophie fit mine de ne pas remarquer.
Quelques minutes plus tard, le téléphone sonna. Sophie se leva pour décrocher, dévoilant à Léo un fessier de rêve à peine dissimulé par sa nuisette. Les jambes nues de Sophie étaient proches de la perfection, d’autant qu’elle avait apparemment pris le temps de refaire son vernis avant l’arrivée de Léo. Ses cheveux bruns et ondulés, fruit d’un héritage familial, étaient donc sublimés par un vernis de couleur rouge foncé. Sophie avait par ailleurs pris la peine de se coiffer et de se maquiller.

Sophie ramena Léo à la réalité, lui indiquant qu’il pouvait descendre récupérer les meubles auprès des livreurs. Léo fit donc l’aller-retour et revint 10 minutes plus tard, épuisé et légèrement transpirant. Sophie s’excusa et le remercia chaleureusement pour son aide. Elle lui proposa un verre d’eau, qu’il accepta tout en la suivant dans la cuisine. En lui tendant le verre d’eau, Sophie lui fit un regard coquin et lui dit que faire l’amour à Julia devait probablement l’épuiser davantage. Mal à l’aise face à cet excès de spontanéité, Léo ne sut quoi répondre. Prise d’un élan d’excitation, Sophie ne s’arrêta pas là. Elle fit glisser sa nuisette sur le sol afin que Léo lui donne un avis sincère sur son nouvel ensemble de lingerie. Le sexe de Léo se raidit instantanément. Sentant son désir explosé, Léo coupa sa respiration, ce que Sophie sembla remarquer puisqu’elle dirigea son regard vers son sexe en érection. Sans prévenir, Sophie commença à déboutonner le jeans de Léo, tout en le regardant fixement, d’un air autoritaire. Léo ne savait plus quoi dire ou quoi faire, tiraillé entre l’envie et la culpabilité. Comme toujours dans ces moments-là, le désir l’emporta sur la raison. Le même phénomène s’appliquait aussi bien à Sophie qui, bien qu’heureuse dans sa vie de couple, ressentait soudainement l’envie insatiable de tromper son mari avec Léo.

Léo saisit subitement le poignet de Sophie, tentant de la ramener à la raison. Celle-ci ne céda pas et plongea sa main à l’intérieur du jeans de Léo.
De sa main libre, Sophie déboutonna rapidement la chemise de Léo et commença à lui embrasser le cou, tout en caressant lentement son sexe en érection à travers son caleçon.

Pendant que Sophie lui embrassait le cou, Léo l’entendit gémir doucement. Elle lui murmura à l’oreille qu’elle était folle de désir. Elle lui ordonna de la prendre et de ne pas penser à Julia.

« Aujourd’hui, tu m’appartiens », lui dit-elle en même temps qu’elle venait lécher puis embrasser son téton gauche.

« Cela restera entre nous. Je ne souhaite pas quitter mon époux et tu ne souhaites pas quitter ma petite sœur. Prends-moi Léo, je suis toute à toi ».

C’en était trop pour Léo qui la força à relever la tête et l’embrassa vigoureusement. Il lui prit la gorge doucement et entreprit de lui embrasser l’oreille droite tout en lui caressant la jambe gauche. Sophie gémit de plus en plus fort et se laissa aller. Léo l’incita à se retourner et à poser ses mains sur la table de la cuisine. Pendant ce temps, Léo relâcha la gorge de Sophie afin de prendre son sein droit dans l’une de ses mains, lui ôtant son soutien-gorge aussi vite que possible de son autre main. Sophie tremblait d’excitation. Il pouvait le sentir. Il lui retira sa culotte et constata la présence agréable d’un vagin parfaitement épilé. Sophie avait pensé à tout. Il humidifia son index qu’il fourra délicatement dans le vagin de Sophie, d’ores et déjà trempé. De sa main droite, Léo exerçait à présent une légère pression sur l’un des tétons de Sophie qui ne contrôlait plus du tout ses gémissements. Léo sentit la main de Sophie s’introduire dans son caleçon et se saisir de son membre en érection. Sophie entreprit de le branler alors qu’il l'a doigtée de plus en plus rapidement.

Léo la souleva soudainement du sol et l’installa sur la table, face à lui. Il lui écarta les jambes et vint immédiatement lécher son sexe, dont la cyprine coulait abondamment, insistant sur son clitoris. L’excitation de Sophie était palpable. Elle fourra ses mains dans les cheveux de Léo tout en guidant ses mouvements. Après quelques minutes, Sophie lâcha plusieurs cris et exigea de le sucer. Léo s’exécuta. Il retira sa langue du vagin de Sophie, après en avoir récolté le jus, et se redressa lentement, s’arrêtant un instant sur ses seins, qu’il suça goulument.

Sophie se mit à genoux, sortit le sexe de Léo de son caleçon, qu’elle ôta complètement, et fourra son sexe dans sa bouche. Elle le suça passionnément, avec une pointe d’agressivité, comme une personne ayant été privée de nourriture depuis plusieurs jours. Léo n’en croyait pas ses yeux. Julia ne l’avait jamais sucé de cette manière et en serait d’ailleurs bien incapable. Sophie était une experte. Elle prenait du plaisir à le sucer ; cela se voyait et s’entendait. Sophie gémissait tout en le suçant et s’arrêtait parfois afin de lui lécher les testicules, qu’elle gobait à tour de rôle.

Après un certain temps, Sophie se redressa, prit Léo par la main et l’entraîna dans sa chambre. Elle se mit en position de levrette et lui demanda de la prendre brutalement. Léo s’exécuta, ne pouvant détacher son regard des fesses de Sophie ainsi que de son anus qu’il fixait avec envie. Léo la baisa de plus en plus fort, jusqu’à ce qu’elle jouisse. Ils changèrent de position à plusieurs reprises. Après son deuxième orgasme, Sophie lui demanda de la sodomiser alors qu’il la culbutait brutalement.

« Pascal n’aime pas la sodomie », lui expliqua-t-elle.

« Julia non plus, ce sera ma première fois », lui répondit-il, légèrement inquiet.

Sophie lui indiqua qu’il n’y avait pas de quoi s’inquiéter. Tout se passerait bien. Elle entreprit d’humifier ses fesses avec l’un de ses doigts, qu’elle suça un instant tout en regardant Léo, puis demanda à ce dernier de lui lécher l’anus. Après un certain temps, Léo parvint à insérer un doigt, puis deux, humidifiant l’anus de Sophie avec la cyprine de celle-ci. Il dirigea finalement son sexe vers le cul de Sophie. L’anus de Sophie résista un moment puis finit par céder, le sexe de Léo s’insérant profondément. Léo fut surpris de cette nouvelle sensation. Plus étroit qu’à l’intérieur du vagin de Sophie ou de Julia, il savait qu’il ne tiendrait pas longtemps. Il commença donc à prendre Sophie doucement, puis de plus en plus vite au fur et à mesure qu’elle semblait s’accoutumer à la douleur et y prendre goût. Après quelques minutes, il se retira soudainement de l’anus de Sophie alors qu’il s’apprêtait à éjaculer. Sophie se retourna hâtivement et acheva de le branler alors qu’il lâchait un deuxième jet de sperme sur son visage, le premier ayant en partie atterri sur le lit ainsi que sur l’une de ses jambes. Sophie avala soigneusement le sperme de Léo qu’elle suça à quelques reprises avant de s’étendre sur son lit, probablement épuisée.

Léo fit l’amour à Sophie encore deux fois ce matin-là avant de rentrer chez lui. Depuis lors, Léo n’a pas revu Sophie et appréhende leur prochaine rencontre…

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