Un Vrai Coup De Foudre

Je m’appelle Claudia P , je suis française d’origine portugaise, j’ai 23 ans et je travaille au secrétariat d’une startup créée il y a environ six ans depuis deux semaines. J’ai déménagé ici , à Orléans, pour le travail. Nouvelle ville , nouveau job ( premier en réalité) et nouvelle vie. Je suis venu avec ma meilleure amie Clémentine. Pour vous décrire comment je suis, mes cheveux sont brun et naturellement lisse, m’arrivant avant mes épaules. Je mesure 1m71 avec un corps fin , un beau ventre plat avec une poitrine mensuré 80A mais bien formé grâce aux sport. Et pour finir, un super fessier bombé grâce à la danse.

Avec Clémentine, belle nana à la chevelure noire en carré, dans ma taille doté d’une énorme paire de seins qui m’a fait jalouser à mon adolescence (95F mais ne fantasmez pas, vous n’aurez que ça) qui m’a suivie ici pour travailler à l’accueil de la startup ; on a décider de se rendre au bar du coin pour fêter nos premières semaines. Clem s’est changer dans la voiture pour se mettre en robe d’été avec un gros décolleté mettant en valeur ses très gros seins dont les tétons pointues font remarquer l’absence de soutient-gorge. Moi, je suis rester comme j’étais. C’est-à-dire avec un chemisier blanc, une jupe noire, des baskets blanches, mes yeux noisettes légèrement mais bien maquillé ( je n’ai pas besoin de trop en faire car j’ai de base un jolie visage. Ce n’est pas de l’arrogance, je suis très agréable à regarder pour beaucoup, homme et femme confondue) avec ma pince dans mes cheveux et mes lunettes transparentes ( je parle des branches, pas des verres) sur mon nez. Ainsi, que ma peau naturellement bronzé, bien évidemment.

La soirée se passe, on se retrouve à papoter avec trois mecs : Karim, d’origine algérienne, Dorian et Lorenzo , d’origine italienne. L’italien est mignon, les deux autres : pas mon style. Cet italien ne semble pas s’intéresser a Clémentine contrairement à ses deux amis, mais à moi.

Il me lance de beaux regards et sourires que je lui rend volontiers mais on ne se parle pas vraiment. Viens le moment où mon amie part danser avec les deux bonhommes . Je ne m’était intéresser qu’a Lorenzo, qui est un jeune journaliste sportif dans le journal d’Orléans dans la section sport. Donc, j’étais contente de me retrouver avec lui
« - Tu n’est pas très bavarde. Tu n’es pas sociables ou tu nous aimes pas ? Me demande-t-il, charmeur
- Aucun des deux. Il me faut juste un temps d’adaptation des personnes pour me montrer. Et puis, je ne vais pas raconter ma vie à des inconnues. Par contre, ça n’a pas l’air de te déranger à toi, si j’en crois ce que tes amis ont raconter sur tes exploits au lit
- ça t’as déranger qu’on parle de cul ? Ne me dis pas que tu es coincé ?
- Pourquoi serais-je coincé ? Demandé-je
- Bah, je sais pas… Les portugaises avec la religion… Vous avez un peu la réputation d’être frigide.
- C’est pas sympa ça ! Dis-je d’un aire faussement énervé. Ce sont des amalgames. Et puis en Italie, vous avez aussi la religion présente dans votre sexualité ( il me regarde d’un air moqueur) Bon d’accord… peut-être un peu moins. Si tu veux tout savoir, j’aime beaucoup le sexe. Mais je n’irais pas raconter mes incroyables prestation sexuelles à des personnes que je connais à peine. Répondis-je en roulant mes yeux
- Je rêve ou il y une pointe de sarcasme ?
- Je ne sais pas ( je me lève du tabouret) Pour être honnête, je ne crois que ce que je vois … ou ressent »
Je part en direction des toilettes

Dans les toilettes, je dois attendre cinq-six secondes Lorenzo, qui une fois entré, me saute dessus pour m’embrasser. Je place mes bras autour de son cou, mes jambes s’accrochent à ses jambes. Il remonte ma jupe, les bruits de sa ceinture me font comprendre qu’il sort sa queue, sa queue qui vient buter sur mon string, qui une foi décaler laissera ma petite chatte se faire fermement pénétré. « Haaan ! » Je lâche un puissant cri alors que sa langue tourne autour de la mienne.
Bien accroché à lui, je me fait littéralement défoncé, ses coups de boutoir dans mon sexe maintenant trempé sont rapide et brutaux , sans être méchants, ils sont fermes et précis. Lorenzo m’embrasse ou me lèche le cou et moi, je gémis fort, même très fort. «  Haaaan ! Aaaah ! Aaah ! Ouuuuuh ! Haaaan ! Ouii ! Hann ! » A chaque foi que sa bite remonte, je dois soupirer et respirer quand elle ressort, sinon je suffoque. Elle n’est pas énorme mais ses dimensions sont parfaites pour ma petite chatte bien étroite qui n’avait jamais été aussi bien remplie. Il continue de me donner un bien fou, tellement qu’il me bouge, ma pince à cheveux tombe au sol et moi je jouis comme jamais. « Uuuugh ! » Je sens mon utérus se remplir d’un liquide chaud et épais. Je l’embrasse partout, reprenant mes esprits. Puis je l’embrasse une dernière fois avant de lui susurrer à l’oreille «  Ce fut très bon, merci » et je repart au bar.

Lorsque je reviens, Clémentine et Karim sont revenu, pas Dorian. Lorenzo arrive quelques minutes après moi
« - Il me semble que c’est à toi. ( il me tend ma pince à cheveux, que j’avais oublier de ramasser)
- Merci ( Je recoiffe sensuellement mes cheveux humide par la transpiration)
- Au fait… Tu ne t’es toujours pas présenter.
- ( je le regarde avec des gros yeux) Claudia… Je m’appelle Claudia »
En y repensant, lorsque Clem avait aborder les garçons, elle s’était présenter, eux aussi. Et moi, j’étais rester en retrait. Un coup de coude de Clémentine me fait sortir de mes rêveries.
« - Viens ma chérie, on va danser »

Je la suit sur la piste
« - Eh bah ma Claudia, tu ne perds pas de temps ! Alors, Il est fidèle à sa réputation l’italien ?
- Oh oui, il m’a donner un orgasme, j’en tremble encore. ( je remarque des taches sur son décolleté) C’est de la salive ?
- Oui, son pote ma lécher les seins pendant qu’on danser
- Quoi ! Il t’as lécher les seins ! En dansant ! Genre là ? Devant tout le monde ?
- Mais t’inquiètes pas , ils étaient trop occuper à danser pour se rendre compte que je me faisait bouffer les lolos.
De toute façon je l’ai vite arrêter. Il était mauvais.
- Ah bon ? c’était lequel, l’arabe ou le blanc ?
- L’arabe
- T’as qu’a tester l’autre alors
-J’ai bien essayé, mais il était avec une jolie black à grosse fesse qu’il est parti pecho.
- Je rigolais Clem…
- Pas moi ! »

Nous retournons avec Karim et Lorenzo
«  - Ça te dis de finir la soirée chez moi ?
- Avec plaisir »
C’est main dans la main que nous nous dirigeons chez lui.

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