Collection Adultère. Semaine De Rêve Et Pourtant (2/2)

15 minutes et nous atterrirons à Orly.
Nous sommes en phase d’approche.
Dans 15 minutes je retrouverais Bob, Lilas et Luc.

Comment vais-je aborder la forfaiture envers mon mari pendant la semaine que je viens de passer en Martinique ?
Bob mon mari jaloux primitif avait-il senti ce qu’il se passerait entre moi et le directeur du village de vacances où je me suis rendue à l’invitation de notre patron pour fêter les cinquante ans de la société où je travaille.

Le clair de lune, je connaissais celui de Maubeuge chanté par l’acteur Bourvil mais le clair de lune en Martinique celui qui s’est présenté à moi se faisant appeler Bobo ça a été autre chose.
Sur la plage où nous avions posé nos paréos principaux vêtements qu’il nous fallait porter sur nos maillots de bain, la lune est venue faire l’amour avec la mer.
La lune, la mer et la bouche de bobo qui rejoint la mienne et que je reçois avec délice.
Bob, le premier et le seul à ce jour et Bobo qui m’embrasse en me caressant.
À une lettre près, j’aurais pu me croire à la maison, mais ce que me fait Bobo est bien plus doux et tendre que mon mari pour qui je suis une vieille habitude.
Dès le premier soir, je me donne à ce jeune homme comme une oie blanche pourrait le faire acceptant qu’il me mordille les seins partie de mon corps depuis longtemps abandonné par mon régulier.
Mieux, je sens qu’il glisse le long de mon corps pour venir dans ma fourche.
Après avoir défait les deux petites ficelles du maillot que Lilas ma fille avait voulu que je porte, je me suis rendue à l’évidence cette bouche sur ma chatte était là pour mon seul plaisir.
Combien de temps ce cunnilingus a-t-il duré je l’ignore, ce qui est sûr c’est que mon corps se trouve traversé par une kyrielle d'étoiles certainement détachées de la voute céleste.
Je voulais vivre cet instant d’une façon très précise et cette voûte je la voyais en écarquillant les yeux dans cette nuit magique.


Tel un vers de terre rampant sur mon corps que je me retrouve avec une verge au bord de mes lèvres.
Le corps de celui que je pouvais déjà considérer comme mon amant me cachait les étoiles mais c’est avec délice que son bâton très tendu entre dans ma cavité buccale.
Une de mes mains se porte dessus l’autre pétrissant ses testicules.
Belle verge, belles boules que je fais entrer dans ma bouche l’une après l’autre.

- Ralenti goulu, tu vas me faire décharger.
- Tu as raison même si pour moi c’est déraison, prends-moi.

Il s’est renversé roulant hors des paréos et c’est moi qui me retrouve sur lui.
Je m’allonge de tout mon long sentant sa verge caresser mon ventre.
Ma cyprine coule à flots devant certainement grossir l’atlantique.
Enfin ce qui doit arriver arrive, je saisis une dernière fois ce pieu et c’est moi qui le guide en moi.
Je suis empalée sur cette verge espérant lui soutirer tous les plaisirs que la vie depuis mon mariage a oublié de me donner.
Je croyais maîtriser la situation alors que c’est lui qui maîtrise notre coït car nous roulons une nouvelle fois dans le sable fin et chaud.
Nous restons soudés, mieux mes jambes viennent entourer ses hanches pour qu’il soit plus profondément ancré en moi.
Et d’un coup elle est là, la mort de plaisir qui déferle en moi.
Elle se double de cris de plaisir car ici sur cette plage nulle obligation de faire attention aux s qui dorment la première habitation étant à quelques centaines de mètres de nous.
Sa bouche reprend la mienne dans un nouveau baiser interminable lui étant toujours planté en moi.
Une nouvelle première pour moi, il y a quelques années Bob après avoir éjaculer en moi, se relevait se calait dans son oreiller et allumait sa cigarette.
Par chance, dix ans après, une alarme sur ses poumons l’on contraint à s’arrêter mais maintenant il me baise et dès que son sperme est sorti de sa verge, il se retourne certainement satisfait d’avoir fait son devoir conjugal.

Nouvelle première fois quand nous roulons une énième fois et que la cavalcade des corps recommence.
On peut comprendre que lorsque je le sens se déverser en moi dans un cri commun dû à la énième fois où je me pâme, c’est moi qui m’endors du sommeil du juste.

- Georgina, lève-toi, il nous faut rejoindre le village avant que les lèves tôt te découvre dans cette situation impudique.

J’ouvre un œil, la lueur du jour commençant à poindre me montrant coucher sur le dos à trois mètres de nos paréos les cuisses largement écartées ma touffe impeccablement taillée offerte à qui passerait sur la plage.
J’ai du sable partout, aussi avant de remettre le petit triangle me servant de cache-sexe, nous courrons vers la mer où nous tombons avec délice.
Certains prennent des bains de minuit, nous c’est un bain dans la mer au petit matin dans lequel je me roule.
Je me lave du sperme que j’ai eu le temps de voir sortir de ma chatte avant de me lever et suivre mon amant.
Je suis repue de sable, de mer et de sexe alors je m’écroule sur mon lit.
Combien de temps avant d’entendre des bruits de voix et surtout mon réveil qui sonne mit avant la soirée où je m’étais rendu sans savoir que dès le premier soir, je rendrais les armes sur la plage avec mon exceptionnel amant.
Ça me gratte de partout, j’ai mis du sable plein mon lit.
Je me crois à la maison car alors qu’il y a du personnel pour faire les chambres je secoue mes draps afin de l’ôter et que les femmes de chambre trouvent drôle qu’il y en ait autant.

Jusqu’à midi j’assiste aux diverses réunions en baillant.

- Georgina, tu sembles avoir mal dormi !
- Oui, Alexandra, mon matelas m’a tenu éveillé une grande partie de la nuit, je vais demander à la direction de me le changer.
- Je m’y rends, je vais leur en parler.

Fin d’après-midi, je viens de revenir d’une promenade le long de la plage ayant repéré l’endroit où nos corps se sont trouvés avec Bobo quand on frappe à ma porte.


- Service après-vente mon cœur, il semble qu’un matelas ait empêché l’une de nos clientes de bien se reposer cette nuit.
Messieurs, veuillez changer le matelas de madame.

Après la soirée où Bobo le clown fait son numéro, les gentils organisateurs faisant tout dans ce village de vacances, je me couche jusqu’à ce qu’une petite souris vienne gratter à ma porte.
La deuxième nuit, nous essayons le matelas neuf que nous trouvons fort à notre goût.
Il me prend en levrette prenant de nouveau son temps.

Dans la journée il vaque à ses occupations sans jamais avoir un regard vers moi, mais la nuit c’est la fête du slip me laissant une grande partie de la journée à bailler.
Jeudi visite de Pointe à Pitre avec quartier libre.
Vendredi matin, nous prenons des cars pour nous rendre à l’autre bout de l’île où sous les cocotiers un méchoui martiniquais nous est offert.
La nuit dernière Bobo a dû m’oublier surtout quand je le vois monter dans le premier bus derrière une petite pétasse blonde venu de l’agence de Béthune dans le Nord.
Je comprends que la mouche a dû changer d’âne quant à la fin du repas, il se trouve à côté de moi.

- Georgina, suis-moi discrètement.

Je le suis vingt mètres après lui entrant sous les cocotiers.
Je crois l’avoir perdu quand je sens une main me saisir et que je suis propulsée sur ces magnifiques pectoraux que je sens bouger quand les seins les touches.
Nos bouches se trouvent et c’est contre un cocotier me labourant le dos que je me laisse prendre.

Le soir soirée karaoké animé par Bobo.
J’ai la chance de chanter les lacs du Connémara avec Bobo, jusqu’à une annonce qu’il nous fait.

- Mesdames et messieurs, votre séjour dans notre village se termine demain matin avec votre départ pour votre retour en métropole.
Je vais vous présenter une dernière fois mon équipe.
Mais avant ils vont passer entre vous avec des stylos et des papiers.

Remplissez les bons et lorsque vous serez partie nous procéderons à un tirage.
L’un où l’une de vous gagnera une semaine pour quatre personnes dans notre village à la date qu’il souhaite.
Il suffira que vous nous préveniez six semaines avant.

Je suis certaine que cette semaine ce sera pour la blondasse ou tout autre d'entre nous.
Bref, l'équipage annonce l'atterrissage et nous attachons nos ceintures avant que je voie mon cocu de mari derrière des vitres avec les s me faisant de grands signes.

Mon histoire pourrait s’arrêter là, surtout que le retour s’est fait sans encombre.
Un moment j’ai eu la tentation de tout avouer à Bob sur Bobo, mais j’ai voulu lui éviter des tracas et je me suis tue.
Jusqu’au soir où de retour à la maison Luc m’annonce.

- Tu as une lettre venue du village de vacances où vous étiez avec ta société.
Ouvre là.

Sans penser à quoi que ce soit un peu fébrile j’ouvre.
Bobo me déclarerait-il sa flamme me rendant mal à l'aise devant mes s.
Par chance Bob est encore au travail.

« Madame après tirage au sort…
Signé Bobo votre dévoué serviteur. »

- Papa, maman a gagné à un concours qui avait lieu dans le village de vacances en Martinique où elle est allée.
On va passer Noël sous les cocotiers.

À l’évocation des cocotiers mon dos se rappel à mon bon souvenir de la façon dont mon amant m’a prise alors que j’étais plantée en lui mes jambes entourant ses hanches.
Comment a-t-il fait pour que ce soit moi qui gagne ?
Je l’ignore mais ce que je sais c’est que nous trouverons bien le moyen de recommencer l’acte d’adultère même à quelques mètres de mon cocu de mari.
Il faut être con pour laisser sa femme partir dans une île paradisiaque avec de gentils organisateurs quand elle se sent un peu frustrée.
Heureusement qu’il y a des Bobos pour supplanter les Bobs vieillissants.

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