L'Expo Photo 2

L'EXPO PHOTO 2



On passait tranquillement dans la seconde salle. Bernard avait un large sourire, il avait bien aimé la première série de photo. Cinquante photos, cinquante duos qu'on pouvait aussi appeler couples. Cent modèles sur la totalité des photos.

Dans la deuxième salle les photos étaient exposées deux par deux. Pour chaque duo il y avait la seconde photo et à côté une troisième, la troisième série. Je les avais vues au moment ou on les avait réalisées. Elles étaient brutes à ce moment là , mais pour l'exposition les photos avaient été retravaillées.

Comme je vous l'ai raconté la seconde série nous montrait après avoir fait l'amour, nous n'avions pas eu le temps de nous doucher, de nous apprêter, de nous préparer, nous n'avions même pas eu le temps de nous reposer ou de reprendre notre souffle. Ça se voyait, notre expression n'était plus du tout la même que sur la photo de la salle précédente.

Bernard regardait les photos de la seconde série, il les trouvait troublantes. Le regard des personnages sur les photos avaient changé. Il était plus trouble, plus perturbant. Les spectateurs du musée ne savaient pas ce qui s'était passé entre les deux séries. Ils ne savaient pas que les personnages sur les photos avaient baisé. S'étaient donné du bon temps, et s'étaient fait jouir au moins deux fois.

Toutefois on percevait parfaitement le trouble qui se dégageait de cette seconde série de photo. L'ambiance de l'exposition avait changé, le ton était plus lourd, on ne parlait plus aussi fort.

A droite de chaque photo de cette deuxième série il y avait donc une autre photo d'une troisième série.

Je me souvenais avec une très grande précision du moment ou on prenait cette troisième photo. Quelques minutes séparaient la deuxième photo de la troisième.

Le photographe ne nous avait pas laissé le temps de reprendre notre souffle après la deuxième série de photo.

Il nous avait apporté à Eric et à moi un dispositif de chasteté PK Sécure , un modèle céramique. Son reflet blanc mat serait du meilleur effet sur les photos en noir et blanc.

Le nom céramique n'a rien à voir avec la céramique qui nous sert pour la vaisselle. C'est à sa couleur que ce modèle doit son nom. Il avait été choisi un modèle mat, pour éviter tout reflet brillant sur la photo.

C'était ça la surprise ?

Eric et moi éclations de rire. Alors c'est à cela que nous devions ressembler sur la dernière photo. J'en revenais pas. J'avais souvent penser à ce dispositif, je n'en avais jamais essayé un mais … Qui n'y a pas pensé au moins un jour.

Reconnaissez qu'avec toute cette propagande qu'on fait autour de ce dispositif vous aussi vous y avez pensé. Moi j'avais jamais osé sauté le pas …

On commençait juste à reprendre notre souffle que déjà il nous en manquait tant on riait. Remarquez ça nous faisait débander totalement. Je passait mes couilles dans l'anneau de maintient, ma queue devenue toute molle suivait sans résister. C'est toujours en rigolant que j'ajustais l'anneau, Eric faisait comme moi. On se regardait faire l'un l'autre.

Puis le ton devenait un peu plus grave au moment de glisser sa queue dans la cage. C'était un tube aéré, qui permettait une hygiène parfaite ce qui n'obligeait pas le porteur de retirer le dispositif … jamais …

On pouvait garder le dispositif en permanence vingt quatre heures sur vingt quatre sans limite dans le temps. Ça me faisait tout drôle d'y penser. Mais bon c'était juste pour la photo. Et en même temps j'allais satisfaire un peu à ma curiosité. Je prenais une longue inspiration pour tenter de rester calme et pouffais de rire au moment ou je glissais ma queue dans la cage.

Bon c'était pas bien grave, ça marchait quand même. Eric était dans le même état que moi, il se marrait comme un pingouin. Autour de nous toute l'équipe rigolait, on nous donnait la clé sur laquelle il y avait le cadenas.
Je glissais le cadenas dans la fente, verrouillais et rendait la clé à l'accessoiriste.

Avec Eric on se regardait dans le miroir. Peu à peu à la demande du photographe on reprenait notre calme et on prenait la pose pour la troisième photo.

Le photographe tenait absolument à ce que la photo soit identique à la première, je veux dire notre position et il nous a fallu près d'une heure pour obtenir un résultat satisfaisant.

A côté de la précédente, dans cette salle d'exposition, cette photo qui au départ m'avait parue amusante prenait un tout autre relief. Dans le regard qui ressortaient de la photo on pouvait voir maintenant un peu d'angoisse, sur certains visage on croyait pouvoir lire un peu de panique même.

Plus la séance photo avait duré dans le temps plus la question se posait dans la tête des modèles … Combien de temps cela va-t-il durer ? Et si ça devait durer ? On ressentirait quoi si on ne pouvait plus le retirer ?

Certains visages semblaient rassurés, d'autres affolés.

Dans cette seconde salle d'exposition ce n'était plus que murmures. Si dans la première on parlait, on commentait, on ne se privait pas d'exprimer ses impressions à haute voix, dans cette seconde salle on préférait murmurer, seulement murmurer.

Il restait une dernière salle. Avant d'y entrer je me remémorais la suite de la séance photo. Eric et moi nous retrouvions donc, toujours à poil, avec un dispositif de chasteté masculin sur nous. Les deux maquilleurs s'étaient déshabillé et s'approchaient de nous.

Eux ne portaient pas de dispositif de chasteté et déjà ils bandaient. Je sentais la main de l'un qui me caressait le torse en s'attardant sur mes tétons. Déjà je bandais, enfin, déjà je sentais ma queue qui tentait de prendre du volume. Elle poussait contre les parois de la cage qui résistait. La sensation n'était pas vraiment désagréable, c'était seulement bizarre. Je sentais cette pression a la fois forte et douce contre toute la longueur de ma queue.


Forte car le dispositif résistait, douce ça c'était sans douleur. Ce n'était même pas inconfortable, enfin pas vraiment inconfortable … Il m'embrassait, je lui rendais son baiser, il continuait à me caresser tout le corps, j'en faisait de même.

Quand il appuyait sur mon épaule je comprenais ce qu'il voulait et sans attendre je me mettais à genoux et lui suçait la queue. Il en avait une belle, pas géante mais une belle. Elle rentrait rapidement bien à fond dans ma gorge. Il appuyais sur ma tête et me donnait des coups de bassin. J'étais un peu surpris mais j'encaissais.

Ce jeux devait durer un moment, d'un œil vers ma droite je pouvais constater que Eric subissait le même traitement. Son partenaire se retirait, Eric reprenait son souffle, et se plaçant en position enfonçais sans ménagement sa queue dans le cul de mon camarade. Un technicien ou je ne sais qui prenait place devant Eric et lui enfonçait la queue bien au fond de la gorge.

Le garçon devant moi se retirait et se plaçait juste derrière moi … Quelque instant plus tard je me faisait limer le cul et la bouche avec force. Il m'avait défoncé le cul sans ménagement lui aussi. Quand au mec que je suçais, je ne savais même pas qui c'était. C'était un des membres de l'équipe, c'est tout ce que je savais.

Lui aussi il mettait du cœur. Il tirait sur ma tête et avançait son bassin avec force. Je sentais sa queue s'écraser contre ma glotte, je sentais l'autre queue m'envahir, me remplir jusqu'au nombril. Ce n'était pas vraiment douloureux, j'avais été bien élargi par mon camarade Eric un peu plus tôt, mais je le sentais passer.

Je sentais mon anus dilaté, à chaque mouvement je sentais ma prostate écrasée et je sentais je ne sais pas quoi au milieu de mon ventre, c'était dur et un peu douloureux tout de même. J'ai adoré, j'en voulais encore. Chaque mouvement de va et viens me massait l'anus, le plaisir montait.

Les coups sont devenus plus violents et vraiment très rapide juste avant qu'il ne jouisse dans mon cul en gueulant très fort.
Il se retirait alors, se faisait remplacer pas le mec que je suçais et un troisième le remplaçais.

Un court instant je pouvais regarder autour de moi. Eric avait une bite dans le cul et une dans la bouche. Il avait du mal à suivre mais il encaissait, que pouvait-il faire d'autre …

Il y avait le photographe, a poil, confortablement installé sur une chaise. Le mec qui venait de m'enculer s'installait à côté de lui pour se reposer un peu, un autre venait prendre sa place. Lui il en avait une grosse, et je commençais à me demander comment je pourrait me la prendre dans la bouche celle là. Lui, ça ne semblait pas le préoccuper.

Il se posait juste devant moi et … '' Bien on ouvre grand la bouche et on range les dents . ''. J'ouvrais la bouche il me l'enfonçait dans la gorge avec violence. Il appuyait sur ma tête et poussait avec son bassin.

J'ai bien cru que j'allais là. Il poussait fort, il se retirait puis revenait sans se retenir. Il fallait que ça rentre, ça devait rentrer, ça rentrerait et ce n'ait pas vraiment rentré ! Je me déboîtait la mâchoire pour le satisfaire mais il râlait, il trouvait que je pouvais faire mieux.

Les coups que je recevais dans le cul devenaient soudainement plus rapide, très rapides, plus violents, très violents. Le mec qui me limait le cul allait jouir, il gémissait de plaisir et le dernier coup qu'il me donnait me propulsait en avant et j'en prenais plein la bouche.

Sans plus attendre le mec devant moi se plaçait derrière moi. Il bandait ferme et je commençais à m'inquiéter. Sans ménagement il poussait sa queue contre mon anus, comme pour la bouche il fallait que ça rentre, ça devait rentrer, ça rentrerait et c'est rentré. Non sans douleur pour moi mais c'est rentré.

Il a poussé bien à fond, directe sans plus de précautions pour moi. J'avais été bien dilaté mais je vous jure que je l'ai senti passé. Le photographe était assis en face moi, totalement nu, les jambes écartées. J'ai pas compris tout de suite mais il portait lui aussi un dispositif de chasteté. J'ai cru voir un éclair argenté et doré à la fois. Juste avant qu'un mec me rentre sa queue dans la bouche et ne se mette à me limer la bouche sans ménagement.

Je manquais d'air, je pleurais, je voulais gueuler mais j'étais comme bâillonné. Je fermais les yeux et j'encaissais. On ne me demandais plus mon avis. J'étais devenu un jouet sexuel entre les mains de toute l'équipe photo.

A ce moment je me demandais vraiment ce que j'étais venu faire ici. J'aime bien me faire défoncer le cul mais il étaient six, et tout comme il nous l'avaient demandé au début, chacun allait jouir deux fois. Ce dernier mec qui me limait la bouche avait déjà enculé Eric, il se retirait et se masturbait devant mon visage.

J'en profitais pour reprendre mon souffre et me réajuster la mâchoire. Je recevais toujours des coup de butoir dans le cul. Là je ne savais plus qui c'était, qui était qui et qui faisait quoi. D'un coup d’œil je remarquais qu'Eric était dans la même situation que moi. Il avait une tête à faire peur. Je recevais une giclée de sperme dans la figure, puis une autre et enfin une troisième.

Le mec retournait s'asseoir, je pouvais constater que le photographe en effet portait lui aussi un dispositif de chasteté. C'était un modèle en métal argenté et doré … Je ne pouvais pas y croire, il ne porte tout de même le fameux modèle PK OR. Celui qu'on ne peut pas retirer … Jamais … Il est riveté et n'a pas de serrure ?

On m'enfonçait de nouveau une belle bite dans la bouche, je ne savais plus ou j'en étais. Je ne savais plus à qui j'avais affaire. Quelques coups violent contre mes fesses m'indiquaient que quelqu'un jouissait dans mon cul, je recevais encore une giclée de sperme dans la figure.

On finissait pas me lâcher, je m'écroulais sur le sol. Eric en était déjà là. Il était allongé, il me regardait, le rictus sur son visage devait être un sourire, j'avais mal au cul et à la mâchoire. Eric avait une tête à faire peur et je devais être dans le même état.

Le photographe ne nous laissait récupérer que pendant quelques minutes seulement.

Le photographe : Bien les filles, maintenant on va faire la dernière photo.

On se relevait comme on pouvait, il nous autorisait à nous essuyer devant le miroir mais uniquement avec les mains, le résultat était épouvantable. C'est ainsi qu'il voulait qu'on soit.

On prenait la pose. La dernière photo était faite rapidement. Nous prenions la même position que pour la première photo, le regard toujours droit vers l'appareil photo. Pour le reste il ne nous donnait que des consignes sommaires. Les bras croisés, le regard fier …

Mais là par contre on avait une tête de zombies …

La photo terminée, on passait à la bouche, j'avais presque du mal à rester debout, j'étais sonné. J'étais un peu endolori, la mâchoire, le cul mais j'étais surtout sonné. J'avais joui, je ne sais pas comment mais j'avais joui. Je me demandais si j'avais éjaculé ou pas. Je ne le savais même pas. Par moment c'était le pied, par moment c'était l'horreur. Par moment javais voulu que ça ne s'arrête jamais, à d'autres moment je voulais me sauver, me dégager et m'enfuir.

Peu à peu le calme revenait dans mon corps et dans mon esprit. Je laissais l'eau couler longuement sur mon corps. Eric était sorti de la douche avant moi. Je le retrouvais il regardait les premières épreuves des photos. Il s'était séché et était à poil au milieu de l'équipe photo. Tout le monde s'était déjà habillé et était très présentable. Il y avait d'autres douches dans le studio.

Eric et moi étions les seuls à être encore à poil. Je le rejoignais et regardais moi aussi les épreuves. Mon dispositif de chasteté ne me gênait pas du tout, au contraire même je trouvais très agréable cette pression autour de ma queue, l'objet était en titane et on ne sent pas vraiment le poids de l'objet qui est très léger.

On se rhabillait.

Eric : La surprise c'est que le truc, on le garde. Le photographe nous en fait cadeau, c'est super non ?

Je faisais oui de la tête mais je ne vous cacherai pas qu'à ce moment j'étais sonné et je ne réagissais pas vraiment à ce qu'il me disait. On était en fin d'après midi et le photographe nous invitait au restaurant. Dans l'état ou j'étais je ne comprenais plus tout à fait ce qui m'arrivait. Mais c'était cool, je me sentais bien, très bien !


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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