Quatuor : Goûter Du Dimanche (Épisode 6)

Résumé des épisodes précédents : «La révélation», «Marion à la maison», « Après midi filles », « La clé USB » et « Le cadeau de Marion ».
Dans les cinq premiers volets de cette histoire, un couple de quadras, Fred et Caro, tombent par hasard à la boulangerie sur leur baby-sitter, Élodie (moi), qui leur présente Marion, sa «petite» copine. L’étudiante asexuée s’est soudain dévoilée en lesbienne vivant avec une gourmande qui n’avait absolument pas froid aux yeux.
Caro fantasme régulièrement, depuis un certain temps, sur l’envie de voir son homme faire l’amour à d’autres femmes, en particulier une pas farouche du style de Marion, pour les aider à franchir ce cap.
Caro la candauliste découvre qu’Élodie a toujours été amoureuse d’elle en secret, d’où sa grande timidité à son contact et son implication dans l’éducation de ses s, essayant de l’aider à sa façon dans sa vie de femme.
Le couple apprécie les initiatives et la spontanéité de Marion qui ne cache pas son envie de laisser libre court à sa bisexualité avec Fred comme complice.
Nous poursuivons donc cette petite arnaque sensuelle par un sixième opus où le jeu a toute sa place, pour tout dévoiler aux voyeurs que vous êtes. Bonne lecture et faites-vous plaisir.

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Marion rentra chez elle en fin d'après-midi, excitée comme une puce. Elle retrouva Elodie en pleine révisions de ses examens. Marion avait trop hâte de partager les détails de son expérience de bricolage improvisé chez Fred et Caro.

Elodie savait que Marion devait initialement aller rejoindre sa sœur pour faire du shopping. Elle ne fut pas surprise de son changement de plan de dernière minute ni de sa tentative de passer voir le couple chez eux, au cas où... Marion avait un certain sans gêne et un côté opportuniste aventurière.

Elle raconta dans les détails tout l’épisode : l’emprunt du tee-shirt, le sexy bricolage, l’arrosage… Elodie laissa Marion dérouler les faits, avec une pointe de jalousie et de regret de ne pas avoir été présente.



Marion lui montra la vidéo des ébats du couple qu’elle avait saisi avec son smartphone.

Elodie fut troublée de découvrir pour la première fois, Caro dans une nudité presque totale. Une nudité qu’elle apprécia car elle était amoureuse en secret de sa patronne.

Depuis des années, Elodie entendait ce couple faire l’amour au travers de la cloison de leurs chambres. Avec cette vidéo amateur, même de mauvaise qualité, Elodie se sentit plus proche d’eux encore, tout devenait plus réel.

Voir Caro prise par Fred, le visage déformé par le plaisir, les chairs en feu, les joues rouges et les cris de plaisir. Cela la fit frissonner d’envie et lui donna une terrible sensation de jalousie.

Marion renchérit, voyant sa belle Elodie totalement perchée et absente :
- Et puis Fred, il ne fait pas semblant… On a déjà eu le son, mais aujourd’hui on a les images, et elle en a de la chance la petite épouse parfaite…
- Arrête, t’es soûlante ! tu ne t'arrêtes jamais, toi, hein ?
- Allez avoue, ils ont profité d’une vidéo de nous, je leur ai volé des images d’eux, on est quitte !
- Faut qu’on les revoie, et vite, j’en peux plus, déclama Elodie, à bout de souffle, totalement irradiée de désirs...
Marion n’eut pas le temps de valider ses propos que déjà Elodie la couvrait de bisous en la déshabillant, la poussant vers l’un des canapés de leur appartement.


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Trois heures après que Marion eut quitté le couple, Caro reçut un texto d’Elodie les invitant à venir prendre le thé chez elles le lendemain. Ils n’avaient jamais été chez leur baby-sitter. Cela leur serait facile de laisser les s à la maison une heure ou deux. Elle paria que l’idée venait de Marion et qu’elle avait poussé Elodie à lancer cette invitation.

Caro accepta immédiatement, peut-être même un peu trop rapidement. Aurait-elle dû réfléchir un peu ? Mais après tout, le temps passait si vite et elle s’oubliait trop dans son agenda surchargé.
Elle voulait profiter un peu de la vie. Elle n’en parla pas à Fred, histoire de lui faire la surprise. C’est après la tranquillité du dimanche matin que Caro lâcha l’info.

- Au fait, nous sommes invités chez Elodie pour le goûter cet après-midi...

Fred ne dit trop rien, essayant de faire comme si cette invitation s’inscrivait dans un cadre normal. Il savait pourtant que rien ne l’était. L’incursion de Marion comme un tourbillon dans leur vie de couple avait tout changé.

Après la sieste dominicale, le couple se prépara.

- Tu es trop belle ma louve. Caro tomba dans les bras de son chéri pour un gros câlin, puis lâcha :

- Si tu ne mets pas de boxer, je ne mets pas de petite culotte. Je suis sûre que cela plaira à Marion.

Fred était trop content de l’initiative sexy de sa femme. Elle s’habilla d’une petite jupe courte, volante, très estivale. Lorsqu’elle eut terminé de l’ajuster sur sa taille, le mari s’approcha pour l’enlacer et lui renouveler toute la tendresse qu’il pouvait lui donner. Tout en échangeant ce bisou d’amoureux, il passa sa main sur les fesses nues de sa femme, ce qui la fit frissonner instantanément.

Ils n’avaient marché que vingt minutes mais le vent s’était glissé sous sa jupe, lui léchant délicieusement le sexe. Heureusement que Fred était à ses côtés, main dans la main, cela l’avait rassuré. Caro n’en menait pas large quand elle frappa à la porte de l’appartement. Non seulement elle n’était pas femme à se balader nue sous sa jupe, mais elle savait que des choses allaient se passer sans trop savoir quoi.

Elodie ouvrit tout sourire. Elle portait une petite robe printanière, toute légère, assez courte. Le couple ne l’avait connu qu’en jeans mode étudiante garçonne. Elle avait les cheveux attachés, libérant son superbe cou blond, fin et gracile. Cette tenue la changeait beaucoup et ils eurent le sentiment de découvrir une nouvelle personne.
Elle était exceptionnellement chaussée de fines chaussures d’été avec des petites brides en cuir qui entouraient ses délicates petites chevilles. Elodie savait que Fred portait toujours un intérêt pour les pieds féminins et qu’il s'intéressait beaucoup aux chaussures des femmes qu’il croisait. Caro nota cette délicate attention à l’égard de son homme. Un air de musique agréable flottait dans l’air avec le parfum d’une bougie odorante.

Le petit appartement d’Elodie était minimaliste et très féminin. Trois sublimes orchidées de couleurs différentes trônaient dans le salon/cuisine et plein de beaux dessins colorés étaient accrochés aux murs. Elle fit entrer le couple, referma la porte, embrassa Fred comme d’habitude, mais posa ses lèvres sur celles de Caro, un petit bisou d’amoureuse.

En voyant son épouse se faire embrasser par une autre femme sur les lèvres, Fred banda sur le champ. Certes ce n’était qu’un petit bisou mais sa signification avait beaucoup plus d’importance que cela. Rien n’était anodin. Elodie pris Caro par la main et lui montra l’appartement, ne parlant qu’à elle, se détournant volontairement du mari, s’éloignant avec son épouse comme pour les séparer.

De son côté, Marion terminait une conversation téléphonique dans la chambre. Marion salua Caro de loin et pointa du doigt le tee-shirt de Fred qu’elle leur avait emprunté pour bricoler. Il était posé sur la commode, lavé, repassé, tout propre, tout beau. Le sourire de Marion fit comprendre à Caro qu’elle prenait bien soin de ses affaires. Cela signifiait aussi qu’elle s’occuperai méticuleusement de son mari le jour venu. Implicitement, elle souhaitait prouver qu’elle était très respectueuse des choses qu’on lui confiait. Caro leva le pouce en l’air pour valider et reprit l’écoute active des explications artistiques d’Elodie.

Marion raccrocha et fila droit vers Fred pour l’embrasser avec fougue et passion sur les lèvres et pour lui prendre la main. Caro réalisa alors que deux nouveaux couples venaient tout simplement et naturellement de se former.
Ils n’étaient là que depuis deux minutes et voilà que le changement de partenaire était déjà fait, les nouveaux couples formés se tenant la main. Elle se sentit blêmir mais laissa ces éléments s'enchaîner sans réticence. Après tout c’est bien ce qu’elle voulait.

Depuis quelques temps elle n’éprouvait plus de retenue, il ne lui restait que les bons sentiments de curiosité, de gourmandise, de luxure. Elle menait sa vie de femme moderne, et n’avait pas l’envie, ni le besoin de se fixer de limites. La voix apaisante d’Elodie lui expliquait un portrait de Marion nue affiché au mur. La jeune femme apparaissait de trois quart, assise, sur une chaise de ferronnerie. Elle avait une jambe repliée et l’autre jambe allongée devant elle. Ses seins s’exhibaient dans toute leur splendeur, sous les coups de crayons d’Elodie. Son entrejambe était simplement suggéré et chacun pouvait s’imaginer ses propres représentations de ce trésor caché.

Caro n’écoutait pas vraiment ce qu’Elodie lui disait, encore sous le coup de s’être laissée embrasser à son arrivée et prise par la main par sa baby-sitter. Caro repensait à cet ouragan de Marion qui venait de s’emparer de son mari. Elle n’était pas sous le choc, c’était plutôt une émotion douce et enivrante, comme si une logique implacable se déroulait sous ses yeux sans qu’elle ne puisse rien y faire. Elle n’avait pas la force de s’opposer à quelque chose qu’elle désirait plus que tout au monde et qui arriverait bientôt pour de vrai. Ses rêves les plus fous étaient en train de se réaliser et elle vivait le moment présent comme en apesanteur.

Fred était aux anges, voyant que Caro laissait les choses se faire, Marion à son bras, enjouée comme une gamine, et lui sans slip, bandant comme un fou. Marion laissa ses ongles effleurer discrètement le sexe tendu, comme par inadvertance. Elle avait un petit vernis coloré qui mettait en valeur ses fines mains et cela plaisait beaucoup à Fred. Ce coquin était tout autant excité par les doigts finement manucurés de Marion que par les pieds, les orteils et les sandales d’Elodie. Marion griffa un peu son gland gonflé au-dessus du tissu de ses beaux jeans.

- Monsieur est cul nu ? lui chuchota Marion pour ne pas interrompre ce que disait Elodie. Fred hocha la tête lentement, confirmant ce que Marion venait de deviner.

- Madame aussi ? Fred poursuivit son petit hochement de tête. Moi aussi, lâcha-t-elle aussi bas que cela puisse être possible, tout comme Elodie...

Fred posa mécaniquement son regard sur les fesses d’Elodie, essayant de deviner sa nudité. Marion tendit la jambe et souleva la jupe d’Elodie qui se défendit discrètement sans que Caro ne voie ce jeu qui se passait dans son dos. Décidément il y avait de l’harmonie dans l’air entre les éléments de ce quatuor. La complicité et les attentes étaient alignées. Les effleurements des ongles sur le gland de Fred partirent en caresses, les petits doigts pleins d’envies s’amusant à enserrer le tissu des jeans autour de la forme de sa verge.

Elodie était intarissable sur la description de ses dessins. Le couple ne l’avait jamais entendue parler si longtemps de toute leur vie. Cela arrangeait bien Fred car les filles étaient de dos, ne pouvant pas voir qu’il se laissait caresser le paquet sans vergogne derrière elles. Fred avait une terrible envie de se jeter sur cette torride Marion. Depuis qu’il la côtoyait, son désir n’avait cessé de monter en flèche, tout comme sa queue dans son pantalon. Il la tenait par la taille afin qu’elle soit toute proche de lui, et pour lui permettre d’accen ses caresses, ses contacts et sa douce friction de ses ongles sur son gland pour 3-4 minutes de ce délicieux traitement.

Tout stoppa quand Elodie invita Caro à s’asseoir avec elle sur un canapé deux places. Marion poussa Fred sur l’autre canapé qui se trouvait en angle, de sorte que le couple soit proche mais sur deux canapés différents. Marion apporta le café et des biscuits et fit le service, Fred ne pouvant détacher ses yeux de ses fesses. Il était clair qu’elle ne portait rien sous sa robette, aucune marque de lingerie.

Marion s’affala sur le canapé aux cotés de Fred en se fondant dans ses bras, comme s’il était son mec. Caro se sentit déglutir. Voyant sa gène, Fred pris la main de son épouse qu’elle agrippa comme une bouée de secours. Leurs genoux et pieds se touchèrent comme si ces contacts étaient primordiaux pour ce couple. Partager son homme avec une autre femme était le fantasme ultime de Caro. Mais voir Marion poser sa tête tout contre l’épaule de Fred et le serrer dans ses bras était un drôle de sentiment.

Dans son esprit, elle souhaitait des rapprochements physiques mais sans amour justement. Des émotions charnelles, de désirs, de volupté, de mélangisme, d’échangisme, mais aucunement de sentiments amoureux entre Marion et son mari. Cela était la donne de départ, l’accord moral entre les époux. Fred ne s’attacherait pas. Elle voulait le voir vivre uniquement des ébats torrides sexuels purs. Mais du côté d’Elodie, n’y avait que des sentiments puisqu’elle était amoureuse de Caro.

Fred était aux anges assis entre Marion et son épouse, en contact charnel avec chacune d'elles, pour sa plus grande fierté de mâle.

Elodie posa sa main sur les genoux serrés de Caro, pour manifester sa douce présence et accompagner ce qui était en train de se passer. Elle posa sa tête sur l’épaule de Caro pour imiter le geste de Marion et commença à lui caresser un genou tout en remontant lentement le pan de sa jupe.

Marion posa sa main sur la belle queue dressée de Fred et remodela le tissu des jeans autour du membre tendu. Un long frisson parcourt Caro. Tout ce dont elle avait rêvé se passait vraiment sous ses yeux. Marion venait de toucher le sexe de son mari et ce salop bandait. Le couple se tenaient toujours la main et leurs doigts se serrèrent plus fort encore. Marion lâcha d’une voix chaude

- Tu sais quoi Elodie, Fred n’a pas de boxer et Caro pas de culotte.

Les joues de Caro s’empourprèrent et elle regretta d’avoir poussé Fred à faire cela.

- Oui je sais, déclama la baby-sitter.

Mais comment Elodie l'avait-elle devinée ?

- Nous non plus d’ailleurs, on est comme vous on n’avait pas envie d’en porter...

Cet aveu fit rougir Elodie et bander Fred un peu plus. Le couple était ravi que les filles fassent la discussion, aucun d’eux n’osant parler. Tout était nouveau pour eux, intense. Un mix entre un léger malaise, une grande envie et un moment inoubliable.

- Regarde Elodie comme il bande ?

Bizarre de dire cela à une lesbienne. Elodie était inexpérimentée par la chose, comme elle l’avait avoué à Caro. Marion entreprit de défaire la ceinture de Fred avec une expertise confirmée. La main d’Elodie, elle, avançait dangereusement entre les cuisses de Caro, se rapprochant de son intimité sacrément humide. Les boutons des jeans cédèrent lentement un par un, sous le regard troublé de Caro. Regarder les doigts d’une autre femme défaire les jeans de son mari sous ses yeux était un sentiment étrange. Quand la verge fut libérée et se tendit, Marion lâcha un petit sifflement d’admiration.

- Oulala, monsieur Fred. T'as vu Elodie ?

Marion était visiblement ravie et ses yeux pétillaient de gourmandise. Caro était trop fière de son homme. Elle lui broya sa main qu’elle tenait toujours et avait envie de l’embrasser. Bien que tout près l’un de l’autre ils étaient trop loin pour cela. Marion avait les yeux pleins d'admiration rivés sur la queue de Fred, et ses doigts se posèrent sur l’engin pour poursuivre sa découverte coquine et ses jeux érotiques.

- Trop belle votre queue, monsieur le Professeur !

C’est à ce moment précis que le premier contact des doigts d’Elodie avec le clito de Caro se fit. Caro rentra dans un espace-temps différent. Elle avait tout naturellement ouvert le compas de ses jambes sans vraiment s’en rendre compte. Elle qui ne se masturbait jamais, n’en ressentant jamais le besoin, sans savoir si cela venait de son éducation ou de sa personnalité. Mais là, ce n’était ni elle, ni son homme qui la touchait, mais sa douce baby-sitter amoureuse d’elle. Ce geste était si tendre et généreux, presque imperceptible, laissant deviner sa présence sans forcer, tout en effleurement.

Marion fit basculer les hanches de Fred pour qu’il puisse baisser ses jeans au niveau de ses genoux. Il ne se fit pas prier et son pantalon atterrit directement à ses chevilles. Elodie releva de son côté la jupe de Caro sur ses hanches avec beaucoup de douceur et un calme olympien. Ainsi le couple qui se tenait toujours la main, se retrouvait tous les deux cul nu, assis sur leur canapé respectif, un peu comme deux nigauds engoncés, avec la honte et la gêne des puceaux adolescents qu’on venait d’embrasser pour la première fois.

Elodie chuchota à Caro quelque chose qu’elle seule entendit :

- Écarte tes cuisses un peu...

Caro se sentait totalement indécente mais obéit à la douce requête de la baby-sitter,

Marion s’approcha un peu plus de la queue de Fred et commença à la caresser. Il avait ses testicules bien apparents, bien rondes et délicatement velues. Marion fit quelques passages sur ces parties sensibles et le regard de Fred se posa alternativement sur les trois femmes qui l’entouraient. Il aimait qu’on lui caresse ses billes d’amour. Lorsque sa Caro lui faisait une fellation, il aimait qu’elle s’attarde sur ces parties très douces. Marion fit rouler quelques secondes les deux précieuses dans ses mains parfaites et cela renforça encore l’érection du mari.

- Regarde comme c’est beau Elodie une queue de mec !

Le muscle tendu resplendissait de fierté toute mâle. Caro était d’accord, la queue de son mec était belle. Elle le savait mais l’entendre dire par une autre la rassurait au plus haut point. La voir ainsi mise en valeur aux yeux de toutes, la rendait plus excitée que jamais. Marion semblait vouloir éduquer Elodie sur la gente masculine. Leurs fantasmes et leurs vies intimes restaient inconnus pour les époux. Aucun des deux quadras ne pouvait soupçonner les délires, les intentions et limites lubriques de ce couple atypique formé par les deux copines.

La petite pression douce des doigts d’Elodie sur son clito créait une émotion jamais encore vécue par la mère de famille. Elle découvrait une relation féminine inconnue, infiniment douce et surprenant qui la faisait fondre sur place. Toute la sensibilité de cette petite étudiante fraîche et timide se ressentait. Caro qui vocalisait beaucoup d’habitude et qui était dans le feu de l’action de ses actes d’amour, était là figée sans rien dire, bien loin du confort de son univers. Mais les émotions qu’elle découvrait et ressentait étaient d’une élégance fine et d’une pureté incroyable. Aucun homme n’avait été aussi doux avec elle.

Totalement à l’opposé, comme l’eau et le feu, Marion après s’être approchée à moins de dix centimètres, racla sa gorge et cracha sur le sexe de Fred. Ce contraste entre douceur infinie et feu de l’action fit partir Caro qui lâcha un soupir orgasmique.

- Oh …

Une à deux gouttes de salive coulait du gland de l’homme et descendait sur les chairs tendues. Cela n’avait échappé à personne et fit bouillir la tension érotique dans la pièce. Marion l’intrépide se faisait chienne, montrant son vrai visage. Caro ne s’attendait pas à un crachat sur la queue de son mec. Elle perdit le contrôle de ses jambes qui se mirent à trembler. Marion, trop contente de son effet ne put s'empêcher de répéter un nouveau crachat en la regardant droit dans les yeux. Le regard de Caro était tout troublé.

- Ohhhhhh

Caro était perdue et écrasa les doigts de Fred. Marion était en train de lui piquer son homme ou tout au moins s’était approprié le sexe de son homme. La salive eut l’effet lubrifiant recherché par Marion. La queue en était toute recouverte. Fred ferma les yeux et bascula sa tête en arrière, appréciant cette masturbation. Elodie maintenait la petite pression sur le clito de Caro, faisant des petits cercles légers dans un mouvement imperceptible. Caro ressentit le téton dressé d’Elodie venir se presser un peu plus contre son bras et ses doux cheveux lisses se poser contre son épaule. Son parfum explosa dans son nez.

- Regarde comme elle est dure cette queue

Marion toute admirative accélérait sa masturbation faisant des allées et venues de plus en plus rapides. Elle avait formé un anneau avec son index et son pouce afin d’entourer le phallus de Fred. Cela coulissait bien avec toute cette salive étalée. Caro ne pouvait détacher les yeux de ce spectacle qu’elle connaissait pour l’avoir souvent pratiqué avec son mari. Juste à côté, sans qu’elle ne puisse ni ne veuille intervenir, elle observait la verge luisante, dressée et tendue à fond. Marion, malignement, la maintenait dans une position qui maximisait la tension. Une main à la base bien serrée et la deuxième qui flattait et faisait rouler les couilles de l’homme. Le tout sous les yeux envieux de sa femme, bien que perdue dans les caresses que lui prodiguait Elodie.

- Regarde comme elle est belle, non mais regarde-moi ça...

Marion se redressa pour se jeter sur les lèvres de Fred et l’embrasser avec fougue, emportant avec elle Elodie et Caro qui elles partirent à leur tour dans un baiser de folie. Elodie mordillait les lèvres de Caro avec la même douceur que ses doigts qui écartaient les lèvres de son sexe. Caro se sentait mouillée à l’extrême. Quand un petit doigt d’Elodie entra à peine en elle, Caro repartit dans un soupir orgasmique :

- Ohhhhhh

A côté d’elles le bruit du sexe de Fred masturbé dans la salive était assez surprenant. D’autant plus que la vitesse de la masturbation s’accélérait.

- Regardez les filles, regardez

Marion avait repris sa place à dix centimètres de la queue et astiquait l’engin avec une rapidité incroyable. Son poignet allait à toute vitesse. Elles la regardaient faire pendant que le doigt d’Elodie rentrait lentement dans Caro. Fred ne l'avait jamais prise avec une telle douceur. Caro savait que son homme allait jouir avec une autre et perdit un peu plus le contrôle :

- Ohhhh

- Il va jouir regardez !!!

Fred luttait mais le dernier crachat de Marion lui fut fatal. Elodie finit par enfoncer son doigt au plus profond de Caro, sans jamais accélérer sa vitesse de pénétration

- Putain ! lâcha Fred en tendant les jambes, se cramponnant à sa femme d’une main et à la croupe de Marion de l’autre, à genoux à ses côtés, délibérément penchée sur son sexe.

- Ooooohhhhhhh lâcha Caro à son tour.

Le couple, main dans la main, partit dans un orgasme commun magnifique à voir. Le sperme s’envola aussi haut que les contractures dans le ventre de Caro. Les vagues magiques submergèrent les cerveaux du couple et les couleurs de l’arc en ciel leurs ouvrirent les chakras.

Marion garda la queue tendue en main bien droite, regardant le sperme chaud s’écouler entre ses doigts, fière d’elle. Elodie fit sortir son doigt trempé de Caro aussi lentement qu’il était entré. Elodie embrassa tendrement Caro tandis qu’elle se remettait de ses émotions, yeux fermés.

Quand tout le monde fut un peu remis, Marion pouffa de rire, pris Elodie par la main, la fit se lever et lui enfonça ses doigts enduits de sperme dans la bouche :

- Tiens, goûte moi ça, dis-nous comme c’est bon ?

L’orgasme dans le ventre de Caro rebondit.

- Oh...

Cette chienne de Marion, non seulement venait de lui piquer son homme mais en plus lui piquait Elodie. Et voilà qu’elle avait le toupet d’offrir le sperme volé de son mari à sa petite copine. Elodie découvrait visiblement la chose, timidement. Elle avait le visage impassible de celles qui subissent les choses sans les réprimer. Il était alors impossible pour les époux relâchés de deviner ce que la frêle étudiante ressentait à cet instant, en suçotant l’index ou le pouce de sa brûlante chérie :

- N’avale pas et embrasse-moi !

Le couple découvrit leurs amies lesbiennes s’embrasser devant eux pour la première fois, mêlant leurs salives au sperme de Fred. Marion étalait le reste de la semence sur le cou d’Elodie et allait le lécher entre deux baisers de feu. Caro fondait toujours sur place, de nouvelles contractions reprirent sous ce spectacle inattendu.

- Oh

Fred rebandait déjà, extrêmement excité par cette scène où son sperme servait de liant à ces échanges chauds. Marion rajouta un peu d’huile sur le feu, comme si l’ambiance n’était pas déjà un vrai brasier. Elle remonta la robe d’Elodie sur ses hanches, dévoilant son petit cul nu adorable. Elodie avait des jambes très fines et l’espace entre ses cuisses qui ne se touchaient pas était assez large. Certains appelaient cette caractéristique physique une “rivière parisienne”. Elodie, joues roses, se laissa faire, embrassant sa chérie avec amour.
Marion la fit alors pivoter pour qu’elle se retrouve de dos face aux amoureux. Elle plongea tout le monde dans la fournaise de ce huis clos lorsqu’elle intima à sa chérie de se pencher un peu en avant, vers la table basse du salon.

- Pose tes mains sur la table ma chérie, et montre leur ton intimité…

Ce faisant, Elodie écarta un peu les jambes et descendit le buste vers l’avant jusqu’à atteindre le verre froid de la table basse avec les mains. Marion l’accompagnait en se penchant vers ses reins, recouverts à demi par les pans de sa robe retroussée. Ayant placé ses deux mains sur chacune des fesses de sa douce, elle exposa aux amoureux le petit cul magnifique de sa chérie, et vue l’écartement entre ses cuisses, il était facile de deviner le petit fruit juteux de la belle Elodie. Les yeux des époux s’écarquillèrent lentement à mesure qu’il la découvrait sous cet angle. Jamais ils n’avaient imaginé leur baby-sitter dans cette posture, dans cet enchaînement d’actes qui les avait amenés ici, à moitié dénudés, ayant subi l’orgasme partagé dans les bras de deux femmes qui leur semblaient si distinctes.

Marion regarda les quadras avec un sourire carnassier et des étincelles lubriques dans les yeux. Ce comportement semblait des plus naturel chez elle. Ses mains glissaient du bas des reins d’Elodie, vers ses fesses et elle ne manquait pas de les écarter encore un peu plus que de raison. Elle lui donna une petite fessée sur sa croupe tendue. Caro ressentit une gêne prononcée de voir sa douce amie ainsi exposée aux yeux de Fred et avait envie de se lever pour faire cesser cette forme d’humiliation. Fred le perçut et l’en empêcha.

Elodie ne se sentait nullement humiliée, c’est finalement son caractère de petite salope qui éclata au grand jour pour ses amis. Dans son cœur, dans sa tête s’était un feu d’artifice d’émotions et de satisfactions profondes. Elle aimait s’exhiber de la sorte, tout en cachant tellement sa vraie personnalité au quotidien. Cela renforçait le paradoxe, l’écart entre l’ange et le démon qui l’habitaient sûrement. Les époux se regardèrent et se rappelèrent ce que leur avait dit la veille la brûlante Marion sur la vraie nature d’Elodie : “Au fait la vraie petite salope c’est Elodie”

Elodie tourna la tête à cet instant vers Caro pour lui signifier que tout allait bien. Avec un petit sourire, discret mais plein de malice elle venait de rassurer Caro sur la tournure débridée de ces événements. Elodie continua d’onduler un peu et se fit reprendre par Marion :

- Arrête un peu ton manège, Fred est à nouveau au garde à vous, … n’est-ce pas Mr Le Professeur ? La vue est belle ?

Fred, comme prit la main dans le sac baissa les yeux puis se tourna vers sa femme qui lui fit un petit sourire.

- On vous laisse, j’ai trop envie, moi. Bisous les amoureux…

Marion invita Elodie à se redresser et l’emmena dans leur chambre, refermant la porte derrière elles, laissant Fred et Caro sur le canapé.

- Refermez juste la porte quand vous partirez. Et n’oubliez pas le tee shirt. Ciao les zamis

Caro pensa que leur fuite n’était pas plus mal après tout. Elle n’aurait pas su quoi leur dire ni comment gérer la suite. Fred cul nu vient s’asseoir aux côtés de sa chérie pour l'enlacer et lui faire un grand câlin :

- Je t’aime ma louve.

Caro flottait toujours et elle serra son mari dans ses bras.

- Je t’aime aussi chenapan.

Dans la chambre les deux filles rigolaient de bon cœur, sûrement trop contentes d’avoir offert à ce couple des émotions intenses.

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