L'Asiat Prend Cher

Le lendemain, lorsque je me levais pour aller bosser, Serge était déjà parti pour son travail. Un mot m’attendait ainsi qu’un bouquet de fleurs sur la table à manger, le petit-déjeuner était prêt. Serge avait simplement écrit : « je t’aime ». Je fus touchée de cette attention.

C’est Serge qui devait avoir les clés des menottes car je n’étais plus attachée. Je me voyais mal me pointer au taf avec une paire de menottes.

M’assoir pour déjeuner dans la pièce où j’avais subi les assauts de la veille me fit une étrange impression. Un mélange de honte et de plaisir. Comment pourrais-je recevoir à nouveau mes parents chez moi ? La sensation de mon cul sur la chaise me rappelait aussi que plusieurs hommes avaient investi mon fondement. Le mot de Serge semblait en tout cas confirmer qu’il appréciait.

J’allais à mon travail et j’évitais la station assise le plus possible. Dans la banque je dirige une petite équipe de cinq personnes, deux femmes et trois hommes. Je sens bien que recevoir des ordres d’une femme contrarie les hommes, mais nous avons des relations amicales. Nous nous voyons parfois en dehors du travail, même si je mets une barrière pour leur signifier que je suis leur chef.


Bref, pendant quelques jours, je soufflais sexuellement parlant, mon cul ayant besoin de repos, et Hector le savait.

Mais le répit ne dura pas.

Un soir que je sortais du travail, un jeudi, Hector m’attendait dans sa voiture. Il m’ouvrit la voiture pour m’intimer de monter. Il m’embrassa sur la bouche, y mit la langue. C’était un moindre mal, sa langue était déjà allée dans des endroits de mon corps encore plus intimes. Il n’y avait plus trop d’intimité avec Hector.


— Bonsoir Patricia, me dit-il. Ce soir nous allons avancer un peu ton éducation. Ne t’inquiète pas, Serge est au courant. Prépare-toi à passer au stade suivant...


Je pensais déjà y être arrivée et il me disait de passer au stade suivant.

Je n’avais pas idée de ce qu’il allait me demander cette fois... J’eus peur à nouveau. Que pouvait-il y avoir de plus humiliant que de se faire baiser par des inconnus de la façon dont j’avais été baisée. Hector me félicita pour l’autre soir, j’avais fait l’unanimité... L’unanimité dans quel domaine ? La salopitude ? J’étais descendue au niveau des prostituées dans leurs camions.

Nous roulâmes ainsi assez longtemps sur l’autoroute en direction de l’Espagne, je dirais une centaine de kilomètres. Puis Hector sortit de l’autoroute, la reprit en sens inverse et s’arrêta sur une aire.

Et voici ce qu’il me dit :

« Ce soir, tu vas devoir te débrouiller pour rentrer sans moi à Bordeaux. Mais selon les règles que voici : Tu vas aller te changer dans les toilettes de la station-service et mettre ce que j’ai amené pour toi. Tu seras peu vêtue mais tu auras un long manteau pour te couvrir. Tu laisseras tes vêtements actuels dans les toilettes. Ensuite tu devras solliciter les personnes de ton choix pour te ramener, leur disant que tu n’as pas de voiture pour rentrer à Bordeaux. Si quelqu’un te demande comment tu as pu te retrouver sur une aire d’autoroute de la sorte, tu devras lui expliquer la vérité, que tu es une jeune femme soumise, que ton maître vient de te déposer ici pour être copieusement humiliée et éduquée. Tu devras faire ensuite ce qu’il sollicitera de toi en échange de ton retour à Bordeaux. Peu importe comment il te baisera, en revanche tu ne dois pas avaler son sperme, mais le laisser se répandre sur ton visage, ton décolleté, le manteau. Et le plus important, tu ne dois pas t’essuyer, mais le laisser sécher.


Comme tu es gaulée, tu risques d’arriver avant moi. Tu donneras cette lettre à la personne qui te ramènera. Tu n’as pas le droit de l’ouvrir. Une fois à Bordeaux, appelle-moi. »

Sur ce, il me demanda de sortir ; aussitôt il reprit la route en direction de Bordeaux.


Bon, il me semblait que je n’avais plus le choix.
Je ne pouvais pas revenir sans m’être fait copieusement humilier, au risque de déplaire à Serge... Ce que je ne voulais pour rien au monde.

En rentrant dans la station-service, je me demandais comment procéder, je ne pouvais pas me taper un père de famille dans les toilettes et me faire ramener ensuite dans la voiture familiale en compagnie de la femme, voire des s...

Mes choix se résumaient à trouver un homme, seul de préférence. En passant devant les machines à café, je constatais qu’un jeudi à 20h, il y avait peu de gens sur les autoroutes, à part des camionneurs...

Les habits que je devais passer ne laissaient aucun doute quant à mes intentions... Soutien-gorge et string rouge, haut noir transparent, jupe qui arrivait juste sous les fesses. Se pencher aurait été une erreur fatale. Heureusement je pouvais cacher mon corps sous un long manteau noir qui tombait au-dessus des genoux.

Quelle honte : bonsoir monsieur, je voudrais me faire baiser et me faire inonder la gueule de foutre. Et si vous pouviez me ramener chez moi ce serait cool.

En ressortant des toilettes, plus personne autour des machines à café, à l’extérieur un homme s’éloignait sur le parking certainement vers son véhicule. De loin je le vis passer entre des camions, sûrement un camionneur. Bof pas très inspirée à l’idée de sortir comme ça. Je vis du coin de l’œil le pompiste qui tentait de me déshabiller du regard. Son inquisition me poussa à sortir. Je me dirigeai vers les seuls véhicules stationnés. Que des camions. Une voiture arriva à ma hauteur, mais ce sont deux femmes qui me regardèrent furtivement en passant à vive allure.


Il faisait nuit, j’vais un peu froid et j’étais seule sur un parking d’aire d’autoroute. Je me résolus à passer entre les camions. Seul le bruit de mes talons résonnait, tout le monde semblait bien au chaud au lit. Les remorques vides étaient ouvertes pour éviter les vols.

Soudain j’entendis un « bonsoir, vous cherchez quelque chose ? ».
Je me retournai, c’était un homme, la trentaine, plutôt souriant.


— Bonsoir, excusez-moi de vous déranger, je cherche à rentrer à Bordeaux, je sais que cela peut paraître étrange mais je suis seule et je suis coincée ici.


Que répondre à cela, à part : « vous m’inquiétez, comment avez-vous pu vous retrouver seule ici ? », ce qu’il dit évidemment. Je ne savais pas du tout comment enchaîner sur le laïus que m’avait pondu Hector, et il dut voir ma confusion. Je réussis à dire simplement : « je suis ici parce que mon maître l’a voulu. »


— Votre maître ?

— Oui.

— Je ne comprends pas.

— Mon maître... m’a déposé ici et m’a demandé de trouver quelqu’un pour me ramener à Bordeaux.

— J’ai du mal à comprendre... Pourquoi a-t-il fait ça ?

— Pour parfaire mon éducation, dis-je la tête basse.

— Votre éducation...

— Pouvez-vous me ramener à Bordeaux ? lui demandais-je timidement.

— Oui demain matin si vous voulez

— J’ai besoin de rentrer ce soir.


Ressentant trop de honte à lui dire le reste, j’enlevais les mains de mes poches, et naturellement mon manteau s’écarta, laissant apparaître la vue sur ma micro-jupe, mon haut transparent et derrière mon soutien-gorge rouge.

L’homme comprit tout de suite ou je voulais en venir.


— Et si je t’amène, finit-il par dire, que m’offres-tu en échange ?

— Ce que vous voulez, lui répondis-je.

— Monte avec moi pour voir si nous pouvons nous mettre d’accord, dit-il avec un sourire.


Je montais à sa suite dans le camion. Je fus étonné de rentrer dans une cabine aussi spacieuse. Il semblait y avoir en plus une chambre derrière moi, un rideau était tiré. Je lui donnais rapidement la lettre d’Hector qu’il ouvrit. Il la parcourut puis déclara : « c’est notre jour de chance ce soir. Fred, appela-t-il, viens voir ce qui nous arrive !! »

J’entendis bouger derrière moi, le rideau s’ouvrit sur un homme d’une trentaine d’années également, qui grommelait.



— Putain, pourquoi tu me réveilles ?

— Regarde ce qui est assis dans la cabine.


L’homme tourna les yeux vers moi, il ne m’avait pas vue.


— Qui est-ce, dit-il ?

— Notre dessert. Ecoute-moi. Un certain Hector, qui nous a écrit cette lettre, fit-il en montrant la feuille qu’il tenait à la main, nous demande de baiser sa petite chienne, Patricia. Tu t’appelles Patricia ? Tu confirmes ce que je viens de dire ?

— Oui, je dois trouver un moyen pour rentrer chez moi et ce moyen implique de me faire baiser.


Le deuxième homme, Fred, pas surpris du tout, voulut tout de suite vérifier ma sincérité et décida de commencer à passer ses mains sur mon corps. Voyant que je me laissais faire, le premier rigola et sortit son sexe. Il commença à se toucher pendant que son pote palpait la marchandise.

Il commença par écarter mon manteau et me demanda bientôt de l’enlever. Il demanda à lire la lettre, la parcourut, puis dit :


— OK, on te baise, on te ramène à l’adresse indiquée.

— Vous devrez éjaculer sur mon visage..., me sentais-je obligée de rajouter

— On fera un effort alors, pas de souci. Je n’ai jamais baisé d’Asiat, on m’a toujours dit que c’était des bons coups. Et voyant l’espèce de petite pute que tu sembles être, je pense que tu ne vas pas faire mentir la rumeur. Viens par-là ma jolie, fit-il en m’entraînant sur le lit...


Tous les deux se déshabillèrent, les deux avaient des queues dans la moyenne, mais plus épaisses que celle qui m’était donnée de voir habituellement. Ils ne prirent pas le temps de me déshabiller, comprenant que je ne cherchais pas de la poésie. Je me retrouvais aussitôt avec une bite dans la bouche, et rapidement deux mains viriles remontaient ma jupe, ma croupe bien tendue pour pouvoir sucer correctement le premier. Rapidement celui que je suçais me baisa littéralement la bouche. Mon haut transparent se retrouva rapidement arraché. J’espérais pouvoir sauver mon soutien-gorge.

Puis ils échangèrent de place mais pour le même calibre dans ma bouche. Ma chatte fut rapidement investie et je fus alors sauvagement baisée, les coups de pilons ne me laissant que peu de répit. Je me retrouvais à nouveau dans une situation improbable, et j’adorais ça. Une heure plus tôt, j’étais pourtant envahie par la honte. Etant morts de faim les mecs ne mirent pas longtemps à venir. Je leur rappelais de venir sur mon visage, mais ils n’avaient pas oublié et y prirent plaisir. Quelques petits jets peu abondants. Ils devaient se branler tous les jours. Je fus presque déçue.

Finalement je sauvegardais mon soutien-gorge, j’avais du sperme dans les cheveux, mon visage et mon cou étaient constellés.

Les deux mecs tinrent parole et me ramenèrent sur-le-champ, tout contents d’avoir gagné leur soirée. Je m’endormais pendant le retour. De retour à Bordeaux, je ne reconnaissais pas mon quartier. Ils m’amenèrent malgré tout à une adresse que je connaissais pour y être allée deux fois. J’étais au pied de l’immeuble de l’un des membres de mon équipe, au travail. Il était 23h30. Ils me laissèrent là.

Je me rappelais de téléphoner à Hector au bout de quelques minutes.


— Oui Patricia. Alors tu es arrivée ?

— Oui.

— Bonne baise ?

— Oui, ils étaient deux.

— Je sais, ils m’ont appelé, m’ont remercié.

— Ah OK. Qu’est-ce que je fais là où je suis ? Je suis un peu en panique.

— Serge veut que tu montes chez ton collègue. Il doit juste t’amener en voiture jusqu’au club libertin où nous nous sommes vus la première fois...

— Quoi ??? Mais ça se voit trop que je viens d’en prendre plein la gueule, et s’il m’amène là-bas, c’est foutu pour moi au boulot.

— Ne t’inquiète pas, nous saurons le tenir pour qu’il ne fasse pas de vague ; vas-y ne discute pas...

— Je savais déjà que je ne devais pas discuter, mais là c’est chaud pour moi !!!


Il avait déjà raccroché.

Dans le hall de l’immeuble je me regardais dans le miroir. Je ressemblais à une pute, du sperme séché sur la peau, heureusement ces deux connards n’étaient pas des fontaines. Je réarrangeais ma coiffure comme je pouvais. Heureusement que j’avais ce manteau, certes qui m’arrivait au-dessus des genoux mais qui me couvrait bien. Je n’avais plus que ma minijupe, mon string et mon soutif... Génial... J’allais devoir la jouer fine avec ce petit con de Joël, la vingtaine qui, avant que je ne le remette en place, passait son temps à me mater le cul au taf...

Je sonnais à son domicile. Pas de réponse, j’étais soulagée et n’insistais pas ; je rappelais Hector, qui, un peu déçu, moi non, me dit de venir en taxi. Alors que j’appelais un taxi dans la rue, une voiture s’arrêta à ma hauteur, c’était Joël...


— Salut Patricia, qu’est-ce que tu fais là ?


J’inventai, je lui dis que je suis tombé en panne et comme son appart n’était pas trop loin je suis venue voir s’il pouvait m’amener à l’endroit où était Serge. Il me répondit de monter. Quand il me demanda où je voulais aller, je lui donnai le nom de la rue, pas le numéro, je lui demanderais de se garer un peu avant.

Je m’installai à l’avant tout en essayant de ne pas trop lui montrer mon visage dans la pénombre. Heureusement il faisait nuit noire. Mais rapidement, je m’aperçus qu’une forte odeur de foutre émanait de moi... j’essayais de l’occuper avec des paroles, ma pseudo panne, je dérivai vite sur le taf... je le remerciai pour ce soir. Je me rendis compte qu’il me regardait furtivement. J’étais sûre que lui aussi sentait cette odeur reconnaissable entre toutes... Je me rendis compte que de là où il était, en tournant la tête, il avait une vue directe sur mon soutif à même la peau. Il savait que j’étais presque à poil.

Ouf nous arrivâmes, je le fis garer au début de la rue, je le remerciai et le quittai hâtivement et lui dis à demain. En m’éloignant au bout d’un moment je me retournai. Malheur, sa voiture n’avait pas bougé, il me regardait m’éloigner...

Dans la pénombre j’aperçus Hector, qui m’attendait devant la porte discrète de la boîte. Il me mit la main au cul, et semblait apprécier l’aspect de mon visage. Joël ne devait pas en perdre une miette. Soudain sa voiture passa devant nous, il me regarda, le regard troublé, ne comprenant sûrement pas pourquoi un vieux me mettait la main au cul. Il dut aussi repérer l’endroit devant lequel j’étais. J’étais grillée...


— Je te félicite Patricia, les deux hommes que tu as trouvés étaient très satisfaits, ils m’ont remercié pour ton éducation. Ils m’ont demandé à pouvoir te rencontrer à nouveau... Qui t’a ramenée ?

— Joël, mon collègue, il vient de passer devant nous en voiture. J’ai terriblement honte, je suis certaine d’avoir éveillé ses soupçons...

— Ne t’inquiète pas, cette situation va au contraire terriblement t’exciter. Je te connais mieux que tu ne te connais, tu es une soumise dans l’âme, fais-moi confiance. La honte est un sentiment qui t’accompagne en même temps que ton plaisir...


Puis nous entrâmes dans le club. Serge était là, visiblement ravi de me voir, il m’accueillit avec chaleur, me servit un verre.

Mais comme je m’en doutais la soirée n’était pas terminée. Ce soir-là il y avait un ratio hommes/femmes nettement en défaveur des femmes. Je ne voyais que cinq femmes pour une trentaine d’hommes. Je ne passais évidemment pas inaperçue avec ma minijupe et mon soutif. Serge me demanda de le sucer sur-le-champ. Devant le regard exigeant d’Hector je m’exécutais. Serge avait une bite honorable, je prenais toujours plaisir à le sucer car il me remplissait bien la bouche. Devant du monde, c’était une première. Serge exigeait avec son bras que je le pompe énergiquement et profondément. Lui, ce soir ne cherchait pas le romantisme. Ma bouche montait et descendait à une grosse cadence. Serge se leva et choisit de venir sur mon visage. La situation devait lui avoir beaucoup plu, de longs jets bien épais jaillirent sur mon visage. Je devais être repeinte. Mais ce n’était qu’un avant-goût...

Hector me mit un collier et une laisse et me fit avancer à quatre pattes sous de nombreux regards. Je mouillais comme jamais malgré la honte qui m’assaillait. Se pouvait-il qu’Hector ait raison. Il me fit avancer à l’entrée du couloir qui quittait la salle principale, et qui était séparé de celle-ci par un rideau. Couloir où il me demanda de rester et de n’en point bouger, et de sucer la queue de ceux qui le souhaitaient. Dans un endroit pareil, ça veut dire tout le monde.

Quelques couples passèrent devant moi peu de temps après, rejoignaient les coins câlins. J’étais certaine pour ma part d’être le coin sac à foutre à moi toute seule. Plusieurs hommes seuls passaient également, s’arrêtaient, en profitaient pour passer leurs mains sur mon anatomie, puis repartaient. L’un d’eux m’intima de me lever, me retourna contre le mur et me prit violemment la chatte, je ne pus retenir des gémissements qui montaient en moi. Serge et les autres dans le bar ne pouvaient ignorer que je me faisais copieusement prendre. Le plaisir monta rapidement en lui, il me mit à genoux et éjacula sur mes seins. Obéissante, j’attendais le prochain.

Certains commençaient également à revenir, et me sollicitaient pour les finir. Ces queues avaient le parfum des chattes qu’elles avaient fouillées. Qui finissait sur mon visage, ou dans ma bouche pour que je les avale. Je ne faisais pas dans la dentelle, j’étais à l’usine. Je ne regardais plus les visages, le mien ne devait plus ressembler à grand-chose. Ma bouche pulpeuse n’était plus qu’un réceptacle.


Alors que j’avais une queue qui palpitait dans ma bouche, une main se posa sous mon menton et me leva la tête. J’étais manifestement en train de sucer Joël, mon cher collègue qui avait toujours rêvé certainement de mettre son engin dans ma bouche. Je sus que ce ne serait pas la dernière fois que je le pompais. Son sourire carnassier exprimait tout le plaisir qu’il prenait. Il donnait de violents coups de reins dans ma bouche et me recouvrit à son tour. Sur ce il me dit à demain.


— Sois fraîche et dispose demain, bonne nuit sac à foutre !!


J’avais déjà un autre Paul dans la bouche quand il me quitta. Ce soir-là je devais facilement avoir pompé 40 mecs et avalé 30 éjaculations. Je transpirais du sperme. Ensuite Hector me ramena dans le côté bar sous les yeux de tous. Les femmes me regardaient en souriant. Certains rigolaient franchement. Etait-ce de moi ? Je ne sais pas, je l’imaginais. Chose étrange, j’étais toute mouillée de cette situation qui m’embarrassait... Et j’avais sucé Joël...

Pour donner suite à cette soirée, la semaine au taf se passa sous le regard salace de Joël. Je sentais ses yeux se poser sur mon anatomie. La différence avec « avant » était que désormais il ne détournait plus le regard quand je le surprenais... Cette situation au travail m’incommodait, j’en parlais à Serge il organisa un dîner au resto avec Joël.

Quelques jours plus tard, le vendredi nous nous retrouvions tous les trois à dîner. Un peu à l’écart nous pûmes nous dire certaines choses sans risquer d’être entendu par nos voisins. Finalement Joël accepta de retrouver une attitude moins provocante au boulot, en contrepartie, il gagnait un droit de cuissage sur votre servante... Mais il devait se soumettre à certaines règles. La première étant de passer par Serge s’il voulait me rencontrer. J’étais devenu en peu de temps un objet sexuel que Serge partageait volontiers et cela m’excitait terriblement. Par ailleurs, le restant de ma vie n’avait pas changé, mais en matière de sexe, j’étais livré à mon homme, qui décidait pour moi, et aux fantasmes masculins en général. Fantasmes qui souvent au départ me rebutaient, provoquaient de la honte en moi et qui pour finir me procuraient une jouissance que je n’avais jamais connue jusqu’à aujourd’hui.

Soulagée de pouvoir retourner au taf avec un peu plus de sérénité, je m’absentais aux toilettes et laissais Joël et Serge ensemble. En sortant des toilettes, Joël me repoussa à l’intérieur, tout en vérifiant que personne ne le voyait faire. Sans demander son reste, il me retourna, remonta ma jupe et baissait ma culotte. Rapidement, il me pénétrait avec sa queue. Joël me prit la chatte sans ménagement, faisant claquer mes fesses contre ses hanches. Le visage presque collé au miroir des toilettes, il me regardait dans les yeux pendant qu’il me défonçait. Je ne pus lui cacher que je prenais aussi un plaisir presque aussi intense que le sien. Lui car il rêvait de cette situation depuis le premier jour où il m’avait rencontré, moi à l’idée de me faire prendre alors que peut-être, quelqu’un attendait pour aller pisser un coup, l’oreille collée à la porte devant le bruit que nous faisions.

Il éjacula de longs jets dans ma bouche et j’avalais. Je pensais à Hector.


En sortant des toilettes, un homme... Qui attendait patiemment son tour...

Joël remercia Serge, paya l’addition et nous quittâmes le restaurant, un regard me déshabillait en quittant les lieux... Je compris que le coup dans les toilettes était en fait une passe. Bizarrement cela m’excita. Mais qui étais-je ?!!! Je me dis à moi-même que la prochaine fois nous irions dans un resto gastronomique, puis je le dis à Serge. Il rigola. Et moi aussi d’ailleurs.

Au fil du temps, je compris que le kif de Joël était d’aller dans un lieu public, et de me démonter dans un lieu discret. Concrètement, il appelait Serge, lui demandait s’il pouvait m’emmener dîner ou pour sortir. Par la suite, il me prenait dans sa voiture, une ou deux fois dans une ruelle je le suçais, ou dans des toilettes de restaurant.

Un soir cela se passa différemment, il m’emmena dans un cinéma x, un lieu carrément glauque. Rapidement je compris que l’idée ne venait pas de lui mais certainement d’Hector.

Je me retrouvais assise dans une salle relativement grande avec Joël et quatre autres mecs, tous des blacks, à regarder un film porno. Au départ nous n’étions pas réellement proches, Joël sortit sa queue et commença à se branler en me regardant. Il me demanda de commencer à déboutonner mon chemisier. Il prit ensuite ma main et mit son sexe entre mes doigts. Je commençais à doucement le branler. Notre manège ne passa pas inaperçu bien évidemment. Qui plus est, j’imaginais qu’une femme dans un ciné x était une denrée rare et attire inévitablement les convoitises. Doucement les autres hommes se rapprochèrent. L’un d’eux vint s’assoir à côté de moi. Je le vis sortir un engin énorme et commencer à s’astiquer. Joël s’approcha alors de mon oreille et me demanda de le chauffer avec ma main libre. Je me retrouvai donc avec mes deux mains bien occupées, branlant doucement ces deux queues. En voulant plus, l’inconnu commença à fouiller mon inimité, remonta sur ma poitrine, puis finit par amener mon visage à son entrejambe.


Je tentai alors de le sucer, mais c’était plutôt dur, son gland rentrait juste dans ma bouche, je n’avais jamais vu un truc pareil...


Je vis les autres hommes se rapprocher et se placer devant moi, se masturbant en me voyant tenter de sucer l’autre gars.

Joël me releva, me demanda d’enlever mon pantalon, et m’emmena dans une pièce attenante. Dedans il y avait une croix et attachées à cette croix des menottes. Je me laissai attacher les poignets. Rapidement on me releva les jambes et je commençai à subir les assauts d’un premier mâle, visiblement en manque de sexe. Je pris cher pendant quelques secondes, des râles de plaisir commençaient à monter dans ma gorge. Un autre lui succéda pendant une minute, puis Joël, qui prit son pied grave. Je dus encaisser ensuite une énorme queue, qui me fit presque mal. Mais pas de pitié, je me faisais limer comme une chienne. Pendant vingt minutes, cinq mecs prirent le relais de ce qui devait avoir l’air d’un trou béant désormais. Et j’adorais ça.

Alors que c’était reparti pour un tour, je devinai que la porte qui se trouvait derrière moi s’ouvrait, et j’entendis des personnes entrer. J’entendis la voix d’Hector, et là je sus que je n’en étais qu’à l’apéritif, et que pourtant je ne boirais qu’en fin de séance. J’étais à nouveau dans un scénario qui allait prendre une ampleur de folie.

Hector vint me saluer alors que je me faisais secouer violemment, me demandais si j’aimais ce qui se passait autour de moi. La voix entrecoupée de soubresauts causés par les coups de butoir que je recevais, je répondis par l’affirmative.

En tournant la tête je devinai que la pièce se remplissait doucement. Peu à peu, je vis des hommes prendre place, commencer à se désaper. Les sexes durs se dressèrent autour de moi.

Les hommes se motivèrent, firent des compliments sur mon anatomie, et rapidement tous les hommes eurent la main sur leur sexe et se masturbèrent. Je ne voulais pas compter mais je pensais qu’il y avait au moins quinze mâles en rut autour de moi.


Hector déposa sur un tabouret non loin de moi un récipient avec des préservatifs en veux-tu en voilà, du gel intime, j’allais prendre cher, mais a priori en toute sécurité, lol...

On me détacha, et on me rattacha, mais cette fois on aurait dit que j’allais me faire prendre par-derrière. Les débuts furent difficiles, les gars y allaient doucement, puis la cadence augmenta. Je sentais le gel couler le long de mes cuisses, mon sphincter n’ayant plus la capacité de le retenir. J’entendais les hommes s’invectiver pour avoir la jouissance de m’enculer. A mes oreilles, on me susurra : « tu la sens ma queue, espèce de petite pute », « tu encaisses grave, salope », je vais te repeindre après » et j’en passe. Je notai en passant qu’Hector aimait toujours autant la photo... Je sentais la compétition entre mecs, c’était à celui qui me ferait hurler le plus, ou à celui qui irait le plus fort dans mon cul.

Je pense m’être fait prendre ainsi pendant vingt minutes. On me détacha, je pouvais voir le visage de tous ces hommes qui venaient de me prendre. Mon fondement était anesthésié, j’y passais la main, j’aurais pu y rentrer le poing.

Hector posa son reflex, s’approcha de moi avec un instrument que je n’ai jamais vu. Il me dit que c’était un bâillon bouche ouverte. Je ne connaissais pas mais je devinais. Il m’aida à le mettre en place. Il précisa que je ne devrais avaler que lorsqu’il me le demanderait.

On eut la délicatesse de poser un coussin au sol pour mes genoux, puis l’un après l’autre les sexes se vidèrent de tout le plaisir engrangé dans ma bouche, certains jets furent si violents qu’ils atterrirent sur mon visage car mal contrôlés. L’odeur âcre de tout ce sperme envahit mes narines. On fit une pause pour que j’avale, le liquide menaçant de déborder. Il y en avait encore assez pour me remplir la bouche une seconde fois. Hector lui-même se vida en moi, reprit aussi sec son reflex. Je me demandai si certains n’étaient pas passés deux fois dans ma bouche... Peu importait ; je me rendis compte que j’aimais de plus en plus avaler du sperme. J’aimais surtout leur regard plein de jouissance lorsque je déglutissais, et le goût ne me rebutait plus comme les premières fois.

Puis comme tout a une fin, la pièce se vida, Joël partit. Resta Hector et moi, je lui fis part de ma surprise de ne pas avoir vu Serge. Ne t’inquiète pas me dit-il, il était bien sûr au courant, je lui envoyai quelques photos et vidéos avec mon smartphone, il me dit apprécier le spectacle.

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