Summer Of Love 6

– Hmmm… Chéri…

Sa voix est différente de celle qu’elle a d’habitude. J’aime bien cette facette d’elle.

Sa voix est aiguë et quand elle m’a appelé «chéri», c’était comme si elle gémissait parce qu’elle apprécie le plaisir que je lui donne en m’occupant de sa jolie poitrine.

Je suis penché sur elle et je la surplombe.

J’ai une très belle vue, inutile de le préciser !

Bérénice est si jolie. Mais, en plus d’être jolie, elle est très intelligente et bien mature pour l’âge qu’elle a. Nous avons sept ans de différence, mais peu m’importe. Je m’en fiche de cette différence d’âge.

Je suis si heureux avec elle. ELLE, c’est ELLE qui me rend si heureux. Alors… je veux donner le meilleur de moi et lui rendre tout ce bonheur qu’elle me donne en cadeau.

– Tu les aimes, mes seins, mon joli oiseau ?

Je hoche la tête tout en la regardant dans les yeux pour lui répondre.

– Hmmm… Oui… Tu les aimes, mon chat… Hmmm…

Elle vient d’émettre ce petit bruit sexy que j’aime beaucoup. Elle ne se rend peut-être pas compte qu’il lui arrive de faire parfois des bruits sexy, Bérénice, mais moi… je le remarque. Oh… oui.

– Tu les veux, mes seins, chéri ?

Elle me le dit avec un sourire coquin car elle sait déjà, j’en suis sûr, ce que je vais lui répondre.

OUI, je les veux, jolie Bérénice !

JE… TE… VEUX !

TOI… TOUTE… ENTIÈRE… (Et pas que tes seins… mais ça, c’est dans un coin de ma tête, et je ne dévoile pas mes secrets pour le moment)

– Viens ici, chéri…

Elle me montre du doigt la place où elle veut que je sois. Elle a désigné… ses seins.

– Ils sont à toi, mon chat.

Elle le dit en me souriant.

Qu’elle est belle, dans l’intimité de notre chambre.

Je me penche en direction de sa poitrine, ma bouche en première ligne.

Je pose ma bouche dans le clivage de ses monts d’amour, lourds, et je l’embrasse à cet endroit.



– Oh !

Elle a limite crié en émettant ce son.

– Chéri… Chéri… Mes seins… Mes seins… Tes lèvres… Ta langue… Je te veux…

Je ne me fais pas prier, et je me mets sérieusement à caresser ses monts d’amour.

Ses bourgeons pointaient déjà, mais je veux encore les faire pleurer de désir et de plaisir. Je passe ma langue pour leur donner des petits coups, des coups un peu plus rapides, un peu plus vifs. Je passe ma langue pour les lécher.

Je les entoure de mes lèvres pour les sucer, de légères succions, des succions un tout petit peu plus prononcées. Je les entoure de mes lèvres pour les aspirer.

– Aaahhh !

Ça lui plaît…

– Chéri… Chéri… Chéri… Ta… langue… Ta… langue… sur ce téton…

Et elle me caresse les cheveux et y glisse la main alors que je me délecte de ce pic pointu, en érection.

J’espère que ce que je suis en train de lui faire, là, la rend encore plus trempée…

Ce sera plus facile pour moi de lui faire… ce que j’ai envie de lui faire…

Il faut que je l’excite comme il faut...

– Ah… Ah… Mon chéri ! Mon… chéri…

Je m’occupe de ses seins. Je les caresse. Je les palpe. Je les malaxe. Je les titille.

Je les éveille au plaisir.

Je m’occupe de ses seins. Je les prends dans ma bouche. Je les lèche. Je les suçote. Je les suce. Je les aspire.

Je les éveille au plaisir.

Ils pointent, et ça me fait un je-ne-sais-quoi. Ils pleuraient de désir.

Ils pleurent maintenant de plaisir.

Et, je sais que Bérénice prend beaucoup… beaucoup de plaisir lorsque je lui caresse les seins. Ils sont si sensibles, il faut dire…

Tantôt je les embrasse… je les malaxe…

Tantôt je plonge ma tête, et par conséquent, mon visage, dans le creux de ses deux magnifiques seins et je m’enfouis entre eux. Dès lors, Bérénice m’entoure de ses mains libres.


Putain, j’aime…

Et je sais que Bérénice, elle aussi, elle aime…

Et je sais que ça l’excite… que ça l’excite beau-coup quand je m’occupe de ses seins.

Un jour, au téléphone, au début de notre relation, Bérénice m’a avoué qu’un joli texte érotique suffisait parfois à l’exciter… et à la faire mouiller.

Parfois, elle me disait que c’était le cas quand je lui envoyais un extrait plus ou moins d’un récit érotique que j’écrivais ou bien quand c’était un poème. C’est d’ailleurs comme ça que nous nous sommes connus, Bérénice et moi. Nous publions tous les deux des jolis textes savoureux sur une plateforme d’écriture érotique, à ce moment-là.

Nous nous sommes rencontrés ainsi, et nous nous sommes plu dès cet instant-là. Et depuis… nous sommes ensemble. Et nous avons toujours autant envie l’un de l’autre.

Comme… en ce moment même, alors que j’ai enfoui ma tête entre ses seins lourds et qu’elle maintient tout contre elle.

J’ai, plus que jamais, envie d’elle.

Hmmm…

Je me relève légèrement, et je pose mes lèvres sur les siennes. Je l’embrasse.

Bérénice pose une main sur ma joue, et elle me sourit.

Qu’elle est belle… Je ne lui résiste pas. Je ne le veux pas.

Et je me relève de nouveau, mais cette fois… je retire mes lèvres des siennes. Et ma tête longe son corps, tout entier, de haut en bas.

Et je me retrouve entre ses jambes, de nouveau. Ses jambes que j’écarte…

Elle me regarde, d’un air comme interrogateur. Comme si elle me demandait ce que je pouvais bien être en train de faire.

Moi, si je lui ai écarté les jambes, c’est que j’ai ma petite idée, toujours dans ma tête, dans un petit coin confortable.

Et, si je lui ai écarté les jambes comme je l’ai fait, c’est qu’il y a une raison...

Je lui ai écarté les jambes.

J’ai posé mes deux mains sur ses cuisses, et je l’empêche de les resserrer.


De toute façon, je doute qu’elle le fasse. Bérénice aime tellement que je m’occupe d’elle et que je lui donne du plaisir.

Elle adore écarter ses jambes, rien que pour moi, pour que je puisse avoir un accès parfait à son intimité.

Moi, j’adore quand elle fait ça.

À mes yeux, ça veut tout dire. Ça veut dire qu’elle a envie d’une petite gâterie.

Bérénice est, à mes yeux, la femme la plus sexy du monde. La plus belle. C’est indéniable.

Je l’aime.

Je l’aime, toute entière.

Elle est magnifique. Elle est belle, toute nue.

On dirait une Vénus… Si, si, je vous jure !

Elle a les cuisses écartées, et ça me laisse libre accès à son joli minou qu’elle a en partie épilé.

Même avec le temps qui passe, j’ai toujours autant envie de Bérénice.

Il faut dire qu’elle sait comment faire pour attirer mon attention : minauder… des yeux de biche… de la jolie lingerie en dentelle, sexy à souhait…

Oh oui… Bérénice sait comment me séduire, ça, c’est sûr.

Et là… Hmmmm…

Quand elle a les jambes bien écartées et qu’elle est dans le plus simple appareil… Hmmm… Je n’ai envie que d’une seule chose : la lécher… la goûter… la manger… la dévorer.

Juste ma tête entre ses jambes…

Ma langue sur son clito… Ma langue sur sa chatte ruisselante…

Ma langue… ailleurs…

Et cet ailleurs… je le distingue bien, à présent que ses jambes sont écartées, juste comme il faut.

J’aime tellement son petit cul…

J’ai envie de le lécher et de le titiller, lui aussi…

Je le veux.

Mais, avant… J’ai quand même envie de continuer encore un petit peu de la lécher avec passion, désir et amour, Bérénice…

Même avec les années, j’aime toujours autant lui manger le minou.

Il faut dire que son abricot est l’abricot le plus délicieux auquel je n’ai jamais goûté.
Un délicieux petit arôme de femme en chaleur…

Et, quand elle vient d’écarter généreusement ses jambes afin que je puisse goûter à son fruit intime et que je puisse me délecter de son jus d’amour… Hmmmmm…

Elle, quand je me décide à porter mes lèvres et ma langue sur elle ET en elle, elle se laisse complètement aller.

Elle m’offre toute sa confiance alors qu’elle s’offre toute entière à moi.

Bérénice est si belle…

À peine ma langue posée sur son intimité, Bérénice gémit déjà de plaisir. Elle halète. Et plus je la lèche avec gourmandise, plus Bérénice exprime son plaisir. Comme bon lui semble, et elle se fiche royalement de savoir ce que les autres (les voisins, je parle) peuvent en penser. Je m’occupe d’elle en lui donnant du plaisir, c’est tout ce qui nous importe.

À peine la pulpe d’un doigt la caresse distraitement et superficiellement, Bérénice tire du plaisir de ces premières caresses.

À peine le bout de mes doigts dessine des petits cercles sur sa porte du plaisir, Bérénice se met à mouiller déjà. J’aime beaucoup ça, que Bérénice mouille rapidement et beaucoup. Pour moi. J’aime… sentir son liquide d’amour sur le bout de mes doigts. J’aime… le puiser et le boire quand je lui fais un cunni. Oh… oui…

Bérénice aime avoir ma tête entre ses jambes.

Bérénice aime resserrer ses cuisses autour de ma tête. Elle enserre mon visage de ses gambettes et, ainsi, je pense qu’elle jouit de me sentir.Quant à moi, elle me barbouille de sa cyprine, et, à vrai dire, j’aime ça. Oui !

Et quand ses jambes ne sont pas autour de ma tête, Bérénice aime bien prendre ses seins et les caresser. Dans le même temps, elle ondule du bassin et elle frotte son bouton de rose et son intimité contre son visage.

C’est… si… bon… J’a-dore…

Et, quand nous nous amusons à cela pendant des minutes et des minutes, Bérénice mouille beaucoup. Elle est dilatée, et ça me permet de pouvoir mieux m’occuper d’elle. Par exemple, je peux désormais ainsi la pénétrer d’un doigt ou de deux. Hmmmm…

Sa chatte enserre mes doigts et les trempe. Ma peau se retrouve trempée.

J’aime quand c’est elle et moi, sur l’oreiller. J’aime quand nous nous amusons, au lit. J’aime que nous fassions l’amour.

Même avec les années, nous jouissons d’explorer de nouveaux territoires.

Et, aujourd’hui, ce matin, il y a un nouveau territoire que je veux explorer, et… le voyage se passe bien. Il est agréable… Mouillé… Salé…

Hmmmm…

J’ai de plus en plus hâte de m’occuper de son petit cul, et j’ai de plus en plus de difficultés à réprimer mon désir.

Bérénice… Vois ce que tu fais de moi...

Bérénice me regarde, droit dans les yeux.

Ses yeux ne me lâchent pas d’une semelle. Son regard est rempli d’une émotion particulière : toujours sous l’effet du désir et du plaisir, son regard se faisait suppliant. Comme si elle ne voulait pas que j’arrête. Comme si elle réclamait de moi encore et toujours du plaisir, toujours plus de plaisir.

Un ou deux doigts en elle… Ma langue et mes lèvres sur sa vulve, sur son clitoris… Ma langue qui la lèche… Mes lèvres qui sucent et qui suçotent sa peau intime rose, salée, humide…

Hmmm…

Hmmmm…

La chatte de Bérénice est juste… si délicieuse.

J’aime… quand Bérénice ne pense plus à rien, et qu’elle se laisse aller.

Quelque chose lui trottait dans la tête, et elle n’arrivait pas à s’en débarrasser ?

Je suis conscient que l’on ne peut pas tout résoudre avec du sexe, mais…

Dans ce genre de cas, je veux user et r de toute la tendresse et de toute la sensualité que j’ai au plus profond de moi pour pouvoir faire en sorte qu’elle oublie, ne serait-ce que momentanément ces soucis.

Et, quand je prends l’initiative, quand je prends DES INITIATIVES, j’ai tendance à croire que Bérénice aime bien. Dès lors, elle met ses soucis de côté, et elle se laisse aller à nos moments à deux.

Comme là…

Là, quand ma tête est entre ses jambes, et que je savoure le sexe délicieusement juteux, salé, doux, chaud de ma coquine de chérie.

Elle, elle a posé sa main dans mes cheveux, et elle me les caresse.

Elle me guide ainsi.

Moi, ma langue retrouve comme par la magie le contact de son abricot. Je dépose un tout petit baiser sur son clito. Puis, c’est ma langue qui se pose sur lui et qui l’honore de petits coups de langue vifs. Bérénice, elle, accompagne mes caresses de mouvements de son bassin. Ensuite, je prends ses lèvres intimes dans ma bouche, et je les suce… Je les suçote… Je les aspire. Ma langue, elle, reprend après le contrôle des opérations et se repose sur sa cramouille trempée.

Ma langue va… Ma langue vient… De haut en bas… De bas en haut…

Sur son tout petit bouton de rose… Sur ses grandes lèvres… Sur ses petites lèvres…

Sa chatte est ruisselante.

Ses petites lèvres ont rougi sous l’effet de l’excitation et du plaisir. Elles se sont joliment gonflées, aussi.

Ma langue va… Ma langue vient… De haut en bas… De bas en haut…

Sur l’entrée de son vagin… Sur son périnée… Sur son anus…

Hmmm…

Sa chatte est ruisselante.

Je profite… que ma langue soit désormais imprégnée de son liquide d’amour… pour venir titiller doucement, très doucement, délicatement, son anus.

Bien sûr, il m’est déjà arrivé de poser mes lèvres et ma langue sur son petit trou, mais c’était de manière distraite, comme ça, comme en coup de vent, jusqu’à présent.

Je n’avais jamais eu envie… ou plutôt je ne m’étais jamais donné la peine d’aller explorer Bérénice aussi intimement. Et là, c’était ce dont j’avais envie…

– Mets-toi à quatre pattes, Bérénice…

Sur le coup, Bérénice m’a regardé. Elle a braqué ses yeux dans les miens comme si elle ne savait pas où je voulais en venir. Et puis, elle a tout compris…

Elle m’a adressé alors un sourire coquin.

Elle est venue m’embrasser goulûment, comme pour savourer, au passage, sa cyprine sur mes lèvres et sur ma langue, et puis elle s’est retournée et s’est mise à quatre pattes., m’exposant au passage, de manière lascive, son très joli petit cul.

Hmmmm...

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