Récit D'Une Vie De Nuit - Chapître 7

Nos appartements sont déménagés, et entreposés dans un garde meuble le temps de concrétiser un avenir de retraité. Friedrich voulait retrouver la terre de ces aïeux, il a parcouru leur itinéraire. Et donc prospecte sur la région de Nancy et Lunéville. Et selon ces recherches il aurait encore une brindille d’appartenance à la lignée des Stanislas Leszczynski. Donc nous voici partie pour la France. Nous avons l’opportunité d’acheté et d’investir. Il me prévoit son départ comme il dit. Il ne veut plus que je travail mais que je vive pour mon plaisir.

Mardi 8 février 2005, comme si c’était hier, dernière soirée du club sous notre contrôle. Une soirée qui doit être magique. Sous réservation et dress code, simple, tout le monde nu, avec un masque ou un loup. Aux couples classiques toutes les dames reçoivent en cadeau un rosebud, qui devra être obligatoirement porté sous peine d’achète une bouteille de champagne. Pour les couples plus fétichistes, le ou la soumis(e) portera son collier ou un collier acheté à la boutique et porteras également le rosebud, sans quoi même sanction. Mickaela et Myriam se charge de la remise des cadeaux et bien évidement de la mise en place à la sortie du vestiaire.

La soirée reste très propre, des caresses, dans la salle commune et les actes sexuels dans les salons et lieux dédiés. Le cadeau fait des adeptes quelques hommes sont venus demander s’il avait la possibilité d’en posséder un. Myriam a réussi à vendre plus de la moitie de son stock dont certain assez cher. Mickaela propose de faire une photo de cul habillée de leur bijou. Une scène peu ordinaire s’étale devant l’objectif une soixantaine de cul sont exposés, écartés pour une belle vison du jouet.

La soirée se passe divinement bien. Friedrich nous a fait honneur de sa présence entrecoupé de moment de calme (il a eu les honneurs de combler Mickaela et Eike) comme j’ai été admirablement abusé par Helmut. Au petit matin nous passons la main officiellement.

Demain sera l’heure des derniers comptes de notre bébé. Vers midi tout le monde est rassemblé en bas. Myriam à préparer une lettre qui me fait fondre en larmes, Friedrich est également ému aux larmes. Agnès nous remercie aussi, Alexander nous explique qu’il ne serait jamais arrivé a cela sans nous. Quant à Eike, la dernière du staff, nous a achevée, quand elle nous a remercié de nous être battue que Helmut garde le personnel, sans cela elle se voyait déjà perdu à errer et à suivre les chemins de la prostitution car son CV de masseuse n’aurait pas forcement intéressé grand monde. Nous partageons un dernier verre entre nouveaux et anciens propriétaire. Je téléphone à un ami restaurateur qui nous dresse une table. Nous quittons ce petit monde, la rupture est complexe et déchirante.

Nous prenons la route vers la lorraine ou nous attends demain 3 visites. Notre ami et avocat a préparé le terrain en sélectionnant des immeubles de rapport bien situé ou nous pouvons investir sans risque. Une semaine plus tard nous investissons comme locataire notre futur propriété.

Au rez-de-chaussée des bureaux, et une psychologue spécialisée contre les addictions a ouvert son cabinet et aménager son logement au même endroit, les deux étages suivants sont occupés par des locataires quadra et quiqua, le troisième étage est séparé en 4 logements étudiants et le dernier étage nous est réservé. Avec accès a une terrasse sans vis-à-vis. Le budget est conséquent, mais possède deux dépendances, des garages un espace clos, et surtout un ascenseur rénové et modernisé. D’extérieur ancien, l’intérieur de l’immeuble est moderne et aux normes.

Nous vivons tranquillement, lions des contacts avec des gens épicuriens, quinqua et sexagénaire essentiellement. Tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre. Le plaisir charnel est toujours dans nos habitudes. Quelque moment de nostalgie pousse a entrée dans des lieux de perdition. Mais d’être des clients n’a pas la même saveur. Myriam nous donne des nouvelles, le flamant tien la route, et tient toujours le même cap.
Helmut à dans l’idée de diversifié le côté wellness et l’ouvrir en journée, marquer une rupture et ensuite repartir sur la luxure du flamant rose. Le staff reste toujours soudé, Eike et Alexander se sont mis officiellement ensemble. Myriam a fidélisé un harem de soumis, elle a pris des cours afin de travailler avec des cordes, des supplices qui attirent les hommes voir même des femmes et quelques couples. Elle initie des curieux. Nous avons plaisir à lire cela mais n’éprouvons pas l’envie de retourner les voir. Nous avons une bonne entente dans notre immeuble. Nous avons initié un fête de printemps, une buffet « bal populaire » le 14 juillet, puis les locataires ont monté une mini fête des voisins, le beaujolais nouveau, et nous fêtons nos anniversaires.

25 mai 2006, pour mes cinquante ans Friedrich me réserve une surprise. Il me dit : « va te faire une beauté en ville, tu as rdv chez ton coiffeur en fin d’après-midi, ton esthéticienne t’attends vers 8h30 et surtout va acheter de quoi me redonner ma jeunesse et surtout je ne veux pas te voir avant 19-20 heures… »

Donc me voilà chassée de chez moi vers 8h… En effet Maryse m’attend, et va s’occupée de moi, soin du corps, massage, épilation intégrale tous y passe. L’institut de Maryse nous a été recommandé par des amies libertines, car Maryse adore les corps de femme. Je ne vous fais pas dessin. Donc j’ai eu droit un régime de faveur pour mes 50 ans. Voilà près de 3h de mise ne beauté. J’espère que vous ne pensez pas que je suis si décrépi que cela. Je passe à la boutique de lingerie où j’ai mes habitudes, aidé par les conseils de la gérante et amie, je sélectionne un ensemble, et une guêpière mi-cuir mi-dentelle, qui accentue ma généreuse poitrine de jeune femme. Carole me désigne des bas qu’elle m’offre. Carole me conseil d’aller chez un collègue chausseur qui pourrait me proposer une paire d’escarpin pour relever le charme de ma lingerie.

Chose que je m’empresse de faire, et la vendeuse, me conseil une paire rouge et noir d’une dizaine de centimètre de talon.
La gérante me rejoint et me demande si je veux faire un essayage complet avec ma guêpière. Un complot, je savais que Friedrich était fort, mais là il s’est sublimé. Je fais cet essayage, je me présente devant la gérante. Soit elle est une excellente comédienne, soit sa réaction est sincère, j’ai cru qu’elle allait se décrocher la mâchoire et devoir récupérer ces yeux telle elle semble éblouie. J’ai pris le parti de la croire et je choisis ces escarpins.

Le shopping consomme de l’énergie, je décide d’aller manger un morceau, je téléphone à Friedrich pour qu’il me rejoigne, il me dit va à l’Excelsior. J’arrive je me présente et le garçon me désigne une table au fond. Arrive un de nos amis, avec qui j’aime coquiner dans nos soirées. Je suis surprise, je veux contacter Friedrich mais mon jeune partenaire, Marc, « rassure-toi c’est Friedrich qui m’envoi », me dit-il. Le serveur nous sert une coupe et une rose rouge. Accompagné d’un mot. « Ma chérie ce jours est pour toi, Marc va t’accompagner toute la journée, l’institut a dû faire des merveilles, notre amie de la boutique à certainement eu ta visite et conseillé une tenue et des souliers pour te sublimer. Marc à l’obligation de te tenir compagnie jusqu’à l’heure de ton RDV chez le coiffeur. Joyeux anniversaire. Carpe Diem, Friedrich. ». Je suis émue aux larmes, je ne suis pas conservatrice, mais ce mot est toujours au fond de mon portefeuille.

Marc me rassure d’une main sur la cuisse. Je lui raconte ma matinée, les mots sont doux, Marc semble entamer un jeu de séduction, je le dévore des yeux, je suis attirée par lui, cela fait-il parti du complot ? « Déjeunons vite alors » dis -je. Le déjeuner est avalé rapidement et nous quittons le restaurant. J’ai envie d’un dessert particulier. Marc l’a senti et il me conduit dans son appartement non loin du centre-ville.

L’ascenseur laisse Marc explorateur, mon string est déjà en bas des fesses, son doigt dessine ma raie. L’ascenseur s’arrête, au fil des pas je sens ma culotte descendre.
Devant sa porte je retiens ce bout de dentelle en serrant les cuisses. Oui je suis excitée, oui j’ai de l’attirance pour cet homme de 10 ans mon cadet, et oui j’aime quand je baise avec lui en soirée. Mais jamais je n’ai été seule avec lui. A peine entrée, la porte pas encore fermée, je laisse tomber mes paquets, je prends sa bouche, il me colle au mur, ma culotte est au sol, je relève ma jambe et me sépare d’elle. Passionnément nos lèvres se collent, nos langues se mélangent. Je ne pense plus à rien, juste au plaisir d’être dans ces bras et d’être prise, abandonnée et sentir la jouissance me submerger. Très vite le zip de ma robe glisse, il me sépare d’elle, suit en un éclair mon soutien-gorge. Ces mains prennent possession de mes seins, les massent, les triturent, agace mes tétons qui sont durs et pointus. Mon ventre est en feu, je me dandine, je frotte ma chatte en chaleur sur sa jambe. Je glisse une main sur son entre-jambe, il bande dur. Il m’entraine énergiquement vers le salon, me tourne ma bascule en avant ma poitrine coller a la surface froide en verre de sa table, il presse mes fesses de quinqua en assez ferme et rebondit (merci les années de monté et descente de marche d’escalier). Ces doigts parcourent ma raie, ma fente mouillée, amuse ma rondelle, qu’il n’a jamais exploré. Il a retiré son pantalon, a perdu son boxer et je sens son gland passer sur ma fente et ma rondelle. Son gland commence par pénétrer ma chatte, il me tire des râles profonds, Il me culbute, sort sa queue et y retourne jusqu’à buter contre moi. Son pouce s’insère dans mon cul de femelle. Dans un mouvement il perfore mon anus. Et en un mouvement vigoureux, il se fiche au plus profond de mon intestin. L’acte bestial m’arrache un cri, qui au fil des mouvement de va et vient se transforme en gémissement au point de déclencher mon premier orgasme et me faire couler ma liqueur de femme le long de mes bas et au sol.

Il se retire, me relève, m’impose de me mettre accroupi. Je vois sa queue luisante, il se branle, instinctivement j’ouvre ma bouche, il me la donne à sucer. Je m’applique et il ne tarde pas de m‘envoyer une salve de son jus chaud et épais, je le vide, ma bouche est pleine de sa semence. Je le regarde, ouvre la bouche et avale sa donation. Une étreinte forte, qui me semblait une éternité, nous nous posons dans le canapé, moi et mes bas maculer de mon jus, la bouche aux relans de sperme, et lui nu, son sexe pas totalement au repos mais parfaitement nettoyée. Je me colle à lui, ma main caresse ces couilles d’une netteté exemplaire, et je désire redonner de la vigueur car j’ai encore faim.

Ma douceur paie, son sexe reprend de la vigueur je me pose à califourchon sur lui, ma poitrine orgueilleuse à haute de son visage. Je m’empale sur ce mat de chair, d’une main il presse et pince un téton, et de la bouche me mordille l’autre. Je m’abandonne, gémit, jouis en laissant échapper mon nectar de femme sur mon amant. Lui aussi envoi son jus au fond de moi. Nous nous écroulons.

Nous remettons de l’ordre à nos personnes, partageons la douche à deux, il me fait jouir encore une fois… Mon téléphone sonne. C’est Friedrich, il me confirme le rdv chez le coiffeur et me demande de mettre la guêpière, les bas et les escarpins avec ma robe noire. Il me demande si ma journée c’est bien passé, je lui réponds tu es merveilleux. Je m’exécute avec le plus grand plaisir pour plaire à mon homme. Sur le chemin du coiffeur, je cogite, j’ai trompé Friedrich, acte programmé ou désir personnel. Le coiffeur me fait passer cette pensé.

19h45, la séance coiffure plus maquillage (une surprise) se termine. Je n’ai plus 50 ans, le coiffeur a rajeuni ma coupe habituelle, la maquilleuse, a retiré le poids des ans. Marc m’attend à proximité, il reste bouche bée. Sur le chemin qui me ramène chez moi, nous restons silencieux. Dans tête tout se bouscule, le plaisir de l’institut de beauté et sa maitrise des femmes de Maryse, l’orchestration de la suite, la lingerie, le repas, Marc, le coiffeur. Que me reste-t-il à découvrir ? Y a-t-il une suite ? J’ouvre le portail, nous entrons dans la demeure. Marc se gare en passant par l’arrière. Je trouve cela suspect, nous entrons par la porte de service. Accédons à l’ascenseur, nous montons les 4 étages. Pas un geste déplacé, l’ascenseur nous livre a mon appartement, j’ouvre la porte et d’une seule voix une foule me souhaite à l’unisson un joyeux anniversaire. Je m’écroule en larme, tombe dans les bras de Friedrich, je tellement émue que je ne reconnais personne. Quelque secondes ou minutes peut être pour récupérer et là je découvre la foule des invités. Je vois en premier : Myriam, Agnès, Eike, Alexander, Katarina, Mickaela et Helmut, j’ai cru que mon cœur allait s’arrêter, puis je distingue nos amis libertins, Maryse et Carole, 4 de nos locataires, la sublime psychologue, et le courtier d’affaire qui occupe les locaux commerciaux du rez-de chaussée.

Sur notre terrasse est dressée un appéritif dinatoire, Friedrich prend la parole pour me souhaiter un joyeux anniversaire, et entamer la soirée. Nos libertins font connaissances avec notre ancienne environnement, Eike, Katarina font l’objet d’attentions particulières. Notre psychologue, s’entretient avec moi et Mickaela suit notre conversation. Un couple de nos locataires prend très vite congés et les autres ne tarde pas. L’heure tourne et notre courtier passe nous remercier et prend la direction de sa petite famille. Quelques-uns des libertins s’éclipsent également. Le buffet à eu du succès les boissons pétillantes aussi. Il ne reste qu’une bonne quinzaine de convives, notre staff, 5-6 amis dont 2 couples, Carole et Maryse, Marc évidemment, et notre psy, Evelyne. Friedrich reprend la parole et repeint la journée qu’il m’avait réservé, sans prêter attention à la présence d’Evelyne. Il passe en revue donc le passage entre les mains de Maryse qui m’a donné mon premier plaisir de la journée, Carole qui a sur entretenir la flamme, puis le repas arrangé avec Marc qui avait la lourde et non désagréable mission de faire que mon attente avant le coiffeur soit des moins ennuyeuse, dont j’ai confirmé les compétences en ce domaine à l’assemblée. J’ai constaté la passivité d’Evelyne, est- ce le côté psychologue qui la rendait ainsi ou du « voyeurisme », comme si elle lisait les pages gratinés de votre site ? puis cette soirée pour enfin me dévoiler le cadeau de mes 50 ans. Des paravents ont été dressé, Friedrich demande à ce que l’on écarte ces derniers, et je découvre, à ma grande joie un jacuzzi immense. Marc scande « Martine à poil dans le jacuzzi, Martine à poil... ». Sous la clameur, je m’excécute, Je retire mes vêtements, je fais d’abord un tour de l’assemblée nue pour embrasser tout le monde. J’embrasse mon staff d’amour, puis Marc, j’arrive près d’Evelyne, je me fige devant elle. Et je débute une dance devant elle, qui petit à petit m’amène a débuté un effeuillage savant, je déboutonne son corsage que je retire, une belle et douce poitrine se dessine dans un soutien-gorge sobre, sa jupe prend vite le chemin de son chemisier. Je libère sa poitrine, et Evelyne m’attire a elle et m’embrasse, Nous nous caressons son tanga assortit à son soutien-gorge ne reste pas longtemps a couvrir son sexe, a la pilosité entretenu en ticket de métro mais aux lèvres imberbes. Dans la tenue d’Eve, auprès de Friedrich, nous nous immergeons dans le jacuzzi. Un moment charnel s’engage entre nous sous les yeux de Helmut, Friedrich, Marc tente d’entreprendre Carole, Maryse déshabille Agnès, Alexander est complice d’un des couples dont les deux sont bi. Eike et Mikaela font son affaire Katarina, alors que Evelyne et moi sommes rejointe par le couple restant.

Les gémissements ne semblent déranger personne. La fraicheur se fait sentir, le jacuzzi émet sa brume, le salon et les chambres ont remplacer la terrasse. Nos amis libertins nous quittent, Helmut, Mickaela, Katarina, ont fait lit commun dans une des chambres, Eike, Alexander, Myriam et Agnès occupe la seconde, dans la troisième, je surprends Marc, et deux autres invités en pleine exploration d’Evelyne. Elle est parfaitement remplie, transpirante, au maquillage défait et chevelure hirsute. La queue de Marc l’empêche de hurler son plaisir mais l’extrême lubrification des marteaux piqueurs trahit son plaisir.

Milieu de matinée, je me lève. Je croise Evelyne la démarche particulière de la novice sodomisée, j’en souris, elle me répond. Elle m’avoue qu’elle a depuis longtemps fantasmer sur une orgie et de se taper plusieurs hommes. Elle me remercie, et vient m’embrasser, elle sent encore le cul et sa m’excite. Le soleil baigne la terrasse, je lui propose un café sur la terrasse, mais le café à vite laisser place à une partie de caresses intimes et intense au point que je me suis jetée sur sa chatte poisseuse.

Nous finissons notre étreinte dans mon jacuzzi, Evelyne téléphone à son secrétariat pour reporter toutes ces visites sachant qu’elle en a déjà loupé deux. La maisonnée se réveil la salle de bain ne désemplit pas. Le petit déjeuner pris, nos invités et notre staff (qui ne l’est plus en fait) prenne congé avec beaucoup d’émotion de ces retrouvailles. Merci Friedrich, merci mon amour….

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