Entretien D'Embauche En Trois Actes - Acte 3

Cette fois, David n’a pas jugé utile d’attendre le lundi, ma convocation m’attendait dans mes mails dès le lendemain. Le mardi suivant, je me suis donc présentée, vêtue uniquement d’une robe longue. J’entre dans son bureau. Il est debout, les jambes écartées, droit comme une statue. « Le contrat est sur le bureau. Vous le regardez tout de suite. Et vous signez tout de suite. Il vous convient tel quel, ou vous partez. » Il est très ferme. Son autorité m’impressionne. Il a enlevé la chaise qui m’aurait permis de m’asseoir. Je suis obligée de rester debout. Pour lui faire plaisir je choisis de ne pas prendre le contrat pour l’amener à mes yeux, je décide de me pencher, coudes sur le bureau, et ainsi de lui laisser le loisir de contempler mes reins pendant ma lecture. Il a assuré. Super salaire, super avantages. Je signe. « Voilà ! C’est vous le patron ! » Il sourit. Il s’approche de moi. Et m’embrasse fougueusement. Mes bras l’entourent, je partage sa passion. Puis, il décolle ses lèvres. Son regard est déterminé. Il att ma robe et la fait passer par-dessus mes épaules. Je suis en sous-vêtements. Il soutient mon regard, et enlève prestement ses habits. Il ne lui reste que son caleçon. Avec des gestes virils, il dégrafe mon soutien-gorge. Il passe à côté de moi, prend le contrat pour le mettre dans son tiroir. Puis, à nouveau devant moi, m’embrasse et me fait basculer sur le bureau. Je trouve cette situation terriblement sexy. Je suis dos sur le bureau, il vient face à moi, att mon bassin pour le rapprocher du vide. Sans dire un mot, il enlève ma culotte. Ses gestes sont à la fois virils et tendres. Je suis nue. Il pose une main sur chacun de mes genoux. Il embrasse l’intérieur de ma cuisse droite. Il écarte doucement mes cuisses avec ses mains. Je sens les lèvres de mon sexe s’écarter elles-aussi.
Je suis totalement offerte. Pour le coup, je suis beaucoup plus vulnérable que les deux mardis précédant. Il se penche…et commence à me lécher la vulve.

Il le fait divinement, avec le plat de la langue. Il enfonce le bout de la langue à l’entrée du vagin, puis remonte jusqu’en haut de mes lèvres. J’ai l’impression que je pourrais déjà jouir tellement c’est bon. Il sait jouer avec mon clitoris, il fait le tour avec sa langue. Je me cambre, je creuse mes reins.
Je ne suis qu’une masse folle de désir, je le veux. Je veux qu’il me prenne, qu’il me baise, je veux sentir son sexe aller et venir, je veux TOUT. Je le supplie « viens ! viens s’il te plait je n’en peux plus, donne-moi ta bite, viens ». Et puis un doute m’effleure : et s’il me faisait subir la même frustration ? S’il me laissait là, comme ça, trempée, sans avoir eu mon orgasme ? Au moment où mon regard devait trahir mon trouble, sans prévenir, il me pénètre d’un seul coup. Je ne peux retenir un cri de satisfaction. A chaque passage, son pénis excite mon clitoris. Je redresse la tête, je vois son sexe entrer en moi, et cela m’excite davantage. Il ralentit le rythme. Il sort sa verge, la frotte doucement sur mon sexe, puis me pénètre à nouveau. Totalement en moi, il cesse de bouger. Il écarte mes grandes lèvres, et avec son pouce me caresse le clitoris, plus exactement autour de celui-ci, par des mouvements circulaires. Une fois bien positionné, il reprend son mouvement de va et vient. Je crois tomber dans le vide. J’ai envie de hurler. J’ai envie d’écarter encore les cuisses jusqu’à en être écartelée tellement je veux m’offrir.
J’entends son souffle s’accélérer. Dans un râle il se retire tout en éjaculant. Un jet de sperme est projeté sur ma chatte et sur mon ventre. Je me redresse, mais je suis frustrée, car je n’ai pas encore joui, je ne veux pas que ça s’arrête ! « Excuse-moi » me dit-il « tu me fais attendre depuis 15 jours je te rappelle ! Mais ne t’en fais pas… » Sur ce, il m’embrasse et m’allonge à nouveau sur le bureau. Puis il redescend entre mes cuisses. Sur le moment j’arrête son geste car il a éjaculé sur moi, je trouve ça un peu « sale », c’est pour moi une sorte de tabou.
« Laisse-moi gérer ça, c’est moi qui lèche. » Un peu hésitante au début, je finis par me laisser aller. Je trouve cette confrontation au tabou parfaitement excitante. Nous ne sommes que sexe, sperme et sueur. Nous sommes des bêtes. Pour aller au bout de cette image bestiale, je prends l’initiative de me retourner, je suis à 4 pattes sur son bureau. Il me lèche et me pénètre de ses doigts. Son index et son majeur sont en moi, et son pouce s’occupe du clitoris. « Si tu reveux de ma bite, je suis à nouveau en forme » précise-t-il.
Je descends du bureau, me laisse glisser au sol comme un félin et me mets à 4 pattes sur le tapis qui jouxte son bureau. Il se passe plusieurs secondes pendant lesquelles je suis là, prête à accepter n’importe quelle bite, je signerais n’importe quoi du moment que mon désir est assouvi.
Il se place derrière moi, et à nouveau me pénètre d’un coup. Notre levrette se reflète dans la fenêtre. Je vois mes seins balloter, sa bouche ouverte par l’excitation. Il enlève son pénis, récupère ma cyprine avec ses doigts et en tapisse mon anus. Il pourrait me faire ce qu’il veut. Tandis qu’il est de retour en moi, un de ses doigts entre délicatement dans mon anus. Je n’ai jamais été sodomisée. Je trouve ça bien comme première approche. Petit à petit, son doigt entre en entier. Je suis prise de partout. Je sens mon orgasme arriver. Il monte, il monte. Le sien aussi. Et tout d’un coup, l’explosion. Je jouis, chaque parcelle de mon vagin se contracte et ruisselle. J’ai pu enfouir mon cri en mordant une mèche de mes cheveux. David s’est retenu tant qu’il a pu, mais mon orgasme l’a amené au bout de ses limites. Tout de suite après le mien, un chaud et puissant jet de sperme est venu, dans un râle étouffé, recouvrir mon dos et mes fesses.

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