D'Intenses Retrouvailles

Vendredi soir. Jonathan et moi partons enfin en weekend avec notre couple de copains, Elodie et Christof. On ne s’est pas vus depuis des années, c’est simple la dernière fois nous étions au lycée ! On s’est retrouvés par hasard, j’ai vu Elodie à une réunion inter-entreprises. On a échangé nos numéros, parlé sur les réseaux. Et quelques semaines plus tard on a décidé d’un weekend à quatre pour se remémorer nos années lycée.
Dès le vendredi soir, super soirée, on avait loué une maison à la campagne. On s’est juste fait à manger tous les quatre et on a discuté. Revoir Christof m’a fait un choc. Au lycée c’était juste un pote, il ne me faisait rien de spécial. Mais plus de dix ans après, quel homme ! J’aime Jonathan, toutefois au lit c’est un peu timide. Il est tellement romantique qu’il n’ose rien de spécial ! Avec Christof nous avons échangés quelques regards appuyés, complices, mais sans que j’en saisisse le sens profond.
Fourbus, nous finissons tous par aller nous coucher, la nuit est déjà bien avancée.
Un peu plus tard, je me réveille et me relève car j’ai soif. Je descends, traverse le long couloir qui mène au salon puis à la cuisine. Toutefois, dans le salon, j’aperçois une ombre près de la fenêtre. D’abord effrayée, je prends le temps d’étudier la silhouette : il s’agit de Christof, qui regarde par la fenêtre. « Bah, qu’est ce que tu fais là ? » Il sursaute. « Oh tu m’as fait peur ! non rien, j’étais dans mes pensée. » Il était torse nu, un torse magnifique. Moi, en nuisette courte. Je lui demande à quoi il pensait. « Au lycée. Au temps qui passe. Je te le dis car ça n’aura aucune incidence je le sais, mais au lycée j’étais dingue de toi. Je rêvais de sortir avec toi. Après, des sentiments ont germé, et sont toujours là pour Elodie, mais en te voyant c’est remonté à la surface. C’est con hein ? »
« Non pas du tout. Et tu sais, je ne dirais pas que je suis indifférente… » Je m’approche de lui, je pose une main sur son torse.

« Et…qu’est-ce qui t’empêchait de dormir ? »
« Toi. Te savoir à côté. J’ai… J’ai l’impression d’être un ado. Il fallait que je descende pour me refroidir l’esprit. »

Je réalise donc qu’il était littéralement en train de fantasmer sur moi. Je suis flattée et j’ai mille pensées qui me traversent. Je sais que Jonathan, une fois endormi, rien ne peut le réveiller. Et cette situation est très sensuelle. Je m’approche de lui, pose mes mains sur ses épaules, presse ma poitrine contre lui, et l’embrasse. Il a un mouvement de recul. « Arrête ! Si tu me chauffes je ne pourrai pas résister. »

Je choisis de ne pas le brusquer. Je l’invite à s’asseoir sur la table basse. Une table ancienne, bien robuste en bois massif. Je laisse un silence s’installer, puis je me lance. « Ça va aller. On n’est plus des ados. On est des adultes. Plus de 10 ans sont passés. Tu penses au passé avec regret, quand tu n’as pas osé m’inviter. Pense maintenant à quand tu auras 80 ans. Tu repenseras à cette nuit. Et tu auras aussi des regrets. Laisse arriver ce qui doit arriver. »
Je lui chuchote ces mots à l’oreille, en caressant son sexe, qui ne cessait de durcir. A la fin de mon petit discours, il se tourne vers moi, comme s’il baissait les armes, et m’embrasse avec une certaine hésitation.
Tout en lui rendant son baiser, je l’allonge sur la table basse. Je lui embrasse son torse si bien dessiné. Je descends son pantalon de pyjama, qui libère un sexe très imposant, qui grossit à vue d’œil. Délicatement, je l’att, le décalotte, et entame des mouvements de masturbation. Sa respiration commence à s’accélérer. Je prends son sexe en bouche. Il est imposant, je n’arrive pas à l’engloutir en entier. Elodie à de la chance ! J’enlève ma nuisette, qui découvre mon corps. Je sais que je suis plutôt bien faite, deux beaux seins, des courbes. Je ne suis pas épilée intégralement, ce n’est pas à mon goût, mais j’ai un triangle bien entretenu.
Le fait de me voir nue le fait paniquer.
Il tente de se relever « non, non, on va faire une connerie, je… »
Je l’arrête avec un « shhhh » et un doigt posé sur ses lèvres. Doucement j’att sa main, et je la pose sur mon sexe. Il se rend compte que je suis trempée. Il me caresse, enfouissant peu à peu ses doigts. Je l’embrasse, passe ma langue sur ses lèvres, puis pénètre sa bouche. Nos langues se mêlent, augmentant notre passion à chaque seconde. Par une pression sur ses épaules, je l’invite à se rallonger. La table basse étant assez étroite, je parviens à l’enjamber. Très doucement, je descends, et j’att sa verge. Il comprend ce qu’il va se passer.
J’ai très envie de lui, je sens déjà que je suis ouverte et prête à l’accueillir. Je pose son gland contre l’entrée de mon vagin. Je le regarde droit dans les yeux, et doucement, centimètre par centimètre, je me laisse glisser le long de son pénis. Il voit sa verge disparaitre en moi, et ses yeux roulent en arrière de plaisir. J’entame mes mouvements de va et vient. Les anciens ados que nous sommes commencent à faire l’amour, seulement éclairés par la lune, et nous sommes tous les deux en train de tromper nos conjoints qui dorment au-dessus.

Je me cambre en arrière pour m’ouvrir au maximum. La taille de son sexe me remplit, j’ai presque mal lorsqu’il parvient au fond de moi. Je gémis un peu de plaisir, mais j’ai conscience de l’importance de ne pas faire de bruit. J’entame les mouvements de va et vient, tout son sexe est déjà trempé tellement je mouille. Il m’agrippe par les hanches pour accompagner ma danse. Puis tout d’un coup, on entend un bruit de craquement, et des pas dans le couloir. Nous nous levons très vite, j’att ma nuisette, et nous allons derrière le canapé. C’est Jonathan. Lui qui ne se réveille jamais ! Il va boire. Christof est allongé au sol, sur le dos. De là où je suis, je vois Jonathan mais lui ne peut pas me voir. Ça m’excite. Toujours allongée, je monte sur Christof. Il ne comprend pas ce que je fais mais il ne peut rien dire, au risque d’être entendu.
Je dirige son sexe pour qu’il me pénètre. Il est en moi, et j’entame mes mouvements de bassin. Ça m’excite au plus haut point de faire l’amour avec un homme à 10 mètres du mien. Mes seins sont contre le torse de Christof. Je gémis doucement dans le creux de son oreille. Je le fais exprès, je fais juste assez de bruit pour m’entendre et rendre d’autant plus réel mon acte. Peu à peu, la situation exacerbe aussi l’excitation de mon amant. Je me cambre pour que mon fessier reste immobile et c’est lui qui bouge en faisant des mouvements de va et vient.
Il retire entièrement son sexe, puis me pénètre. Et recommence. J’adore ça. Avec ses pleines mains, il écarte mes fesses au maximum et titille mon anus. Je vois Jonathan repartir. Il a l’air complètement endormi, je pense qu’il ne remarquera pas mon absence. Nous entendons la porte de la chambre se fermer.

Je vois que Christof est lancé, je vois dans ses yeux son envie de me baiser, sa soif de chair. Il se lève, me soulève, m’embrasse à pleine bouche. « Ça t’excite les témoins ? » Il ne me laisse pas le choix et m’entraine à l’étage, juste devant la porte de leur chambre, à lui et Elodie. Là, il m’allonge au sol en me faisant signe de ne pas faire de bruit. Je lui dis non de la tête, dans le couloir devant sa porte, mais il est dingue !
Mais je n’ai pas le temps de réagir davantage qu’il introduit son sexe en moi. Chaque pénétration est sauvage, brutale. Il se retire presque entièrement, comme s’il prenait de l’élan, et me poignarde à chaque coup de rein, si bien que nous avançons alors de plusieurs centimètres.
Il ne me baise pas rapidement comme un lapin. Non, il prend son temps. Mais il frappe dur, comme s’il maniait un maillet. Ça me laisse tout le loisir d’admirer sa verge luisante dans son intégralité, et d’avoir à chaque retrait cette sensation étrange…un mélange entre une légère appréhension à l’idée de me faire pénétrer si fort, et ce désir insoutenable d’être prise, encore et encore.

Ma tête termine dans l’angle du couloir, contre la chambre. Il met ses 2 mains au sommet de mon crâne pour que ça ne me fasse pas mal. J’ai relevé mes cuisses et mes jambes au maximum, je sens que je vais jouir. Il accélère le mouvement, lui aussi va jouir. Je commence à pousser un cri, il m’embrasse pour l’, puis enlève son sexe qui éjacule avec puissance…de multiples jets, dont les premiers parviennent même sur la porte où dort son épouse. Son sperme est sur mon ventre et mes seins. Ereintés mais accomplis, nous nous embrassons avec tendresse.

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