La Vie Dissolue D'Une Bigote 6 : Ma Belle Mère Installe Sa Maîtresse À La Maison

Je dois dire que le dimanche suivant, alors que nous déjeunons en famille, j'observe Geneviève discrètement et je me rends compte de son état euphorique. Elle qui est toujours assez distante vis à vis de moi, par crainte de dévoiler nos - anciens- rapports. Se montre ce jour-là, plutôt réjouie. Alors que nous buvons le café, elle annonce à la famille qu'elle a l'intention de louer la chambre du bas à une jeune fille qui est postière, car elle n'aime pas se retrouver seule la nuit maintenant que nous sommes partis ailleurs avec sa fille.
Je la soutiens dans sa démarche, car sa fille et son mari sont assez réticents. Lui est vite remis à sa place, vu sa situation d'abandon du foyer la nuit. Ma femme se demande si cette « étrangère » ne va pas perturber la vie familiale.
« Je la connais un peu, dis-je alors, elle m'a l'air très gentille. C'est vrai qu'elle est seule et d'après ses collègues, plutôt réservée. Elle n'a pas non plus de famille je crois dans le pays. Ça ne serait pas mal et ça arrangerait tout le monde.
Merci Jean ! Heureusement que vous êtes là pour me soutenir ! Vous ne pensez pas que c'est idiot comme démarche, vous ?
Pas du tout ! En plus elle aura son indépendance, un accès pour elle, elle peut faire la cuisine, ce qui n'était pas notre cas, elle a sa salle de bains et puis Ça vous fait un apport !
Oh ce ne sera pas cher ! Ça m'arrange aussi.
Combien ? Demande ma femme, toujours près des sous.
J'ai demandé cinq cent francs, elle est d'accord.
Bon, pourquoi pas, tu peux toujours essayer répond sa fille, et puis, une femme c’est plus correct.»
Comment Ça correct ?
Ben oui, si c’était un homme, les gens pourraient jaser !
Je dois dire que ma belle-mère ne sait plus quoi dire et que j’ai du mal à me retenir de rire. La cause semble néanmoins entendue, mais vu la réflexion de sa fille, j'ai envie de titiller un peu ma belle-mère.
« Mais, dites-moi, comment Ça se fait que vous lui ayez proposé cela ?
C'est que.

.. Elle rougit et est bien sûr embarrassée.
Vous la connaissez comment ?
Elle fait les remplacements de mon facteur… – re-embarras quand elle se rappelle alors qu’elle parle de son amant - Rappelez-vous, c'est vous qui me l'avez présentée.
Ah oui! Je me souviens, c'est vrai ! C’était lors d’une réunion de la mairie !
C'est ça – elle se sent mieux – Nous avons discuté un peu, elle aime la cuisine et le jardinage comme moi. En réalité ça fait quelques temps que je pense à louer la chambre du bas, depuis que vous êtes partis. - quelle menteuse ! - Lorsqu'elle m'a dit qu'elle cherchait un petit appartement pas trop cher, je lui ai proposé et elle a accepté.
Sans venir voir ?
Non, non, elle est venue (tu parles qu’elle est venue et pas que pour voir l’appartement !) Bon, il faut faire deux ou trois aménagements, mais ça va aller. »
Le mari a depuis longtemps quitté la conversation, mais Geneviève lui rappelle qu'il devra participer à l'aménagement. Décidément, il va falloir qu'il travaille pour que sa femme puisse le tromper avec une autre femme ! Je dois dire que je me marre intérieurement et je propose aussitôt d'aider.
L'affaire étant conclue, tout le monde est satisfait. Le mari, débarrassé de la corvée de « surveillance », la fille rassurée que l'opération soit rentable et « correcte », la mère, qui va avoir sa maîtresse dans la maison et moi qui me marre de cette situation ubuesque, dont je suis le seul à connaître tous les secrets. Les deux lesbiennes vont pouvoir se gouiner tranquillement !
Dans la semaine qui suit, nous procédons à l'aménagement de ce qui devient un petit appartement. Cloison de séparation, carrelage à la cuisine, peinture. Geneviève n'est pas la dernière à mettre la mettre la main à la pâte. Elle ne peut cacher sa hâte de voir les travaux se terminer.
Nous avons quasiment fini le travail, lorsque nous nous retrouvons seuls tous les deux avec Geneviève. Au cours d'une pause, je discute un peu avec ma belle-mère.

« Je crois que vous devriez faire un peu attention, lui dis-je
A quoi donc ?
Depuis quelques temps, vous êtes enjouée, joyeuse, bronzée et pleine d'allant. Vous, si réservée d'habitude, vous allez donner la puce à l'oreille des gens
Mais comment ça ? A quoi faites-vous allusion ?
Vous le savez très bien, ma chère belle-maman ! Je parle de votre relation avec la factrice.
Je ne comprends pas ! Que dites-vous ?
Bon, je crois qu’on va repasser en mode intime. Je sais très bien ma salope, que tu baises avec Ludivine et que tu as inventé cette histoire de location pour l’avoir près de toi. Rassure-toi, je n’ai rien contre, au contraire, mais tu devrais être plus discrète si tu ne veux pas que le scandale éclate !
Comment pouvez-vous vous imaginer… Moi … Avec une femme ? …Ça … Bon… d’accord… Ça se voit tant que ça ?
Mais oui, petite cochonne ! Il est vrai que je te connais un peu plus que les autres, mais, ce que je vois aujourd’hui, les autres le verront plus tard. Avec moi, tu as su te tenir, avec Pierre aussi, mais là tu es sur ton petit nuage et quand tu parles d’elle, tu transpires l’émotion.
C’est que… Je l’aime !… Oh ! Je vois que je vous choque !
Pas du tout ! Je sais que tu es une belle salope, belle-maman et que le sexe te taraude en permanence.
C’est… Votre faute aussi !
D’accord ! Mais maintenant je n’y suis plus pour rien. Allez, je suis content pour toi, elle est très jolie et puis je crois qu'elle aussi elle en pince pour toi.
Elle vous l’a dit ?
Eh oui ! Rappelles toi, c’est moi qui te l’aie présentée ! Elle t’aimait déjà !
Co… Comment Ça ? Elle ne me connaissait pas !
Tu crois ? Rappelles-toi la dernière fois que tu es venue à la maison…
Quoi ! C’était… C’était elle ?
Eh oui ! Elle a adoré te lécher et te boire. Elle a fait son enquête et m’a demandé de te la présenter sous condition de se taire sur notre relation à nous.
Mon dieu ! Et moi qui croyais qu’elle m’aimait !
A ce moment-là elle avait envie de toi, de ton corps, mais maintenant elle t’aime, autant que tu l’aimes, tu peux en être sûre ! Alors, il va vous falloir gérer la situation.
Tu peux compter sur moi pour vous aider !
Finalement, vous êtes gentil ! Geneviève se précipite dans mes bras et m’embrasse fougueusement sur la bouche. Notre baiser se prolonge, puis, revenant sur terre, elle se reprend. – Non nous ne devons pas ! Excusez-moi !
Il n’y a pas de mal ! Cela ne dépend que de toi ! Pardon de vous. Reprenons nos places.
Oui ! Nous l’avons décidé, et c’est bien comme cela que ça doit se passer. C’est assez délicat pour moi déjà. N’en rajoutons pas !
C’est vrai qu’entre un amant et maintenant une maîtresse, vous êtes « overbookée » belle-maman !
Oh !
Voyons ! Pierre vient vous voir de temps en temps toujours ?
Euh, depuis quelques jours je l’ai un peu délaissé, à cause de…
Ludivine !
Oui ! Vous devez me prendre pour une folle ?
Pas du tout ! Je suis très content que vous preniez du plaisir. Ce qui me surprend, c’est que vous soyez amoureuse ! Mais après tout, pourquoi pas, au point où vous en êtes, ne laissez pas passer cela. De toute façon vous n’êtes pas une gouine totale, puisque vous aimez toujours les hommes. Sachez que Ludivine est comme vous et que son Pierre à elle, c’est moi. Elle me raconte tout de vous. Alors, qui est le plus fou ?
C’est vrai ? Elle m’a dit qu’elle non plus ne pouvait se passer totalement d’un homme. Finalement, même si ce n’est pas normal de la part d’une belle-mère, je suis heureuse que ce soit avec vous.
Vous êtes vraiment une sacré salope Geneviève, sachez donc que votre chérie, me raconte toutes vos frasques et que j’en suis très heureux. C’est d’ailleurs elle qui m’a parlé de votre projet d’hébergement.
Que vais-je devenir ? Je m’engage dans une relation homosexuelle, qui en plus me rend follement amoureuse et mon amour couche avec mon gendre, avec lequel j’ai entretenu des relations coupables ! Je suis complètement folle ! Aidez-moi, s’il vous plaît !
Écoutez belle-maman, ce n’est pas moi qui vais vous blâmer, je suis très heureux pour vous deux.
Vous dépassez tout ce que j’aurais pu imaginer pour vous. Tous les hommes aimeraient avoir une belle-mère comme vous et si nous n’avions pas décidé, enfin surtout si vous n’aviez pas décidé, de ne plus avoir de relation, je vous baiserais bien avec votre chérie.
Mais vous vous rendez compte ? A mon âge ? Dans ma situation ?
Vous si bigote et collé-monté ! La personnification de l’épouse, de la catholique pratiquante et de la mère modèle ! Si les gens découvraient le quart de ce que vous êtes capable de faire ils ne le croiraient pas. Moi par contre, j’aimerais bien vous voir toute bronzée de partout.
N’y pensez même pas !
Je demanderai à Ludivine de vous prendre en photo.
Vous allez en faire quoi ? Me faire chanter ensuite ?
Vous me connaissez bien mal, belle-maman ! Non je me branlerai dessus ! Allez ! Nous sommes seuls, faites-moi ce plaisir. Il suffit d’enlever cette blouse, je sais que vous êtes nue dessous, je bande depuis deux heures, regardez ! Je me lève et baisse mon pantalon. Geneviève, comme je m’y attendais, ne résiste pas, déboutonne sa blouse, et baisse la culotte que tout de même elle portait.
Vous êtes content ? Vous voyez que je n’étais pas nue.
Je savais pour la culotte. Vous êtes superbe belle-maman ! Il faut que je me branle, faites de même en face de moi ! Ce n’est pas une relation sexuelle, on ne trahit pas notre parole ! »
Geneviève s’assoit sur le canapé et je reste debout face à elle. Déjà sa chatte est ruisselante, toute bronzée elle est superbe. A deux mètres d’elle, je me branle vigoureusement, sachant qu’elle jouit rapidement. Nous parvenons à l’orgasme quasi en même temps. Ma belle-mère giclant fortement, preuve de l’intensité de sa jouissance. Je m’approche d’elle pour venir me vider sur son corps alangui.
Prenant mon portable, j’appelle Ludivine et lui demande de venir, pour un détail dans l’aménagement de son appartement. Je ne sais, si elle attendait cela, mais il lui faut moins de cinq minutes pour arriver. Elle nous trouve tous les deux nus sur le canapé. J’ai demandé à Geneviève de rester nue et je demande à sa maîtresse de lécher mon sperme sur son corps, ce qu’elle s’empresse de faire. Une fois fait, elle embrasse Geneviève sur la bouche. J’ai même l’impression que les deux femmes m’oublient un peu, ce qui ne me dérange pas, d’autant que le spectacle est superbe.
Lorsqu’elles se séparent enfin, je demande à ma belle-mère de dire à Ludivine ce qu’elle m’a dit auparavant. Rougissante, elle hésite puis finalement, lâche :
« Ludivine, mon amour, je vous aime et je ne veux plus vous quitter ! » Je dis à Ludivine de répéter cela à sa maîtresse.
« Geneviève, mon amour, je vous aime et je ne veux plus vous quitter !
Je vous déclare unies ! » dis-je alors sur un ton officiel. Les deux femmes se regardent intensément.
C’est un peu comme un mariage ! Déclare Ludivine toute émue.
Oui ! C’est une union, un peu spéciale, mais je crois que cet amour qui vous unit se devait d’être déclaré entre vous.
Tu es un peu le curé qui nous a unies, ajoute Ludivine
Oh ! Voyons ! Il ne faut pas parler comme Ça ! C’est un blasphème !
Dites-donc, belle-maman ! Je vous rappelle que nous avions fait de même à Toulouse. Bon ce n’était pas le curé cette fois là ! Et puis, je vous signale que vous êtes à poil, que vous vous êtes branlée devant votre gendre, qui a éjaculé sur vous et que votre maitresse, avec qui vous entretenez des rapports homosexuels, a léché son sperme pour l’échanger avec vous ! Vous ne pensez pas qu’en terme de blasphème, vous avez commis un certain nombre de péchés ?
Mon dieu, c’est vrai ! Je suis une misérable ! Je me damne par vous ! A cause de vous !
N’exagérez rien ! Ce sont les concepts de votre religion, qui ont imposé cela. Profitez de la vie, voyons ! N’est-elle pas plus agréable depuis que nous nous… connaissons ?
C’est vrai ! De toute façon si mal il y a, il est fait ! Inutile de se lamenter. Mais maintenant, il faut que vous partiez. S’adressant à Ludivine : Mon amour, je sais que vous faites l’amour avec mon gendre. Cela ne me gêne pas, car c’est grâce à lui, que nous nous sommes rencontrées. Comme moi, vous ne pouvez vous passer d’un homme. Lui m’est interdit, mais à travers vous, le lien n’est pas coupé, alors, je veux que vous continuiez.
Vous me demandez de tromper votre fille ?
Ne me dites pas que cela vous dérange, mon cher beau-fils ! Quand à vous ma chérie, venez vite emménager ici et si vous oubliez de vous laver après avoir fait l’amour à mon gendre, je ne vous en voudrais pas ! »
Les deux femmes tombent dans les bras l’une de l’autre, une petite larme d’émotion perlant de leurs yeux. Le tableau est touchant.
« Puisque nous en sommes aux mises au point, vous pourriez dire à Ludivine qui est votre amant !
Mais…
Je ne lui ai pas dis j’aimerais que cela soit vous. Puisque vous vous aimez, vous ne devez rien vous cacher.
C’est… Pierre ! Ludivine ne comprend pas tout de suite.
Eh oui ! Ma chère belle-mère se consacre aux agents de la poste !
Non ! Lui ? Je n’aurais jamais cru !
Voilà ! Maintenant, quand tu le verras, tu sauras que vous partagez la même maîtresse !
Vous m’en voulez ? Demande Geneviève
Mais non voyons ! Je vous aime ! Je ne pensais pas que… qu’il pouvait avoir une maîtresse et surtout pas vous ! Mais… Comment ?
Demandez donc à Jean !
Ah ! Ça ne m’étonne pas ! Il est encore intervenu pour lui !
Il fallait bien que je me trouve un remplaçant, depuis que Geneviève est devenue une salope. Je ne pensais pas encore qu’elle te rencontrerait
Que TU nous ferais nous rencontrer !
D’accord ! Bon, il faut qu’on termine les travaux ! On se rhabille belle-maman ?
Attend ! Dit Ludivine, Je n’ai pas goûté aujourd’hui ! »
Elle se jette à genoux devant moi et embouche mon sexe, devenu recroquevillé et, me suce, sous les yeux de ma belle-mère. Je bande rapidement et la coquine, ayant jeté quelques regards vers Geneviève et avoir constaté qu’elle ne quittait pas la fellation du regard, se lève en riant et nous jette :
- « Maintenant que vous êtes bien excités tous les deux, je vous laisse seuls pour travailler et comme votre pacte vous interdit de vous toucher ! Bon courage !»
Sur cette blague, elle nous abandonne en riant. Un peu interloquée, tout comme moi, Geneviève remet sa culotte et sa blouse alors que je me rajuste difficilement. Nos regards, en disent long sur notre frustration.
Quelques jours plus tard, Ludivine aménage dans son appartement. Je me garde bien de trop paraître, ne venant que pour des raisons valables aux yeux de tous.
Cela fait un mois que le « couple » s’est installé maintenant. Le soir venu, Ludivine monte à l’étage et les deux femmes, pelotonnées l’une contre l’autre regardent la télévision ou écoutent de la musique avant d’aller se coucher ensemble dans la chambre de ma belle-mère.
Après son travail vers quatorze, quinze heures, Ludivine a pris l’habitude de prendre une douche, puis de monter à l’étage ou Geneviève lui a préparé le repas et le couvert. Ludivine, sauf lorsqu’il fait froid dans l’escalier, arrive nue et se blottit dans les bras de ma belle-mère pour un câlin. Elle s’installe ensuite à table et Geneviève la regarde manger en parlant. Elle, a en effet déjeuné avec son mari. Souvent, et c’est ce qu’elle préfère, elle passe sous la table, pour lécher la chatte de Ludivine. Cette position de soumission, apporte à ma belle-mère un surcroît d’excitation qu’elle calme en se masturbant pendant le cunnilingus.
Ce rituel est bien en place et un jour il failli les trahir !
Le frère et la belle-sœur de Geneviève était en visite et prenaient le café avec elle, lorsque la maîtresse de maison entend le retour de la factrice au sous sol. Elle se trouble et pour ne pas le faire voir, elle va à la cuisine chercher une babiole. Au retour, elle ouvre la porte vers l’escalier et dit assez fort « C’est ma jeune locataire qui rentre du travail, comme si elle s’adressait à ses visiteurs. Elle espère que Ludivine a entendu et allumant la lumière de l’escalier, elle laisse la porte ouverte. Voyant une serviette qui traîne, elle la lance dans l’escalier, espérant que tous ces indices vont alerter sa locataire et que, la porte ouverte lui permettra d’entendre que Geneviève n’est pas seule.
Ludivine expliquera plus tard que, la lumière, puis la serviette ensuite, lui ont mis la puce à l’oreille. Continuant à monter, la porte ouverte, ce qui n’arrivait jamais, l’a faite s’arrêter, elle allait tout de même avancer pensant que peut-être Geneviève avait eu un malaise – oh ma chérie vous avez eu peur pour moi ? Comme c’est mignon ! – C’est à ce moment, qu’elle a entendu parler. Comprenant, à la voix masculine qu’il s’agissait de visiteurs, elle a refermé la porte tout doucement, est redescendue et à éteint la lumière.
C’est Geneviève elle-même qui viendra plus tard la chercher. Les deux femmes ont eu une peur rétrospective et ont mis en place un stratagème, uniquement reconnaissable par elles, permettant d’éviter de se faire surprendre. Néanmoins, depuis ce jour, Ludivine monte en peignoir, toque à la porte et demande en entrebâillant « Geneviève, vous êtes là ? » Ce qui, dans le cas où quelqu’un se trouverait dans la maison, laisse la possibilité d’un prétexte.
Les moments les plus difficiles pour les deux amantes, étaient lorsque les s de Geneviève venaient passer le weekend. Elles ne pouvaient se voir, tout en étant si proches. Une nuit, Geneviève était bien descendue discrètement et les deux lesbiennes s’embrassaient et se caressaient lorsqu’elles entendirent quelqu’un aller aux toilettes. Arrêtant tout mouvement, elles sont restées longtemps après le retour de l’intrus dans sa chambre, pour être sûres que personne n’entendrait Geneviève remonter discrètement. Elles n’ont plus renouvelé l’expérience.
Souffrant trop de cette situation, Ludivine s’arrangeait dans ces cas-là, pour ne pas être présente. N’ayant pas de famille proche, elle allait voir des amies. Une fois, profitant d’un de mes déplacements, elle a passé la semaine avec moi. Le soir, depuis l’hôtel, nous appelions Geneviève alors que nous baisions. Ludivine au combiné, les deux femmes s’excitaient mutuellement, ma belle-mère se branlait allègrement et Ludivine gémissait sous mes assauts. Je les traitais de salopes ce qui rendait folle ma belle-mère, car elle ne pouvait non plus se soulager avec Pierre, du fait de la présence de ses s.
L’arrivée de petits s allait faciliter la présence de Ludivine à l’étage. En effet, les deux femmes prétextèrent que la jeune fille aidait à surveiller les petits, permettant à Geneviève de s’occuper de la maison. Au fil du temps, plus personne ne s’étonnait de la trouver en compagnie de sa logeuse. La coquine me raconta un jour, qu’elle avait observé Pierre faire l’amour à sa maîtresse, cachée derrière les rideaux du salon. Geneviève avait pour une fois, réussi à faire entrer son amant dans le couloir, lui, qui la prenait habituellement dans la véranda. Lorsqu’il partit, Ludivine s’est précipitée au pied de sa maîtresse pour lécher sa chatte pleine du sperme de son amant, avalant le mélange des deux jus intimes. Bien sûr elle se fait copieusement arroser par Geneviève follement excitée de s’être montrée ainsi faisant l’amour.
Ma belle-mère, dans sa relation homosexuelle, se libérait complètement. L’amour qu’elle portait envers sa compagne la désinhibait complètement. C’est elle qui un jour a demandé à Ludivine de faire l’amour avec moi devant elle. Bien sûr, elle ne voulait aucun contact entre nous. Cela faisait partie de notre « pacte » Je me suis dis qu’elle aurait du mal à s’y tenir lorsque nous serions en action.
Elle a elle-même préparé son « forfait ». Je suis en déplacement pas très loin, Ludivine a posé un congé. Geneviève a prétexté deux jours de réunion dans la ville où je me trouve. Durant la journée, les deux femmes sont arrivées en voiture et ont passé le temps dans les magasins. Geneviève a offert des dessous sexys à son amante, ce qui a valu quelques essayages coquins dans une boutique, sous l’œil complice de la vendeuse qui n’a pas manqué quelques caresses sur sa jeune cliente. Elle a fini par fermer la porte de la boutique à clé pour gougnotter Ludivine sous les yeux de Geneviève qui, appuyée contre la cloison et ayant relevé sa jupe sur son ventre dénudé, se branlait sans retenue.
Le soir, les deux femmes me retrouvent à l’hôtel. Nous dînons joyeusement. A une table voisine, des représentants de commerce nous lorgnent. Entendant que nous nous vouvoyons, sauf Ludivine et moi, ils se marrent et se demandent s’il n’y a pas une ouverture avec la plus âgée des deux femmes qui a l’air également très proche de la jeune. Ils se verraient bien faire le quatrième larron dans une partie carrée. S’ils savaient ! Il faut dire que dans cet environnement où personne ne la connait, ma belle-mère se lâche, caressant souvent sa maîtresse et lui lançant des regards amoureux. A un moment je m’adresse à elle en lui disant « belle-maman » ce qui surprend certains voisins. Vers la fin du repas, Geneviève demande à Ludivine d’aller se préparer dans la chambre en me demandant de boire un café avec elle tout en fumant une cigarette. Je suis tout surpris, car ma belle-mère ne fume jamais. Malicieusement, je lui glisse à l’oreille :
« Je suis sûr que vous préfèreriez un cigare !
Je vous rappelle votre serment mon cher gendre
D’accord ! Mais ne me dites pas que n’avez pas envie !
Vous savez bien que j’en crève, cela fait partie de mon sacrifice et ma punition. Croyez bien que d’être auprès de vous me le rappelle sans cesse.
Et, tout à l’heure, quand vous verrez votre maîtresse dans mes bras, en train de se faire baiser, résisterez-vous ?
Il le faudra ! Ne rendez pas cela plus difficile ! Nous ne devons pas le faire, point.
Et si nous devons recommencer ce genre de rencontre, pourquoi n’inviterions nous pas Pierre ? Vous pourriez baiser avec lui !
Non, Pierre, vous le savez, est un exutoire et je ne veux pas qu’il soit mêlé à mon histoire avec Ludivine.
Avec moi, vous n’y voyez pas d’inconvénient ?
Avec vous, vous savez très bien que c’est différent. C’est vous qui m’avez entraînée. Vous qui m’avez pervertie, qui m’avez offerte à Pierre et à Ludivine.
Et vous le regrettez ?
Bien sûr que non ! Mais je trompe mon mari avec le facteur, je suis folle amoureuse d’une femme, je m’apprête à regarder mon gendre faire l’amour avec ma maîtresse à l’insu de ma propre fille. Vous trouvez cela normal et facile à vivre vous ?
Franchement ? Je vous trouve fabuleuse belle-maman ! Être capable de passer du statut de bigote coincée du cul, à celui d’une bacchante assoiffée de sexe. Je ne l’aurais jamais cru de vous. En plus et je vous ai déjà dis de faire attention, vous devenez de plus en plus sexy et les hommes commencent à vous regarder différemment. Votre image de bonne mère de famille vous protège encore mais cela ne vas pas durer et lorsque les langues se délient, la rumeur est difficile à arrêter.
Que faut-il que je fasse ?
Il faut que vous retrouviez un look plus « vieillot » comme vous aviez avant, très « bcbg » de dame patronnesse. Il faut que vous arriviez à gérer deux vies en parallèle.
Vieillot ! Vous avez de ces expressions !
Reconnaissez, belle-maman, que avant, vous ne vous habilliez pas à la dernière mode et les gens étaient habitués à ça. Maintenant, on vous voit un peu plus coquette. Cela ne peut qu’attirer l’œil. Je sais bien que votre état d’amoureuse vous incite à paraître plus belle pour votre chérie, en plus votre bronzage nouveau n’arrange rien, mais pensez à la tranquillité.
Je vais faire attention, vous avez bien fait de m’en parler. Maintenant il est temps de regagner notre chambre. »
En quittant la salle, je croise le regard halluciné d’un des voisins qui a écouté, plus ou moins volontairement, notre conversation et se demande où il est tombé et s’il a bien tout compris.
En arrivant devant la chambre, Geneviève me met en bandeau sur les yeux « La surprise n’en sera que meilleure » me glisse-t-elle. Ouvrant la porte elle me fait entrer et m’arrête, d’après ce qu’il me semble, au milieu de la chambre. « Ne bougez pas ! Laissez-vous faire ! »
Je sens aussitôt qu’elle déboutonne ma chemise. Je la sens tout contre moi et ce contact m’excite. Elle doit s’agenouiller et retire mes chaussures et chaussettes, s’attaque au pantalon. Grommèle un « mmmmh » en découvrant la bosse dans mon boxer et descend enfin celui-ci et le retire à son tour. Je suis nu au milieu de la pièce. Nu et au « garde à vous » « Ne bougez-pas » continue ma belle-mère. J’entends alors des bruits de vêtements, ce qui ne fait rien pour calmer mon érection.
Je sens tout à coup une bouche qui prend possession de mon gland et me prodigue une superbe fellation. Geneviève, ou Ludivine ? La bouche m’abandonne. Je sens alors le corps de Geneviève derrière moi. Pour défaire mon bandeau elle est tout contre moi et je sens son corps nu collé au mien.
Lorsqu’elle retire le tissu, je découvre Ludivine allongé sur le lit. Je ne pense pas que ce soit elle qui vient de me sucer. La maligne Geneviève, sous prétexte d’anonymat, a parjuré son serment de ne pas avoir de rapport avec son gendre ! Notre amante porte une nuisette mauve, ultra fine et courte, ses dessous sont noirs. Un soutien gorge dégageant les pointes des seins, un porte-jarretelles et des bas. Son bas ventre soigneusement épilé est découvert. La vision est superbe.
« Elle est belle n’est-ce pas ?
Très ! Et bien mise en valeur par ses dessous !
Vous, allez vous asseoir et pour l’instant, ne faites que regarder. »
Geneviève s’approche alors du lit et, à genoux, entreprend de brouter la chatte de Ludivine. C’est la première fois que je vois ma belle-mère faire l’amour à sa maîtresse et le tableau est charmant. Au premier plan, le cul de Geneviève, tout bronzé. Le buste penché sur le corps de sa maîtresse, on dirait un violoncelle et ses courbes affolantes. La tête enfouie entre les jambes, s’agite au rythme de ses coups de langue. Au dessus, Ludivine se pâme. Les mains posées sur la tête de la gouine, lui imprimant des pressions, les doigts dans les cheveux. Les jambes galbées de soie se relèvent, soutenues par les mains de ma belle-mère. La jeune femme ne tient pas longtemps et d’une main, elle se malaxe les seins, la bouche grande ouverte, cherchant de l’air.
Ludivine jouit une première fois. Je suis tendu comme un arc, lorsque ma belle-mère se recule et me fait signe. Je prends rapidement sa place et d’un seul élan, je pénètre le vagin brûlant de sa maîtresse. Geneviève se porte alors vers son visage et les deux femmes s’embrassent pendant que je lime avec force le con ruisselant de la jeune postière.
Je retourne alors Ludivine et demande à Geneviève de s’étendre sur le lit. Je fais pencher sa maîtresse sur sa fourche afin qu’elle lui rendre le service qu’elle-même lui a rendu avant. En levrette je baise la fille dont la tête bute à chaque coup sur le bas ventre de ma belle-mère. La taille est prise dans le porte-jarretelles qui tend les bas, lui faisant un écrin magnifique qui s’étale devant moi.
Geneviève jouit à son habitude en giclant fort sa mouille dans la bouche de son amante, laquelle se retournant, viens la partager avec moi. Maligne elle dit :
- « Vous ne baisez pas ensemble mais à travers moi vous allez échanger vos jus ! Allez gicle moi dans la chatte et ma salope adorée va venir le boire à ma source. »
Sur ce, elle replonge dans la fourche de ma belle-mère. J’accélère mon coït et ne tarde pas à décharger dans sa connasse. Fidèle à ses paroles, Ludivine enjambe Geneviève et vient lui présenter sa moule sur la bouche, dans laquelle elle se vide de mon sperme. Ma belle-mère ne se dérobe pas, au point que je me demande si elles n’ont pas prémédité cela dans mon dos, elle lape mon jus mêlé à celui de sa maîtresse.
« Vous êtes deux belles salopes ! » Leur dis-je alors que nous récupérons, étendus sur le lit.
« Vous me faites rire avec vos principes ! Déclare Ludivine. Vous crevez d’envie de baiser entre vous, mais vous acceptez que je sois là entre vous deux.
Nous ne devons pas ! Cela fait partie de notre souffrance pour le péché que nous avons commis ! Ajoute ma belle-mère, qui en a défini la règle.
C’est un peu limite non ?
C’est ça les principes de la religion de madame ! Mais c’est vrai que coucher avec sa belle-mère n’est pas non plus tout à fait « normal », ni moral. Nous avons décidé que depuis le mariage nous n’aurions plus de rapports sexuels et nous nous y tenons. Maintenant, ce n’est pas moi qui ai organisé cette soirée. Ce que je voulais, c’est vous voir faire l’amour entre vous comme les deux gouines que vous êtes ! En plus je ne suis plus opérationnel.
Et d’après toi, c’est nous qui sommes des salopes ! Déclare Ludivine en riant. Tu as de la chance j’ai très envie qu’on se prenne en ciseaux. Ma chérie vous voulez bien ?
J’adore quand vous vous vouvoyez en baisant « S’il vous plait mon amour, enculez-moi ! » Ça fait vraiment top.
Vous savez bien que je n’aime pas tutoyer. Se défend ma belle-mère.
Oui, mais avec des gens plus jeunes, vous le faites, alors avec votre maîtresse Ça me paraissait naturel.
Moi j’adore qu’on se vouvoie, même dans l’intimité ajoute Ludivine. Et puis comme ça on ne se trahira pas !
D’accord, d’accord ! »
Je laisse ma place dans le lit et m’installe dans le fauteuil pour assister au spectacle.
Le début est un peu difficile. Geneviève n’arrive pas à se débloquer « C’est votre présence » me dit-elle. Petit à petit, malgré tout, les deux femelles m’oublient. La femme mûre, aux formes voluptueuses et la plus jeune « déshabillée » dans ses dessous sexy, forment un duo des plus excitants. Elles s’embrassent, se caressent les seins et le corps. Franchement, le spectacle est très beau et je regrette de ne pouvoir faire de photos. Les mains cherchent les moindres recoins, pour finalement trouver des clitoris enfiévrés ! Les deux gousses se branlent, puis, comme le désire Ludivine se positionnent face à face, les jambes entremêlées les « clitos » l’un contre l’autre dans la pose préférée des lesbiennes.
Rapidement, à son habitude, Geneviève jouit en inondant les draps, mais les deux gouines continuent et plusieurs fois se font jouir. A la fin, je n’en peux plus et je viens me finir sur elles. Ludivine se précipite sur ma queue pour récupérer mon foutre. Elle attire ma belle-mère pour qu’elle vienne elle aussi s’abreuver, mais celle-ci résiste et c’est sa maîtresse qui échangera mon jus avec elle dans un baiser farouche.
- « Vous êtes trop conne ma chérie, dit-elle en riant, mais j’admire votre volonté. »
Nous dormons tous les trois après avoir enlevé les draps trempés. Ludivine entre nous.
Au petit matin je laisse les femmes dormir, leur disant que la chambre doit être libérée à onze heures. Le réceptionniste se marre lorsque je le paye en disant que la chambre n’est pas tout à fait libre.
Après cette expérience, et en avoir discuté avec Geneviève nous décidons de ne pas la renouveler, elle m’avoue, et je suis d’accord avec elle, qu’elle a eu beaucoup de mal pour résister à baiser avec moi. Nous serons donc raisonnables. Il faut bien absoudre ses péchés !
Il y a bien eu une dernière expérience « limite » avec les deux amantes. Décidément, lorsqu’on ouvre une porte à une femme coincée, il faut s’attendre à tout !
Madeleine sa cousine, et Geneviève se voyaient maintenant de temps en temps. Venant chez ma belle-mère, la futée s’est vite rendue compte des liens étroits entre Geneviève et sa jeune locataire. Interrogeant sa cousine, elle finit par lui faire avouer leur amour. Loin d’être choquée, elle lui propose malicieusement, de venir chez elle, profiter du petit « nid d’amour » qu’elle connait bien.
Les deux amoureuses vont profiter plusieurs fois de cette opportunité, ma belle-mère prétextant toujours sa phobie de conduire pour emmener sa chérie. Geneviève se doutait bien que sa cousine en profitait pour les mater, comme elle l’avait fait pour nous. Un jour, elle l’a surprise. Madeleine, penaude, lui confiant la «jachère » de sa vie sexuelle, la supplie de la laisser regarder.
« Tu es tout de même ma cousine ! Lui dit Geneviève.
Tu ne t’es pas gênée pour baiser ici avec ton « presque » gendre ! Lui rétorque l’autre.
Un à un ! Que va-t-on faire ?
J’ai une idée ! Suggère alors Ludivine. Les deux femmes la regardent interloquées. Madeleine, tu aimes les femmes ?
Non ! Bien sûr ! Mais j’aime vous regarder !
C’est donc un homme qu’il te faut !
O… Oui…
J’en ai un pour toi !
Qui ? Demandent les femmes simultanément.
Vous ne vous en doutez pas ? Jean, bien sûr ! Je vous explique. Il est mon amant. Il a baisé avec Geneviève et il aime aussi les femmes mûres. Je suis sûre que si je propose à ce vicieux de baiser Madeleine, à côté de nous, il va se précipiter.
Il ne voudra jamais de moi ! S’écrie Madeleine. Je ne suis pas à son goût !
Ça détrompes-toi ! Tu as un peu ma silhouette, tu es la cousine de Geneviève, il ne lui en faut pas plus pour bander à ce salaud ! Je m’en occupe. On va arranger ça ! »
A leur retour, Ludivine me parle de son plan. Un peu surpris au départ, puis amusé que ce complot vienne des femmes pour une fois, je donne mon accord. Nous coordonnons l’un de mes déplacements sur Toulouse avec une visite des deux femmes chez la cousine, pour nous retrouver chez elle.
La chambre d’hôtel que je dois occuper va rester inutilisée, c’est ma société qui paye. Chaque soir après mon travail, je retrouve les trois femmes chez Madeleine.
Les débuts sont difficiles. Tout le monde sait que je viens baiser la cousine, qu’auparavant je ne faisais que rencontrer. Geneviève et Ludivine l’ont « préparée » à mon goût : dessous coquins, robe sexy et je le découvrirai plus tard entièrement épilée.
Un peu d’alcool pour détendre l’atmosphère et Ludivine qui embrasse alternativement ma belle-mère et puis moi. Solennellement, elle se lève, me prend la main et m’amène à Madeleine.
« Je t’offre mon amant ! Celui qui a baisé ta cousine. Il va te baiser et te faire jouir. Lâches-toi !
Je… Je voudrais être…seule avec lui ! J’ai un peu honte !
D’accord ! Mais vous viendrez dans la chambre à côté de la nôtre dans le gîte. J’ai envie d’entendre un peu ! Après tout, tu nous mates bien quand on fait l’amour avec Geneviève ! »
Ludivine rejoint ma belle-mère sur le canapé et les deux gouines s’embrassent et se caressent sans tenir compte de nous.
Je laisse Madeleine les regarder un peu, puis l’embrasse à mon tour. Elle est sur la réserve et met du temps à répondre à mon baiser. Mes caresses sur sa poitrine, la décontractent peu à peu. Ludivine qui a tout préparé déclare alors qu’elle a envie de baiser avant de manger. Elle entraîne Geneviève avec elle dans le gîte et nous demande de les suivre.
Prenant la main de Madeleine, je la fait lever et nous suivons les deux gouines sur le court chemin de la maison au gîte.
Ludivine et Geneviève n’ont pas fermé la porte de leur chambre et nous demandent de faire de même. « Les soupirs des uns exciteront les autres » glisse la jeune femme.
Je reprends ma conquête de la cousine de ma belle-mère. Maintenant que nous sommes seuls, elle se laisse aller plus facilement. Je la dévêts rapidement. Connaissant mes goûts, les femmes lui ont fait revêtir des dessous noirs un soutien gorge un peu petit, faisant ressortir sa poitrine menue; des bas autofixants, aucune culotte ne couvrant son mot de vénus glabre.
Dans l’autre chambre, les soupirs se font déjà entendre. Je suppose, à juste titre, que les deux femelles en rajoutent un peu, même si d’habitude elles ne font pas preuve de retenue.
Madeleine est plutôt passive et je dois m’employer. Je retire mes vêtements tout seul et plonge dans sa fourche pour m’abreuver à sa source intime. Elle réagit bien, même si ce n’est pas une fontaine comme Geneviève, sa chatte suinte bien tout de même.
Madeleine est une petite femme, avec des petits seins.Ses fesses et ses jambes musclées lui donnent un air d’adolescente. Elle ne pèse pas beaucoup et la soulever est facile, aussi, je la prends dans mes bras, elle accroche ses bras à mon cou et se laisse descendre sur ma queue bien raide. Sa position, jambes nouées autour de ma taille, facilite l’accès. Je guide juste mon gland sur l’entrée et Madeleine glisse toute seule jusqu’au bout. C’est elle qui monte et descend sur ma verge et je découvre la capacité intime de cette femme, dont les muscles internes serrent à volonté ma tige turgescente. Une espèce de pompe. Je marche ainsi dans la chambre, la collant parfois contre le mur pour la pénétrer avec plus de force.
Au début, je suis un peu frustré, car Madeleine ne semble pas jouir. Elle soupire, pousse de petits cris, mais ne se lâche pas. Pourtant, elle me le confirmera plus tard elle connaît plusieurs orgasmes. Simplement chez elle, rien ne paraît. En fait, Madeleine, depuis toujours, a caché ses orgasmes, pensant que c’était mal et c’est devenu une seconde nature chez elle. Je l’encourage au contraire, à manifester son plaisir, car c’est très valorisant pour son partenaire. Petit à petit, elle parviendra à l’exprimer de façon plus voyante.
Malgré son poids léger, le coït debout reste fatigant, aussi je la dépose sur le lit et en profite pour la prendre en levrette. Devant moi, le petit corps de Madeleine ressemble à celui d’une adolescente malgré sa cinquantaine bien entamée. Elle est en effet plus âgée que ma belle-mère. Dans cette position, je peux la prendre plus fort. La tête dans le dessus de lit, elle couine.
C’est à ce moment que Geneviève et Ludivine, enlacées et toujours nues s’approchent. Elles nous observent s’embrassant de temps en temps. Ludivine pose même sa main sur mes fesses pour accompagner le mouvement.
Il ne m’en faut pas plus jouir au fond de la caverne de Madeleine. Ludivine m’embrasse alors et Geneviève fait la bise à sa cousine. Celle-ci se retourne d’un bloc et se pelotonne, tentant de cacher sa nudité.
« Non ! Ne me regardez pas !
Pourquoi te caches-tu ? Tu vois que nous sommes nues et tu nous a déjà vues petite coquine !
Je ne suis pas belle !
Parce que tu crois que si mon vicieux de gendre ne te trouvait pas belle il te baiserait comme il vient de le faire ? Et moi, tu ne me trouves pas grosse ?
Oh non ! Tu es très belle !
Pour toi peut-être et pour ces deux jeunes ici aussi, mais tout le monde ne pense pas pareil. Alors arrête un peu de te cacher et viens ici que je te félicite d’avoir fait l’amour à mon gendre. »
Les deux cousines, nues, se serrent l’une contre l’autre. Il n’y aura jamais de contact plus poussés entre elles mais elles ne seront pas gênées de se voir ainsi à l’avenir.
Ludivine décide que nous allons rester ainsi pour dîner afin de revenir ici de baiser les uns à côté des autres afin de se voir en pleine action. « C’est tellement excitant de voir les autres baiser ! »
C’est ainsi, que nous ferons du « côte à côtisme » durant la semaine et à quelques occasions par la suite. Cela ne nous empêche pas, également à Ludivine et moi de baiser ensemble sous les yeux des deux cousines, Geneviève se mêlant à nos jeux mais uniquement avec son amante. Je viendrai aussi parfois tout seul à l’occasion de déplacement dans la région, faire du bien à ma « cousine » par alliance comme nous disions en riant.
Une seule fois cela se passât chez ma belle-mère. J’étais venu chercher mon fils encore bébé alors que Madeleine était en visite pour quelques jours, Je suppose d’ailleurs que Geneviève avait prémédité cette rencontre. Elle nous propose de garder seule le bébé, nous laissant sa chambre pour « batifoler » un peu. Je ne sais si c’est le lieu, la situation ou le danger, mais ce jour là, Madeleine a crié plus fort que d’habitude. Geneviève s’est gentiment moquée d’elle à notre retour
« Eh bien, ma chérie ! Tu en as bien profité ! Tu étais en manque ! Vous m’avez bien excitée tous les deux, vivement ce soir que Ludivine me cajole !
Vous êtes une salope belle-maman ! Je suis sûr que vous êtes trempée ! Faites attention à votre petit-fils tout de même ! »
Prête à se fâcher, elle se rend compte heureusement que je plaisante. Je laisse les deux femmes en promettant à Madeleine de venir la chercher le lendemain, avant son départ, pour une petite escapade dans les bois.
Six ou sept ans plus tard, la santé de Madeleine a décliné. Je l’avais trouvée fatiguée lors de mon dernier passage et en avais parlé à Geneviève. Effectivement, quelques mois plus tard elle était hospitalisée et ne s’est jamais relevée.
Pour son enterrement, j’étais déjà séparé de ma femme, mais, mes rapports avec ma belle famille restaient courtois. Bien entendu, ni mon beau-père, ni ma femme ne pouvaient se libérer pour les obsèques. Je proposais donc d’emmener Geneviève et Ludivine. Ce jour-là nous fîmes l’aller et retour dans la journée. Nous étions surement les plus peinés de l’assistance. Après la cérémonie, nous avons demandé d’aller tous les trois, voir le cottage. Là, serrés les uns contre les autres, nous avons pleuré en pensant à ce que nous y avions vécu, sachant que c’était la dernière fois que nous y venions. Geneviève a cueilli une bouture pour planter un souvenir de Madeleine dans son jardin.
Pendant dix ans Ludivine va rester la maîtresse de ma belle-mère. Dans la famille « je ferme les yeux » c’est presque devenu naturel de voir la factrice installée à demeure, voire parfois, de participer à une réunion de famille. Pourtant, il était facile de voir la connivence, quelques regards et même des attouchements entre les deux !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!