Soumise A Mon Maitre 5

On est mercredi les jours passent, j’ai eue beaucoup de mal à me remettre de ma punition brutale, les jours qui ont suivis ma punition ont été difficiles, la douleur était persistante mais depuis quelques jours la douleur est moins intense et mes fesses commencent à retrouver leur couleur naturelle et les marques commencent à disparaître, je n’ai pas été punie depuis, le maître est toujours dur avec moi,et je commence à accepter petit à petit ma condition de soumise, le maître m'a éduquée à la fellation, il m'a aussi pénétrée et m'a à nouveau sodomisée, j’ai toujours mal mais je commence à m’habi,
Aujourd'hui c’est la rentrée, je me dis que je vais pouvoir avoir un peu de répit,
Je me lève à 5h45, je vais me laver pendant mon battement de 5 minutes je mets ma tenue de service, je fais le ménage de la chambre et du salon, je prépare le petit déjeuner et je le sers, une fois ces tâches finies, je nettoie la cuisine et je vais dans ma chambre pour me préparer,
Je rentre dans ma chambre et je vois une robe noire étendue sur le lit un porte jarretelles, des bas et à côté de la robe il y a une paire de chaussures, la curiosité me fait ouvrir la boîte de chaussures, dès l’ouverture de la boite je suis sous le choc, je me dis que je ne vais jamais pouvoir les porter toute la journée, ce sont des escarpins plateformes noires à talons vertigineux et dorés, il y a une bride couleur or au de la cheville, ils font au moins 17 cm minimum voir plus,
Je commence par mettre mon porte jarretelles à 6 attaches, je mets mes bas nylons noirs que j’attache au porte jarretelles, je mets ma robe noire très décolletée à dos nu et à bretelle croisée dans le dos,,il y a des lacets qui parcourent le dos,
la robe m’arrive 10 cm en dessous des fesses, elle est tellement courte qu’on voit les attaches de mon porte jarretelles et le revers de mes bas,
Je mets les talons, ils me font mal au pied, la cambrure de mes pieds me fait aussi mal aux chevilles, ces talons me font remonter les fesses, me font aussi ressortir mes seins, j’ai du mal à garder l’équilibre pour ne pas tomber, j’ai la sensation d'être très désirable,
je me lisse les cheveux, je mets du fond de teint de couleur claire, du fard à paupières de couleur rose, du crayon sous le contour des yeux et je mets du gloss rose , je me sens très féminine, et je me prends la bouteille de parfum la petite robe noire, je mets des boucles d’oreille créole dorées, je mets aussi des bracelets de couleur or au niveau de mes poignets,
J’ai l’impression d'être habillée comme une cagole et je me sens désirable,
Je vais me regarder dans le miroir, je me trouve très sexy, je me trouve belle par rapport à ma tenue de service, j’aime bien la tenue et je vois que Mr Marchand entre dans la chambre,il me dévore des yeux et je sens que je lui plais beaucoup, il me demande de tourner sur moi même, il en profite pour vérifier si ma chambre est propre et bien rangée, il s’approche de moi et vérifie si je n’ai pas de sous vêtements en passant sa main sous la robe et en caressant mes fesses, il en fait de même pour ma poitrine,
Mr Marchand me donne un sac à main et me dit de mettre des mouchoirs, du nécessaire de maquillage, un petit miroir de poche, une brosse à cheveux, un porte monnaie, il me donne un téléphone portable, ma carte d’identité, un préservatif, je mets un agenda, mon inscription, des crayons, et le nécessaire pour pouvoir étudier,
Je regarde dans le téléphone et je ne vois qu’un seul numéro de téléphone,
- Tu ne peux faire qu’un seul numéro et c ‘est le mien, c’est un téléphone spécial que je t’ai donné, et la carte d’identité tu me la rendras à la fin de la journée,
- Oui maître, merci maître,
- Je vais t’emmener, la voiture est dans le garage,
- Merci maître,

Je sors de la chambre avec mon sac à mains, je traverse le salon et la cuisine et je prends les escaliers pour descendre dans le garage, marcher avec ces talons est une vraie épreuve d’équilibriste tellement ils sont hauts, ils me font aussi très mal à la cheville, Mr Marchand me suis, arrivée à la fin des escaliers Mr Marchand m’ouvre la porte de la voiture, il me regarde m’asseoir et et fait le tour de la voiture pour monter dedans, il démarre la voiture et me demande d’écarter les jambes afin qu'il puisse me caresser la chatte durant le trajet, j’écarte machinalement les jambes et je me laisse caresser comme la soumise que je suis, je suis habituée et je commence à aimer etre dominee, j’aime la sensation de sa main sur moi,
Mr Marchand sort du garage et part en direction de la fac, le trajet est court et je sens que mon maître aimerait bien plus que me caresser la chatte mais il se retient, une fois arrivés devant la fac Mr Marchand arrête la voiture et me dit de descendre, il y à beaucoup de monde dehors, j’ai le rythme cardiaque qui augmente, je dois faire très attention quand je descendrais de de la voiture, je pose d’abord mon pied droit par terre ensuite j’essaie de pas trop écarter les jambes pour qu’on ne voie pas que je n’ai rien dessous, dès la sortie de la voiture, tous les regards sont portés sur moi, entres les garcons qui me reluquent en bavant et les filles qui me dévisagent comme si j’étais une pute, je ne suis pas du tout à l’aise, j’ai peur de tomber, j’ai honte, je traverse l’allée, j’ai le regard fixé au sol le sac à main contre mon ventre , j’essaie de ne pas trop écouter l’environnement extérieur mais j’entends des sifflements, j’entends les mêmes types de murmure qu’à la boulangerie, regarde comment elle est habillée elle pourrait porter des vêtements, et t’as vu ces chaussures de putes, j’entends aussi les t’as vu ses seins ouah et son cul je lui peterais bien à cette salope, si les garçons qui disent ca savaient réellement ce que j’avais subie ils rêveraient de me le faire subir, j’ai un petit sourire en coin quand j’entends ce type de murmure,
Je rentre dans le bâtiment j’attends devant amphithéâtre, je me mets dans un coin,je me passe la main dans les cheveux pour me recoiffer je sens les meme regards que dans l’allée, regard lourds, les garçons se murmurent des choses entres eux, je ne sais pas ce qu’ils se disent mais je suppose qu’ils parlent de moi, j’essaye de cacher mes jambes avec mon sac mais ca n’empeche pas les regards sur moi, je voudrais qu’ils arrêtent de me regarder comme une bête de foire, je suis très gênée, je voudrais que les portes ouvrent rapidement,
Un garçon s’approche de moi, j’ai peur de ce qu’il va me dire
- Bonjour, je m’appelle franck,
- Bonjour,
- Tu t’appelles comment ?
- Noémie,
- C’est possible d’avoir ton numéro de téléphone,
- Non désolé,
- Allez vas y tu vas pas le regretter
- C’est toujours non
- Tu vas me dire qu’une jolie fille comme toi cherche rien?
- Non je cherche rien
- Habillée comme ca tu cherches rien ?
- non
- Vas y salope,
Franck retourne auprès de ses copains et je l’entends me traiter d’allumeuse frigide, il dit aussi à ses potes celle la je vais lui péter le cul avant la fin de l’année ca lui fera du bien à cette salope, avec un sourire en coin en me regardant,
J’ai encore plus honte et je énervée par son comportement, je sais que ma tenue est provocante mais ca ne lui donne pas le droit de m’insulter sans me connaître ni savoir pourquoi, je m’éloigne de la porte et j’essaie de me mettre dans un coin plus discret,
Les portes s’ouvrent, les étudiants s'engouffrent dans l'amphithéâtre je cherche les places les plus au fond, mais il n’y en a pas de disponible et je n’ai pas d’autres choix que de mettre dans les rangées du milieu, je me mets en bout de rangée, je m’assois en serrant les jambes et dès que je peux je croise les jambes et je mets mon sac sur les genoux, au bout de 30 secondes un garçon me demande si je peux me lever pour le laisser passer, il en profite pour jeter un coup d’oeil dans mon décolleté, je ne lui dis bien sur, je décroise les jambes et je les serres, je me lève et je le laisse passer,il me dit merci avec un sourire en coin,il y a des garçons et des filles qui me demandent la même chose, je me relève et je me rassois toujours avec précaution les garçons me frôlent plus que les filles, je me rassois en prenant les mêmes précautions que la 1ére fois pour m’asseoir, je vois des garcons qui se retournent et qui essaient de voir la couleur de mes sous vêtements, je suppose qu’ils se sont mis la pour profiter de la vue, il y à beaucoup de garçons autour de moi, j’ai l’impression d'être une attraction, ca me flatte et à la fois je suis perturbée par ça, je sais que c’est à cause de ma tenue qu’ils me regardent,
Le cours dure 2 heures et se passe plutôt bien, on nous annonce notre planning, à la fin du cours la cloche sonne, tout le monde se relève, les étudiants qui étaient au 1 er rang remontent très vite et je vois dans les yeux des garçons qu'ils me matte de façon insistante alors que les filles me regardent mais avec dénigrement, je décroise les jambes très rapidement en mettant mon sac pour me cacher, je serre bien mes jambes et je me lève, je commence à prendre les escaliers pour sortir de l'amphithéâtre quand je sens qu'on me met une main au cul, il est impossible pour moi de savoir qui c’est, je sors de l'amphithéâtre
Il est temps pour nous d’aller manger, je décide d’aller aux toilettes avant d’aller manger,
je rentre dans les toilettes, il n’y à personne, le bruit de mes talons aiguille sur le carrelage fait beaucoup de bruit, ce n’est vraiment pas discret; je rentre dans le 1er box de toilette, je ferme la porte et je la barre, je prends du papier toilette que je passe sur la cuvette pour nettoyer la cuvette , je relève ma jupe et je m’assois sur la cuvette, je pose mon sac sur les genoux, je suis heureuse de constater que mes fesses ne me font presque plus mal je fais pipi, je m’essuis, pour le coup c’est pratique de ne pas avoir de sous vêtements, j’entends la porte des toilettes qui s’ouvre, je me relève, je mets mon sac sur l’ épaule et je réajuste ma robe, je réajuste la couture le long de ma jambe ainsi que les attaches, je débarre la porte et je sors, à ce moment là franck est en face de moi et m’attend, il me plaque contre le lavabo et me tripote comme si j’étais un bout de viande, il commence par me tripoter les jambes à travers mes bas puis remonte jusqu’à mes fesses pour les malaxer par dessous ma robe, là il s'aperçoit que je ne porte rien dessous, hum une salope jusqu’au bout j’adore, ensuite il remonte ses mains malaxe mes seins, tout en me sussurant dans l’oreille, des salopes comme toi je les baise et je les retournes pour leur faire le cul, et pendant ce temps la il me prend la main pour la mettre dans son boxer pour me montrer que je l’excite,
Je suis apeurée, il me terrorise, je ne sais pas comment me comporter, je ne m’attendais pas du tout à ca au sein de la fac, je veux lui mettre une grosse gifle mais si je le fais j’ai peur qu’il ne répète à tout le monde, la gifle part toute seule et claque bien, on voit la marque de ma main sur sa joue, à ce moment la je vois son visage et le regard noir, il me dit que j’ai fait une erreur et que ca se paiera, franck sort des toilettes trés enervé, j’ai peur qu’il ne répète à tout le monde que je ne porte rien sous la robe, je ne veux pas avoir avoir une réputation de salope et que tous les garçons m’accostent, je me lave les mains, j’essaie de calmer ma respiration, je sors des toilettes et je vais en direction du restaurant universitaire, je regarde si franck n’est pas dans le coin, je ne le vois pas, je valide une carte restaurant en mettant de l’argent dessus, j’arrive devant la file d’attente pour manger, mes talons ne me rendent pas discrète, tout comme ma tenue, je suis très gênée, dans la file je ne peux pas me cacher.

Tout le monde peut matter mon dos nu, mes talons aiguilles et mes bas couture. je prends de la salade, un petit bout de pain et un dessert, je prends mon plateau et je m’assois à une table toute seule dans un coin, je commence à manger et 3 minutes après que je me sois assise, je vois franck et son groupe d’amis qui s’assoient à quelques tables de moi, je le vois rigoler avec ses copains et jouer avec le pain, il met son doigt dans le pain et lui fait faire des allers retours tout en me regardant et en rigolant, je ne sais pas quoi faire j’hésite entre partir et laisser mon repas ou essayer de l’ignorer, je vois que des amis de franck essaient de jeter un coup d’oeil sous ma table, ils ne sont pas du tout discret et font ca ouvertement, je décide de manger vite pour ne plus les voir, je finis de manger ma salade et je mange mon dessert rapidement, je me relève et essaye de réajuster ma robe discrètement, c’est à ce moment la que j’entends des sifflements, tout le monde se retourne, j’ai l’impression que tout le monde me juge, je rougis et je prends mon plateau et j’essaye d’aller le plus vite possible pour aller le poser, je sors du restaurant très énervée et honteuse aussi, je veux me réfugier dans un coin tranquille loin des regards et loin des gens, je m’assois sur un banc, mes nerfs lachent et je pars en sanglot, mon maquillage coule, je me demande comment je vais pouvoir supporter tout ca toute l’année, je me sens seule et abandonnée, il va falloir que je m’y habitue car ‘est le maître qui m’oblige à porter ce genre de tenue tous les jours et c’est ma seule solution pour avoir un toit, et si franck ou d’autres personnes me mettent la honte comme ca je vais devoir subir la situation et encaisser, au bout de quelques minutes je me calme, je me force à avoir une respiration plus calme, ce qui me fait redescendre mon stress, je prends mon petit miroir de poche et je me remaquille,
Il va bientôt être l’heure des travaux dirigés, je me lève et réajuste à nouveau discrètement ma robe, je me dirige vers les bâtiments pour aller en cours, je me dirige vers la salle de cours, je marche le long du mur dans les couloirs avec la peur de revoir franck, en tenant mon sac contre mon ventre, la salle n’ouvre que dans quelques minutes, franck attend devant la salle de cours avec une 20aine de personnes , je le vois et il me voit, je recule de quelques pas, j’ai le coeur qui accélère, je me demande ce que j’ai fait pour avoir aussi peu de chance comme ca, la salle de cours s’ouvre et comme je rentre parmi les derniers il ne reste plus que les places de devant, je me mets dans les rangs de devant, on me lance des boulettes de papier par derrière, je me retourne et je vois que c’est franck, sur les boulettes que j’ai reçue, il y a des inscriptions comme salope, chienne, je vais te baiser, je n’y prends pas trop attention et je me concentre sur le cours, je me dis qu’en l’ignorant il va finir par se lasser, le cours de 2h se finit, la cloche sonne, tout le monde se lève pour sortir, je sors parmi les derniers afin d’éviter une main au cul comme pour le 1er cours, je me dirige vers la sortie du bâtiment, je me mets dans un coin discret pour appeler le maître,
- Maître mes cours sont finis, pouvez vous venir me chercher, s’il vous plaît,
- J’arrive, je te prends la ou je t’ai laissé
- Oui maître, merci maître,

Mr Marchand arrive 2 minutes après mon appel, je le vois arriver et je me rapproche de la voiture, j’ouvre la porte et je monte dans la voiture avec toutes les précautions pour qu’on ne voit pas que je ne porte rien,une fois montée dans la voiture, il y à un mélange rassurant et stressant à la fois, je suis rassurée car je ne vais plus pouvoir entendre des mots blessants de la part des autres et à la fois le maître est tellement dur avec moi,
Mr Marchand roule et me demande d’écarter les jambes pour à nouveau me caresser, j’obéis à nouveau machinalement à l’ordre donné, et tout en roulant, il commence à me mettre un doigt dans la chatte, je me laisse aller et je commence à aimer ça, Mr Marchand roule plus vite que ce matin, il arrive au portail, attend qu’il s’ouvre s’engouffre dans l’allée et ferme le portail et se gare devant le perron, Mr Marchand descend de la voiture et m’ouvre la porte, il me tend la main pour m’aider à sortir,
- Déboutonne mon pantalon et suce moi salope, j’ai trop envie de toi,
- Oui maître,

Je me mets à genoux et je déboutonne le maître et je commence à le sucer, le maître avait commencée à m’exciter ,je prends le sexe de mon maître avec ma main droite et je commence à le branler, les bracelets s’entrechoquent et bougent au rythme de ma branlette, je regarde le maître pendant que je le branle, je le regarde avec un air de salope et je vois dans ses yeux que ca l’excite, je décide d'arrêter la branlette pour jouer avec ma langue et ma bouche, je lui lèche le sexe du gland jusqu’aux couilles tout en regardant toujours le maître,
- on dirait que tu y prend goût salope.

- Oui maître, merci de me laisser vous sucer maitre,
- tu commences à comprendre ta place. arrête de parler et continue,

Je titille le gland de mon maître avec ma langue, je sens que ca l’excite encore plus, son sexe sent bon, le maître a pris une douche pas longtemps avant de venir me chercher, je passe mes mains manucurées sur le torse de mon maître par dessous la chemise, je mets son sexe dans ma bouche et je commence les mouvements les va et vients, les boucles d’oreille bougent au rythme de la pipe,
Je me caresse les seins avec ma main gauche pendant que je le suce, ce qui à pour effet de les durcir,
- Mais dis moi tu te touches salope. Qui t’as autorisée?
Je me laisse complètement aller et je continue de me toucher les seins,
c’est la 1ére fois que je me laisse aller à ne pas réprimer mon désir, je ne me sens plus comme un objet, mais comme une femme,
- Regarde-moi quand tu me suces et arrête de te toucher petite pute ou je te corriges! les mains dans le dos sale chienne!
Je retire tout de suite mes mains et je les mets dans le dos collées l’une à l’autre,
Je fixe le maître pendant que je le suce, quand je sens sa main derrière ma nuque qui m’oblige à l’avaler, j’ai son sexe en entier dans ma bouche, je ne peux plus regarder mon maître pendant que je le suce, je sens les boucles d’oreille bouger, j’ai du mal à respirer mais j’aime cette sensation d'être totalement dominée, je sens que ma pipe lui plait beaucoup car son sexe est plus dur et plus vigoureux qu’au début de la pipe, de mon côté, avoir sucé mon maître m'a excitée,
- Mets tes mains sur le capot et cambre toi salope,
Je me relève avec grâce et je me recoiffe les cheveux avec ma main, je les mets derrière les oreilles et j’essuie le bord de mes lèvres du bout des doigts, je me lèche les doigts tout en souriant avec un regard de salope, je me dirige vers la berline face au capot, mes talons s’enfoncent dans le gravier, ils sont sexy mais vraiment pas pratiques.
J’ondule du cul pour exciter encore plus mon maître je me penche et je remonte ma robe, j’aime la sensation de courant d’air sur mes fesses,je mets mes ongles manucurés roses sur le capot noir métal encore chaud et j’écarte les jambes, mon maître se rapproche de moi et me donne un coup de pied dans les chevilles,
- Ecarte plus salope!
- Oui maître,
J’écarte plus mes jambes, elles sont tendues, je me couche sur le capot, j’ai ma croupe qui est bien offerte, je sens sa main sur le creux de mes hanches, je n’ai qu’une envie, c’est que le maître me prenne,
- ton cul est magnifique tu sais?
- Merci maître, il est pour vous,
- C’est bien, tu es docile. écarte moi tes fesses que je vois ton trou du cul,
- Oui maître,
J’écarte mes fesses au maximum avec mes doigts, je ne vois pas à quel point c’est écarté,
- Quelle jolie vue! Creuse les reins, que je t’encule,
- Merci maître,
Je sens ses mains appuyer sur le creux de mes reins, ce qui à pour effet de me faire cambrer plus, à ce moment la je sens son gland contre mon oeillet, c’est encore très sensible je grimace mais la douleur n’est pas encore extrême, je sens que mon maître force le passage, j’ai mal et je serre les dents, mais je suis tellement excitée que mon maître arrive à rentrer son sexe, à ce moment la il commence le mouvement de va et vients dans un rythme intense, au début ca me fait mal mais petit à petit la douleur laisse place au plaisir, je sens bien sa queue en moi,j’aime cette sensation, ma respiration est de plus en plus saccadée et intense, je n’aurais jamais cru prendre du plaisir pendant que je me fais enculer, son bassin claque contre mes fesses à chaque mouvement de va et vients, ma chatte fait floc floc à chaque fois que son bassin le touche, sa respiration est très intense et il pousse des gémissements, il m’att par les cheveux, ca me fait mal, le frottement de mes jambes contre la calandre me fait mal, et puis il intensifie les mouvements, ca me fait mal, je le dis au maître,
- Pitié maître , la calandre me fait mal,
- rien à foutre démerde toi,
j’essaye de bouger une jambe mais je n’ai pas assez d’équilibre, le maître exerce trop de pression sur moi pour que je puisse me débloquer,j’essaye aussi de le repousser du bout des doigts mais cette action fait qu’il accélère encore plus la cadence, Vaincue, j’abandonne et repose les mains sur le capot subissant ses assauts, il continue de m’enculer, je me retiens de griffer la voiture de mon maître par respect pour sa voiture, je vois mon reflet sur le capot, j’ai le visage transpirant, ma respiration fait de la buée sur la voiture,
- Enculez moi comme une chienne, c’est trop bon, j’aime votre queue au plus profond de moi, je suis votre soumise,
- Ta gueule la pute, je t’ai rien demandé, laisse toi bourrer, t’es qu’un trou à bites,

Mon maître me met des claques sur les fesses, elles sont fortes, douloureuses, me font mal et on les entend bien claquer, j’ai la chatte qui est trempée, mes seins sont en sueur, et mes fesses sont également en sueur, j’ai l’impression de mouiller des fesses, j’ai l’impression de jouir du cul,cette sensation est bizarre, c’est nouveau pour moi, à ce moment la que je jouis je pousse un cri, j’ai mon corps qui se relâche totalement, c ‘est comme si je ne savais plus où je suis, je suis très heureuse, le maître se retire de mon cul
- on dirait que tu as joui,
- Oui maître,dis-je tremblante,
- T’aimes te faire enculer n’est-ce pas?
- Oui maître, merci maître,
- Regarde-moi salope,

Je tourne ma tête et je regarde le maître dans les yeux, son regard m’hypnotise, son visage est tout transpirant de sueur,
- Réclame mon foutre,
- Je veux votre foutre maître,
- Viens le chercher comme la pute que tu es,
Les mains appuyées sur le capot de la voiture, je me redresse fourbue, je suis debout les jambes écartées, je me retourne et je me mets à genoux fixant sa bite avec gourmandise, je me passe la main dans les cheveux pour me recoiffer, je tend ma main vers sa queue le questionnant du regard, il approuve, je me surprends à le prendre en bouche comme une affamée, je le suce et je jette un regard au maître, il me renvoie mon regard, le goût est fort, mais je le tolère plus facilement que les autres fois,
- J’adore votre bite maitre, elle est délicieuse,
Je ne le pense pas, mais j’ai vraiment envie de le complimenter pour le plaisir qu’il m’a donné,
- Branle moi au niveau du visage, je vais t’en mettre plein le visage,
Je regarde mon maître dans les yeux la bouche ouverte et je branle mon maître, sa queue est à quelques centimètres de mon visage, les bracelets s’entrechoquent à nouveau, la branlette finit par faire éjaculer mon maître qui me met du sperme chaud et gluant plein le visage, il m’en a aussi mis dans les yeux, ca me pique les yeux, je suis heureuse d’avoir son sperme sur le visage,
- Merci maître,
- Nettoie moi.

Je lèche la queue de mon maître avec ma langue tout en regardant mon maître dans les yeux, je le mets en bouche pour qu’il soit bien propre et une fois que je l’ai bien nettoyée, je ne le prends plus en bouche, tu remballes tout.. le vent à seche le sperme sur le visage et me tire la peau, ca me fait mal et l’oeil me brûle,
- Rentre comme une chienne dans la maison,
- Oui maître,
Mon maitre rentre et je le suis docilement à 4 pattes le cul à l’air, les graviers me font mal et rentrent dans ma peau, je monte les marches du perron et je rentre dans la maison,
A peine arrivée dans le hall, je me prends un petit coup de pieds dans les côtes qui me surprend.
- T’as du travail , dépêche toi d’être présentable grosse truie avant que je me fâches
- Oui maître
Je vais me laver et me changer pour être présentable et travailler,
















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