La Vie Dissolue D'Une Bigotte 8 : Les Femmes Âgées Sont Des Coquines


Parallèlement à cette relation avec mon ex belle-mère, j’entretenais des rapports avec une autre dame âgée. Celle-ci, présidente du club des aînés, était devenue ma maîtresse depuis plusieurs années et nous nous voyions épisodiquement, parfois de façon rapprochée, parfois il se passait plusieurs semaines sans relation.
Pauline, donc, connaissait aussi l’existence de mon autre amie « officielle » et se trouvait très heureuse que je la retrouve elle, de temps en temps. Jamais demandeuse, mais toujours joyeuse de nos retrouvailles. Elle était « reposante » car d’humeur toujours égale. Parfois, je la voyais en public, il m’arrivait de « jouer » avec elle, jouant l’indifférence ou lui glissant à l’oreille en la saluant « prépare-toi, tout à l’heure je vais te baiser comme la salope que tu es! »
Dans ces cas là, elle était nerveuse durant toute la durée de la réunion, ou de la soirée. Une fois, j’avais agis ainsi au début de l’assemblée qu’elle devait présider devant ses adhérents. Assis au premier rang, je l’avais déstabilisée du regard tout au long de la réunion, à tel point qu’on lui avait demandé si elle n’était pas malade.
Complètement liquéfiée lorsque nous nous sommes retrouvés ensuite, elle m’avouait avoir eu envie de se caresser.
Un soir où nous étions couchés dans son lit après avoir fait l’amour, elle me confie que sa voisine et amie Jacqueline, dépérit depuis que son amant l’a quittée. Celle-ci, très demandeuse en matière de sexe malgré son âge, dixit Pauline, ne se satisfait plus avec ses doigts. Elle a confié à son amie que la présence d’un homme, un mâle qui la dirige, lui manque. Ces confidences ne sont pas venues naturellement et pour les obtenir, Pauline a été obligée de lui avouer qu’elle aussi avait un amant. Jacqueline s’est alors laissé aller.
Elle lui a d’abord reproché de ne lui avoir rien dit durant ces années, alors qu’elle-même ne se cachait pas d’avoir une relation.


- « Et ton amant, a-t-elle interrogé, il n’aurait pas un copain avec qui je pourrais… ?
- Dis-donc, tu es à l’aise toi ! Tu me vois, lui demander ça comme cela ?
- Pourquoi pas ?
- C’est vrai qu’il est assez vicieux, mais, il faut que je te dise tout de même, il est plus jeune que nous !
- Beaucoup plus ?
- Ben… Quinze ans… un peu plus
- Ah quand même ! Ben dis donc ! T’es une sacrée cachottière toi ! Tu as un amant depuis longtemps et en plus il est jeune ! Je me disais aussi que tu étais trop honnête ! »
Jacqueline a réussit à convaincre Pauline de m’en parler. La copine de ma maîtresse est assez « gironde » des yeux toujours rieurs, ne paraissant pas trop coincée et sans être un canon de beauté, ses formes opulentes me plaisent assez. Je dis à Pauline qu’on se retrouverait dans deux jours chez elle et qu’elle n’avait qu’à inviter Jacqueline à venir, pour faire ma connaissance et me demander directement le service. En attendant, lui dis-je, Tu ne révèles pas qui je suis et tu l’appelleras quand je serai là.
Le surlendemain donc, je retrouve Pauline chez elle. Nous avons un petit moment avant l’arrivée de Jacqueline, aussi, pour mettre ma partenaire en condition, nous nous « amusons ». Volontairement, je la laisse insatisfaite pour qu’elle reste excitée.
A son arrivée, Jacqueline est tout d’abord surprise en me trouvant. Elle pense tout d’abord que je suis venu, comme cela arrive parfois, rendre visite à son amie. Elle n’a jamais pensé que je pouvais être moi l’amant. Nous lui révélons enfin notre relation en riant.
- « Eh bien, ça c’est une surprise ! Je croyais même un moment que tu me draguais, me dit-elle, et en fait tu te tapes ma copine depuis longtemps.
- C’est un peu trivial, mais c’est vrai que nous avons été discrets. Je le suis toujours avec les dames pour ne pas ternir leur réputation.
- Et tu en as beaucoup comme ça ?
- Dis-donc toi. Tu es bien curieuse ! Tu n’en sauras rien.
Revenons à nos moutons. Pauline m’a dit que tu es en manque et que tu cherches un homme pour te baiser et te diriger ?
- Tu as de ces expressions !
- Ce n’est pas la vérité peut-être ?
- O… Oui, mais, dit comme cela, c’est bizarre !
- Bien ! Alors, tu recherches quoi ?
- Je... Je ne sais pas, tu connaîtrais quelqu’un ?
- Peut-être, oui. Mais il faudrait que je me fasse une idée.
- Comment ça ?
- Et bien, j’ai parlé de toi à un copain…
- De ton âge ?
- A peu près, pourquoi, tu n’aimes pas les jeunes ?
- C’est que…
- Quand tu croyais que je te draguais, tu pensais à quoi ? Tu étais flattée, troublée ou tu trouvais que je me fichais de toi ?
- Je… Ça me plaisait bien, surtout venant de toi, un jeune, oui. Mais je me disais aussi que c’était par gentillesse et que quelqu’un de ton âge ne peut pas s’intéresser à une vieille peau comme moi. Je pensais que tu étais gentil avec tout le monde. Avec moi, comme avec Pauline.
- C’est vrai que j’essaye d’être gentil et puis surtout je ne fais pas de différence entre Pauline et ses amies, cela évite que l’on se pose des questions. La preuve, ça a marché avec toi.
- Donc, tu ne me draguais pas !
- Tu sembles le regretter. Mais qui sait ? Revenons à ce qui nous rassemble aujourd’hui. Tu n’es pas contre une relation avec quelqu’un de plus jeune si j’ai bien compris.
- Ben… Je ne sais pas… Non… Enfin…Ça dépend.
- Ah bon ! Et de quoi ?
- De la personne, bien sûr.
- Est-ce que tu me fais confiance ?
- Oui... Je pense.
- J’ai donc parlé de toi à un de mes amis.
- Qui c’est ?
- Ne sois pas pressée ! Il m’a donné carte blanche pour voir avec toi, mais veut rester discret dans un premier temps. Je l’appellerai ensuite si on est d’accord, mais à sa demande, je dois te tester.
- Vas-y, je suis prête !
- Tu ne reculeras pas ? Il faut que tu montres que tu as envie, que tu es motivée !
- Non, non ! Pas de problème !
- Je vais vous laisser déclare alors Pauline.

- Pas question ! Tu restes là dis-je
- Mais, Ça me gêne !
- Ne fais pas ta mijaurée ! Et puis, toi aussi tu fais partie du test.
- Je…
- Bien ! On commence. Vous êtes prêtes ? » Les deux femmes se regardent, n’osent pas reculer. Je m’adresse à Jacqueline. – « Lèves-toi et tiens-toi devant nous. » Docilement elle obéit « J’ai cru comprendre que tu cherches un homme qui te dirige, qui te domine tout en te respectant, c’est Ça ?
- O… Oui ! Mais je n’aime pas la violence… enfin… pas trop.
- Donc, tu n’es pas contre un jeu de soumission et si besoin, un peu de sévérité. Une petite fessée pour te remettre dans le droit chemin ne te fait pas peur ?
- N… Non. J’ai un peu honte, tu sais. Mon mari m’avait habituée comme Ça.
- Il n’y a pas de honte à avoir. Pauline aime aussi que je la commande et que je lui donne de petites fessées, n’est pas ?
- O… Oui, c’est vrai !
- Je ne savais pas que tu aimais ça aussi, réplique Jacqueline reprenant du poil de la bête en voyant qu’elle n’est pas la seule dans cet état.
- Donc, tu cherches un homme qui soit un peu dominateur et qui aime les femmes de ton âge ?
- O… C’est un peu Ça.
- Bon. Quand Pauline m’en a parlé, j’ai contacté quelqu’un qui pourrait te convenir. Je pense que tu seras contente. Maintenant, il désire en savoir un peu plus sur toi et notamment si tu es suffisamment motivée et soumise. Est-ce que tu te sens capable ?
- O… Je crois, oui. Comment faire pour qu’il le sache ?
- Il m’a chargé de te tester. Si tu es d’accord, je l’appelle.
- Quoi ? Maintenant ? Tout de suite ?
- Tu es bien venue pour Ça non ?
- O… Oui… Bon, d’accord ! » Elle est nerveuse, car maintenant elle ne peut plus reculer. Je prends mon téléphone, j’appelle mon correspondant et j’engage le dialogue.
- « Salut ! Tu vas bien ? … Je t’appelle comme prévu à propos de la dame dont on a parlé… Oui, oui. Je suis avec elle et elle est d’accord pour essayer, à condition que cela soit discret.
Je fais un clin d’œil à Jacqueline en me faisant son complice rassurant….. Oui, je comprends… D’accord. Mais tu n’as pas peur de l’effrayer ? …. Oui, c’est vrai, un test, c’est un test et il faut bien voir… Non. Je n’ai pas dis qui tu es. Si cela ne marche pas, elle ne saura jamais qui cela pouvait être, soit tranquille…. »
La conversation se poursuit un peu et, voyant que Jacqueline est mal à l’aise debout devant nous je décide de commencer.
- Bon, je crois qu’elle a assez attendu. Je t’écoute… Oh-là ! Tu démarres fort dis-donc !.. Ok, ok, je transmets tes demandes, on verra bien, il faut bien un début ». Je m’adresse à Jacqueline. –« Il veut que tu te déshabilles !
- Comment ? Ici ? Devant vous ?
- Tu n’as pas bien compris ! Tu es là pour obéir ! Tu ne discute pas !
- D… D’accord.
- Allez ! Plus vite que Ça ! Mets-toi à poil ! » J’ai monté volontairement le ton pour la mettre en condition et tester sa motivation. Nous sommes à un moment crucial. Soit, Jacqueline accepte, soit elle abandonne et l’expérience tourne court. Elle tremble. Ne sait quoi faire, puis, lentement, comme un zombie, elle retire sa veste, puis défait un a un les boutons de son chemisier. A mes côtés, Pauline est tétanisée.
Sous de la blouse, Jacqueline porte une combinaison jaune clair, comme le font souvent les dames d’un certain âge. Ses yeux se sont embués, mais je ne fais aucun signe. Je commente ses gestes à mon interlocuteur.
Les mains de Jacqueline tremblent. Elle s’attaque à la jupe, la dégrafe, baisse la fermeture sur le côté et la laisse tomber à ses pieds. Elle l’enjambe, la ramasse, puis la jette sur le fauteuil avec le chemisier.
Je commente toujours, la poussant un peu en précisant « Je pense qu’elle va enlever sa combinaison » Jacqueline att le bas du vêtement et l’enlève par la tête, dévoilant ses aisselles poilues. Elle se retrouve en culotte, et soutien gorge. Bien sûr pas très seyants mais de belle qualité.
- « Je ne sais pas si elle va se décider, mais de ce que je vois, il y a ce qu’il faut où il faut….. Oh oui. Attends !... Mon copain voudrait savoir la taille de tes seins.
- 100 E
- 100 E. Oui, des superbes loches… Je ne sais pas, elle a toujours son soutien-gorge… » Jacqueline, entendant cela, passe ses bras derrière le dos, dégrafe et retire sa parure. Les gros seins tombent un peu mais restent tout de même largement au dessus du nombril. « Pas mal ! Oui, ils tombent un peu, ce sont deux belles outres ! … Attends un peu, ne soit pas pressé ! » Je fais signe à Jacqueline d’enlever sa culotte. Elle s’exécute et se retrouve enfin nue. Son bas ventre est orné d’une toison grise bien fournie. Je décris Jacqueline à mon correspondant anonyme, vantant un peu la marchandise en clignant de l’œil à Jacqueline, pour la décontracter. Je la fais tourner, sans oublier de jeter un œil vers Pauline, complètement scotchée par le spectacle de son amie nue au milieu de son salon.
Le téléphone toujours à l’oreille, je demande à la coquine d’approcher et avec la main, je cache le micro du téléphone, pour que mon correspondant n’entende pas.
- « Tu as l’air de lui plaire ! Il veut que je te teste un peu plus. Tu es libre de refuser.
- Que veut-il ?
- Il veut que tu me suces !,,, Désolé !
- Mais…
- Il attache beaucoup d’importance à ça ! Il veut tester ta docilité et voir si tu es prête à obéir à tous ses ordres. Si tu ne veux pas, je comprendrai... Il y tient… sinon…»
Jacqueline hésite, prise au jeu, elle pense surtout à satisfaire l’homme mystérieux qui veut la dominer. Il faut bien qu’elle montre sa soumission, aussi, s’agenouille-t-elle, défait ma ceinture, ouvre le pantalon. Je me soulève pour qu’elle le baisse en même temps que mon caleçon et me retrouve nu et bandé face à son visage. Elle sourit et dit : « Jolie queue » Elle plonge sur ma bite et l’avale, la suce, la pompe avec gourmandise.
Je commente son travail. « Elle se débrouille bien ! Elle avale presque tout. Elle lèche et me caresse les couilles…Je l’arrête enfin, car je ne veux pas jouir ainsi.
« Oui ! Elle suce très bien… D’accord ! … Tu crois qu’elle va accepter ? … Il le faut ? … Ben dis-donc, toi, t’es gonflé toi ! – Mon copain veut que tu lèches Pauline !
Mais… Ce n’est pas possible ! Je n’ai jamais… Elle ne voudra jamais !
Ça c’est un autre problème ! Je relève la jupe de Pauline, assise à mes côtés et sous laquelle à ma demande, elle ne porte pas de culotte. Tu vois, elle n’a pas de culotte et en plus elle est épilée. Donc tu vas faire ce que demande ton futur maître, pour lui prouver ton obéissance. C’est ta dernière épreuve. Il m’a demandé, pour me remercier de l’avoir aidé, de te prendre en levrette pendant que tu bouffes la chatte de ta copine.
Je… Mais…
Décides-toi !... Vite !
Pardon Pauline, je suis obligée !
Elle n’a rien à te pardonner. Tu n’as pas intérêt non plus à faire semblant. Tu vas la faire jouir ! »
Jacqueline est rouge de confusion. Cependant, elle se déplace, hésite une dernière fois et plonge entre les cuisses de sa présidente et amie. Pauline a fermé les yeux. Surement pour ne pas être témoin de cette relation homosexuelle avec son amie de longue date. De mon côté, je me penche pour l’embrasser et lui glisse à l’oreille « lâches-toi et profite ! ».Je me relève, passe derrière Jacqueline, admirant le tableau de ces deux femmes septuagénaires. L’une complètement nue à genoux entre les jambes de l’autre. Face à moi, le cul somptueux et large de Jacqueline qui est un appel au viol. Penchée ainsi, son corps opulent ne trahis pas l’âge de sa propriétaire. C’est une femelle bonne à saillir. Je m’agenouille, écarte ses cuisses pour me glisser entre, pointe mon dard sur sa chatte poilue et, m’agrippant aux larges hanches, je la pénètre d’un seul élan, jusqu’au fond de sa cramouille luisante.
Jacqueline, malgré plusieurs accouchements et malgré son âge, a gardé un vagin souple qui gaine bien ma bite. Je la baise profondément, n’osant pas croire ce que je vois. Deux femmes âgées, n’ayant jamais eu de relation sexuelles avec d’autres femmes, se connaissant depuis de nombreuses années, qui sont en train, l’une de se faire bouffer la chatte par son amie, l’autre la léchant tout en se faisant monter comme une chienne, sous prétexte de retrouver un amant qui puisse la soulager de ses envies de vieille femme assoiffée de sexe.
Jacqueline, la première, commence à couiner. Il est vrai que je ne la ménage pas, cognant fortement ses fesses, la pilonnant à fond. Sa chatte fait des « floc floc » prouvant son plaisir. De temps en temps je me retire et lui administre des claques sonores sur son gros fessier joufflu.
Je replonge ensuite brutalement dans sa chatte brûlante. Mes mouvements précipitent son visage contre la vulve de Pauline. Petit à petit elle recule de moins en moins, restant contre la chatte de sa copine pour la lécher quand je me retire. Elle prend plaisir à ce nouveau jeu pour elle. Pauline, de son côté, commence à apprécier la caresse de la langue de Jacqueline.
Complètement partie dans son orgasme, Jacqueline tremble de tout son corps qui est brûlant et rouge. Pauline se lâche dans la bouche de sa copine et par expérience je sais que cette dernière doit se régaler de la mouille odorante de sa présidente, qu’elle ne regardera plus de la même façon. A son tour elle crie son bonheur et son jus coule sur ma bite enserrée par les muscles toujours vaillants de son vagin.
Je me dégage de la femelle et retourne m'asseoir sur le canapé. Je reprends le combiné téléphonique et fais des commentaires sur la prestation de Jacqueline.
« Je crois que c’est un bon coup ! Elle a tout accepté, même de gougnotter sa copine. Sa chatte est bonne et elle est bien docile. Quand à son cul, je ne te dis pas ! Une merveille à baiser en levrette…. Tu es d’accord ? Je te la passe alors. Tu vas voir avec elle. Jacqueline me fait signe que non. – Elle ne veut pas te parler….. Ah bon ? – Si tu ne lui parles pas, il préfère ne pas te voir. Tu n’es pas assez motivée
Oui ! Je veux lui parler. Mais que va-t-il penser de moi – Je fais semblant d’écouter… Il pense, avec ce qu’il a entendu, que tu peux être une bonne salope à dresser. Tu es toujours d’accord ?
Je… O… Oui – Je lui passe le téléphone – Allo ?... Allo ?... Il n’y a personne ! Il a raccroché ! » Jacqueline semble déroutée, désolée ! Elle pense que l'homme n'a pas eu la patience, ou n'a pas voulu continuer avec elle. Peut être n'a-t-elle pas été suffisamment convaincante ?

J’éclate de rire. Les deux femmes me regardent alors interloquées.
« Je vous ai bien eues ! Il n’y avait personne ! Eh oui, ma chère Jacqueline ! Cet homme intéressé par toi, eh bien, c’est moi !
Co… Comment ? Mais… Pauline ?
Ça n’est pas un problème. Elle sait bien que j’ai d’autres maîtresses, alors une de plus ! N’est-ce pas Pauline ?
Oui, mais, comment vas-tu faire avec nous deux?
Eh bien, un peu comme aujourd’hui. Vous n’avez pas aimé ?
C’est que… Je n’avais jamais fais avec une femme déclare Jacqueline
Tu n’as pas aimé ?
Si… Mais avec Pauline, ça me gêne un peu tout de même.
Eh bien tu t’habias ! Et toi Pauline, tu as aimé ?
Oh oui !
Donc tu rendras la politesse à Jacqueline !
C’est que …
Ah ! Je vois ! C’est sa toison qui te gêne ? on va s’en occuper !
Non, ce n’est pas ça … Enfin, tu arrives toujours à me faire faire des trucs…
Vous voulez me raser ? s’écrie Jacqueline.
Tu n’as pas aimé lécher cette chatte sans poil ?
C’est vrai que c’est agréable, mais…
Vois-tu, moi, je n’aime pas lécher une chatte poilue, alors Pauline s’est épilée. Elle est aujourd’hui habituée et maintenant elle adore ça. Je ne vois pas pourquoi tu ne ferais pas pareil. Tu as vu que ma queue aussi est sans poil.
C’est vrai ! C’est la première fois que j’en vois une comme ça et j’ai bien aimé ! D’accord pour me raser ! On fait ça quand ?
Mais tout de suite, ma salope ! Allez couches-toi sur la table. Toi, Pauline, vas chercher ce qu’il faut ! Et puis, tu te mettras à poil aussi ! Il n'y a plus que toi qui es habillée. Ta copine a aussi le droit de te voir toute nue !»
Jacqueline a aussitôt obéit et s'est couchée sur la table. Je lui demande de relever ses bras pour les placer derrière la tête, découvrant ainsi ses aisselles poilues. Sa position est obscène. Avec ses jambes écartées elle présente son corps sans pudeur. Pauline, revenant avec les ustensiles, se fige devant le spectacle de sa copine. Elle se déshabille à son tour sous le regard curieux de l’autre qui ne l’a jamais vue ainsi.
A l’aide de ciseaux, je coupe la pilosité abondante sous les bras et le mont de vénus. Les poils poivre et sel jonchent rapidement la table. Je demande à Pauline de les ramasser et les jeter et j’applique la mousse à raser aux aisselles, qui rapidement sont débarrassées du moindre poil.
Jacqueline est parfaitement immobile et se laisse faire les yeux fermés. Pauline, un peu crispée au début regarde maintenant son amie, exposée nue sur la table, avec des yeux brillants. Je me doute qu’elle doit être excitée, à voir sa poitrine se soulever. Jacqueline doit être dans le même état, aussi, avant d’attaquer le rasage de son intimité, je glisse un doigt entre les lèvres de son sexe, y trouvant une humidité de bon aloi.
« Salope ! Tu mouilles bien ! Ça t’excite de te foutre à poil devant nous et de te faire épiler ! Tu n’en as pas eu assez tout à l’heure ? Tu as encore envie d’un coup de queue ?
- Oh oui ! Tu as compris ! Je suis une salope ! Être à poil devant vous deux m’excite à mort ! J’ai envie de me caresser. De me faire jouir ! J’ai honte Pauline, de me montrer comme ça à toi, mais en même temps, ça m’excite !
Pas question de te branler avant que j’ai fini de t’enlever tous ces poils ! Tu vas pouvoir mouiller un moment avant d’être soulagée. »
Je badigeonne son entre jambes et rapidement j’élimine les restes de sa toison grise. Pour attaquer le périnée et l’entre fesses, je lui fais relever les jambes. Sa position, déjà obscène, devient pornographique. Cette vieille femme exhibée nue, est complètement soumise. Elle provoque en moi des pulsions de domination.
« Vielle salope ! Vieille pute ! Je vais te faire monter pour tous les mâles de la région ! Ils vont t’éclater la chatte et le cul, vieille pute ! Je suis sur que tu aimes te faire enculer, vu l’état de ton trou ! Tu as dû enfiler des kilomètres de bite !
Oh oui ! Traite-moi de vieille pute ! De salope ! Je suis une salope ! Mon mari aimait m’enculer ! Il me faut de la bite ! Ça fait longtemps que je n’en ai pas eu ! Tu peux faire ce que tu veux avec moi, mais je veux me faire baiser par tous les trous ! »
Pauline est stupéfaite de découvrir son amie ainsi, mais elle ne peut détacher son regard, d’autant que, ayant terminé mon ouvrage, j’enfile deux, puis trois doigts au fond de la chatte brûlante de Jacqueline. D’un geste vif je la branle. Je rajoute un quatrième doigt et me dis que je pourrais facilement la « fister », mais pour une première je m’arrête là. Les bruits mouillés et la cyprine qui coule de son vagin annoncent l’orgasme de la vieille qui halète, le corps couvert de transpiration. Elle dégage une forte odeur de foutre, Elle se cambre sur la table et d’un coup, jouit en criant.
Je retire ma main couverte de mouille, saisis une serviette et sèche tout le bas de son corps, enlevant les restes de mousse mêlés à son jus intime. Jacqueline est complètement abandonnée sur la table. Je me tourne alors vers Pauline et l’embrasse tendrement. Elle aussi a chaud. Le spectacle ne l’a pas laissée indifférente. Je l’entraîne entre les jambes de cette dernière, la fait pencher et lui intime l’ordre de lécher la moule maintenant imberbe de Jacqueline.
Je ne sais si elle y a pensé à l’avance, mais elle ne manifeste aucun recul. Pose ses lèvres sur la chatte et s’applique rapidement à lécher l’intérieur de la vulve.
Pauline ne me dira jamais si elle avait déjà pratiqué les amours saphiques mais par la suite, elle ne rechignera jamais à s’accoupler avec d’autres femmes.
Je laisse les deux tribades seules et m’assoie sur le fauteuil face à elle pour admirer le tableau de ces deux septuagénaires, amies de longue date et copines dans le club de troisième âge.
Bien sûr les corps ne sont plus aussi fermes et harmonieux mais les deux femmes restent malgré tout bandantes et je me caresse doucement en le regardant. Jacqueline tourne la tête un moment vers moi et sourit en caressant la tête de Pauline qui la suce. Elle soupire de plus en plus vite jusqu’à se lâcher dans la bouche de sa présidente et amie.
Les deux femmes se relèvent, échangent un regard puis s’approchent de moi en souriant. S’agenouillent, elles s’occupent de mon sexe. A un moment les deux bouches se retrouvent ensemble sur le gland et leurs lèvres se soudent dans un baiser.
Nous finissons la nuit à trois dans le lit de Pauline, où alternativement, je baise les deux vieilles sous le regard de l’autre. Au matin, après un court sommeil, je laisse les deux femmes seules pour partir travailler. Dans l’après midi, je reçois un message de Pauline, qui me demande de passer la voir chez elle dans la soirée.
J'y retrouve les deux femmes qui me racontent leur journée. Tout d’abord, elles sont restées au lit très tard, passant le temps à faire l’amour. Après le déjeuner, qu’elles ont pris nues, précisent-elles pour m’exciter, elles ont pris conscience qu’il leur manquait quelque chose entre elles. Les coquines ont alors eu l’idée de se rendre dans un sex-shop, pour la première fois de leur vie, pour acquérir quelques gadgets.
Le patron de l’établissement, d’abord surpris par l’âge de ses visiteuses, après avoir un peu discuté avec elles, les a conseillées, ce qui lui a permis de faire une belle vente.
Elles tiennent à me montrer leurs achats. Boules de geishas, gode vibrant et simple, tout cela en double exemplaire, un double gode, elles lui ont expliqué en rougissant qu’elles avaient des rapports lesbiens, il les a fourni aussi en gel lubrifiant et préservatifs.
La fin est plus comique. En effet, le vendeur leur a proposé une réduction sur leurs achats en contrepartie d’une fellation ! Les deux cochonnes ont bien sûr accepté, d’autant qu’il s’agissait d’un bel arabe. Elles ont pu vérifier en direct que ces hommes sont bien pourvus par la nature. Le commerçant avait un sexe d’au moins vingt cinq centimètres. Je crois que d’en parler, les deux femelles mouillaient à nouveau.
En sortant, il leur a proposé de leur offrir des dessous sexy, si elles acceptaient de se faire baiser par quelques clients.
« Finalement, dis-je, vous autres les femmes matures, vous adorez faire l’amour et vous comporter comme des salopes !
Oui ! A notre âge on ne risque rien, même pas notre réputation. Il y a beaucoup de veuves, le seul problème est de trouver des hommes qui veuillent de nous ! réplique Jacqueline.
Il y en a plus que vous ne croyez ! Regardez votre commerçant. S’il vous a proposé ça, c’est qu’il a sûrement en tête, des clients pour deux vieilles salopes ! En plus il va les faire payer, et vos cadeaux ne lui coûteront rien. Tu aurais pensé que je pouvais m’intéresser à toi, ou à Pauline ?
C’est vrai ! Mais, tu crois qu’il y en a d’autres comme toi ?
C’est sûr ! Il n’y a qu’à voir les sites internet
Comment ça ?
Il existe des sites qui permettent des rencontres avec des femmes, vous le savez ?
Oui, mais ce sont des jeunes non ?
Détrompez-vous ! Il y en a quelques uns spécialisés pour les vieilles. En général, ce sont des sites avec des vidéos ou des photos pornos. Mais on en trouve avec des blogs. Il suffirait d’en créer un sur les « vieilles salopes des gaves ».
Ben dis donc toi ! Tu nous prends pour qui ?
Pour ce que vous avez envie d’être ! Mais il faudrait qu’on agrandisse un peu le club. A deux, cela ne suffit pas, il faut recruter.
Tu parles facilement toi !
J’ai mon idée. Dans votre club, il y a Mélanie qui est une cochonne et je crois qu’elle est seule en ce moment. Jacqueline, tu vas lui parler !
Moi ? Mais qu’est ce que je vais lui dire ?
Tu vas lui dire que vous voulez monter un club dans le club. Des femmes qui veulent s’éclater et connaître des expériences avec les hommes, souvent plus jeunes. Je suis sûr qu’elle va adorer ça !
Tu la connais ?
Pas intimement, mais je sais qu’elle aime les hommes et que c’est une coquine. Tu lui en parles jeudi et si elle est intéressée, tu lui dis de venir le lendemain soir chez toi. Un homme veut voir avec elle.
Mais…
Il n’y a pas de mais ! Tu obéis, sinon je te punirai. Je sais que tu aimes ça, mais ce n’est pas toujours agréable. »
***

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