La Vie Dissolue D'Une Bigote 9 : Les Vieilles Salopes

Le vendredi soir, je retrouve Jacqueline chez elle comme convenu. Elle m’annonce que Mélanie n’était pas à la réunion de la veille. Elle me propose de boire un verre et, puisque je suis là, de « passer un petit moment » Sur la table, elle a « négligemment » laissé traîner des menottes et un martinet. Lorsque je la regarde en sirotant l'apéritif, elle sourit en disant.
« Je crois que j’en ai besoin !
Expliques-toi !
Je t’ai menti ! J’ai vu Mélanie hier mais je n’ai pas osé lui parler.
Faute avouée, à moitié pardonnée. Alors, combien mérites-tu de coups ?
Dix ? Ça va ?
Tu es un peu maline ! J’ai plutôt pensé à vingt !
Oh non !
Comme tu as avoué je ramène donc la peine à la moitié et tu en auras dix. Allez ! A poil vieille salope ! » Il ne faut pas longtemps à Jacqueline pour quitter ses vêtements, La coquine a revêtu des dessous affriolants, bas, porte jarretelles et soutien gorge pigeonnant.- « Donne-moi tes mains. » Jacqueline se retourne pour que je la menotte dans le dos, mais j’ai une autre idée. Je lui passe donc devant et je lève ses bras pour passer la chaînette sur le porte-manteau accroché à côté de la porte de cuisine. Jacqueline se retrouve ainsi exposée dans son salon. J’en rajoute une couche «- Tu sais que quelqu’un pourrait rentrer et te trouver comme Ça ! Malgré sa peur elle est excitée. Je vais te corriger salope ! Tes fesses vont le sentir passer ! »
La coquine prend position en tendant ses fesses rebondies. Le tableau est superbe, aussi, avant de commencer à la fesser, je la prends en photo. Elle tourne la tête au moment où je déclenche ce qui m’obligera à flouter son visage avant de publier la photo
Je saisi alors le martinet et fais passer les lanières sur les fesses de Jacqueline. Sa peau se hérisse dans l’attente de la correction. Volontairement je la fais languir. Je vois ses muscles se relâcher et je frappe une première fois, pas très fort. Jacqueline sursaute et lâche un petit cri.

J’enchaine alors mais pas de façon régulière frappant parfois le bas du dos ou le haut des cuisses. Jacqueline transpire maintenant. Je ne compte pas les coups mais je sais que j’ai dépassé la dizaine annoncée. Fatigué et ayant pitié de ma soumise, j’arrête enfin. C’est à ce moment qu’elle crie en se tournant vers moi déchaînée :
- « Prends-moi ! Salaud ! Baises-moi ! Baise ta salope ! Tu m’as chauffée comme une pute, alors viens éteindre mon incendie ! Fourre-moi ta lance ! Salaud ! Fais ce que tu veux de moi, mais baises-moi ! »
Je me déshabille prestement, me positionne derrière sa croupe et la pourfend d’un seul élan. C’est quand je me retrouve au fond d’elle qu’elle crie à nouveau :
- « Salaud ! Tu m’encules ! Tu as raison ! Je suis une pute qu’on encule ! J’aime ça ! Il y a longtemps que je n’avais pas pris ça ! C’est bon ! Mon mari adorait me prendre comme ça ! Vas-y ! Défonce-moi le cul ! »
Sans m’en rendre compte je me suis trompé de passage. Jacqueline ne s’en offusque pas au contraire! Je suis entré comme dans du beurre, la salope est une adepte de la sodomie. Elle m’avouera ensuite s’être « préparée » avec le gode, ce qui fait que je n’ai pas fais de différence. Il faut dire que Jacqueline n’est pas très grande et que « naturellement » ma queue se trouvait à la hauteur de son anus. Bref, la salope avait bien préparé son coup pour sa plus grande joie et, passé la surprise, pour la mienne.
Jacqueline jouit du cul autant que du vagin. La fessée précédente lui apporte un plaisir supplémentaire qu’elle manifeste bruyamment. Ses muscles se crispent sur ma bite plusieurs fois avant que je ne me lâche dans son boyau.
« Il y a longtemps que je n’avais pas jouis comme ça, me déclare Jacqueline, après quelques instants de repos.
Ton amant ne te satisfaisait pas ?
Oui, mais il ne voulait pas m’enculer. Il trouvait ça sale et humiliant.
Tu ne lui as pas dis que tu aimais être dominée ?
J’ai essayé, mais il n’a pas, ou pas voulu comprendre.
Toi tu as compris tout de suite salaud !
J’ai un peu d’expérience et j’ai détecté en toi la salope soumise. En plus, avec le cul et les loches que tu as, tu es un appel au viol.
Même à mon âge ?
Tu sais bien que cela ne compte pas pour moi.
Alors tu recommenceras ?
Bien sûr et je compte bien te faire remplir par d’autres mecs. Déjà avec ton gérant de sex-shop, tu vas pouvoir t’éclater.
Et avec Pauline, comment vas-tu faire ?
Comment ça ?
Tu vas continuer à la voir ?
Bien sûr ! Tu ne comptes pas être ma seule maîtresse ?
Non, ce n’est pas ça mais vous deux, ça dure depuis un moment. Maintenant que tu nous embarque dans cette aventure, cela va changer, non ?
Je crois que lorsque je serai seul avec elle, nous ferons l’amour « normalement » et tendrement, et dans le groupe, ce sera plus hard. Mais pourquoi tu me demandes ça ?
Ben… quand on a… parlé l’autre jour après notre … première nuit… Elle m’a confié qu’elle t’aimait.
Moi aussi je l’aime bien.
Tu ne comprends pas. Elle t’aime d’amour !
Elle sait depuis toujours que j’ai une compagne et qu'avec elle c’est une histoire de cul, point.
Oui, mais il n’empêche que… C’est une sentimentale. Tu sais, à moi aussi elle m’a dit qu’elle m’aimait !
Après une seule nuit ? Elle confond encore l’amour et le sexe. Après quelques expériences « hard » elle changera d’avis.
C’est que…
Qu’est-ce qu’il y a ?
Ben… Moi aussi je crois que … je l’aime !
Eh bien dis donc ! Vous les vieilles quand vous vous y mettez ! Tu vas être jalouse de moi et des autres partenaires ?
Je... Je ne sais pas. Non je ne crois pas.
Quand vous avez sucé le commerçant, tu l’as vue faire, est-ce que tu étais jalouse ?
Non. J’étais excitée comme une folle.
Eh bien tu vois ! Allez ! Rien ne vous empêche de vous aimer entre vous et de baiser comme des folles en dehors !
Toi alors ! Au fait. Je t’ai encore un peu menti !
Tu as encore envie d’une raclée ?
Ce n’est pas ça ! C’est vrai que j’avais envie que tu me punisses.
Alors, j’ai inventé que je n’avais pas parlé à Mélanie. En fait, elle sait qu’un homme veut la voir à propos du club secret. Elle est d’accord. Elle ne sait pas qui tu es et attend que je l’appelle.
Eh bien ma salope ! Tu vas être à nouveau punie. En attendant tu vas l’appeler et lui dire de venir.
Ne sois pas méchant ! Tu sais, je voulais t’avoir un peu pour moi.
Peut-être. Je vais réfléchir à ce que sera ta punition. Allez appelle ! »


Jacqueline s’exécute aussitôt. A l’autre bout du fil, la discussion est courte. Mélanie devait attendre et elle annonce son arrivée dans un quart d’heure. J’appelle aussitôt Pauline et lui demande de venir rapidement chez Jacqueline. Cinq minutes plus tard elle arrive. Elle est surprise de trouver sa copine uniquement vêtue de bas et porte jarretelles. Je fais retourner cette dernière pour que l’on découvre ses fesses encore rouges, la fait pencher et écarter les fesses, indiquant que je viens de lui remplir le petit trou encore boursouflé.
« Quelle salope tu fais ma chérie se marre Pauline. Confirmant qu’elle rentre dans notre jeu.
Tu vas aller te cacher dans la chambre. On attend Mélanie. Tu ne sortiras que lorsque je t’appellerai.
Et moi ? Interroge Jacqueline.
Toi, tu restes comme Ça. Nous attendons notre amie.
Mais…
Tu as encore quelque chose à dire ?
Non… Non. » Dit-elle rougissante en baissant la tête.
L’attente est terrible pour Jacqueline. Pauline et moi discutons de la condition de soumise de notre hôtesse. La présidente demande si elle pourra elle aussi dominer son amie. Je lui signale que ce n’est pas évident et qu’il faut avoir l’esprit à cela et se dominer soi-même car le jeu peut dér.
Mélanie arrive plus vite que prévu. Dans le regard de Jacqueline se lit la panique. Pauline va se cacher dans la pièce voisine, laissant la porte légèrement ouverte pour entendre ce qui va se passer. Je lui signifie de ne faire aucun bruit.
Au coup de sonnette, Jacqueline se fige.
M’asseyant dans le fauteuil face à la porte, je lui fais signe d’aller ouvrir. Surprise de Mélanie lorsqu’elle découvre Jacqueline nue, ou plus exactement revêtue des ses bas tenus par une porte jarretelle juchée sur des talons. Elle entre et m’aperçoit. Un sourire éclaire son visage.
« Bonjour Mélanie.
Je me doutais bien que ce serait toi, le mystérieux homme !
Ah bon ? pas trop déçue ? Mais comment ça tu te doutais ?
Pas du tout déçue ! c’est plutôt si tu n’avais pas été là que je l'aurais été ! Quand tu me faisais la bise, c’était très proche de mes lèvres et en reculant tu plongeais tes yeux dans les miens
Ça te plaisait ?
Je dois dire que oui. Je voyais mal un autre homme faire ce genre de proposition. Mais on ne sait jamais. Je ne m’attendais tout de même pas, à ce que Jacqueline soit dans cette tenue pour me recevoir.
C’est une soumise, elle aime être dominée ! Elle vient de recevoir une volée au martinet sur ces fesses – tourne –toi et montre nous ton cul salope ! » Docile, Jacqueline nous montre ses fesses encore bien rouges –« En plus je l’ai enculée parce qu’elle aime aussi ça ! Bien. Puisque tu sais pourquoi tu es là, on va passer à la suite. Toi Jacqueline, va te mettre dans le coin, à genoux face au mur. Ce sera ta punition. Tu entendras, mais ne verras rien. Mélanie, mets-toi devant moi et tu vas te déshabiller. Ça fait longtemps que j’ai très envie de te voir.
Espèce de cochon ! Ça me gêne !
Tu sais bien que dans notre petit club, tu en feras beaucoup plus. Et puis, il faut bien que je me fasse une idée.
Tu veux surtout te rincer l’œil !
Bien sûr ! Et pas que l’œil.
Je ne suis pas très belle. J’ai de grosses jambes !
Je sais un peu comment tu es faite. Nous avons tous nos défauts et on ne voit que ça sur nous. Seulement tu oublies tes beaux yeux bleus, ton beau cul et tes formes alléchantes. Sans parler des tes qualités de bonne salope. De toute façon, tu es venue pour ça, alors fais-moi un striptease ! »
Mélanie se débarrasse de son sac à main et entreprend un effeuillage digne d’une « pro » La veste, puis le chemisier sous lequel je découvre des seins pas très gros mais bien tenus dans une lingerie fine. Un sourire aux lèvres, elle ne me quitte pas des yeux en jetant ses habits sur le divan proche. La jupe suit rapidement et Mélanie se retrouve en sous-vêtements et escarpins. Elle n’a pas mis de bas. Effectivement ses jambes ne sont pas des plus belles mais l’ensemble est plaisant. Son bas ventre est orné d’une toison abondante qui s’étend très haut vers son nombril. Bien taillée tout de même, elle est toute blanche comme les cheveux.
Un peu gênée malgré tout, Mélanie prend la pose, une main sur la hanche et l’autre derrière la tête comme les pinups des années soixante. Pour lui montrer que j’apprécie le spectacle, j’ouvre mon pantalon et sors ma bite bien dressée. Elle est en train de regarder mon bas ventre lorsque que j’appelle Pauline et lui demande à de revenir dans la pièce.
Mélanie est surprise par l’arrivée de sa présidente et se cache tout d’abord les seins et le sexe.
« Tu ne savais pas que Pauline fait partie de notre groupe ?
N… Non. Je n’aurais pas cru…
Tu auras peut-être d’autres surprises. Il ne faut pas se fier au gens. Que penses-tu de notre nouvelle amie dis-je à Pauline qui s’est positionnée à côté de mon fauteuil, la main posée sur mon épaule.
J’ai l’impression qu’elle te fait de l’effet en tout cas ! Je crois que l’on va avoir encore du travail de rasage. Sa toison est abondante !
Eh bien, tu vois, je crois au contraire que l’on va garder sa belle toison. C’est un vrai tablier de sapeur et je trouve très érotique. Pas toi ?
Oui, Je trouve très joli. Ça serait en effet dommage de lui enlever, surtout qu’elle a une belle couleur blanche, comme ses cheveux.
C’est exactement ce que je pensais. Il faudra tout de même tailler autour des lèvres et entre les fesses.
N’ayez crainte, c’est déjà fait. Indique Mélanie. En se tournant elle se penche et écarte ses grosses fesses. Effectivement, la femme est bien entretenue et de l’arrière on voit très bien les lèvres de son sexe et son œillet bien dégagés.
J’avais raison de penser que tu es une belle salope ! Viens ici maintenant. Il y a une queue qui a très envie de se faire sucer.
A ton service mon cher. Moi aussi j’ai très envie de la sucer ! »
Mélanie s’approche, toujours le sourire aux lèvres, s’agenouille, me retire le pantalon pour lequel je soulève les fesses afin de l’aider. Sans hésitation, elle se penche. Passe la langue sur le gland avant de le prendre en bouche et de le sucer comme un bonbon. Elle avale ensuite la tige pour une gorge profonde. La coquine a du savoir faire !
Sortant le gode ceinture de dessous un coussin, je le tends à Pauline, lui faisant signe de le mettre et de prendre Mélanie, occupée à sa fellation. Rapidement, d’un air gourmand, elle se déshabille, enfile l’engin dans sa chatte et l’attache sur ses hanches. Pauline se positionne à genoux derrière sa copine, pointe le sexe factice et sans attendre s’enfonce dans la chatte.
Mélanie relève la tête se demandant quel est cet homme qu’elle n’a pas vu venir et qui vient de la posséder. Surprise, elle découvre sa présidente nue qui la baise. Elle replonge sur ma bite, l’engouffrant encore plus voracement.
Pauline, a pris goût à cette forme de sexe avec Jacqueline. Elle se déchaine, bien agrippée aux hanches de Mélanie qui grogne sans toutefois lâcher sa proie. Bientôt pourtant, elle n’en peut plus et relève la tête pour crier son plaisir. Heureusement pour moi, car je n’étais pas loin de lâcher mon sperme dans sa bouche accueillante.
Mélanie est en sueur. Pauline n’est pas mieux. Du coin de l’œil j’ai vu Jacqueline glisser une main entre ses jambes. Punie de ne pouvoir assister à ce coït sauvage. Je relève Mélanie et la fait asseoir près de moi.
« Tu es bien la salope que je pensais !
Tu es choqué ? Tu sais, je ne suis pas comme ça d’habitude !
Tu ne sais pas encore que très peu de choses peuvent me choquer et j’espère que tu ne me décevras pas lorsque je te demanderai parfois de te dépasser. Je suis sûr que tu es une bonne recrue et que les hommes en redemanderont avec toi. Je me fiche, de ce que tu faisais avant, mais maintenant je compte bien que tu sois une vraie cochonne, toujours prête à des expériences.
Compte sur moi. Je n’ai jamais trouvé un homme aussi vicieux que toi et j’ai hâte d’être une salope pour toi et avec toi.
Vous avez entendu mesdames ? Nous avons une nouvelle recrue. Il faut fêter ça.
Oui, dit Mélanie, mais une chose encore. Tu ne m‘as pas baisée, toi. Je ne te plais pas ?
Tu as vu que je bandais bien en te regardant. Ne sois pas pressée. Je vais te baiser et t’enculer, ma belle, mais auparavant nous allons rappeler Jacqueline qui a purgé sa peine. Viens ici toi ! A quatre pattes comme la chienne que tu es ! »
Mélanie et Pauline sont surprises que je la traite ainsi, aussi je leur explique la véritable personnalité de Jacqueline qui est une soumise aimant être humiliée et corrigée. « Vous verrez comme elle jouit après avoir reçu le martinet. N’est-ce pas salope ? »
Oh oui ! Dit-elle aux femmes. Jean m’a fait jouir comme jamais depuis la mort de mon mari. J’ai pris une volée sur le cul et quand il m’a sodomisée je n’ai pu me retenir. C’était énorme ! Je t’ai entendue toi aussi Mélanie. J’ai l’impression que tu as bien aimé, toi aussi te faire baiser.
Oui, mais la différence c’est que ce n’est pas lui qui m’a baisée, mais Pauline !
Ah cochonne ! Tu me fais déjà des infidélités ?
Parce que… Vous deux… Vous… s’étonne Mélanie.
Eh oui ! C’est encore un coup de Jean ! lui répond Jacqueline. Tu sais que ce salaud couche avec notre présidente depuis longtemps !
Je n’aurais pas cru ! déclare Mélanie
Eh oui ! Elle cache bien son jeu la coquine !
Mais… Vous deux… Comment…
Lorsque mon amant m’a quitté, je déprimais. Pauline m’a demandé ce qui m’arrivait et en a parlé à Jean. Celui-ci m’a « piégée » en me faisant croire qu’il me faisait passer un test pour un homme s’intéressant à moi, mais qui souhaitait la discrétion. En fait, c’était pour son propre compte. Ce vicieux m’a fait déshabiller, puis j’ai dû le sucer, ensuite sucer Pauline et il m’a baisée. Après ça on a baisé toute la nuit tous les trois.
Quand il est parti, nous nous sommes retrouvées toutes les deux, et avons continué. Nous avions découvert le plaisir entre femmes et depuis, on adore.
Eh bien ! J’ai du travail pour arriver à votre niveau !
Ne t’inquiètes pas dis-je alors. Tu as de bonnes dispositions et d’après ce que j’ai vu, tu vas très vite être aussi cochonne que tes copines.
Oh Toi ! Mais, dis-moi. Comment se fait-il que tu ais su que je suis une coquine ?
Une salope tu veux dire ? Eh bien j’ai appris il y a quelques années que deux hommes se sont battus pour toi. Tu devais donc être un bon coup. C’est une qualité qui ne se perd pas. Depuis que je t’ai revue avec les aînés, j’ai eu envie de toi.
Malgré mes cheveux blancs ?
Surtout à cause de tes cheveux blancs ! Et quand je vois ta chatte poilue de la même couleur, Ça m’excite. Je n’en avais jamais vue comme ça ni d’aussi étendue.
Longtemps j’ai été complexée. Je n’avais pas de poils ailleurs, mais là Ça poussait toujours. Je n’osais pas me mettre en maillot ou alors je taillais beaucoup. C’est l’un de mes amants qui adorait ma toison qui m’a fait prendre conscience de son attrait. Bizarrement, elle est devenue blanche très vite alors que mes cheveux étaient gris. Lorsqu’ils sont devenus blancs, je me suis dis que je ne les teindrai plus.
Tu as bien fait ! Et maintenant que je sais que ta toison est de la même couleur, ça m’excitera de te voir ainsi dans la rue. Mais assez parlé. Moi je ne t’ai pas encore baisée.
Je n’attends que ça mon cher !
Alors tu vas attendre encore un peu. Jacqueline ! Lèche cette salope, qu’elle mouille bien avant que je la prenne »
C’est le genre d’ordre auquel la soumise obéit tout de suite. Elle plonge dans la fourrure de Mélanie, surprise elle, par la fougue de Jacqueline. C’est qu’elle y a pris goût la salope, depuis qu’elle a découvert ce plaisir.
Elle se redresse une fois pour manifester sa joie de plonger dans une touffe garnie. Il est vrai que son expérience se limitait jusque là, à la chatte de Pauline complètement lisse.
Mélanie gémit rapidement. Je décide de prendre enfin cette femme dont j’ai envie depuis si longtemps.
Je demande à Jacqueline de se coucher par terre et à Mélanie, de l’enjamber en soixante neuf, afin de lui rendre la pareille, ce dont elle s’acquitte rapidement. Elle m’avouera plus tard que « Tu m’as traitée de salope et j’en suis vraiment une. J’ai eu longtemps des relations saphiques avec une femme. Elle est partie loin d’ici et je dois dire que ça me manquait ».
Positionnée ainsi, la croupe voluptueuse de Mélanie s’offre à mes yeux et à ma bite. J’hésite un moment à passer par la porte étroite, mais je me décide pour son vagin, me laissant le plaisir de la sodomiser pour plus tard. Jacqueline, tout en continuant à lécher son bouton, guide ma queue dans la moule luisante. Dans cette position, je ne vois plus que les fesses, le dos et la chevelure couleur neige qui s’agite entre les jambes de Jacqueline. La femelle est étroite, malgré ses maternités et sa vie sexuelle animée. Je la pénètre facilement, mais ensuite c’est une véritable pompe qui m’aspire. Je n’aurais presque pas besoin de bouger, tant ce traitement est efficace, mais je veux profiter au maximum de ce moment, aussi parfois je me retire pour mieux replonger ensuite dans sa caverne onctueuse. Jacqueline profite de ces sorties pour lécher ma queue et recueillir le jus de sa compagne.
Pauline, un peu délaissée, s’est installée sur le divan, le gode ceinture toujours en place, elle se branle comme le ferait un homme, tenant sa bite factice et l’agitant pour bouger la partie interne enfoncée dans sa chatte. Décidément ces vieilles femmes, sont de satanées salopes quand elles se lâchent !
Ce ne sont plus que gémissements et soupirs qui résonnent dans la pièce. Les corps sont moites. La chaleur monte et avec elle, une odeur de sexe. Je me vide enfin dans l’antre de Mélanie, Pauline jouit à son tour. Jacqueline est un peu plus longue, Mélanie l’ayant un peu abandonnée lorsqu’à son tour elle a été submergée par un orgasme dévastateur. Elle la termine en pilonnant le vagin de celle qui récupère mon sperme et sa mouille au sortir de la moule ruisselante.
Après quelques instants de récupération bien mérités de tous, Jacqueline va chercher du champagne pour fêter la naissance du club des « Vieilles Salopes des Gaves »
La discussion se poursuit alors que nous restons nus. Nous convenons qu’il est utile d’agrandir le cercle des « salopes » J’ai avancé cette idée en leur disant que je voyais bien une femme de leur club qu’il me plairait bien de baiser « tu n’en as jamais assez toi » répondirent-elles en chœur.
« Ce n’est pas ça. Mais il faut pourvoir présenter des femmes avec différentes caractéristiques. Nous avons Jacqueline qui est soumise et adore la sodomie, Mélanie a des cheveux et une toison abondante blanche, Pauline et Jacqueline aiment l’amour avec les femmes.
Moi aussi ! déclare Mélanie.
Toi aussi, d’accord ! Vous êtes trois salopes ! Pauline, toi tu es la plus « normale » mais tu as envie de baiser en permanence et aucune nouveauté ne te fais peur. Quand à votre amie… Irène, m’avez-vous dit, d’après ce que j’ai pu voir, c’est une rousse. C’est très apprécié des hommes. Au fait, est-ce que l’une d’entre vous se fait fister ?
C’est quoi ça ? demande Jacqueline.
C’est se faire pénétrer la chatte ou même le cul par une main.
Mais... C’est impossible !
Vous verrez que oui. Je suis sûr que Mélanie adorerait ça !
Pourquoi moi ?
Parce que tu as les hanches larges et que ta chatte que j’ai pu apprécier, est très élastique. Je suis sur que tu te godes avec des trucs imposants, je me trompe.
N… Non, c’est vrai !
Courgette ?
Oui ! J’ai honte !
N'aies pas honte, c’est normal. Je suis sûr que la main d’une de tes copines, voire la mienne, te feras monter au ciel. Enfin, si à son tour, Irène est partante, je vous proposerai une de mes maîtresses que vous apprécierez sûrement.
On la connaît ? C’est qui ?
Vous êtes bien curieuses. Vous verrez bien et serez assez surprises. Dans tous les cas elle vous en remontrera en matière de sexe.
Elle est jeune ?
Non, dans vos âges, puisqu’il s’agit d’une « Vieille Salope des Gaves »
Tu la connais depuis longtemps ? Demande Pauline.
Assez longtemps oui, même si pendant un certain temps elle n’a pas été ma maîtresse. Disons que nous nous sommes « retrouvés ». Mais on verra ça plus tard. Avant il faut que vous recrutiez Irène. Vous allez vous y mettre toutes les trois.»
Lors de la réunion suivante, les trois coquines ont préparé une stratégie. Elles invitent Irène à se joindre à elles pour une partie de cartes. Ces dames s’arrangent pour que leur table soit un peu à l’écart des autres – privilège de la présidente – afin de parler sans être entendues.
Jacqueline, la plus délurée, oriente le sujet de conversation vers le sexe. En se disant déprimée depuis le départ de son amant. Irène n’a pas l’air choquée, aussi Mélanie poursuit à mi-voix en disant à Jacqueline qu’elle-même fait partie d’un club un peu secret, dont les femmes rencontrent des hommes discrètement, seule, ou en groupe. Jacqueline, déclare aussitôt vouloir en faire partie et fait semblant d’apprendre que Pauline y adhère aussi.
« Toi, Irène, tu n’as pas besoin de ça, tu as un homme ! lance Jacqueline.
C’est que…
Tu sais, ajoute Mélanie, ce n’est pas réservé aux célibataires ou aux veuves. Il peut y avoir aussi des femmes mariées.
Il faut que je parle à mon mari ! déclare Irène en se levant aussitôt. »
Les trois femmes sont abasourdies et inquiètes. Que va-t-elle dire à son mari ? Va-t-elle les dénoncer ? Créer un scandale ? Elles n’en mènent pas large, surveillant du coin de l’œil la réaction du mari d’Irène, qui n’est pas des plus rigolos du club Malheureusement celui-ci est de dos. Elles aperçoivent malgré tout qu’il hoche la tête, puis la secoue de gauche à droite comme pour dire non. Elles espèrent au moins que le couple gardera la conversation pour lui. Après quelques minutes qui paraissent longues aux trois amies, Irène revient à leur table.
« Mon mari est d’accord, mais à une condition. Il veut assister. Il ne veut pas participer, mais simplement assister.
Tu peux nous expliquer un peu ? demande Mélanie.
Ce n’est pas facile, mais bon, si nous sommes amenées à vivre cela ensemble, c’est bien que vous soyez au courant, mais vous me promettez de n’en parler à personne.
Parce que tu crois qu’on va chanter sur tous les toits, qu’on se réunit pour baiser en groupe ?
C’est vrai. Mais, ce n’est pas glauque ?
Oh non ! Dit Pauline. C’est très correct. Même si c’est plutôt « chaud ». Mais personne n’est obligé de faire ce qu’il ne veut pas.
Écoute ! Si tu veux avoir une idée, et montrer à ton mari comment Ça se passe, je peux demander au monsieur qui s’en occupe, de vous recevoir au cours d’une rencontre.
Vous y serez ?
Si ça doit t’arranger, oui. Il n’y aura que nous avec lui.
Et moi ? Interroge Jacqueline.
On va s’occuper de toi ce soir. Tu as l’air motivée et tu en as besoin, lance Pauline en lui adressant un clin d’œil
Et pour moi alors ? interroge Irène à son tour.
Il faut qu’on en parle au monsieur. Si ça l’intéresse, je t’appelle. Mais, tu devrais nous expliquer…
Voilà… Euh... Est-ce qu’on pourrait en parler ailleurs. Ici il y a toujours des oreilles qui trainent. Passez à la maison après la réunion. »
Les trois femmes se rendent chez le couple en fin de journée. A leur arrivée, l’homme leur propose de boire un peu de champagne. Ils adorent ça et ne manquent pas une occasion pour en déguster. « Et c’est une occasion ! » déclare le mari, qui une fois chez lui, est beaucoup plus avenant qu’en société. Il parle peu, mais se montre galant et souriant.
Les trois copines sont un peu gênées car l’objet de leur visite est tout de même particulier. Elles sont également impressionnées par le cadre chic de la demeure. Mis à part Pauline, qui y était déjà entrée, Jacqueline et Mélanie découvrent une belle maison cossue richement meublée. Le couple a semble-t-il des moyens qu’elles n’ont pas.
Irène qui sent le malaise, s’évertue à dégeler l’ambiance.
« Nous sommes entre personnes adultes et vu ce que vous m’avez dit, assez délurées. Plus jeunes, avec Gérard, nous avons fréquenté des clubs libertins. Dans ces campagnes ici, c’est beaucoup plus difficile, aussi j’ai été très surprise de découvrir que ce genre de lieu existait, et je dois dire, que vous en fassiez partie. Vous voyez que cela ne nous choque pas.
C’est un petit club, en voie de développement. Notre mentor prépare un groupe localement. Il est très au fait de ces choses là et pense qu’une telle organisation est possible et peut fonctionner dans notre monde rural.
J’adorerais faire partie de ces « pionnières » ! Ça m’excite ! Voilà, je vous explique. Comme je vous le disais, mon mari et moi avons eu une vie sexuelle épanouie. A Paris c’était facile. Quand nous sommes arrivés ici, grâce à nos contacts, nous avons participé à quelques soirées privées sur la côte basque ou landaise. Il y a quelques années, mon mari a connu un problème physique. Depuis ce jour là il… il n’a plus d’érection ! Au début, nous avons continué à fréquenter les soirées, mais il était gêné. Il le faisait surtout pour moi, mais n’osait plus se montrer. J’aime mon mari et malgré son encouragement, je n’ai pas voulu y aller seule. Petit à petit, nous n’avons plus fréquenté les clubs et avons perdu tout contact avec ce monde.
Gérard, mon mari, m’a encouragée à fréquenter des hommes, mais les quelques expériences que j'ai eues ne m’ont pas satisfaite. Il m’a aussi fait de nombreux cadeaux de ce qu’on appelle aujourd’hui des sextoys. Rien ne remplace la présence d’un corps vivant. Au risque de vous choquer, j’aime aussi les femmes.
Mais tu ne nous choque pas ! dit Pauline. Nous aussi nous aimons faire l’amour avec les femmes !
Eh bien ! Je crois que nous sommes sur la même longueur d’onde. Vous pensez que votre contact m’acceptera ?
Je crois que oui dit malicieusement Mélanie. Nous lui en parlons ce soir puisque nous allons lui présenter Jacqueline.
Et pour mon mari ?
Je ne sais pas. Il nous le dira. Mais ça m’étonnerais que cela le gêne.
Je le connais ?
Je ne sais pas. On t’en dira plus dès que possible. »
Le soir même, Mélanie m’appelle. Les deux autres ne peuvent se libérer, aussi me demande-t-elle de passer chez elle. En fait, la coquine leur a demandé de me recevoir seule. Pauline et Jacqueline ayant décidé de passer la nuit toutes les deux, acceptent bien volontiers sa proposition.
Discrètement, lorsque la nuit est tombée, je me retrouve chez Mélanie. Elle s’est bien préparée pour me recevoir. Une nuisette transparente qui descend jusqu’au dessous des genoux – toujours le complexe de ses grosses jambes – en dessous, pas de soutien gorge ni de culotte, mais des bas autofixants et des chaussures à talon. Sa toison blanche faisant une tâche claire visible à travers le léger tissu.
Elle est splendide et je le lui dis.
« C’est vrai ? Je ne suis pas ridicule ?
Pas du tout ! Et je ne connais pas d’homme, ou de femme aimant les femmes, qui n’ait pas envie de te baiser en te voyant comme Ça ! Si tu mets ça lors de nos soirées, tu seras vite la vedette. Regarde ! »
J’ouvre mon pantalon et lui présente ma bite au garde à vous. Le sourire aux lèvres elle s’agenouille et me suce goulûment. Mélanie est une super-suceuse et la voir ainsi dévêtue m’excite particulièrement. Je ne veux tout de même pas jouir de suite. Aussi je la relève, et je lui demande de prendre des poses devant moi. Je lui dis que je veux qu’elle oublie ses complexes. Qu’elle est très excitante, bandante. Que les bas ainsi portés embellissent ses formes. Que sa chatte blanche est un appel au viol.
« Tu n’a pas des chaussures à talons plus hauts ?
Oui, mais ce n’est pas facile de marcher avec.
Ce n’est pas pour faire des kilomètres mais juste pour te pavaner. Va les chercher ! »
Elle revient bientôt juchée sur des talons démesurés (seize centimètres) qui effectivement ne permettent pas de marcher beaucoup. Néanmoins le galbe de ses jambes et de ses fesses est accentué et on ne lui demande pas de déambuler pendant des heures. Je l’amène devant une glace où elle peut se voir en pied.
« Regarde-toi ainsi. Tu ne trouve pas que tes jambes sont affinées.
Oui, mais je n’irai pas loin comme ça.
Tu sais, on te demande juste ensuite de t’agenouiller ou de te coucher. Tu ne risque pas grand-chose. En plus, si tu trébuches, il y aura bien des bras pour te retenir. Je vais te prendre en photo d’abord, ensuite, espèce de salope, je vais te prendre dans tous les sens. »
Je me déshabille et entreprends de la photographier sous tous les angles. Les prises en contre plongée à ses pieds, allongent encore ses jambes et quand je lui montrerai les clichés, elle aura du mal à se reconnaître. A genoux, étendue dans le sofa, de dos de côté, je mitraille Mélanie qui, prenant de l’assurance joue avec moi. Après avoir retiré la nuisette vaporeuse, je continue un peu plus. Tournant autour d’elle, la frôlant, mais me retirant dès qu’elle veut attr ma queue tendue.
Enfin, n’y tenant plus, je plonge mon visage dans sa fourrure et lape sa chatte onctueuse. Excitée comme une puce après la séance de pose elle jouit rapidement sous ma langue et mes doigts. Bien mouillée, je la pénètre alors de trois, puis quatre doigts.
Je la sens prête et décontractée, aussi je joins mon pouce et entreprends d’entrer ma main dans son vagin.
« Oh oui !! Mets-la-moi ! Défonces-moi la chatte ! Salaud ! C’est bon ! Tu vas me faire jouir avec ta main ! Vas-y ! Mets-la-moi ! »
Je tourne délicatement ma main comme pour forer l’étroit passage quand, tout d’un coup, elle est comme aspirée, la partie la plus large est passée et je suis enfoncé jusqu’au poignet ! Je continue d’abord mes mouvements de rotation puis, je ferme le poing et là, Mélanie décolle carrément. Elle crie, son bassin vient au devant de ma main, excroissance monstrueuse de son corps. Je la pistonne littéralement et elle râle, en redemande, lance son bassin une dernière fois en l’air et s’effondre enfin sur la couche. Seule sa poitrine qui se soulève et sa bouche grande ouverte à la recherche d’air, trahissent sa vie.
Délicatement, pour ne pas la blesser, je retire lentement ma main. Sous ses fesses, le tissu est trempé de mouille. Je la laisse récupérer, prenant encore quelques photos qui l’a feront rougir par la suite.
Elle ouvre enfin les yeux. Un grand sourire aux lèvres elle ouvre grand les bras pour que je me couche sur elle. Sans avoir besoin de me guider, je pénètre son antre et je suis surpris quand presque aussitôt je me sens serré par les muscles de son sexe. Quelle élasticité ! Il y a quelques instants ma main était à cette place ! Elle rit de mon étonnement et me demande de la baiser doucement. Comment lui refuser ce plaisir ? Pour la première fois je la prends en missionnaire. Son corps de femme mûre et enrobée, est souple et accueillant. Sa peau est brûlante après la séance précédente. Elle me serre fort dans ses bras et je la baise lentement. Ses yeux bleus me fixent intensément. Malgré son âge et ses rondeurs, Mélanie est particulièrement souple. Je lui relève les jambes sur le torse et la pénètre profondément pour son plus grand plaisir. Je la retourne et, à genoux la prend en levrette. Avec ses bas, son gros cul ressort encore plus. Je me régale. Enfin, couchés en cuillère, car elle fatigue un peu, je jouis dans sa chatte brûlante qui se serre fort sur ma tige.
« Il y a longtemps qu’on aurait dû faire ça ensemble ! Me dit-elle. Tu sais que moi aussi je t’avais remarqué. Je ne pensais pas que tu pouvais t’intéresser à une vieille comme moi.
C’est vrai ? Depuis quand ?
Petit coquin ! Il y a bien vingt cinq, trente ans. Tu travaillais sur un chantier et tu étais torse nu. Ce jour là, j’ai eu un coup de chaleur en te voyant. Tu m’as regardée et si tu m’avais approchée je t’aurais dit oui tout de suite. Je suis rentrée chez moi et me suis branlée comme une folle en pensant à toi. Me traitant d’idiote, car un garçon comme toi ne pouvait pas penser à moi.
Eh bien, comme quoi tu te trompais ! Je te trouvais déjà très bandante, mais je n’ai pas osé te draguer ouvertement. Je sentais bien que tu devais être une coquine, mais les convenances et la peur du ridicule sont des barrières difficilement franchissables.
Malgré tes autres maîtresses et les « folies » que nous allons faire, tu reviendras avec moi, me baiser toute seule ?
Si tu es toujours aussi bandante que ce soir et que tu restes une chaude salope, j’espère que tu m’ouvriras ta porte, ton lit, tes cuisses et ton cul, parce que j’adore te baiser ! Au fait, tu fais quoi demain soir ?
Tu veux revenir ? Pas de problème !
Non, ce n’est pas Ça. Je te propose une soirée dans un sauna.
Pour faire quoi ?
Il s’agit d’un sauna libertin. Il y a des femmes, des hommes, souvent plus que de femmes et Ça baise.
Tu me vois à mon âge et…
Arrête avec ton physique et très grosses jambes ! Tu vas voir qu’il y a de tout dans ce genre d’endroit. Que tu seras surement abordée, parce que tu es bandante avec ta fourrure blanche, ce qui devient rare par les temps qui courent. Et puis, rien n’est obligé. Si tu ne veux pas qu’on te touche, tu dis non et Ça s’arrête. Ceux qui insistent se font jeter par les autres. Alors, tu viens avec moi ?
Je… Je ne sais pas… Peut-être.
Écoute, je pars vers dix huit heures, je t’appelle avant. Si tu es d’accord, je passe te prendre dans un endroit discret et on va s’amuser. »
Il est déjà tard et je dois rentrer chez moi. Mélanie m’accompagne à la porte et se colle contre moi pour m’embrasser avec fougue. Quand on se sépare, elle me dit « C’est d’accord pour demain. Viens à … Je t’attendrai »
La découverte du sauna libertin par Mélanie est une autre histoire. Simplement elle adorera l’ambiance et se rendra compte que son physique est loin de déplaire aux participants. Pour le moment, revenons à la constitution en cours du club des « Vieilles Salopes des Gaves »
La semaine suivante lors de la réunion hebdomadaire du club des aînés, Jacqueline ayant été « officiellement » intégrée, Pauline confirme l’accord du responsable du site pour la rencontre avec le couple Irène – Gérard. Le rendez-vous est fixé le soir même chez Jacqueline, dont la maison est à l’écart du village et les véhicules peuvent se garer à l’arrière, cachés aux regards du voisinage.
Nous sommes donc réunis Jacqueline, Pauline, Mélanie et moi. Ces dames se sont mises en tenue seyante, et plutôt sexy. J’en profite pour vérifier l’absence de culotte en passant la main dans la chatte de chacune. Elles sont déjà mouillées, ce dont je les félicite en goûtant leur suc. Jacqueline a préparé quelques boissons et des gâteaux, j’ai amené du champagne que le couple semble apprécier, Pauline et Mélanie ont eu la même idée. Du coup, Jacqueline range ses boissons et va aussi chercher du champagne.
Lorsque Irène et Gérard arrivent, nous rions, car eux aussi ont apporté une bouteille de champagne. Décidément, nous n’allons pas manquer de « carburant ». Ils sont un peu surpris de me voir là. N’ayant pas pensé que je pouvais être ce fameux « interlocuteur ».
Mélanie, qui décidément se place naturellement comme le leader du groupe, leur explique que je suis l’initiateur de ce club un peu spécial. Que j’aime les femmes d’âge mûr et que il y a plus d’hommes qu’on ne le croit qui sont comme moi.
J’ai déjà préparé le terrain et leur présente la première version d’un site internet qui fera la promotion des rencontres. Je leur montre la page avec les photos de ces dames, dont j’ai flouté les visages, mais qui montrent suffisamment leurs charmes. Celles-ci rougissent un peu, car Gérard a l’air très intéressé. C’est vrai qu’il ne les a jamais vues ainsi.
Nous commençons par trinquer, histoire que chacun prenne sa place et que l’ambiance s’installe. Quand tout le monde a bu, je donne le signal du départ.
« Maintenant que vous avez vu ces dames et l’orientation de notre « club privé». Vu ce qu’elles m’ont rapporté, vous ne devez pas être choqués.
Pas du tout ! déclare Gérard. Mais laissez-moi vous dire mesdames que vous êtes charmantes et que je regrette de ne pas vous avoir vues ainsi avant ce jour.
Vous êtes un coquin, Gérard, dis-je. Mais maintenant c’est votre femme que nous allons découvrir, dans tous les sens du terme.
Mais faites donc ! J’espère qu’elle saura être à la hauteur de vos attentes.
Je dois vous dire pour être honnête, que c’est moi qui ai repéré votre femme et qui ai encouragé nos amies à la « recruter ». Elle est très charmante. Je n’aurais peut-être jamais osé l’approcher, mais je suis très heureux que nous soyons sur la même longueur d’onde.
Bien ! Irène, à partir de maintenant je vais te tutoyer, tu es amenée à être plus que nue et a te faire baiser. Cela me semble donc plus normal et te préparera aux futures rencontres.
Tu vas te lever et nous montrer comment tu es faite. Déshabilles-toi lentement, comme pour un strip-tease. Jacqueline, mets-nous un peu de musique. »
Rougissante malgré tout, Irène prend place au milieu de la pièce. C’est une femme pas très grande, habillée avec classe, on sent qu’il y a des moyens. Sa chevelure rousse, qui m’avait attiré est décolorée. Est-elle une vraie rousse ? Ses formes sont attrayantes et sa taille encore fine malgré son âge. Elle a revêtu un tailleur à carreaux sur un chemisier blanc.
Elle commence à retirer la veste qu’elle jette négligemment sur un fauteuil. Le chemisier suit en dessous elle est nue. Sa poitrine, pas très grosse est en revanche bien ronde et tient très bien malgré son âge. Sa peau de rousse laiteuse est parsemée de taches de rousseur. Elle dégrafe alors sa jupe qui rejoint les autres habits et fait apparaître une belle culotte bien échancrée. Irène a revêtu des bas tenus par un porte-jarretelles et est juchée sur des souliers à talon ce qui lui donne une très jolie silhouette.
Les trois femmes à mes côtés sont muettes et son mari est captivé par le spectacle que donne sa femme. A ce moment, elle ne sait trop quelle attitude prendre, aussi j’interviens.
« Tu es ravissante et très sexy. En revanche tu sauras que les vieilles salopes des gaves ne portent pas de culotte. » Désigne en une et on va vérifier.
Je ne sais pas… Pauline, peut-être ? Je demande à celle-ci de relever sa jupe, ce qu’elle s’empresse de faire, dévoilant son intimité.
Aussitôt, Irène va pour enlever sa culotte. Je suis impatient de vérifier sa toison intime. Elle se retourne et descend son dernier vêtement sans plier les jambes, faisant ressortir sa croupe, mise en valeur par les bas et la ceinture du porte-jarretelles. Enfin elle nous fait face. Un petit toupet roux orne le haut de son sexe. Bien entretenu. Il est aussi d’un roux flamboyant.
« Tu te teins là-aussi ? Pourtant tu es une vraie rousse !
Oui ! Mais… J’ai … quelques poils blancs. Mon mari me l’a conseillé.
Il a eu raison ! Je pensais bien que tu étais une vraie rousse. Tu es superbe ! Maintenant, tiens-toi droite, écarte un peu les jambes et mes tes mains derrière la nuque. C’est ainsi que les salopes se présenteront face à leur public. Ils pourront ainsi bien les découvrir.» Je m’approche d’Irène et sans qu’elle ne s’y attende, je passe ma main dans sa fourrure et sa chatte.
« C’est déjà bien mouillé dis-donc ! La situation t’excite ?
O… Oui, pardon !
Tu n’a pas à te faire pardonner, au contraire ! » Je porte ma main au visage pour la sentir et je retrouve cette odeur caractéristique des rousses qui me ravie. « J’aime ton parfum de rousse ! » Je replonge ma main puis me dirige vers les trois femmes et tour à tour leur fait sentir mes doigts.
« Alors, mesdames, vous ne trouvez pas que notre amie sent bon ?
Moi j’adore dit Jacqueline.
On se doute que toi ma salope tu as envie de fourrer ta langue dans sa chatte. Mais je vais en profiter d’abord. »
Je retourne vers Irène qui n’a pas bougé. Je passe derrière elle et me colle contre son corps. Elle a déjà chaud et mon nez dans sa chevelure recueille tout son parfum. Irène n’est pas très grande, un mètre cinquante trois, cela ajoute à son charme. Ses seins ronds sont bien durs sous mes mains. Je les caresse, roule les tétons entre mes doigts, puis, gardant une main sur les seins, je descends vers son ventre et commence à la caresser. Bientôt, Irène colle ses fesses contre moi et réagit à ma caresse. Je vois en face de nous le « public » subjugué. Dans l’oreille de la rousse je glisse :
« Regardes-les ! Ouvre les yeux ! Tu aimes que je te branle ! Ils adorent te voir ainsi. Tu vas jouir devant eux, pour eux et pour moi. Montre-leur la salope que tu es ! Je veux t’entendre crier et te lâcher. »
Irène se tord contre moi, je sens son corps brûlant et son parfum qui envahit mes narines. Je bande comme un fou, mais je veux l’amener à la jouissance. On n’entend plus que ses soupirs qui gonflent, et enfin elle jouit. Ses jambes se dérobent, mais je la tiens bien et elle ne pèse pas lourd.
Je fais signe à Pauline de s’équiper. Nous avions prévu qu’elle mettrait le gode ceinture dont elle adore se servir. Je couche Irène, je me déshabille et m’étends par terre. Je la positionne sur moi tête bêche. Ma bite face à sa bouche et sa chatte gluante au dessus de ma bouche.
Pauline s’est elle aussi déshabillée. Je remarque du coin de l’œil que Gérard se délecte de la vue de sa présidente nue, l’excroissance du sexe factice lui donnant une allure androgyne. Elle vient se placer derrière Irène dont j’écarte la chatte pleine de jus et sans attendre, Pauline la pénètre.
Irène couine étonnée de sentir un membre la pénétrer alors qu’il n’y a pas d’autre homme que moi, son mari ne pouvant bander ainsi. Je la maintiens et pousse son visage contre ma bite. Elle comprend vite le message et avale ma tige pendant que sa présidente la baise. Je recueille dans ma bouche la mouille abondante d’Irène, tout en léchant son bouton, ce qui la rend folle. Elle jouit une nouvelle fois coulant abondamment. Je me dégage alors de dessous son corps et prend la place de Pauline à qui je demande d’aller présenter son sceptre à la bouche d’Irène.
Voyant cette tige, celle-ci lève les yeux et découvre sa présidente nue, qui vient de la baiser et la faire jouir. Je la pénètre alors. Elle pousse un grand Ouiiii ! Enfin une queue ! Que c’est bon ! Oui ! Baise-moi bien ! Elle est bonne ta queue ! »
Je vois Gérard qui se touche un peu les parties. C’est homme n’est peut-être pas si impuissant que ça. Je demande à Jacqueline d’aller vers lui, et de le sucer. Malgré son opposition, elle ouvre son pantalon, dégage ce qui effectivement ressemble à un gros clitoris et plonge dessus avalant à la fois le petit bout et les boules.
Cette salope a l’air de se régaler de sucer la petite bite et Gérard a l’air de prendre son pied. J’accélère mon coït avec Irène et lui dit de regarder son mari se faire sucer.
- « Oui, vas-y Jacqueline ! Salope ! Pompe-lui son petit sifflet. C’est bien mon chéri ! Jouis en regardant ta femme se faire baiser. Si tu savais comme c’est bon de sentir une vraie queue dans la chatte ! Je t’aime mon amour ! On va jouir tous les deux ! Ça fait si longtemps ! Viens ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !
Bien cramponné aux hanches d’Irène je me vide dans la cramouille gluante. En face, Gérard geint à son tour. Les talents de Jacqueline sont récompensés et surement le spectacle de sa femme jouissant sous les coups de butoir d’un homme n’y est pas étranger.
Un moment de calme succède aux cris. Sur le sofa, Mélanie a glissé une main sous sa jupe et se caresse négligemment en embrassant la scène du regard. Je me rends compte qu’elle est la seule à ne pas avoir participé, aussi, après l’avoir laissée récupérer, je déclare à Irène qu’il lui reste une épreuve. Je la guide vers Mélanie et lui demande de la lécher. Elle découvre alors la fourrure abondante de notre amie et sans hésiter plonge entre ses cuisses y recueillir les larmes de son plaisir.
La coquine, qui a dit qu’elle aimait aussi les femmes, prouve qu’elle a dit la vérité et avec application bouffe la chatte de son amie.
Après cet épisode, Gérard déclare que cet événement doit être fêté comme il se doit et nous descendons une nouvelle bouteille de champagne.
Jacqueline, qui ne perd pas le nord, me dit alors.
« Tu nous as dit que si nous convainquions Irène de se joindre à nous, tu complèterais notre groupe avec une de tes maîtresses.
Parce que tu étais dans le coup depuis le début, Jacqueline ?
Eh oui ! Nous avions comploté tous ensemble, sans savoir que ton mari et toi étiez des adeptes du libertinage ! Nous avions même un peu peur qu’il ne fasse un scandale, c’est pour ça que j’ai joué à celle qui ne connaissait pas. C’est Jean qui a tout manigancé !
Vous aviez pensé à moi ? demande Irène en me regardant. Je n’aurais jamais pensé intéresser un homme jeune.
Pas si jeune que ça, dis-je. Mais je te trouvais à mon goût. J’ai toujours aimé les rousses. Au milieu des autres femmes, j’avais repéré tes formes, ta chevelure et tes yeux rieurs.
Vous ne manquez pas de culot, vous !
J’ai l’impression que j’ai eu raison, non ?
Et si j’avais été choquée ? Si mon mari n’avait pas apprécié ?
Tu as vu que je suis passé par ces dames. Tu n’aurais jamais sû l’intérêt que tu avais suscité. Bien, je crois que tu es intégrée au groupe maintenant. Comme promis et à condition que vous soyez tous d’accord, je vais rajouter une personne qui ne fait pas partie de votre club
Qui est-ce ? » Jacqueline est trop curieuse une fois de plus.
Je ne vous le dirai pas, tout du moins tant que vous ne l’aurez pas acceptée. Même à ce moment là, je ne sais pas si je le ferais.
On la connaît ? C’est maintenant Mélanie qui interroge.
Peut-être que oui. Elle restera inconnue tant que je le désirerai.
Ce n’est pas elle qui décide ?
Non, elle m’est soumise comme toi Jacqueline, et même encore plus. Elle ne sait pas encore ce que j’ai prévu pour elle et de toute façon ce n’est pas elle qui décidera, quoi qu’il lui en coûte ! Peut-être que cette fois-ci je tiendrais compte de son avis, mais ce n'est pas sûr.
Ben dis-donc ! Comment une femme peut en arriver à se livrer ainsi ?
L’histoire est assez longue, vous verrez… peut-être. Dans tous les cas cela ne devra pas sortir de notre groupe. En attendant, je veux voir comment vous allez vous comporter pendant quelques temps, maintenant que vous partagez un secret. Il ne s’agit pas que tout ceci s’ébruite. Je vais préparer la suite. Vous ne devez rien changer dans vos rapports avec les autres. Il y a maintenant votre vie publique et celle des «Vieilles Salopes des Gaves »
Mais… quand est-ce qu’on va commencer ?
Eh bien, il va falloir que le site se fasse un peu référencer. Je crois qu’avec les photos et curriculum de chacune d’entre vous, cela devrait assez bien fonctionner. Ensuite, il faut un lieu pour organiser les soirées. C’est pour cela que je compte sur la dernière personne. Elle possède l’endroit qui conviendrait tout à fait. Donc, pour l’instant on va se contenter de se retrouver entre nous, que ce soit ensemble comme ce soir, ou séparément. Vous allez apprendre à vous connaître autrement que dans le club On va voir s’il n’y a pas de jalousies qui se créent et alors on passera à la phase suivante.
Pourquoi des jalousies ? Demande Pauline.
Par exemple. Tu es la première et la seule avec qui j’avais des relations. Maintenant Mélanie a très envie que je m’occupe aussi d’elle en aparté. Toi, tu adores baiser avec Jacqueline et vous vous gouinez quasiment tous les jours espèces de vieilles salopes. Quand à Irène j’aimerai bien en profiter avec l’une ou l’autre d’entre vous et essayer quelques trucs avec Gérard.
Comment ? Vous voulez avoir des rapports avec mon mari ? Mais il n’est pas…
Ce n’est pas ça, mais je suis sûr qu’il aimerait se retrouver attaché, nu sur son fauteuil, comme s’il ne pouvait rien empêcher alors que tu te fais baiser devant lui, et même peut-être sans qu’il ne puisse rien voir mais seulement entendre. N’est-ce pas mon cher Gérard ?
O… Oui je crois que j’en ai envie mais…
Par la suite, on pourra même dire dans les soirées que cet homme est le mari de l’une d’entre vous qui le punit, sans dire laquelle. Vous verrez que notre ami en sera tout excité. Tu n’as jamais pensé à ça Irène ?
Non, c’est vrai ! C’est ça que tu veux mon amour ?
Oui ! Je le veux !
Pourquoi ne m’en as-tu jamais parlé ?
Je... Je n’osais pas.
Quel dommage ! Nous allons nous rattr ! Ce diable d'homme m'a l'air d'avoir plus de vice et d'idées que nous tous réunis!
Bon, en attendant, je vais aller baiser Irène dans ta chambre, Jacqueline. Je vous propose mesdames de vous gouiner comme vous savez si bien le faire, devant ce monsieur qui entendra peut être sa femme crier, mais sans savoir pourquoi. »
Avant de nous séparer, Irène va embrasser son mari sur la bouche en lui disant « je t’aime » Pendant plus d’une heure je vais lécher, sucer, baiser, enculer cette petite femme dans le lit de Jacqueline qui gardera quelques traces de notre passage. A notre retour, on retrouve Mélanie et Pauline couchées face à face les jambes emmêlées jouant avec un double dong enfoncé dans leurs chattes, alors que Jacqueline qui semble y prendre décidément beaucoup de plaisir, est à genoux entre les jambes de Gérard et suce son petit bout.
Irène s’approche de son mari et l’embrasse tendrement « Oh mon chéri ! Il m’a baisée dans tous les sens ! Je suis si heureuse que toi aussi tu prennes du plaisir. Je vais te sucer à mon tour ». Elle s’agenouille a côté de Jacqueline qui bientôt lui laisse la place. Le couple nous oublie, tout du moins Irène, car son mari contemple les deux gouines qui se donnent du plaisir à un mètre de lui. Sous la langue de sa femme. Il prend son plaisir. Pour un homme impuissant il retrouve une certaine verdeur !
Quelques jours plus tard, le site est prêt et je l’ajoute sur un blog déjà renommé. Surprise deux jours plus tard, une première réaction et une demande d’information. Je me dis qu’il va falloir accélérer le mouvement.
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