Collection Les Chiennes. Ma Fille. Saison Iii (8/9)

C’est dans la pièce secrète de la villa de mon mari que Wolfgang le fugitif me la fait découvrir.
Il me fait découvrir comment ouvrir et refermer le mur pivotant nous isolant du monde.
Sur les étagères du fric même des lingots d’or et surtout une grande quantité de ce que Monsieur appelait des fortifiants.
Wolfgang en a mis dans ses narines et moi aussi.
Je vois de quoi m’instruire avec les classeurs et cahiers des comptes de Monsieur.
Et enfin je découvre que la villa est en grande partie sous surveillance.
Wolfgang me montre comment changer de caméra sur l’écran principal alors que sur l’ordi de petite fenêtre me montre qu’il y en a une vingtaine.
La chambre où Radia est recroquevillée sur son lit.
Tonio a l’entrée brique la limousine.
Celui qui a placé les caméras est fortiche car la piscine lieu commun est couverte.
Quand je vois l’angle de la prise de vues, la caméra doit être placée dans l’une des statues genre grec qui se trouve dans le jardin.
Dans la chambre de Radia, il faudra que je voie où elle est.

- Wolfgang, dans ma chambre il y a une caméra ?

Aucune réponse.
Je suis bête Wolfgang est derrière moi et son handicap l’empêche de me répondre.
Il me fait non de la tête.
J’ai une idée pour communiquer en réponse.
Il y a un bloc sur le bureau et un stylo.
Je le tends à mon majordome.

- Écrit quand je te pose une question.

Il prend le stylo et le bloc et écrit.

- Deutsch…

Ça va compliquer nos rapports mais bons le principal c’est qu’il comprenne le français.
Ça bouge dans la chambre de Radia.
Tonio entre avec un plateau.
Je montre mes oreilles à Wolfgang.
Il met l’image sur le grand écran et appuie sur le bouton correspondant à celui sur l’écran numéro 10.
Wolfgang s’exprime.

- Monsieur avant d’être arrêté m’a donné consigne de t’apporter tes repas et de m’occuper de toi.


Tu comprends ce que je veux, bientôt Madame va te livrer à un Oriental comme l’aurait fait Monsieur.
Fais-moi voir ce que tu sais faire avec ta bouche.
J’ai une grosse envie.

Radia se tourne, j’entends le bruit du sommier qui craque.
Tonio sort sa verge de son pantalon sans le baisser.
Je suis attentive à ce qu’il va se passer.
Radia a-t-elle compris que lorsque j’ai donné l’ordre de la rattr, son calvaire continuait.
Gagné.
La jeune Marocaine prend la bite en main et la met dans sa bouche.
Si j’ai réussi à la dépuceler avec une bouteille de champagne, sa bouche l’était depuis longtemps.
Dans les soirées qui ont fini par transformer ma fille de jeune fille modèle à la pute qu’elle doit être en ce moment.
Où ?
Les cahiers pourront m’apporter des réponses mais présentement Wolfgang me pose sa main sur l’épaule regardant l’écran comme moi.

- Très bien petite salope, ta bouche est faite pour faire des pipes.
Je vais demander à Madame si tu peux rester ici et que tu sois notre pute.

Je me marre, il peut toujours courir.
Si je veux asseoir mon autorité il peut se faire sucer et même lui remplir la bouche comme je le vois sur l’écran mais la garder ça non.
Radia ayant fini de pomper Tonio prend le verre d’eau sur le plateau et se lave les amygdales.

- Wolfgang c’est bon pour aujourd’hui.
Je vais me baigner apportez-moi aussi un petit repas.

Ça fait quelques jours que Wolfgang m’a fait découvrir la chambre secrète.
Je travaille quelques heures pour éplucher les cahiers.
La pièce est climatisée, je m’y trouve bien.
À l’entrée je vois Tonio qui régulièrement s’occupe de Radia la baisant même sans savoir que je le vois.
Une grosse Mercedes entre.
Je la connais, elle était derrière nous quand nous sommes descendues vers Nice lors de mon mariage non consommé.
Charles André le toubib et père de Boris et Luc.

Que vient-il faire ?
Je referme le cahier que je consultais ayant trouvé quelque chose que je cherchais.
J’arrive vers la porte de mon trou quand ça s’ouvre.

- Jennifer, je viens te voir, j’ai plusieurs jours après l’arrêt de ton homme.

Je trouve bizarre son tutoiement, il connaît le lieu aux trésors même si Wolfgang l’accompagne.

- Je viens seulement car j’étais sous surveillance policière ainsi que la villa.
Ces cons, ils ont levé l’un et l’autre.
Je savais que leurs effectifs sont restreints.
J’ai organisé un contre feu qui les oblige à reprendre du personnel.
Nous avons du temps devant nous.
Tu dois savoir que Jean, pardon Monsieur pour vous, était un leurre pour la police pour cacher le réseau que j’ai mis en place avec Wolfgang.
C’est pour ça qu’il s’est mouillé pour le faire échapper car il savait que partout où il irait nous pourrions couper le lien avec nous.
- En cellule, il est bien traité nous avons ce qu’il faut pour ça même s’il va prendre quelques mois supplémentaires après ce qu’il a fait au commissariat.

Mince, Wolfgang est un des chefs de notre réseau.
Dans ses comptes deux noms apparaissent, Prof et Berlin.
Prof c’est André le toubib et Berlin c’est Wolfgang l’allemand.
Ils ont de quoi faire financièrement ce que mon mari leur reversait en fond des monstres de frics.
Je suis déjà la maîtresse indirecte de Berlin, il va falloir que je m’intéresse à Prof.

- J’ai pris connaissance des notes et des comptes de mon mari.
Je remercie Wolfgang de m’avoir ouvert les portes de notre organisation.
- S’il l’a fait c’est à ma demande, je veux que tu deviennes le nouveau fusible, tu m’as prouvé en récupérant la petite pute que je vois se faire baiser sur nos écrans par le chauffeur que tu savais réagir.
Nous allons faire du bon travail ensemble.
Pour te prouver ma bonne foi, je vais te dire où…
- Est ma fille Lucie.

Je viens de le découvrir en recoupant des faits et des notes à la date de sa disparition.
Elle est à Saint-Louis au Sénégal.
- Elle était, car on vient de me prévenir qu’elle avait fui sans savoir où elle est.

Je viens de comprendre plein de choses.
Le Prof est un pleutre qui se cache dans son propre réseau, pour preuve c’est sa non-arrestation lors de la descente de l’autre petite pute avec son flingue pour mettre au trou Jean mon mari.

- Attendons de voir si elle réapparaît là encore nous aurons besoin de toi.

Pendant ce temps-là, je mouille, Radia est prise en levrette.
Une idée me vient pour me satisfaire dès que Prof a repris sa voiture retournant certainement se planquer dans son trou personnel.
Berlin rejoint le sien, il faudra que j’aille voir comment il est installé.

- Tonio.
Oui madame Jennifer ?
Vous avez besoin de la limousine ?
- Non, amenez-moi Radia dans mes appartements.
- Dans deux minutes elle est chez vous.

Cinq mais c’est bon, toujours dans sa jolie nudité, elle est devant moi qui comme lorsque le Prof était là j'ai mon maillot de bain étant à la piscine dès que je le veux.

- Radia, viens me lécher la chatte, fais-moi voir comment tu t’y prends.

Elle est à ma botte, j’aurais rué, elle subit.
Elle s’agenouille et écarte mon petit carré avant de pointer sa langue.
Surtout que la sienne est bien là.
Je reste debout, lui faisant voir qui commande dans cette villa, me coucher serait faire voir de la faiblesse.
À part une légère flexion de mes jambes quand je jouis bien aidé par Tonio quand il la baisait en levrette et que je voyais les images.
Je reprends ma prestance, je suis la femme de Jean.

- Radia, veux-tu que je t’évite de te retrouver au Moyen-Orient et un dans harem jusqu’à la fin de ta vie…

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