Tou Big Tou Cage 07 Pas Facile Tous Les Jours

Tou big tou cage 07
Pas facile tous les jours


Le reste de la soirée était dure pour Alexandre. Son nouveau copain Xavier n'avait eu aucune pitié et ne lui avait pas donné le moindre petit plaisir. Par contre il en avait pris du plaisir lui. Alexandre l'avait senti vibrer, trembler de plaisir sous ses mains, il l'avait senti gémir dans ses bras mais il attendait plus que de simple câlins en remerciement.

Il rêvait à la queue d'Alex avant de s'endormir, puis il a sans doute continué à rêver à la queue d'Alex après …

Le lendemain la frustration de la veille le portait comme un véritable stimulant. Il bandait dans sa cage dès son réveil. C'est même ça qui l'a réveillé. Il regardait l'entre jambe de tous les mecs qu'il rencontrait pendant toute la journée. Il sentait sa queue protester également.

Il s'est plongé dans le travail, au bout de quelques jours, il recevait quelques commentaires, des félicitations uniquement. Mais on l'invitait aussi à lever le pied en lui disant qu'il ne tiendrait pas longtemps à ce rythme. Ils sont comme ça à la PK, ils tiennent à leurs collaborateurs et s'ils travaillent beaucoup ils savent aussi qu'il faut savoir s'arrêter de temps en temps.

Au bout d'une semaine Alexandre était sur les rotules. Le jour, tous les jours il s'était donné à fond à son boulot, le soir il étudiait les cours dans son livre de fous, il ne lui restait que les nuits pour vraiment se reposer et elles étaient courtes … les nuits …

Ce samedi matin il ne s'est pas levé, il a préféré attendre l'après midi pour cela. Il se retrouvait enfin vraiment reposé. Il commençait à être un peu moins tendu. Ce jour là, c'est surtout au moment ou il se levait que sa queue protestait, ensuite elle se calmait. Elle se calmait enfin. Elle avait manifesté, elle s'était fait remarquer, et pas d'une manière discrète ou agréable, pendant toute la semaine.

Il retrouvait ses camarades, Régis et Daniel, qui étaient ses plus proches amis.

Eux aussi étaient tendu, ils ne le lui cachaient pas.

– Je regrette presque d'avoir retiré mon dispositif pendant ces vacances. Faisait remarquer Régis.
– C'est plus dur de reprendre. Rajoutait Daniel. Moi c'est pareil.
– Et toi Alexandre ? Ça se passe comment pour toi, tu ne l'a pas retiré depuis combien de temps.
– Moi ! Répondait Alexandre. Je l'avais mis comme vous un peu avant notre entré en fac, il y a six ans.
– Et tu ne l'as pas retiré depuis donc ?
– Bein non. Mon stage a commencé juste après l'examen.
– Et ça se passe bien. Demandait Daniel.
– Hélas oui ! Répondait Alexandre.
– Hélas ?
– Oui hélas, concluait Alexandre. Si le contrat est confirmé, soit j'y renonce, soit je garde le truc pendant je ne sais combien d'années …
– Ou le reste de ta vie … Rajoutait Régis.

A ce commentaire, Daniel et lui éclataient de rire. Mais Alexandre, lui, ne riait pas.

Ils ont passé la journée ensemble, ils ont fait du sport. Alexandre se donnait à fond. Il avait de l'énergie à dépenser, il pensait à Xavier, il revoyait ce garçon superbe et sa queue qui était toujours libre. Il imaginait sa propre queue se balancer lourdement devant lui, il aurait tellement aimé la sentir grossir, la sentir se relever, se redresser avec force. Ce n'était plus qu'un souvenir, et il était déjà lointain. Il était le premier surpris de voir qu'au bout de six ans, il y avait toujours ce manque.

A de nombreuses reprises pendant la semaine sa queue à protesté. Il ne pouvait pas s'empêcher de regarder la bosse plus ou moins grosse que tous les hommes portent entre les cuisses. Et si jamais il avait l'impression qu'un de ces hommes pouvait ne pas porter de dispositif, peut être seulement, s'il avait seulement un doute, alors là c'était l'enfer.

Instantanément sa queue protestait comme une folle. C'en était presque douloureux, presque seulement mais c'était vraiment très inconfortable, et là c'était pas presque.


Alexandre avait toutefois l'habitude de porter ce dispositif et ne montrait rien de tout ce qu'il ressentais. Personne ne se doutait de l'enfer qu'il vivait par moment. Peut être d'ailleurs que ses camarades étaient dans le même état que lui. C'est un sujet qu'on abordait rarement.

Le soir là ils se sont fait un restaurant. Ils connaissaient bien l'endroit, vous savez c'est là que le serveur leur avait dit qu'il portait une taille deux mais qu'il portait une taille cinq au départ.

Ils discutaient entre eux.

– C'est pas tous les jours facile les mecs. Vous vous en sortez comment vous ? Demandait Alexandre.
– Moi en général ça va mais c'est vrai que depuis que je l'ai remis c'est plus dur. Déclarait Régis.
– C'est un peu comme au tout début ! Rajoutait Daniel. Vous vous souvenez quand on a commencé ?

Ses camarades le regardaient sans trop comprendre.

– Mais si, les premiers jours, les premières semaines.
– Les premiers mois. Rajoutait Régis.
– Les premières années. Concluait Alexandre.

Le serveur les avait entendu et intervenait.

– La solution, les jeunes, c'est de réduire. Vous prenez une taille plus petite, régulièrement. Quand je portais ma cage taille cinq, j'avais souvent des tensions. Maintenant que je porte une taille deux. Je vous jure, là je n'ai plus aucune gène.
– Oui mais trop serré, je ne sais pas. Moi si je mets une petite cage taille deux, je meurs ! Faisait remarquer Daniel.
– Mais qui vous parle les jeunes de passer de la taille cinq à la taille deux. Commencer déjà par la quatre pendent six mois …

La discussion continuait pendant toute la soiré, puis les trois jeunes finissaient par rentrer. Il se retrouvaient chez Alexandre.

Régis commençait par se mettre à poil.

– Avec un dispositif de chasteté, même sur une plage familiale, on est décent. Alors, entre nous …

Ses camarades rigolait mais faisaient de même.
Au bout de quelques minutes ils étaient tous nus, entièrement nus, enfin autant qu'ils le pouvaient. Ils portaient toujours ce petit truc qui faisait qu'ils n'étaient jamais nus.

– Tu as raison. Continuait Daniel. On n'est pas nu en fait.
– Et peut être que certains d'entre nous ne le seront jamais plus … Avait rajouté Alexandre.

Ça avait lancé comme un froid, remarquez, on était encore en été. Les trois garçons se regardaient sans rien dire.

– Tu peux sortir les jouets ? Demandait bêtement Régis.

Cette proposition était bien accueillie et Alexandre s'exécutait. Comme vous avez pu le remarquer, ce monde peut paraître prude mais la ' pruditude ' se définie par le port permanent d'un dispositif de chasteté, rien de plus. Pour le reste l'utilisation de jouets sexuels n'avait rien de scabreux, et comme beaucoup de jeunes homme Alexandre était équipé.

Il ramenait un gros carton dans lequel il y avait plusieurs godes, des plugs et deux harnais pour se fixer un gode à la ceinture. Régis était le plus rapide, il attrapait un beau gode, pas le plus gros mais certainement pas non plus le plus petit. Il le posait sur le sol, le lubrifiait bien comme il faut et sous les yeux attentifs de ses camarades, il s'empalait dessus.

Le gode s'enfonçait rapidement, Régis faisait une grosse grimace. On pouvait voir qu'il était sous tension ou sous pressions, c'est comme vous voulez. Dans sa cage sa queue tentait de bander de toutes ses forces et ce, avec désespoir.

Il avait besoin de se détendre, il y allait un peu fort, il était en manque et avait besoin de ressentir des sensations fortes. Il se laissait tomber sur le sol, le gode dans le cul, ses fesses s'écrasait sur le parquet et le gode s'écrasait on ne sait ou dans son ventre.

Il a gémi le petit Régis, c'était un peu de plaisir, c'était un peu de douleur, c'était ce qu'il lui manquait … Ses camarades restaient sans voix.

Régis gémissait …

– Ils m'ont proposé un contrat de cinq ans.
Déclarait Régis.
– Mais tu viens juste de commencer.

Régis allongeait les jambes, il était empalé, vraiment empalé sur son gode et on devinait qu'il devait le sentir passer. Il relevait la tête en arrière, respirait fort.

– J'ai vérifié les statistiques. Plus de quatre vingt quinze pour cent des stagiaires qui entre comme moi dans cette entreprise y font carrière. Et par conséquent …

Il continuait à se tortiller sous l'effet de son gode dans le cul. Puis reprenait.

– Par conséquent … Ah la vache , j'y suis allé un peu fort la … Par conséquent ne retirent jamais leur dispositif !
– Ah ouai ! Concluait Alexandre.
– Comme tu disais, s'il n'y en a qu'un qui ne doit plus jamais être nu, les mecs … C'est moi !
– Et ça te fait quoi ? Demandait bêtement Daniel.
– Je ne sais pas, j'ai appris ça cet après midi. Ça me fait tout drôle, je suppose.

Alexandre brandissait un gode ceinture.

– Personne ne veux s'amuser avec mon cul ? Demandait-il .

Ses deux autres camarades rigolaient à la question.

– Passe moi le truc. Répondait Daniel.

Ils se le fixait rapidement, c'était pas la première fois il avait l'habitude. Alexandre prenait position, à quatre pattes au milieu de la chambre. Daniel se lubrifiait sérieusement son gode. Puis s'approchait de son pote Alexandre. Il regardait Régis, lui faisait un sourire vicieux et s'enfonçait d'un mouvement rapide.

Alexandre hurlait, il ne s'y attendait pas. C'est lui qui avait choisi la taille du gode mais il ne s'attendait pas à ce que son copain l'encule sans le préparer, comme ça, à froid. Et c'est de douleur qu'il gémissait. Toutefois il était lui aussi en manque et laissait faire, c'est peut être ça qu'il lui fallait. Un bon coup de bite dans le cul, violent et rapide.

Daniel maintenait le gode bien enfoncé, il écrasait son ventre sur les fesses d'Alexandre. Celui-ci respirait fort, on avait l'impression qu'il suffoquait, il tremblait, il faisait une grimace à faire peur.

– Ça va Alexandre ? Demandait Daniel.
– T'occupe pas de ça et vas y défonce moi le cul.
– Ok ! Répondait seulement Daniel.

Il se retirait alors sur presque toute la longueur du gode, rajoutait une bonne dose de gel et s'enfonçait de nouveau sans aucun ménagement. Alexandre râlait, gémissait, gueulait. Il dégustait le pauvre, ça se voyait que c'était douloureux mais il en avait pris d'autres dans le cul et comme c'est lui qui demandait … Daniel ne se retenait pas, son entrée avait été fracassante la suite le restait tout autant.

Sans plus attendre, sans laisser le temps à son camarade de récupérer il lui limait le cul avec vigueur, force et régularité. Alexandre râlait, de plus en plus fort. Il braillait, il pleurait mais il ne tentait même pas de se retirer. Il avait vraiment besoin de sensations fortes.

Et là il était servi.

Régis sans se faire remarqué avait passé une sangle pour empêcher son gode de ressortir. Il se levait et préparait un plug, pas le plus gros, celui qui est juste un peu plus petit. Il s'approchait de Daniel qui limait le cul d'Alexandre à ce moment.

– On ne bouge plus ! Disait Régis.
– Tu es gonflé. Répondait Daniel pendant que Régis commençait à lui glisser le plug dans le cul. Mais tu aurais pu demander avant !
– Et tu aurais dis quoi ? Rétorquait Régis .
– Oooooh oui, vas y c'est bon. S'exclamait Daniel.

Au bout de quelques instants le plug disparaissait dans le cul de Daniel qui recommençait à limer le cul D’Alexandre.

La fièvre était monté très vite, ils étaient en manque tous les trois, et ce soir là ils se sont défoulé. Ils en avaient besoin.

A suivre

N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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