Sandrine, Bourgeoise Bien Éduquée Ne Voulant Pas Mourir Idiote 7 - Interlude

Après cette soirée d'intense plaisir et la volonté de Sandrine de me garder pour la nuit, les choses changeaient.

Je crois que nous étions en train de tomber amoureux.
Une bonne nouvelle pour n'importe qui, un vrai problème pour nous deux.
J'avais des sentiments diffus depuis un certain temps, de son côté, ce n'était a priori pas envisageable.

Ce matin, je fus réveillé par ses caresses sur mon sexe.
Au début, une main timide, elle faisait coulisser maladroitement mon prépuce. Ce n'était pas désagréable, juste pas très efficace, je bandais mollement.
Nous avions fait pas mal de choses interdites, mais la branlette n'tait pas encore une discipline acquise.

Elle décida ensuite de me prendre en bouche, c'était rare de sa part, finalement, elle ne m'avait sucée que 2 fois sans y mettre beaucoup de volonté.
Mais là, visiblement, elle voulait que je soit vaillant.
Elle fit de son mieux pour me lécher la hampe, faire le tour de mon gland et enfourner tant bien que mal mon engin.
Je la pris dans me bras et ramena ma bouche vers la sienne pour un baiser romantique.
Elle refusa ce baiser et m'ordonna "Je veux que tu bandes, tu es ma bite, je veux que tu me baises"
et dans la foulée, elle m'enjamba et se pénétra de mon sexe pas tout à fait prêt à ses assauts.
"Rappelle-toi mon beau, tu es mon jouet sexuel et là, j'ai très envie"

Je voulais de la tendresse, elle voulait de la baise.
Je lui fis l'amour, elle attendait de violents coups de reins.
Après quelques minutes de fiasco, nous décidâmes d'arrêter.

Nous primes l'après-midi du dimanche pour en discuter.
Elle comprit mon envie, comprit aussi que j'avais maintenant du mal à être l'étalon sans scrupule qu'elle adorait.
En même temps, hors de question pour elle de tomber amoureuse de moi.
On en restait là.
Plusieurs semaines se passèrent sans se voir, je souffrais un peu de cette situation, mais je décidai de passer à autre chose et d'ouvrir ma vie à d'autres.



Un jour, un de mes amis me parla d'une de ses conquêtes d'un soir, une jolie brune à forte poitrine, pas farouche et amatrice de sodomie à ses heures, ce qui était encore rare dans les années 90.
Elle lui avait donné ses fesses lors d'un premier soir. Fort en gueule, il m'avait tout raconté.
J'avais apprécié son histoire sans y prêter plus d'attention que nécessaire et n'y croyant pas trop...

Quelques semaines plus tard, il me demanda si je n'avais pas besoin d'un stagiaire programmation informatique.
Je venais de monter ma boite, c'était à mon domicile, enfin, on parle d'un studio certes un peu grand, mais juste la place pour un canapé pour les rendez-vous, qui devenait Lit, pour dormir et un petit bureau...
J'acceptais de rencontrer le jeune homme et m'attendais à des moments de fortes solitudes dans ce petit studio
Ce jour-là arriva une magnifique brune, pas du tout le type de personne que je m'attendais à rencontrer.
Je crus à une erreur, une développeuse, c'était et c'est toujours la "licorne".

Nous commençons l'entretien professionnel, j'ai toutes les difficultés à me concentrer.
J'ai face à moi une très jolie jeune femme, Karine, très sure d'elle, une jupe en velours fendu, noir, des bas que je devine à chaque fois qu'elle bouge les jambes et un joli cache-coeur qui met en avant sa forte poitrine.
Nous discutons depuis une petite demi-heure et au bout d'un moment, je comprends que l'amie de mon ami est, celle qui aime l'amour par la petite porte.
Je me mets à bander immédiatement, fait des allers retour entre sa bouche et ses seins. Le rêve éveillé.
J'essaie de continuer une conversation pro, mais chaque mot trouve son double sens. Je bou intérieurement.
Nous continuons à passer les divers sujets du stage en revue, elle a une très grande assurance. Rare chez une stagiaire.

Nous abordons alors la question de son lieux de travail.
J'avais prévu de proposer du télétravail, faut de place dans mon petit studio.
..
Je lui propose alors cette solution.
elle répond
- Si vous y tenez, mais le canapé avec une petite table, c'est possible?
Et puis je serais plus proche pour vous poser des questions.
J'envisage la question plus dans l'idée qu'elle veut me montrer qu'elle est prête à travailler, et pas une avance.

Accompagnant le geste à la parole, elle va s'y assoir.
Celui-ci hors d'âge l'a fait basculer un peu en arrière. Je ne rate rien de son entre jambes.
Elle se replace, mais garde ses jambes entre ouverte faute d'équilibre fiable, je suis face à elle sur ma chaise en surplomb.
Putain, ces seins, j'ai juste envie de les bouffer! cette culotte noire, je veux la virer!
De son côté, je crois sentir une certaine tension, peut être suis je en plein rêve, je préfère ne pas prendre de risque, pas de premier pas!
Peut-être elle est gênée?
Nos échanges de regard me font espérer une issue favorable, sans doute pas aujourd'hui, mais qui sait, un jour peut-être?
Ou ne peut être jamais, cette option étant assez probable...
Je l'engage et toutes les semaines, nous passons deux heures à revoir son travail.
Le lieu exigu nous rapproche, chaque visite est un défilé de vêtements sexy, mais je ne crois pas à mes chances.

Arrive un jour un projet déterminant pour l'avenir de ma société.
Nous sommes proches de la fin, mais la deadline est pour le lendemain.
Je lui propose de rester tard pour travailler et je lui fournirai diner et taxi pour le retour.
Nous avançons, l'heure aussi, les erreurs s'accumulent, trop de stress. On décide de s'arrêter pour diner.
Je nous commande des pizzas, la boisson, elle opte pour une bouteille de vin.
Nous nous offrons une pause méritée sur le canapé, de son cote, les verres s'enchainent. Elle prétexte le stress du travail.
Un peu bourrée, moi aussi, je lui assène , "il y a peut être d'autres moyens de se déstresser"
Elle - "Que voulez-vous dire?"
Moi - "je ne sais pas et vous?"
Elle - "C'est vous qui proposez alors, dites-moi"
Moi - "Un massage d'épaules peut-être?"
Elle - Elle sourie, "Jolie promesse, mais encore?"
Moi - "Euh", bredouillant devant mon audace temporaire.

Elle plante alors ses yeux dans les miens et change de regard:
Elle - "On sait très bien tous les deux que ce n’est pas ce qu'on veut. Je me trompe?".
Moi, reprenant un peu le dessus et faussement perdu
- "Ah oui, je ne vois pas"
Elle - Ne tournons pas autour du pot, J'aime faire l'amour, et là, j'ai envie, avec vous, mon patron!

Bien que devinant ce qu'elle allait dire, je suis un peu abasourdi et ne réagit pas.
Elle point alors mon bas ventre.
- Visiblement c'est réciproque.
Son assurance me désarçonne, et je reste comme un con.
Elle se redresse avec un grand sourire un peu pervers et se mets à califourchon sur moi.
Elle porte une jupe plisse courte et un cache-coeur, le me^me que la première fois.

Elle se baisse vers moi, ses seins me pètent au visage
- "Et là, c'est plus clair"
Moi - MFFMFFF oui
Elle défait l'attache de son cache-coeur, ceux-ci se libèrent et me donne à bouffer ses seins
je déguste ceux-ci avec gourmandises, ils sont lourds ferme et laiteux
Elle - Elle se mets à rire "Vous êtes satisfait, monsieur?
Moi - "Wowputain oh oui"
Elle - Et mes fesses?
Dans le même temps, elle prend alors mes mains et les plaque sur ses fesses.
Je passe ma main sous sa petite jupe et rencontre sa culotte , je glisse un doigt vers son sexe, elle est trempée.
Tout en bouffant littéralement ses seins, je la doigte frénétiquement.
J'entends ses soupirs, elle écrase ma tête contre ses seins.
Puis soudain s'arrête.
Elle- prenez-moi, j'en ai envie.
Elle se libère de moi et s'appuie sur le dossier du canapé, le cul en l'air, offert.
Elle - prenez moi, j'en ai envie
La tension est électrique, animale.

Je prends une capote dans un tiroir, baisse mon froc baisse sa culotte sur ses genoux et la prend d'une seule traite.

Elle hurle," salop, elle est bonne ta queue, vas-y."
je ne me fais pas prier, m'accroche a ses reins et la prend en levrette furieusement.

Elle crie, je râle en retour.
Elle - fesse-moi!
je claque son magnifique cul offert, elle pousse un crie à chaque claque. Plus fort!
J'obéis et claque plus fort, elle se caresse le clito frénétiquement. Ses fesses sont rosies par les claques.
On hurle comme des bêtes. Quand je ne donne pas de coups de reins, elle s'avance à la rencontre de mon sexe.

Ce traitement est trop intense pour moi.
Moi - je vais jouir!!!
Elle - attends
Elle me repousse, "jouis sur mes seins!!"

Elle s'assoit sur le canapé brutalement.
Je retire ma capote et elle se précipite sur ma queue.
Elle l'a branle, frénétiquement, ses yeux déterminés, dans les miens.
Elle - va y jouis, je veux tout!
Ma tête bascule en arrière, j'éjacule comme jamais sur ses gros seins.
J'ai l'impression de balancer 20 litres de spermes, ça n'arrête pas.
Hagard, je la regarde, perverse, elle prend mon sexe en bouche et finit de le nettoyer
Elle prend quelques gouttes avec ses doigts et me montre ostensiblement qu'elle se délecte de mon sperme.
Elle - embrassez-moi
Elle est clairement plus "chienne" que Sandrine, ça me plait bien. Quoique en fait me fait presque peur.

Je l'embrasse et goute pour la première fois mon sperme. pas désagréable, mais situation on ne peu plus perverse
Elle redescend sa main vers mon sexe et recommence à me branler

Elle - Je veux encore
Moi - Hein?
N'étant pas certain de me capacité, je la guide vers une bon vieux 69.
Elle s'installe sur moi et me colle son sexe sur la bouche, se dandine sur ma langue.
Elle - va y bouffe moi bien la chatte
Elle n'a plus trop de retenue.
Elle dégouline totalement, je goutte son nectar avec passion, ma langue fouille son sexe sans aucune retenue.
De son côté, elle enfourne mon sexe sans aucune pitié.
J'ai à nouveau une vigueur que je ne pensais possible.
Soudain, elle s'arrête et me lance
"Tu as du gel?"
Moi - du gel?
Elle - Oui du lubrifiant quoi, pour mon cul
Je reste quoi devant une telle remarque.

Moi - euh, oui dans la table de nuit
Elle se penche, trouve le tube

Elle - parfait! Mais t'arrete pas, bouffe moi le cul maintenant, j'ai envie.
Passé la surprise, je me redresse pour attaquer cet oeillet magnifique.
Ma langue tente d'amadouer le lieu, je la sens gigottée sous mes caresses.
Je l'entends prendre une noix de lubrifiant.
Elle se redresse.
Je vois son doigt plein de gel prendre la place de ma langue.
Il s'enfonce et ressort doucement
Elle - "lèche-moi bien pendant que je me prépare"
Rapidement, un second doigt rejoint le premier.
Elle fait des mouvements circulaires, comme si elle voulait mieux s'ouvrir à moi.
Je continue à la lécher furieusement, elle couine tout en s'activant.

Elle - "Je pense que c'est bon, viens maintenant"
Elle se relève et reprend la place qu'elle avait eue une demi-heure avant.
Je me rapproche, mets une capote, positionne mon gland prêt à pousser
Elle - "laisse-moi faire, j'ai l'habitude, j'adore ça"
Elle se recule inexorablement sur mon sexe qui la pénètre.
Elle pousse sans difficulté, mais avec précautions
Elle - "Attend laisse moi m'habi à ta grosse bite"
Le compliment m'excite, elle domine le jeu, est vulgaire, mais putain que j'aime ça.

Elle - "Vas y maintenant, j'aime jouir par le cul"
Je ne reconnais plus bien la petite stagiaire sexy que j'ai côtoyée toutes ces semaines
je fais des mouvements peu profonds, peur de lui faire mal.
Elle - "Va plus loin, viens encule moi vite"
J'accélère le mouvement, elle se caresse.
Fesse-moi, cette fois-ci, je n'ai pas de pause, les claques sur les fesses s'enchainent.
Elle - "Va y c'est trop bon ta queue"
Je donne des mouvements plus francs
Elle - "Putain oui vas y"
On continu quelques minutes ainsi, la première jouissance m'ayant bien aidée.
Je ralentis pour ne pas jouir
Elle - "Tu aimes enculer ta petite stagiaire?"
Moi - "Oh oui, pfff tu es vraiment une coquine"
Elle - "Je suis ta salope, pas une gamine"
Moi - "Oui t'es ma petite salope"
Elle - "plus fort"
J'accélère à nouveau le mouvement"
Elle gueule "Va y putain encule moi"
Je pense un instant aux voisins et lui baillone la bouche avec ma main
Elle me mord
Elle -"je veux qu'ils entendent que tu me baises"
Moi - "prends ça salope" et je donne un gros coup de reins.
Elle - "Salop"
Je me recule, elle donne un coup en avant.
Elle - "Jouis, j'en peux plus"
Je me déconcentre et me laisse aller, le 4e coup de reins m'est fatal et je jouis en elle.

On s'effondre l'un dans les bras de l'autre.
Après plusieurs minutes, elle décide de rester pour la nuit en restant cette fois plus sage.

Nous parlons de ce que nous venons de vivre, elle le résume à
"Tu baises ta stagiaire, ça m'excite ce rapport hiérarchique, je suis trop libre pour n'avoir qu'un homme, amusons-nous!"

Un peu déçu sur le moment, envie d'un peu plus, mais pas grave, je profite de l'instant.

Les semaines suivantes,nous terminerons toutes nos séances de revue de code de la même manière. Son rapport de stage fut terriblement élogieux...

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