Sauna Tours 2017

Une soirée de septembre, en mission dans la métropole tourangelle, après m’être libéré, je me décide à aller faire un tour au sauna des thermes de Gramont. Je connais l’endroit, il est cool, pas trop mal aménagé, des fois un peu trop calme, mais on peut s’y détendre tranquillement à défaut de s’éclater en groupe.
Je m’avance dans la venelle en impasse y conduisant, je sonne et entre dans le vestibule. L’accueil se déplace vers moi…souriant, me donne quelques indications sur le lieu, je lui indique être déjà venu. Il y un vestiaire à casiers et des toilettes sur la gauche, l’entrée proprement dite du sauna est à droite, cachée par un rideau.
Au vestiaire, il y a un mec en partance, pas mal gaulé, mais en partance…. C’est souvent au vestiaire, à l’arrivée ou au départ que l’on croise de beaux spécimens que l’on ne peut apprécier que des yeux.
Je me dessape donc tranquillement, afin de profiter du rhabillage du quidam, je n’en perds pas une miette ! J’admire sa plastique pendant qu’il s’essuie de partout puis enfile haut et bas .De mon côté, je reste un instant à poil, avant de m’enrouler dans la petite serviette remise à l’accueil. Le beau mec s’en allant, je me dirige vers le passage à rideau que j’écarte pour me faufiler dans une semi pénombre. Je retrouve le petit hall, suivi du jacuzzi, et le bar à droite jouxtant l’accueil.
J’aperçois un homme dans le jacuzzi, yeux fermés, savourant sa relaxation, le barman agent d’accueil rangeant son frigo, et un jeune mec assis au bout du comptoir.
J’avance longeant le comptoir, et obliquant quand même un peu à droite pour contourner le jacuzzi. Au passage je détaille un peu le petit blond, physique agréable, classique pas bodybuildé mais pas gras. Il sirote un coca, tourne légèrement la tète vers moi, il me semble que mon regard le dérange, je n’insiste pas. Comme il est assis sa serviette est légèrement entrouverte sur une de ses cuisses et j’aperçois un joli sexe, sans poils, assez développé comme j’aime.

Il ne bande pas mais semble lourd et épais, peut être une demi molle me dis-je en moi-même, mais bon il l’air plus à son coca qu’à s’intéresser à ma personne. Je continue donc vers les douches, qui sont entourées d’une paroi translucide, ce qui fait qu’on se douche au vu de toute la salle et des occupants du jacuzzi.
Je passe sous les pommeaux, après avoir isolé ma serviette. Je traine un peu question de voir si par hasard on me materait, mais bon rien, ça roupille ou ça se désaltère. Le sauna sec près des douches semble vide et on ne voit rien côté hammam à l’opposé et pour cause un rideau de plastique obstrue son entrée.
Nonchalamment, et la serviette à la main, je déambule jusqu’au hammam, j’y pénètre. Je devine deux ou trois corps très rapprochés, j’entends soupir et murmure de satisfactions. J’essaie me mater un peu mais ces gus la semblent bien trop occupés à se donner du plaisir pour m’accueillir en plus. Donc je m’éloigne pour le jacuzzi, il y a toujours l’homme, qui cette fois a les yeux ouverts et me détaille alors que je rentre dans l’eau. Cela m’émoustille un peu et mon sexe pend moins sans être au garde à vous. Je m’assois en face de lui, il me sourit. Entamant la conversation il me dit que son créneau tire à sa fin, et qu’il va bientôt rentrer. Il est la depuis 16h00. Il a l’air gentil, sympa, ce doit être un bisexuel tout comme moi. Apres quelques autres paroles échangées , il me dit qu’il faut qu’il y aille , et se levant dévoile un torse musclé et ventre plat , bien sculpté et orné d’un joli sexe de taille moyenne , un peu comme le mien , sexe qui repose sur deux belle boules , assez pendantes , tout ça est bien tentant. Je le regarde s’éloigner vers les vestiaires avec regret. Et donc me revoilà seul dans mon bain, de plus en plus chaud. J’en sors à mon tour, remonte sur le bord et en redescend. Je récupère la serviette, toujours à la main, et me dirige au sauna sec. J’y entre pour quelques instants afin d’évaporer l’eau qui courre encore sur ma peau, étant seul j’y reste debout, nu, plusieurs dizaines de secondes, prêt à sortir au premier signe de transpiration.
Je vérifie si par hasard, il y aurait du passage sous les douches qui sont piles en face mais rien. A droite de ces douches il y a un petit escalier qui mène à l’étage, ou se trouve télé, quelques petites cabines, un glory--hole, et aussi une pièce un peu plus grande avec des matelas au sol. La on peut s’battre en groupe.
Me sentant sec, je ré enroule la serviette sur mes reins et grimpe à l’étage.
C’est assez désert, la télé diffuse un truc assez vintage, avec pharaon et serviteurs zélés. Je m’assois quand même et admire les acteurs, très beaux, très virils pour beaucoup. Leurs sexes sont bien proportionnés, comme j’adore voir de beaux étalons à l’œuvre le mien gonfle petit à petit, faisant comme une bosse qui déforme ma serviette. Je le caresse distraitement, sentant bien que je commence à mouiller abondement.
Par acquis de conscience, je fais un tour des cabines, revisite le glory-hole et passe la tète a l’entrée de la plus grande pièce ou j’aperçois un homme. Cette pièce comporte un mur revêtu d’un grand miroir et l’homme est la, assis et adossé au miroir ou je peux voir aussi ma silhouette. L’homme est nu, sa serviette est posée sur ses épaules. Il est assis, les genoux repliés vers son torse, talons appuyés au sol, les jambes écartées laissent apercevoir sa queue posée sur des couilles assez imposantes. Il me fixe, sourit et me fais signe d’approcher. Je l’entends me dire tout bonnement : "ha cool c’est toi que j’attendais». En m’approchant, je vois qu’on doit avoir dans les mêmes âges, il est viril, bien sexué, une belle toison frisée sur les pectoraux. Debout devant lui je m’approche et caresse ces poils d’une main, qui va et vient entre ses mamelons que je m’amuse à exciter entre deux doigts. De manière générale c’est un beau mâle, qui s’entretient. Il est sec de corps. M’attrapant par le poignet de ma main palpeuse, il me fait me courber vers lui jusqu'à ce que nos tètes se touchent et dépose un bisou auprès de mon oreille. Du coup je craque et m’agenouille devant lui entre ses pieds.
Ses deux mains me parcourent le torse, les épaules, le cou. Il m’attire pour un baisé bouche a bouche pas trop appuyé. Mes mains sont parties à explorer sa taille, ses flancs, ses hanches et la naissance de ses fesses. Il appuie sur mes épaules afin que ma tète descende au niveau des abdominaux puis à la naissance de sa tige encore assoupie, j’hume son parfum tout en constatant que son pubis est rasé de près, pas un poil sur la tige ni en dessous. Du coup je n’hésite pas à happer son sexe en bouche, ou je commence e a le téter, dans l’envie qu’il y grossisse et y prenne une bonne place. Et c’est ce qui se produit, son membre se redresse, il est de taille moyenne, plutôt fin, je le goute avec un lent plaisir. Sa main sur mon cou le caresse, on est bien en phase, sa bite palpite doucement sur mon palais, je descends en fond de gorge de mon mieux possible. Cette situation me fait bien bander également.
Lui s’est déplacé lentement, en repliant ses jambes afin de basculer sur ses genoux, alors que je continue de le pomper avec application. Sa souplesse lui a permis ce petit exploit, ses fesses reposent maintenant sur ses chevilles, alors qu’il a les cuisses écartées, ses deux genoux encadrent ma tète qu’il maintient d’une main douce mais fermement et que de l’autre il me caresse les omoplates. Je suis quand à moi dans une position presque identique mais les fesses relevées, encore ceinturées de la serviette. C’est alors que je sens celle-ci se desserrer, et que deux nouvelles mains s’affairent à me dénuder complètement. Un peu surpris je relève la tete et aperçois dans le miroir je jeune mec du bar en bas, qui a fini par abandonner son coca pour venir nous rejoindre. Mon partenaire de face me renfourne la queue en bouche et m’avertit : « tu en as de la chance, il y a un jeune taureau de mes connaissances dans ton dos, je pense que tu vas bien kiffer ». Je sens une main passer sous mes couilles, enserrer ma queue qui est trempée. Le jeune derrière me positionne à sa convenance, je sens sa queue imposante venir se faire du bien entre mes deux lobes, a la manière d’une branlette espagnole sauf que là mes fesses font offices de seins.

L’homme devant se penche vers mon oreille et me souffle : « Si tu le sens bien, il peut te défoncer comme jamais avec sa bite d’âne». Ces mots me font trembler d’excitation mêlée d’appréhension. L’homme vient vérifier de sa main l’état de mon sexe qui est raidi et bave énormément. Les mains du jeune sont sur mes côtes alors qu’ll continue a se frotter entre mes deux fesses. Le premier reprend : « tu es puceau du cul ? ». Je lui dis non d’un secouement de tète. Il en profite pour donner quelques poussées en fond de gorge, puis se calme et ajoute ; « de toute façon, vu le gabarit ça va faire comme un dépucelage, mais t’inquiètes pas ca peut se faire progressif et doucement, alors ça te dit ? ». Il dégage entièrement sa bite pour me laisser souffler et sans doute aussi m’exprimer…
« Alors ? » me relance t’il en me fixant, et toujours avenant. Il lit dans mon regard envie et appréhension. C’est à ce moment que le jeune mec change légèrement nos positions de façon à faire glisser son mandrin au long de ma raie, je sens passer son gland sur ma rosette, il ne s’y attarde pas et positionner sa queue sous la mienne et mes bourses, il accole les deux hampes. Une de ses mains enserre nos deux membres fermement les pressant l’un sur l’autre. Je réalise alors, sachant que mes bourses et mes fesses le retienne en appui et que mon propre gland est en deçà du sien, sous sa couronne, combien il est bien monté. J’en éprouve un nouveau frisson et émets un genre de feulement. « T’as envie ? » me questionne l’homme en me biffant légèrement. . Ravalant ma salive j’émets un « Mumm, mais c’est énorme ! ».Sur quoi il m’ébouriffe les cheveux de sa main largement ouverte qui descend ensuite sur ma nuque, effleurant d’un doigt le creux de mon cou au dessus de sa naissance. Il me questionne : « C’est quoi ton prénom ? », je lui donne : « Bertrand » .Sa main abaisse ma tête entre ses cuisses, jusqu’au sol, je sens ses sa queue dans mes cheveux, ses couilles aussi. Quelques secondes passent alors qu’il continue sa caresse de mon cou. Lui : « reste calme, Bertrand, détend toi, je vais vérifier ça ». Son autre main vient remplacer la première, celle-ci filant doucement toujours d’un doigt entre mes omoplates, puis la colonne, le creux des reins, le haut de mon sillon, puis encore plus bas. Je frémis en me cambrant légèrement. Le doigt passe sur mon coccyx et vient doucement se poser sur ma rondelle, puis croche dans mon trou, juste une phalange. Il s’adresse alors au jeune : « En effet, il va falloir aller doucement, ce doit être sa première vraie queue XXL ». L’autre répond « Ok, j’ai compris, t’inquiètes pas ». Sur ce, alors que l’homme devant enlève son doigt, lui desserre son étreinte de nos tiges et se recule légèrement. IL garde son mandrin mes couilles tout en me pétrissant les fesses. La main remontée de mon cul se pose sur mes reins, pour me cambrer, puis elle s’éloigne sur le côté pour revenir y poser quelques sachets. Le jeune en déchire un et laisse couler le lubrifiant en haut de mon sillon. L’homme reprend la descente de son doigt, amenant le lubrifiant cette fois jusqu’à mon orifice qu’il teste à nouveau. L’autre passe sa main sous mon ventre, caresse ma queue bandée à fond, recueille le liquide qui s’en écoule. Il ajoute : « Bertrand bande et mouille, c’est bon signe ».
Il ramène ce lubrifiant naturel dans le creux de sa main jusqu’à mon cul, le dépose juste au dessus de l’entrée anale, et enfonce son pouce aussitôt que l’autre a libéré l’accès. « Petite préparation » me dit il….Tout est dans les mêmes proportions chez ce jeune mec, ses mains sont larges, son pouce épais. Il le fait tournoyer en moi, comme pour élargir le passage.
Ma tête est coincée entre les cuisses de l’homme de devant, sa queue va et vient dans mes cheveux. Ses deux mains sont descendues prendre mes fesses afin de les écarter pendant que le pouce me fouille et élargi progressivement mon anneau. L’homme s’adresse au jeune maintenant : « capote toi, et commence à le travailler au gland, si tu penses qu’il est prêt ». Le jeune s’exécute, libérant mon trou en se reculant, je sens mon trou ouvert sous l’effet de la prise en mains du premier. Il me positionne cul relevé, cuisses écartées, comme accroupi mais à plat ventre. D’une main il règle l’écartement de mes genoux afin d’être à bonne hauteur.
« Prêt Bertrand ? » Je murmure un faible « oui ». « Je vais quand même bien lubrifier tout ça ». Je sens un bon flot de produit gel s’insinuer dans ma raie et vers mon cul. Il a du se munir d’un flacon afin de s’enduire la bite encapuchonnée. L’homme devant entreprend l’écartement de mes lobes, afin de lui faciliter la tâche. Il me dit « Reste détendu Bertrand, ça va se faire doucement ». C’est alors que le sens l’appui sur l’entrée de mon trou, et le gland qui commencer à se frayer son chemin. Les deux mains du jeune sont sur mes hanches, attirant mon derrière sur sa bite, derrière qui est étiré latéralement par les deux mains de l’homme de devant. Le jeune pousse sa queue vers l’avant dans le même temps. Je sens que ça pénètre, c’est large et épais, pourtant cela passe, instinctivement je me laisse pénétrer de quelques centimètres en soufflant. Lui y va par petits coups, profitant de chaque relâchement de ma part pour progresser. Soudain je ressens un soubresaut de mon anneau, qui se resserre légèrement. La couronne du gland est passée, il fait une pause et commente : « Voilà c’est commencé, et c’est un bon début !». Je sens qu’il s’enfonce encore quelque peu. Je m’entends haleter, et émettre des petits gémissements.
L’homme devant a ramené ses mains sur mes épaules et mon cou. Il me dégage la tête, se repositionne un peu, de demande de m’appuyer sur mes avant-bras. Il prend mon menton en main, relève ma tête et me regarde ou souriant. Puis : « Ca va Bertrand ?, tu aimes ? » J’hoche la tête reprenant mon souffle. « Et toi ça va , Romu ? » , le jeune répond « ouais j’adore, un très bon cul , bien étroit encore , un vrai kiff » … Le mec devant : « fais une pause qu’il s’habitue » et à moi : « déguste moi Bertrand , lèche et suce moi s’il te plait » , ce que je commence à faire avec plaisir. Il apprécie, je l’entends, et je le sens guider de ses mains posée sur mes joues. « Mumm il suce bien , j’en profite encore un peu , Romu Ok ? » Romu : « oui vas y fais toi plaisir, mais j’ai grave envie de le def ! » L’autre : « t’en es ou ? » Romu : « un tiers environ ». L’autre : « un tiers de quoi ? qu’il sache ce qui l’attend encore.. » Romu ; « ben de 22 23 par un bon 4 cm » L’autre « ok on s’enfonce en cœur Romu »
Ayant dit cela, il récupère mes mains pour les mettre en appui sur ses cuisses largement ouvertes, et me bloque la tète des siennes pour engouffrer sa queue profondément dans ma bouche. Même s’il est de moyenne taille, je sens bien son gland glisser entre mon palais et ma langue et venir frôler ma luette. Gêné j’essaie de reculer un peu ce qui fait que je participe à mon empalement et facilite la progression de Romu. Les deux mecs se rapprochent donc et m’embrochent, poussant dans mes deux orifices doucement et surement. J’ai du mal à respirer parfois, et émets de petits couinements à chaque cm gagné par Romu. Soudain je sens la queue de Romu buter en moi, comme sur un obstacle inattendu qui stoppe son avancée. J’ahane fortement et les larmes me montent aux yeux, surtout que je suis bâillonné par mon autre partenaire. Aussi ils sont tout deux à l’arrêt, alors que j’en profite pour souffler, tant bien que je peux. Je les entends chuchoter et je ne discerne que quelques mots :« fond, nan pas trop, il encaisse bien, doucement, finir , explique lui ». Puis plus clairement « Ok Marc, mais dégage toi un peu qu’il me dise aussi » . Marc désengage sa queue de ma bouche.
Romu : « ça va Bertrand ? », moi d’un souffle « oui », romu : « tu sais, c’est pas terminé, la je suis au juste au fond de ton trou, en butée, mais ça va aller au-delà , si tu es ok » , moi étonné « ha ? » , Romu « oui je vais percé le deuxième rétrécissement , avec mon gland , doucement , tu vas le ressentir tout au fond de toi, et puis ma queue est plus épaisse à la base , et tu vas aussi ressentir ton anneau d’entrée se faire encore dilater. » De reflexe ou envie, mes fessiers se resserrent, mon cul spasme légèrement et je me cambre. Romu apprécie « mmmm , c’est bon ça sur ma queue, c’est sur tu es chaud pour aller plus loin » Et suivant cette contraction de ma part , l’effet est que je facilite une petite avancée de Romu.
Romu : « bon aller détend toi, je pense que tu es prêt, je vais te grimper dessus comme un chien qui couvre sa femelle, n’ai pas peur, c’est l’affaire de quelques secondes que tu sois complètement emmanché, laisse faire toi sans rien tenter, contente toi de gueuler comme tu aimes, sinon tu dis stop, alors j’arrêterai, mais je pense pas que tu vas dire stop, tu as trop l’air d’aimer ça »
Romu se positionne différemment, passant ses cuisses et ses mollets a l’extérieur de ma croupe et de mes propres cuisses. En effet je ressens son gland s’introduire au plus profond de mon cul, m’ouvrir littéralement. Je me mets à pousser des Ha HA HAN de plus en plus sonores. Et je ressens aussi mon anus se faire distendre par la base de sa queue. Cela m’envahit de plus en plus.
J’halète de plus belle et Marc en profite pour introduire deux trois doigts dans ma bouche et m’en caresser l’intérieur ainsi que ma langue, je me mets a lui téter ses doigts entre plaisir et gène grandissante dans mon cul. Evidement je n’aurais pas le loisir de dire stop. A cet instant je ressens un frôlement sur l’arrière de mes boules qui se sont regroupées en remontant au pus près de ma queue. Je saisis que celles de Romuald, pendantes, viennent au plus près , cela provoque à nouveau un frisson au creux de mes reins , et un nouveau spasme du trou, et provoque la descente finale et totale du pieux , couilles contre couilles , pubis collé à mes fesses. J’exhale un soupir de soulagement, Marc dégage ses doigts et réinsère son sexe dans ma bouche remplie de salive.
« Voaaalaa, c’est fait à fond Bertrand » « on va pouvoir démarrer ta baise maintenant » dit Romu. De son côté Marc me lime doucement la bouche, s’enfonce a chaque fois plus loin. Mon cul se contracte autour du pieux de Romuald qui me félicite à sa manière : « mmmm tu kiffes Bertrand c’est cool, je vais de défoncer de ma grosse queue, doucement pour commencer, te baiser longuement »
Je le sens revenir en levrette classique, toujours accolé à mon trou, il frétille légèrement des hanches afin d’élargir la place, puis entame un lent mouvement de ses s hanches qui ondulent lentement, provoquant ainsi légers retraits et remises a fond de sa bite en moi. Mon plaisir commence a monter sourdement. Marc me titille les seins, puis passe sa main sur mon sexe bandé a fond, se sert de ma mouille pour lubrifier sa paume. Romu intervient « le touche pas la s’il te plait, il risque de partir vite…. , trop vite, et puis je voudrais d’abord le faire jouir du cul , et j’espère le faire juter sans qu’il ait besoin de branle ! » du coup Marc retire ses mains et m’enfile sa queue de plus belle dans la tronche.

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