La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1347)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1346) -

- Maintenant, à genoux entre mes jambes, je vais voir si ta bouche de salope est aussi savoureuse que ta chatte de chienne.

Louise se mit en position et commença à lécher cette hampe épaisse et dressée comme un I. Une verge droite et souillée de sa propre cyprine, de haut en bas et de bas en haut. Ensuite, elle l’a pris presque entièrement en bouche et entreprit de le sucer du mieux qu’elle en était capable, alternant la pression de ses lèvres, suçotant le gland ou lui donnant des petits coups de langue entre deux gorges profondes quand tout à coup le Comte Louis-Etienne la saisit derrière la nuque et imposa son propre rythme pénétrant alternant cadence rapide et lentes. Cette bouche ne devenait plus qu’un simple trou pour se soulager, un orifice humide, chaud et agréable faisant guise d’un parfait vide-couilles. Et ainsi quelques minutes plus tard, Louis-Etienne ne tint plus, c’était trop bon, cette salope de petite soumise savait parfaitement se servir de son organe buccal. Alors, il lâcha sa jouissance en jets chauds et saccadés dans la bouche de Louise qui, docile, avala le tout avec reconnaissance, puis baissa la tête.

- Bien, je dois reconnaitre que tu te sers parfaitement bien de ta bouche de salope avec une bonne langue bien agile de petite chienne. Et donc pour une novice, c’est déjà très bien et j’en suis satisfait.
- Merci Messire, je tâcherai de tout faire pour continuer à parfaire mes fellations afin de vous apporter encore plus de plaisirs de satisfactions.
- Bien, allez, vas t’allonger sur la couche et sur le dos.

Louis-Etienne partit chercher des cordes et un bandeau et en passant à côté de Manon sans un regard, il lui ordonna.

- Tu peux baisser les bras, pour reposer tes muscles.

Puis il revint près de Louise, lui banda les yeux et attacha ses poignets.

Mais au moment d’attacher ses chevilles.

- Je ne connais pas ton niveau de résistance aussi à la moindre douleur dans les jambes alors je veux que tu me préviennes tout de suite, est-ce bien clair ?
- Oui Messire, très clair.

Le Comte lui attacha les chevilles en positionnant les jambes en l’air et largement écartées à l’aide d’une barre haute, traversant le cadre de lit en largeur et donc sur la hauteur du cadre du lit à baldaquin, barre prévue à cet effet. Elle était ainsi très exposée aux regards du dominant exhibant une chatte épilée et bien offerte

- Magnifique. Es-tu vierge du cul ?

- Oui Messire, j’ai juste porté un olisbos (sorte de plug en bois dur utilisé chez les grecs et au Moyen-Age) offert par le Maître. Sauf votre respect, je crois savoir qu’Il veut être Le 1ér à en prendre possession, la 1ère fois.
-C’est probable, je ne ferai donc que te le doigter dans ce cas. Pour plus, je verrais cela directement avec Lui. Et maintenant, je ne veux plus rien entendre sauf tes gémissements de salope.

Louis-Etienne commença alors à lui caresser tout son corps, les bras, le visage, le cou en descendant doucement vers sa belle poitrine, qu’il trouva parfaitement proportionnée, caressant ses seins du bout des doigts faisant des cercles se rapprochant de plus en plus de ses tétons roses, et qui commençaient à pointer. Louis-Etienne en pris un entre ses doigts et le pinça doucement puis de plus en plus fort tout en agaçant le second de sa langue et le mordillant légèrement avec ses dents. Puis il continua à descendre sur son ventre, ses hanches passant près de son sexe palpitant et suintant mais sans le toucher, caressa ses jambes puis revint vers la chatte de plus en plus luisante… Louise avait l’impression que son sexe était en feu et si elle jouissait, à peu de chose près, ce serait de la lave en fusion qui en sortirait. Le Comte Louis-Etienne ayant imposé le silence sauf ses gémissements, elle ne dit rien, mais intérieurement priait pour qu’il la prenne car son corps chaud ressentait ce que peut ressentir une femelle en chaleurs qui ferait n’importe quoi pour copuler.
La belle soumise fort excitée se tortillait en tirant sur ses liens, ce qui avait le don d’exciter Louis-Etienne mais elle aussi car elle adorait sentir les cordes se tendre pour l’empêcher de bouger, elle aimait la pensée de se sentir immobilisée à la merci d’un mâle en rut…

Le Dominant ayant une main baladeuse malaxant perversement un sein et l’autre lui fouillant la chatte et titillant aussi l’anus, qui n’étant pas habitué se dilatait assez peu, mais il l’avait prévu et il ne mit que deux doigts. En revanche, il décida de la fister comme il se doit, mais tout en douceur. Et c’est doigt par doigt qu’il démarra et plus le sexe de la belle s’écartait par l’excitation et le mouvement de rotation des doigts pénétrant, plus il accentuait la manœuvre. Et de plus en plus profond, il finit par enfiler les 5 doigts puis la main jusqu’à ce que son poing tout entier entra dans le vagin ultra trempé de la soumise. Ce qui la fit jouir comme jamais elle se souvenait avoir jouit au point qu’elle crut perdre la raison, toute secouée de spasmes de plaisirs incontrôlables. Puis d’un coup, il retira son poing pour au plus vite y enfoncer sa grosse queue dressée et Louis-Etienne la pénétra d’un coup de reins puissant, bestial telle une saillie animale dans cette chatte brulante et si dilatée, béante qu’il y entra sans la moindre difficulté. Tel un mâle viril qu’il était, il la pilonna ainsi durant de longues minutes en va-et-vient puissants et profonds, son gros gland violacé allant taper le fond du vagin par sa rigide hampe veineuse gorgée de sang prête à laisser gicler sa semence. Tandis qu’il lui ordonnait de jouir, lui aussi lâcha donc son orgasme en un flot de sperme chaud et ce fut un moment de jouissances explosives de part et d’autre...

Après leurs jouissances, le Comte lui détacha les jambes et s’allongea quelques instants auprès de Louise, le temps de reprendre leurs esprits et de redescendre sur terre. Une fois cela fait, Louis-Etienne libéra Louise de tous ses liens afin qu’elle puisse reprendre une position d’attente agenouillée dans un angle de la pièce, toujours nue et tête baissée, les mains dans le dos et les fesses n’ayant pas le droit de toucher les talons, tandis que Manon et lui se préparaient pour aller souper.
Quand ils rentrèrent ce soir-là, Louise était toujours là, en position d’attente, elle n’avait pas bougé d’un iota.

- Tu peux y aller, chienne, je n’ai plus besoin de toi, ce soir.
- Merci Messire. Dame, Messire je vous souhaite la bonne nuit.

Et Louise quitta la pièce pour se diriger vers les cuisines où elle savait qu’Angélique lui avait gardé son repas au chaud… Ayant passé un moment d’intenses plaisirs, Louise n’avait pas la moindre idée de l’heure qu’il était. En réalité, il était encore assez tôt, et en passant près de la salle à manger, elle croisa le Maître suivi de Marion qui en sortaient. Le Seigneur d’Evans l’aperçut et l’interpella :

- Ou vas-tu, ma petite chienne ? N’es-tu pas au service de Mon neveu ?
- Bonsoir Maître, (elle s’agenouilla) j’ai attendu dans sa chambre comme exigé mais Votre neveu m’a libéré en rentrant et j’allais aller manger mais si Vous avez besoin de moi, cela peut attendre.
- Non, s’il t’a libéré ça ira, vas te sustenter, mais viens Me voir dans Mon salon privé après qu’on ait plus besoin de toi autre part.
- Bien Maître, merci Maître.

Louise embrassa le bout des doigts que le Maître lui tendait en signe de reconnaissance, puis elle se leva et alla dîner… Après avoir mangé et aider Angélique et les autres soumise à remettre la cuisine en ordre pour le lendemain, Louise se rendit donc, comme exigé, jusqu’au salon privé du Seigneur d’Evans et frappa à la porte. Après avoir reçu l’autorisation d’entrer, elle se plaça en position d’attente au centre de la pièce car le Maître était occupé à se faire sucer par Marion.

- Ca suffit, vas dans Ma chambre et attend Moi, exigea t’il à Marion qui le prenait en bouche goulument.
- Bien Maître, répondit Marion obéissante.
- Louise, regarde-Moi. Tu es à Mon service depuis peu et c’était la première fois que je te laissais à une autre personne hors de Ma présence. Pourquoi Louis-Etienne t’as libérée aussi tôt ? N’aurais-tu pas été à la hauteur de Mes exigences ?
- Je…je l’ignore Maître, mais…
- Mais quoi ?
- Mais il a pris du plaisir avec moi et je dois reconnaître qu’il m’en a donné énormément, mais avant cela il a…
- Louise, j’ai horreur qu’on Me fasse attendre.
Allons, parle, je te l’ordonne.

Louise baissa la tête car tout se bousculait dans sa tête. Louis-Etienne lui avait ordonné de ne rien dire sur ce qu’elle aurait pu voir et entendre, mais elle n’avait d’autre choix que d’obéir au Seigneur d’Evans qui était Le Maître. Le Comte Louis-Etienne à ses yeux n’était qu’un Dominant parmi les autres, donc elle poursuivit.

- Avant cela, il a été contraint de punir son épouse et de me prendre devant elle, a-t’il dit, car cela faisait partie de sa sanction. J’ai bien entendu au son de sa voix à leur retour qu’il n’était plus en colère …
- Pourquoi a-t’il puni Manon ?
- Je ne sais pas exactement d’après ce que j’ai compris, elle était une de Vos soumises il y a quelques années.
- C’est exact, je l’ai libérée quand Mon neveu est venu Me demander sa main.
- Et d’après lui, ce n’était pas la première fois qu’elle Vous appelait ‘Maître’. Et depuis Monsieur le Comte Louis-Etienne exige d’être le seul qu’elle a le droit d’appeler Maître.
- Petite chienne, approche toi.

Louise s’approcha du fauteuil du Maître à quatre pattes se mit devant Lui à genoux tête baissée. Il lui souleva le menton de Sa main et vit de grosses larmes inonder son beau visage.

- Pourquoi pleures-tu ?
- Ho Maître, dès demain je Vous promets de demander à Votre neveu la juste sanction pour lui avoir désobéi.
- En quoi lui as-tu désobéi ?
- Il avait exigé que tout ce que je pourrais voir ou entendre cette après-midi ne devait pas sortir de sa chambre.
- Ne pleure plus, Ma Louisette, tu es épuisée, tu dois savoir que Mes ordres ou Mes exigences prévalent sur toutes les autres, voire les annulent. Tu as eu raison de ne rien Me cacher et rassure-toi, tu ne seras pas sanctionnée ni par Moi, ni par Louis-Etienne, j’y veillerai personnellement. Alors sèche-Moi vite ces larmes.

Louise Le regardait avec un timide sourire et les yeux encore remplis de larme et une infinie reconnaissance. Elle ressentait les grandes valeurs de justice du Seigneur d’Evans ainsi que Sa bonté à être un homme juste. Le Maître lui présenta Sa main sur laquelle elle déposa un baiser empli de respect et de Dévotion.

- Très bien, dit-il, (puis dans un claquement des doigts), tu vas terminer ce que ta sœur de soumission avait commencé…

(A suivre …)

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