Chantier De Rénovation

Chantier de rénovation


Depuis quelques jours, des ouvriers restaurent la maison du voisin. De ma fenêtre, j'observe leurs allées et venues. Ils ont pris l'habitude de ranger leur matériel et de faire leurs pauses dans la remise à proximité.

Le fantasme des mecs de chantiers. Moi aussi, j'aime bien ce genre d'hommes.

Dans mon garage, un trou très discret et une planche disjointe, sans doute fait par un précédent locataire, me permet de visualiser et d'entendre ce qui se passe sous la remise du voisin.

Ce matin, je me planque pour mater les deux ouvriers qui se changent sous la remise.
Deux gars dans la force d'âge, des artisans bien balancés, corpulents.

Le premier, un très beau mec, barbu, brun avec une peau un peu mâte, sans doute un Turc, assez jeune, taillé, sculpté, une musculature de sportif accompli, qui semble en avoir entre les jambes. Un vrai appel à la baise pour homo en chasse. Je l'ai déjà vu se retourner sur des filles et aussi sur des mecs qui passent sur la rue…ouvert, le mec.

Son collègue, la cinquantaine, a ouvertement une carrure bien différente. Un physique de gardien de boite de nuit, chauve avec une barbe de 3/4 jours, le gros balourd bien poilu, qui fait sûrement son quintal. Sans la moindre gêne, il se tâte le paquet devant son collègue pour remettre sa marchandise en place. Hier, il est venu pisser dehors en direction de ma fenêtre sans doute pour provoquer un ou deux mateurs comme moi. Quand il a secoué sa bite, j'ai bandé direct, vu le morceau que j'ai vu.

Tous les deux, très différents, font une sacré paire de mecs très mâles, très virils. Je me branle en m'imaginant faire plein de choses avec eux.

La matinée se passe tranquille. Soudain, de ma fenêtre en surplomb, je vois passer le maçon barbu suivi par un blondinet, un petit mec efféminé, qui marche comme s'il avait un suppositoire dans le cul, qui semble ravi d'arriver là.


Je comprend tout de suite ce qui va se passer sous la remise et rejoins sans tarder mon poste d'observation, l'œil rivé au trou aménagé là dans les plinthes de la remise.

L'ouvrier, le beau mâle barbu, est assis sur une pile de sacs d'enduit prévus pour le ravalement de la maison et a défait la boucle de son ceinturon. Le gros balourd est lui aussi arrivé là et reste à surveiller, à tenir la porte d'entrée de la remise.
Le petit jeune, un peu naïf, croit commencer la rencontre par une bonne pelle mais le beau brun lui saisit la nuque d'autorité et il se retrouve en moins de deux le nez dans la braguette ouverte.

Sent il fort?... est il propre? Je ne sais pas. Il essaie de reculer mais n'a pas d'autre choix que de sniffer le gros coucou qui va sûrement bientôt sortir de sa boite.

" Toi sucer zob.

Les effluves agissent et transportent le petit dans le monde merveilleux du sexe des hommes forts, qui mecs qui transpirent, des mâles natures… Une trop grosse envie de sucer la queue d'un mec de chantier, le blondinet tire sur le slip pour dégager l'objet de son désir qui tend le coton.
My god, il libère une barre à faire défaillir tout pédé en chasse. Le mec, il est outillé. Ebloui par la vigueur de ce gourdin, les yeux émerveillés, le petit jubile d'avoir une si belle bite devant lui.
Il n'a pas le temps de la contempler plus que le gars du chantier lui appuie sur la nuque, le force à ouvrir sa bouche pour engloutir son gland tendu vers le ciel.

" Toi sucer zob.

Le blondinet essaie de résister devant sans doute l'odeur puissante du membre de cet étalon mais la pression de l'artisan ne lui laisse pas le choix. Sa petite bouche s'ouvre, le gland décalotté disparaît pour subir un nettoyage délicat. Le jeune salive abondamment ce fruit juteux sans doute pour mieux faire passer les saveurs relevées.
Passé ce cap d'adaptation, la mission sans doute très appréciée par son bénéficiaire, le Turc lui impose d'autorité la moitié de son bambou entre les lèvres et continue de forcer.
Pas bien longtemps… le petit bougre, sans doute enivré par ces effluves orientales, se démène et l'astique comme un diable et tente des gorges profondes.
Il faut dire que c'est un beau manche, du beau matos d'artisan, à utiliser sans modération.

Le costaud, resté à la porte, regarde son collègue profiter de cette pipe agréable. Il bande comme un cerf, se chatouille la queue au travers de sa cotte de travail débraillée et brûle sûrement d'envie d'aller profiter.

" Toi bien sucer zob.

Le petit jeune biberonne, coulisse ses lèvres sur ce manche admirable. On dirait qu'il cherche à le faire jouir mais le Turc ne l'entend pas ainsi.

" Moi baiser toi.

Il connaît peu de mots mais il connaît l'essentiel, le lascar. Le blondinet ne rechigne pas à cette proposition vu la superbe queue du mec d'Istanbul. Il se redresse, baisse son jogging et présente ses petites fesses à ce superbe mâle. Il n'oublie pas de sortir de sa poche une capote et un carré de gel.
L'ouvrier enfile la capote pendant que le jeunot se graisse le fion et se positionne le ventre sur les sacs d'enduit, le cul en l'air et se prépare à l'accouplement. On ne va pas dire qu'il n'est pas consentant, bien au contraire.
Je suis idéalement placé pour voir le Turc se caler derrière, s'ajuster et, tel le lapin, lui enfiler direct son manche de pioche dans le cul.
Le blondinet n'a pas eu trop le temps de comprendre qu'il l'a déjà eu sûrement jusqu'aux couilles. Un cri est sorti de son corps pour exprimer tout son désarroi quand ce sexe lui a dilaté le conduit. Il a gémi, continue de gémir et s'est cabré comme la biche qui se prend la bite du cerf. Le barbu le maintient coincé contre la pile des sacs d'enduit.

Qu'est ce qu'il croyait, cette petite pute, chauffer le mec et s'attendre à un enculage mon chéri, mon amour ? Putain, je bande et il ne me faudrait pas grand-chose pour juter. C'est comme si je venais de me faire enculer.
J'ai adoré voir ce mec enculer de la sorte le jeunot.

Le beau brun d'Asie, c'est sûrement pas la première fois qu'il encule un mec. Il lui a logé son gourdin comme un pro.

" Toi bien prendre zob.

Le petit gigote et se lamente, ce qui fait rire son enculeur qui lui redonne un coup de bite pour lui confirmer son enculage bien profond.
A ma grande surprise, le jeunot tend son cul pour être mieux pénétré. C'est ce qu'il voulait, cette petite pute, se faire niquer, se faire défoncer.

" Toi aimer zob. Moi bien te baiser.

Le jeune maçon lui administre alors une sévère tournée de coups de bite. Il a une énergie dans les reins, cet étalon, houa, la baise…. La petite pute couine sous les coups, s'accroche sur les sacs pour mieux se faire embrocher. Il prend du plaisir, cette petite salope et l'autre se régale de le baiser. Putain… La Salope.

Le Turc regarde son copain et sourit pour lui transmettre son bonheur. Le costaud bave d'envie, sa grosse paluche en action dans son slip, prêt pour la relève. Le barbu lève un pouce, sans doute un signe, accélère les va et vient, démonte le jeunot.
Le gros costaud y voit un message et abandonne le poste, pressé d'enfiler le petit. Le brun se retire, la bite affreusement raide, sûrement pas loin de juter, s'assoie sur la palette de sacs d'enduit et ordonne au jeune de le sucer.

" Toi sucer zob.

En un tour de main, la capote est retirée, le jeunot s'empresse d'engloutir le gourdin, de biberonner, d'aspirer, et vas y pour les gorges profondes…. Il n'a pas vu le gros balourd archi poilu derrière lui qui, ravi du moment, s'apprête à l'enquiller.
Le petit sent néanmoins sa présence et, tout à son plaisir, se réjouit de l'intérêt que cet artisan lui porte et laisse son cul à l'air, disponible.
Le gros poilu saisit son manche et ne se préoccupe pas de capote. Il veut baiser, il veut jouir dans ce cul offert, providentiel.

Lorsque j'aperçois la bite du balèze manuel, je me dis que j'ai loupé quelque chose, que j'aimerais me la prendre. J'ai envie de pleurer tellement il est monté large. Une bite en rapport avec le bonhomme, épaisse, raide, envahie d'une touffe de poils noirs en broussaille, des couilles poilues elles aussi.
Il crache sur sa bite, étale le mollard et présente son énorme gland sur le trou humide et resté ouvert, empoigne les cuisses du jeunot et emboite son énorme braquemart sans la moindre complaisance.
Déjà dilatée, la rondelle a laissé passer le chapeau de ce gros champignon et s'est laissée envahir par le pied de la même grosseur. Le blondinet efféminé gémit de recevoir ce sexe si imposant, se débat, vaincu, enculé, baisé comme une petite pute. Il ne fait pas le poids face à ce colosse de chantier qui l'encule. La moitié du matos est déjà livré.

" Ferme ta gueule, salope. T'es venu pour ça, non?
" Toi aimer zob.

Il ne s'occupe pas du petit qui couine, qui souffre sans doute, de son cul qui peine à accepter une queue si épaisse. Malgré les miaulements et les suppliques, il l'a sans doute enculé jusqu'à la garde. Avec ses grosses cuisses et son ventre bedonnant, je ne vois pas mais vu son air réjoui je sais qu'il lui l'a mise jusqu'aux couilles, sa grosse pine, son gros marteau piqueur qui va le défoncer.

" Putain, le cul. Je vais lui faire un petit, à cette salope.
" Toi aimer zob.

Le petit jeune a intérêt à aimer ce genre de situation. Quelle idée de venir proposer son cul à des gars de chantiers, des mecs costauds, montés comme des ânes, sûrement les couilles pleines. Il a sans doute voulu réaliser un fantasme.

Enculé profond et large, la sueur au front, on sent néanmoins que le jeune est chaud bouillant, qu'il veut, qu'il aime la baise.
Il s'accroche, reprend la bite du barbu en bouche, veut le faire cracher. Sa petite queue est redevenue raide, signe qu'il aime sa position, qu'il y prend du plaisir.
Soudain il essaie de passer la main à son cul, essaie de savoir, de demander si l'autre a mis une capote mais il est trop tard, le balèze va sûrement lui jouir dans le cul.
Trop excité par avoir vu son copain baiser, le balourd va juter, se vider les couilles. Il en a rien à foutre de la capote et harponne violemment ce petit cul bien chaud.

" Ta gueule, salope. Les pédés comme toi, je les engrosse bien profond.
" Toi sucer zob. Toi tout avaler.

La petite frappe gigote, débordé par la situation. Ces hommes sont supers costauds, puissants, et le tiennent fermement. Emporté par son plaisir, il continue de biberonner, pris en étau par ces deux balèzes, secoué selon leurs envies. Il attend le sperme, la semence, le foutre chaud. Faut pas qu'il s'inquiète, il va en avoir.
Le cul maintenu en l'air, il se fait enquiller tel une lope et va recevoir sa dose par les deux bouts.

L'ouvrier barbu sent qu'il va juter et profite de la position inconfortable du blondinet. D'une main ferme sur la tête, il le maintient et dégorge, crache sa semence étrangère dans cette bouche chaude et humide. Le petit ferme ses lèvres sur le mandrin mais est vite débordé par la quantité ou le goût. Pris dans un orgasme merveilleux, il éclabousse de ses jets les sacs d'enduit, heureux d'avoir réussi à faire jouir ce beau mec.
Il voulait sans doute recracher mais, pas assez expérimenté, la bouche trop pleine, il a avalé. Le maçon Turc, qui n'en espérait pas tant, se voit offrir les finitions, un nettoyage du nœud.

Le gros poilu, au même moment, lui aussi, a donné un dernier coup de bite et s'est immobilisé, le temps de décharger dans le cul du minet, incapable de gérer cette deuxième livraison.
La main sur la bite, je jouis et envoie plusieurs jets sur les planches de la remise.

Le balèze se retire, la bite luisante, les couilles vides, encore une petite perle blanchâtre sur le gland. Il récupère une goutte de sperme au bout de sa queue et s'essuie le doigt sur les fesses du jeune puis remonte son pantalon, sans plus de formalité.

" Tu reviens demain si t'as envie. T'es une bonne salope.
" Toi aimer zob.

Le jeunot s'essuie la bouche, touche son cul gluant, remonte son jogging taché par le sperme qui a coulé de son trou dilaté. Le gros maçon a dû lui livrer une grosse gâchée de sperme.

" Vous êtes deux dégueulasses. Enculés.
" Casses toi, pédé.

Ainsi va la vie sur les chantiers. Les deux gars rigolent et le laisse là.
Je suis sûr qu'il reviendra. Ils l'ont trop bien baisé.

Caramel35
Toi aimer zob mais toi aimer jus dans capote.
Vous pouvez m'écrire ou laisser un commentaire. Ce serait sympa.


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